Nicole chap 10 par mlle_helened

 

Nicole chap 10 par mlle_helened

Le réveillon de Noël arriva sans que l’on passe à l’acte. Pour l’occasion, Isabelle me donna une robe noire toute en dentelle et une paire d’escarpins vernis aux talons aiguille très hauts et une bride autour de la cheville. Je la passais par-dessus un ensemble de lingerie noire en dentelle aussi et des bas couleur chair et à la couture noire. Je me trouvai irrésistible et je dus me masturber pour faire retomber l’excitation.

Lorsque je me présentai au salon, Isabelle était sublime dans un tailleur pantalon juste passé sur la guêpière que je lui avais offerte. Sa fille n’avait rien à lui envier dans sa robe de mousseline, toute en transparence, qui ne cachait rien de ses dessous chics. Pas de jarretelles mais des bas autofixants. Quant à Charlène, elle portait un tailleur jupe gris et un chemisier rouge, et bien sur des escarpins d’une hauteur indécente. Et des bas couture noirs.

Les deux seuls vrais hommes, Igor et Jean-François portait un smoking et nœud papillon.

Le repas avait été livré par un traiteur et servit par moi-même aidé d’Igor. Le réveillon se déroula dans une ambiance bon-enfant. Et vu les tenues de chacun, je me laissais à imaginer une partouze d’anthologie. La seule ombre au tableau étant les jumeaux car je ne les voyais mal faire l’amour avec leurs parents. Ils étaient certainement très ouverts d’esprit, mais pas à ce point-là.

Minuit passé, Isabelle se leva pour la distribution de cadeau. Tout le monde eut son paquet sauf moi qui en eut deux.

– Je suis désolée, dis-je, je n’ai rien prévu pour vous.

Isabelle me regarda avec un air surpris.

– Pourquoi veux-tu prévoir quelque chose. Le Père Noël est passé. Et on a chacun notre cadeau.

Elle dit ça sur un ton digne d’un enfant de sept ans qui croit encore dur comme fer au bonhomme rouge.

Je déballai religieusement mes paquets. Le plus petit contenait le dernier né des IPhone et le plus grand contenait un ordinateur portable de la marque à la pomme.

– Je ne sais quoi dire, dis-je émerveillée, touchée
– Alors ne dit rien.

Tout le monde déballa son cadeau. Une paire de Louboutin pour Charlène, un coffret cadeau pour un séjour en thalasso pour Isabelle, des vêtements pour les jumeaux. Mais le cadeau plus étonnant fuit celui d’Igor. Lorsqu’il ouvrit, je vis couler une larme sur sa joue, une larme d’émotion.

– Un Desert Eagle, un 50 A.E en plus !

Igor sortit de sa boite l’objet qui a ses yeux tenait du Saint Graal. Sauf que ça n’avait rien à voir avec la coupe biblique. C’en était même aux antipodes. Igor exhiba un révolver énorme qui semblait être fait pour ses grosses paluches.

Devant mon air effaré, Jeff me souffla à l’oreille qu’Igor était un collectionneur d’arme à feu.

Ceci expliquait donc cela.

La soirée se poursuivit. Je n’en sus pas plus que la passion du balafré. Puis tout le monde alla se coucher dans sa chambre. Mon rêve de partouze s’envolait.

Le jour de Noël, je me retrouvai seule dans la maison. Igor était dans sa famille, et mes patrons déjeunaient chez les parents d’Isabelle.

Je décidai de me pencher sur la garde-robe de Charlène et sa collection de chaussures. Isabelle m’avait montré leur dressing. Elle ne m’avait jamais interdit explicitement d’y venir. Mais d’un autre coté rien ne m’incitait à y venir.

La moitié était celle d’Isabelle, l’autre celle de Charlène et Jean-Charles, cette dernière étant réduit au minimum. Je compris que Jean-Charles n’existait que dans le monde professionnel. En dehors, il n’y avait que Charlène.

Je pris un plaisir immense à essayer les chaussures de Charlène. Je remarquai que toutes étaient à talons très hauts, souvent avec des plateformes.

Je passai la journée avec l’une d’elles, sans me rendre compte que je les avais toujours aux pieds lorsque la famille rentra le soir.

– Tu es bien dedans ? me demanda Charlène.
– Oui, avoué-je, penaude.
– Tant mieux ! Tu peux te servir dans mon dressing si tu veux. Je n’y vois pas d’inconvénient.
– Merci Charlène, dis-je rassurée.
– Mais ça mérites quand même une punition, dit Isabelle. Tu t’es servie sans demander la permission.
– Je comprends, dis-je faussement embarrassée. C’est mérité.

Les jumeaux échangèrent un sourire complice et montèrent au dernier étage qui leur était réservé avec deux chambres et une salle de bains.

Charlène me prit par l’oreille et m’entraina vers le fond du couloir qui se terminait par une porte en bois que je n’avais jamais vu car cachée derrière un lourd rideau rouge foncé. Isabelle glissa sa main dans une poche cousue au revers du rideau pour y prendre la clé de la porte.

Lorsque j’entrai dans la pièce, une odeur de bois, de pierre et de cuir mélangé envahit mes narines. Lorsque la lumière tamisée éclaira la pièce, je découvris des canapés en cuir, un buffet en vieux bois et différents … je ne savais même comment ça s’appelait. Il y avait une croix faite de deux poutre croisées, une table avec des extensions comme des étriers, une espèce de carcan, et une machine avec une gode fixé au bout d’une tige en fer. Sur le buffet, différents godes mais aussi des fouets, des martinets, etc.

Je compris enfin : une pièce dédiée à des pratiques de SM.

– Tu pensais mériter ta punition ? Tu ne crois pas si bien dire, annonça Isabelle en fermant la porte. Et puis tu peux crier autant que tu veux, personne ne t’entendra.

Charlène me posa un bandeau sur les yeux et m’attacha face à la croix. Ce ne fut ensuite que coups de fouets, de martinets, fessés. Puis je sentis qu’on s’introduisait en moi sans savoir si c’était Charlène ou Isabelle.

– Regarde cette petite pute, regarde comme elle se fait bien enculer. Ça rentre tout seul, comme dans du beurre. Je parie qu’elle peut prendre plus gros encore.

Je compris que c’était Isabelle. Puis je les entendis chuchoter

– Excellente idée ma chérie.

On me détacha. On m’allongea sur Isabelle qui investit sans problème mon petit trou bien ouvert. Puis je sentis Charlène nous enjamber et sa queue se frayer un passage. Elle n’eut pas vraiment de problème pour entrer et je me retrouvai avec deux queues en moi.

– Quelle salope, grogna Charlène, un vrai garage à bites !

Le couple s’activa. Charlène finit par jouir en moi. Isabelle me demanda ensuite de la faire jouir mais avec l’interdiction absolue de ne pas jouir avant elle. J’eus toutes les peines du monde à remplir le contrat. Mais je trouvai l’astuce en demandant à changer de position chaque fois que je sentais l’inéluctable arriver. Charlène en profitait, à chaque fois qu’elle le pouvait pour s’introduire en moi.

Isabelle finit par jouir enfin et réclama entre deux cris que l’on jouisse sur elle. Charlène et moi lui présentons nos deux bites qu’elle suça pendant j’embrassai ma consœur à pleine bouche.

On éjacula ensemble. Isabelle reçut notre sperme dans sa bouche, du moins une partie. Le reste maculant son visage que l’on s’empressa de lécher. Il n’était même pas envisageable de lasser perdre ce nectar. Nous nous masturbâmes mutuellement, tantôt suçant une queue, tantôt léchant le minou d’Isabelle. Nous retrouvâmes notre vigueur et nous primes Isabelle ensemble soit dans chacun des trous, soit dans le même. Encore une fois, nous donnâmes notre jus à boire à notre partenaire.

– Whaaah, dit-elle, enfin rassasiée. Dodo maintenant.

Le lendemain, je trouvai un mot sur ma table de nuit.

 » La punition d’hier soir était trop gentille et tu y as pris trop de plaisir. Pour la semaine à venir, tu devras mettre exclusivement les escarpins qui sont au pied du lit. Tu n’auras le droit de les enlever que pour aller dormir. Bisous. Isa. « 

Je regardai à l’endroit indiqué et je découvris une paire de talons vertigineux. Je m’empressai de les mesurer : seize centimètres dont quatre de plateau. Moi qui aimais les talons hauts, j’étais servie.

Les premiers pas furent catastrophiques et je manquai plusieurs fois de me tordre les chevilles. Et je ne parle même pas de la descente des escaliers. Mais au fil des heures, je domptai les monstres. Je n’allais pas faire un sprint avec, mais j’étais plus à l’aise.

Soudain, Rosette fit son apparition dans le salon.

– Est-ce que quelqu’un peut aller chercher du pain. La fournée n’était pas prête quand je suis passée.
– Nicole va y aller, trancha Isabelle en me regardant avec un sourire en coin.

Autant dire que le trajet prit un certain temps. Au retour, je m’affalai dans le fauteuil, les pieds en compote.

La semaine me parut interminable. Les pieds, les chevilles, les genoux me faisaient affreusement souffrir. Un truc à vous dégouter complètement des escarpins.

Je remis mon jean slim et mes ballerines. Même ainsi, je me trouvai particulièrement féminine, voire sexy.

Isabelle m’accueillit avec un sourire et une moquerie gentille sur ma tenue et mes chaussures plates. Raillerie à laquelle je répondis par un haussement d’épaules.

Je passai le réveillon du Nouvel An toute seule. Charlène et les enfants chez les parents d’Isabelle, Igor dans sa famille qui habitait au Cap-Ferret. Cela me fit tout drôle d’être seule dans cette grande maison, sans aucun bruit. Mais tout était prévu en termes de nourriture : Rosette m’avait mitonné un réveillon aux petits oignons.

Je passai la soirée entre télé et DVD pornos.

A minuit, mon portable se mit à vibrer dans tous les sens. Isabelle, Charlène, les jumeaux, Rosette, Manon mais aussi Nathalie, Clarisse, Joëlle mon esthéticienne et Françoise, ma coiffeuse me souhaitait une très bonne année. J’étais d’autant plus étonnée que je n’avais demandé que les numéros d’Isabelle, Charlène et Igor.

Je répondis joyeusement à toutes et tous et partis me coucher.

Je fus réveillée en douceur par Charlène, Isa et Igor qui me souhaitèrent à nouveau une bonne année non sans embrasser ma bouche. Puis tous sortirent sauf Charlène qui resta car elle avait envie d’un câlin. Cette fois, et pour la première fois, ce fus moi qui l’enculai et inondai son intestin de mon sperme.

On s’embrassa un moment, je m’habillai et descendis prendre mon petit-déjeuner.

En début d’après-midi, Charlène repartit pour Paris en voiture avec Eléonore et Jean-François qui devait prendre un vol pour Washington en fin de soirée.

Je ne m’étais pas posé la question mais Isa m’explique que Charlène avait un appartement de fonction dans Paris et qu’il n’était pas rare qu’elle fasse le trajet en fille.

A suivre

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2 réponses à Nicole chap 10 par mlle_helened

  1. Tatiana dit :

    J’aime bien les histoires de partouzes entre travestis

  2. leblanc dit :

    Bien écrit et bonne partouze

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