Mâles tendresses…
Pine bien mûre, couilles poilues
Bien engoncées dans ce p’tit cul
Donnent à ce geste dominant
De la beauté, de l’élégance,
Ainsi qu’une pointe d’insolence
Qui magnifie par excellence
La volupté de l’allégeance
De l’enculé à son Amant.
Tendres bijoux, jeune nature,
Galanteries bite mature.
Ventre se tord sous l’ingérence,
Cuisses offertes aux complaisances
D’un boute-joie à la rescousse
D’une paire de fesses qui se trémoussent
Avec joie, avec frousse
Charmées par pine qui la trousse.
Rapidement vient l’allégresse
Quand la passion ouvre le cul
Qui à l’intrus paye tribut.
Dès que le gland passe l’anus.
Quand les roustons cognent les fesses.
Valsent roupettes et doux phallus.
Et l’engouement du fier outrage
Devient alors un bel hommage.
08/01/2020
Belle évocation et que celui qui ne s’est jamais enculé se dépêche de le faire….♥