Ma première partouze par Erex
Ma première partouze.
Cette fois-ci nous avions changé de plage naturiste car sur l’autre nous y avons rencontré des personnes que nous connaissions et pour ce que nous envisagions de faire nul besoin de se faire remarquer car les nouvelles vont vite dans notre village. Cette plage est surnommée « La plage des désirs » et c’est pour ça aussi que nous l’avons choisie. Nous sommes donc, Jacques et moi, entièrement nus sur cette plage et surtout très loin de chez nous ce qui est un gage de tranquillité. Nos corps nus et bronzés se détachaient sur le blanc du sable et nous attendions la rencontre.
Sur cette plage il y a de tout, des femmes superbes comme des moins jolies mais Jacques n’est pas là pour les femmes mais pour les hommes, enfin un homme, celui qui saura me plaire. En effet j’ai promis d’y passer avant la fin de l’été avec un autre homme que mon mari pour lui faire plaisir. Mon véritable désir est de trouver un noir extrêmement membré, c’est vrai que je fais une fixation là-dessus mais on a tellement vu d’images et de films de ces mecs hyper membrés que j’en veux un aussi, il n’y a pas de raison que ça soit réservé aux putes des films pornos. On a beau regarder partout, pas un seul noir sur cette maudite plage pourtant ça fait une dizaine de jours que nous y venons mais en vain. J’ai juré de tout essayer, je veux qu’une énorme bite me défonce le trou du cul, je veux être une vraie putain et avaler des litres de foutre et me vautrer dedans pour son plaisir. Oui je serai la trainée qu’il veut que je sois sinon je sais qu’il ne sera pas tendre avec moi car je connais trop bien son goût pour la fessée et j’y ai déjà goûté non sans y trouver un certain plaisir mais parfois il est excessif.
Il fume une cigarette en m’écoutant parler de mes fantasmes et en désespérant de trouver celui que je veux quand il apparait. Il marche d’un pas lent et contrairement à tout le monde il a gardé son maillot mais à la bosse qu’il a entre les jambes on devine qu’il est bien monté. Il est bronzé et athlétique, j’en suis certaine, c’est celui-là qu’il me faut. Je dis à Jacques :
– Celui-là est pas mal et à défaut de noir il peut bien faire l’affaire.
Je m’accoude sur ma serviette, soulève mes lunettes de soleil pour voir l’homme que je lui désigne, il me regarde en faisant la moue mais accepte de le faire venir. Il n’a même pas jeté un regard vers nous et continue son chemin vers la dune qui conduit vers la sortie de la plage. Sans même enfiler son maillot mon mari se précipite vers lui avant qu’il ne soit trop loin et l’interpelle. Il se retourne et parait très surpris par sa demande mais il l’écoute jusqu’au bout en souriant, il baisse les yeux et regarde la queue de Jacques qui pend entre ses jambes avec beaucoup d’attention mais tout en parlant Jacques lui désigne l’endroit où j’attends, il regarde dans ma direction. Je suis impatiente de savoir si le mec vient ou pas. Enfin, je vois que l’histoire que mon mari lui raconte l’intéresse, sa bite grossit à vue d’œil dans son slip de bain et il se décide enfin à le suivre pour voir la petite salope qui veut se faire troncher par lui.
Arrivés près de moi, il se met à genoux face à moi et me dévisage. Il sourit de toutes ses dents blanches qui me subjuguent aussitôt, je braque mon regard sur la bosse qui lui déforme le maillot et lui demande tout simplement de me montrer sa bite avant de prendre une décision. Il parait surpris d’une telle démarche mais après tout elle est bien légitime, je veux voir avant d’acheter. Il abaisse son maillot de bain qui libère un braquemart énorme, long et gros, très épais à la base qui ne cesse d’enfler et de grandir et qui relègue celui de Jacques à une bite de jeunot. Mon mari sort deux canettes de bière fraîches de la glacière et lui en tend une pendant que je me passe la langue sur les lèvres en n’arrivant pas à détacher mon regard de l’engin. Il prend la canette fraiche et se la frotte sur la pine en me souriant en prenant bien soin de ne pas oublier les deux énormes couilles qui pendent au-dessous. Enfin il ouvre la bouche pour me demander si je suis satisfaite de mon choix. Pour le lui prouver j’avance la main, touche l’énormité, la caresse un instant puis je le regarde et d’un sourire entendu je déclare tout de go :
– Wahou ! Bien sûr que je suis d’accord après tout je me fous que tu ne sois pas noir, comment refuser un pareil dard que tu vas me fourrer bien profond dans la gueule, dans la chatte et dans le fion. Mon petit cul va sans doute avoir très mal mais j’ai tellement envie de baiser qu’il faut bien souffrir un peu pour bien jouir, pas vrai ? Alors on y va ou on reste là à discuter et à enfiler des perles ? Je sens que je vais passer une très agréable soirée grâce à vous deux mes salauds,
A mon grand regret il rentre ses bijoux de famille dans son slip de bain, il aurait pu rester à poil quand même, et se lève impatient de nous emmener chez lui et nous invite à le suivre jusqu’au parking. Nous remballons nos affaires et nous voilà partis. Sur le parking nous rejoignons notre voiture et attendons qu’il arrive pour le suivre, enfin le voilà et c’est parti, l’aventure peut commencer.
En chemin nous discutons Jacques et moi. Il me demande si je n’ai pas peur et si je ne vais pas me défiler au dernier moment ?
– Ô que non chéri, je suis trop heureuse d’avoir trouvé ce type monté comme l’âne que nous allons souvent voir dans le pré juste pour admirer son énorme bite qui pend jusqu’à terre. Un jour, tu verras je me ferai sauter par lui, sa bite ne trainera plus par terre mais sera bien au chaud dans mon con. Là je vais enfin pouvoir tester mes capacités et me faire enfin enculer par cet énorme chibre.
Pour l’heure Adrien est en train d’ouvrir le garage et nous fait entrer notre voiture puis il rentre la sienne et ferme la porte pour que nos véhicules n’incitent personne à venir nous déranger. Sage initiative. Il nous invite à monter à l’étage le temps pour lui de choisir une bonne bouteille car il tient à nous garder à dîner. Arrivés en haut, nous découvrons un magnifique salon où des livres pornos trainent sur la table basse. Ainsi notre hôte a aussi besoin de ça lui aussi mais pas le temps de s’interroger, voilà son athlétique stature qui apparaît dans le rectangle de la porte. Il entre, me regarde encore, pose la bouteille de Bourgogne sur la table de la cuisine puis revient vers nous. Il m’attrape par les épaules, me détaille de haut en bas puis m’attire à lui et me roule une pelle de tous les diables en me pelotant fermement les fesses. Je le laisse faire mais je suffoque sous le baiser d’Adrien et tente de me dégager mais il me retient encore plus fermement et me claque sa grosse main sur les fesses à plusieurs reprises. Je remue et je sais que Jacques commence à apprécier sa manière de faire, il montre qu’il est le patron et qu’il fait ce qu’il veut de moi. D’ailleurs ça m’est égal qu’il me frappe car je sais que Jacques apprécie beaucoup ce genre de traitement et qu’il va sans aucun doute s’en mêler.
Enfin Adrien se décide, il défait ma petite jupette blanche de tennis qui tombe à terre puis c’est au tour de ma petite culotte, vient enfin le moment de me libérer aussi de mon petit haut et c’est Jacques qui s’en charge, trop pressé de commencer les hostilités. Comme je ne porte jamais de soutien-gorge l’été, mes deux magnifiques nichons jaillissent aussitôt devant les yeux de notre nouvel ami. Il les regarde un instant puis les saisit fermement entre le pouce et l’index et leur imprime une pression qui me fait mal. Un rictus de plaisir change le visage d’Adrien qui à ce moment-là dévoile sa vraie personnalité. Fini le sourire charmeur qui m’avait tant plu, maintenant c’est l’homme dominateur qui va prendre possession du jouet qui s’offre à lui et ça, ça me plait beaucoup au point que je sens poindre en moi une forte excitation. Je vais connaître ce que j’apprécie le plus dans les films de SM, la souffrance des petites putes que l’on fouette ou qui subissent des supplices.
Adrien s’assoie sur la table les jambes écartées et le vit monstrueusement dressé. Il ordonne :
– Amène-toi ici connasse, taille-moi une bonne pipe et fais ça bien que je n’aie pas à regretter de t’avoir invitée.
Aussitôt je m’exécute, je plie la tête au-dessus de l’engin de mes désirs et Jacques se place derrière. Je penche la tête et engloutit la bite dans ma bouche distendue par la largeur impressionnante du sexe en commençant à enrouler la langue autour, je m’applique mais Adrien en veut plus, il me saisit par les cheveux et me force à avaler son engin au plus profond de la gorge et me bloque ainsi. Je suffoque et hoquette, j’étouffe alors il me relâche un peu le temps que je respire puis recommence en m’obligeant à avaler de plus en plus profond. Je me débats mais il n’en a cure, seul son plaisir compte et il m’ordonne de descendre toujours de plus en plus bas et enfin j’arrive à tout avaler, mon menton bute sur les couilles et je respire fortement. Sa bite cogne sur ma glotte et je la sens qui tressaute sur ma langue.
C’est le moment que Jacques choisit pour abattre sa main sur mes fesses, j’ondule pour me dégager mais ces mouvements déclenchent en lui le besoin de me fesser encore plus fort puis il se baisse et enfourne sa langue dans ma chatounette, je me trémousse de plaisir mais le fumier m’introduit brusquement son index dans le troufignion, je suis surprise et je fais un mouvement de recul alors sa main s’abat à nouveau sur mon fessier à plusieurs reprises aussi je décide de ne plus bouger et de me laisser faire. Il abandonne son index et aussitôt, et tout aussi brutalement, il enfonce cette fois son énorme pouce qu’il fait aller et venir en tous sens dans ma pastille. Il y prend un plaisir fou, visiblement il veut me faire mal mais ça va, je tiens encore le choc. Notre ami approuve son initiative et continue son petit manège avec moi. Enfin il me relâche et me dit :
– Continue de me sucer, je n’ai pas encore commencé à prendre du plaisir. Encore quelques gorges profondes et tu vas pouvoir te régaler de mon jus crémeux qui va asperger ta glotte sale petite pute.
Je connaissais bien ce supplice pour l’avoir vu infligé à des soumises dans des films de domination et j’avoue que j’y prenais vraiment du plaisir, cette expérience me prouve que c’est pas toujours facile, facile de satisfaire un homme mais quand on veut, on peut. On s’habitue à tout et je le veux plus que tout. Tout apprendre et tout faire en un minimum de temps, c’est pour ça que je suis venue jusqu’ici. Je reprends mon souffle et la bite dans la main je commence à la lécher, la titiller du bout de la langue si bien que n’y tenant plus, Adrien m’attrape la tête à deux mains, ses monstrueuses bourses frappent mon menton à un rythme effréné puis soudain il décharge un premier jet dans ma bouche et me maintient ainsi jusqu’à ce que j’ai tout avalé puis sans sortir son dard de ma bouche j’agite à nouveau ma petite langue pour recommencer quelques minutes à l’exciter quand un second jet me remplit à nouveau la gorge. Une nouvelle fois j’avale en prenant bien soin de ne pas en perdre une goutte puis je me relève, de la jute aux commissures des lèvres. Il se redresse et dit à mon mari :
– Je te remercie de m’avoir amené cette trainée pour me vider les couilles, je lui aurais bien pissé dans la gueule mais elle n’est pas encore habituée, ça sera pour plus tard, elle sera ma chiotte personnelle.
– Mais Adrien ce n’est pas moi qu’il faut remercier mais elle. Tu sais depuis le temps qu’elle me réclamait une bonne grosse queue, ce n’aurait pas été humain de ma part de la lui refuser. Pisser dans sa gueule ah ça c’est une bonne idée, faudra qu’on lui impose ça tout à l’heure.
– C’est vrai mais tu as accepté quand même de me la prêter donc comme c’est ta femme c’est toi que je dois remercier, cette salope n’a pas droit à la parole, oui tu as raison lui pisser dans la gueule ça sera un réel plaisir et bien plus excitant que dans les chiottes et puis ça lui fera passer le goût du sperme..
Et là-dessus mes deux mecs éclatent de rire. Je suis contente il est exactement comme j’ai envie qu’il soit, un homme qui ne me ménage pas, qui considère que je ne suis qu’un objet sexuel et rien de plus. D’ailleurs j’aime ça car nous aimons beaucoup les insultes salaces quand nous baisons avec Jacques. Tous les mots orduriers y passent et ça nous excite au plus haut point. Quant à me pisser dans la gueule ma foi pourquoi pas, je suis leur objet, la garce du quartier, la bonne salope qui veut tout essayer et tout apprendre alors pour une bonne rasade d’urine je suis partante.
Maintenant il me faut celle de mon mari.
– Jacques, vient là mon salaud que je te vide les couilles aussi, je veux de la jute plein le gosier. Tu vois j’ai enfin la bonne grosse queue dont j’ai toujours rêvé, tout à l’heure elle va me traverser le trou du cul, je vais jouir comme une chienne, allez donne-moi ta pine vite.
Je le force à s’asseoir dans le canapé et moi à genoux je plonge ma bouche gourmande sur ce sexe que je connais trop bien mais là il est plus dur et gros que d’habitude, sans doute la situation qui l’excite à ce point.
– Putain mon cochon, je ne l’ai jamais vue aussi grosse, si tu en as autant dans les couilles qu’Adrien je vais être gâtée. Du foutre, je veux du foutre plein ma gueule de putain. Adrien, mon chéri, viens te joindre à nous tu vas bien trouver de quoi t’occuper. Tiens et si tu me la mettais bien profond dans la chatte, jusque-là vous l’avez délaissée, elle aimerait bien avoir de la visite la pauvre petite chérie et autant que ce soit une grosse gourmande qui lui donne ce qu’elle attend.
Alors Jacques change de position et s’assoie sur le dossier du canapé ainsi sa queue est à hauteur de ma bouche gourmande et Adrien sera plus à l’aise pour me bourrer la chatte. Il s’installe confortablement les deux pieds sur les coussins et me laisse prendre possession de l’objet de ma convoitise. Certes son vit est moins impressionnant que celui d’Adrien mais il m’a toujours donné bien du plaisir alors pas question de le laisser rouiller, de n’importe quelle taille qu’elle soit une bite doit servir, il y a tellement de trous à boucher.
Pendant que je taille une bonne pipe à mon mari Adrien a déjà présenté son méat entre mes cuisses que j’ouvre pour lui faciliter le passage, il s’attarde un moment à l’entrée puis dans un élan il m’enfonce son pieu au plus profond de mon minou et me lime gaillardement sans ménagement.
– Putain elle est serrée la garce, ça se voit que tu n’as jamais pris un zob comme le mien. Je vais t ‘écarter le plus largement possible et après ça tu pourras t’enfiler des bouteilles de champagne salope.
Tout en suçant Jacques je lève les yeux et je le vois qui fixe notre ami. Je sens dans son regard une envie de faire quelque chose mais quoi ? Bah je ne vais sûrement pas tarder à le savoir. Adrien ne met pas longtemps à me décharger dedans mais il reste un moment en encourageant Jacques à cracher son venin. Le jet n’est pas moindre que ceux que j’avais pris dans la gueule juste avant avec Adrien mais Jacques ne renouvelle pas, il se détache de moi puis s’accroupit sous ma chatte et me lèche en attendant que la pine d’Adrien sorte alors il la prend en bouche en lui massant les joyeuses pour lui redonner de la vigueur. Il suce avec gourmandise et dextérité l’engin qui redevient énorme et là je peux voir sa bouche écartelée comme la mienne l’était tout à l’heure. Notre ami lui caresse les cheveux puis il renverse sa tête en arrière et il décharge une autre rasade de foutre dans la bouche gourmande de Jacques. Ce salaud a définitivement vidé les énormes bourses et il faudra attendre un bon moment avant que le niveau remonte. Rassasié, mon mari s’assoie dans le canapé en soufflant, c’est vrai que se farcir cette énormité dans la bouche ça fatigue vite les mâchoires.
– Venez boire un coup les enfants, on a bien besoin de reprendre des forces avant de dîner. Installez-vous et servez-vous un remontant pendant que je commande le dîner.
Nous avons bu beaucoup d’alcool comme pour nous donner du courage tout en parlant de la suite de la soirée. Jacques est toujours branché « pissing » et je serai la pissotière de service. Il est insatiable, il a le vice dans la peau et toujours aussi cruel. Faire mal aux femmes c’est ça qui l’excite et je le connais trop bien, si à la maison il se retient, là il est encouragé par la présence d’Adrien et surtout il sait que je ne protesterai pas. On sonne à la porte, Adrien enfile un short et va ouvrir. On entend parler puis des pas se rapprochent, notre ami est suivi d’un homme d’imposante stature qui livre les repas. Comme nous sommes restés à poil, Jacques et moi, il regarde le sexe qui pendouille, le prend en main et le caresse un moment puis il s’approche de moi. Il me pelote un moment les nibards, m’attire à lui et me roule une pelle. Bien sûr je le laisse faire tout en palpant la bosse sous son short et l’effet est immédiat, ça grossit sec là dessous.
– Tu restes avec nous bien sûr ? Ta bite est pas fatiguée et j’ai bien besoin de goûter à une autre pleine de jute toute neuve et crémeuse à souhait.
– Je voudrais bien mais je n’ai pas fini ma journée moi mais si je termine pas trop tard alors pourquoi pas revenir faire plus ample connaissance avec toi.
– C’est ça et si tu rencontres des potes à toi n’hésite pas à les inviter aussi. Plus on a de bites à se mettre sous la langue et plus on rit.
Nous mangeons avec plaisir et buvons beaucoup de ce délicieux Bourgogne si bien que c’est toute joyeuse que je réponds aux ordres que mon mari me donne.
– Viens à la douche, c’est l’heure de ta gourmandise. Tu vas goûter à un délicieux dessert que Adrien et moi allons t’offrir, tu vas être choyée crois-moi.
Adrien enlève son short et nous suit. A trois sous le jet l’eau les corps se frôlent, les bites s’entrechoquent et se dressent fières et ardentes, je les attrape tour à tour mais ce n’est pas avec ça que je vais jouer dans l’immédiat. Mon mari arrête l’eau puis me fait mettre à genoux sur le tapis de douche. Il m’enjambe et place son anus juste sur ma bouche. Bien que je sache déjà ce qu’il veut il m’ordonne méchamment :
– Bouffe-moi le cul ordure, rentre bien ta langue dans mon fion et nettoie-le consciencieusement. Je veux que quand tu auras fini il soit aussi propre que la paume de ma main. Après tu feras pareil avec celui de mon pote Adrien.
Ce dernier écarte largement les globes de mon époux et je commence à m’exécuter. Sa rondelle est toute petite pourtant il s’est déjà fait enculer. Je ne dois pas trop réfléchir car il s’impatiente, il s’abaisse jusqu’à ce que ma langue soit en contact avec sa pastille et il commence à se frotter dessus. Je le saisis par les cuisses et je commence mon travail de bouffeuse de cul. J’introduis ma langue pointue dans le petit trou et je l’enfonce au plus profond que je peux. Ça sent une drôle d’odeur là-dedans, un mélange bizarre. Je suis ballotée entre deux sentiments, le dégoût de la merde mais aussi une folle envie de découverte d’un nouveau plaisir, aussi je l’attire à moi pour lui sucer le fion avec gourmandise, il pète deux ou trois fois et j’aspire cette odeur merdique avec volupté. Je suis déchainée, je l’oblige à se pencher en avant pour mieux le lécher, le savourer. Je voudrais que ce petit trou s’ouvre très grand pour pouvoir y entrer et lui nettoyer l’intérieur de l’intestin chargé de merde mais je dois me faire une raison et me contenter de ce minuscule orifice.
– C’est très bien petite trainée, fais voir ta gueule. Parfait tu as la bouche toute maculée alors tu sais ce que tu dois faire maintenant, le trou d’Adrien attend lui aussi alors au boulot et plus vite que ça.
– Si tu crois que ça me dégoutte et que c’est une punition pour moi, tu te trompes mon chéri. Au contraire je me disais que si votre fion était plus large ça serait encore meilleur pour vous comme pour moi. Sois sympa et écarte les fesses d’Adrien, ma langue va pouvoir rentrer plus profondément et j’aurai ainsi toute la bonne odeur que j’ai senti dans ton cul et je suis certaine que j’en sortirai encore plus de miasmes comme ça tu seras encore plus content du travail de ta pute. Je me suis habituée à cette merde et j’aime ça, je dis pas que j’en mangerai à la petite cuillère mais cette odeur m’envoûte.
Jacques m’obéit et comme pour lui je fais plier notre ami en avant alors mon petit salaud de mari lui écarte les fesses et alors là oui, le trou est plus large et je peux mieux y plonger mon visage et ma langue a un meilleur accès à sa rondelle merdique. Je me déchaîne sur sa raie culière et je mange littéralement le cul de mon amant, ça pue là-dedans aussi mais je n’en ai cure puisque j’ai un accès direct aux bourrelets de son trou du cul et je peux plus facilement y introduire ma langue. Je fouille au plus profond de son boyau. Il gémit de plaisir et tout comme Jacques l’avait fait juste avant lui, il m’envoie de longs pets puants aux narines. Je hume ce parfum qui me plait de plus en plus et je lèche avec encore plus de gourmandise son trou qu’embaument ses pets comme si je pouvais happer l’odeur avec ma bouche. A mon grand regret Adrien se redresse satisfait de mon travail. Il me regarde et admire ma figure souillée de merde.
– C’était bigrement bon et je vois que tu t’es régalée aussi. Putain tu m’as fait un bien fou, on ne m’avait jamais encore bouffé le cul comme ça. C’est pas tout ça mais maintenant il va falloir te débarbouiller la gueule, avec ton mari on va arranger ça. Mets-toi à genoux et ouvre la bouche.
Je m’exécute aussitôt et avant que j’aie pu réaliser ce qui m’arrive je reçois de l’urine chaude sur le corps et la figure. Les mecs visent surtout ma bouche alors je l’ouvre toute grande et je reçois des giclées dedans. Adrien me saisit par le menton et me présente son gland juste sur mes lèvres et me pisse directement dans la bouche, j’avale ce que je peux mais j’en perd beaucoup alors il me fait lever le menton et déverse petit à petit son urine dans ma gueule jusqu’au bord puis il me force à avaler. C’est pas facile d’avaler çà d’une seule traite mais j’y parviens quand même. Ce goût est étrange et je dois m’y habituer, c’est un peu salé mais moins que le sperme mais plus acide par contre et surtout ça pique le gosier. Ce soir j’aurai goûté à ces deux interdits que sont la merde et l’urine et ce n’est pas fini car ils ont drôlement envie. Jacques ne veut pas être en reste et à son tour il s’épanche dans ma bouche, sa pisse n’a pas le même goût que celle d’Adrien, on dirait qu’elle est plus sucrée alors pour en avoir le cœur net je retourne à la première fontaine et j’alterne entre les deux. Je me régale de cet interdit et tout comme pour les deux culs que j’ai bouffé avec délectation je me délecte de ces pisses qui m’inondent la gorge, la figure, les seins, le cul et tout mon corps est pris de soubresauts, je voudrais que ces moments de folie ne s’arrêtent jamais. Dieu que l’amour avec ces deux-là est spécial mais si bon, l’interdit est sans nul doute le meilleur moyen de jouir.
Mes deux hommes me laissent enfin effondrée sur le tapis de douche. Je m’assoupis un moment quand un bruit de sonnette me sort de ma torpeur. Qui cela peut-il être ?
Erex
Publié initialement sur HDS en 2010
Encore des dialogues bien travaillée comme celui-ci par exemple :
« je suis trop heureuse d’avoir trouvé ce type monté comme l’âne que nous allons souvent voir dans le pré juste pour admirer son énorme bite qui pend jusqu’à terre. Un jour, tu verras je me ferai sauter par lui, sa bite ne trainera plus par terre mais sera bien au chaud dans mon con. Là je vais enfin pouvoir tester mes capacités et me faire enfin enculer par cet énorme chibre. »
ou celui-là
« Continue de me sucer, je n’ai pas encore commencé à prendre du plaisir. Encore quelques gorges profondes et tu vas pouvoir te régaler de mon jus crémeux qui va asperger ta glotte sale petite pute »
Et en plus c’est con !
Amis de la poésie bonjour ! Je n’ai rien contre les fantasmes extrêmes quand la chose est narré avec décontraction, humour, détachement, mais pas comme dans ce récit auquel on ne croit pas une seconde et dans lequel les protagonistes nous débitent des tirades à la Corneille. Le sexe doit rester une fête, bordel de merde !
Complètement irréaliste et incroyable. Alors pourquoi bandais-je ?
Un peu plus d’humour et un peu moins de trash et c’eut été parfait
J’ai bien aimé, entièrement soumise moi-même, j’adore être dominée, complètement, humiliée et fessée, surtout devant une autre femme cochonne qui vient me pisser et me chier dessus.