Le récit que vous allez lire fut rédigé par C., une jolie jeune femme qui
avait accepté de vivre chez nous une expérience comme nous aimons en
organiser de temps à autre : une soirée de présentation. De notre point de
vue, le souvenir subjectif qu’elle pourrait garder d’une telle expérience
était sans doute une des raisons principales de notre intérêt pour ce genre
de soirée, et c’est pourquoi je lui avais demandé comme une faveur d’en
rédiger un compte rendu fidèle à notre intention. Ce qu’elle fit, fort
joliment à mon avis ; tellement joliment que nous lui avons demandé son
accord pour vous faire partager le plaisir de cette lecture. Je lui cède
donc la parole…
Rendez-vous était pris pour 21 heures……. Sur la route qui menait à ce
petit village paisible près de Namur, j’avais le coeur et le ventre serrés,
mon mari conduisait silencieux, un peu tendu lui aussi.
Avant notre départ je m’étais parfaitement préparée, épilée, parfumée,
légèrement maquillée, j’avais choisi mes vêtements avec soin, tout ce rituel
qui d’habitude m’apaise et me calme avant une « rencontre ». Pourtant, cette
fois la peur reste là, tapie au fond du ventre, et ne me quitte pas. Il fait
chaud, ma peau est moite, les seins me gênent sans soutien- gorge…
Mon mari me jette un coup d’oeil un peu inquiet:.
« On rentre si tu veux, quand tu veux »….
« Non, ça ira… »
Nous nous garons sur la petite place, et c’est à 21 heures précises que nous
frappons à la porte de la belle demeure de Luc et Claire. C’est Luc, vêtu de
noir, tout sourire, qui nous introduit dans le vestibule. Après les
salutations, me voyant crispée, il me glisse :
» Ne t’inquiète pas , nous sommes entre gens de bonne compagnie, et Jan est
un artiste. »
» Un artiste ? »
» Il a un toucher d’artiste ! »
Me voilà un peu rassurée mais toujours perplexe.
Luc nous devance dans le salon et présente mon mari à l’assemblée ; je reste
en retrait et observe : Claire est là, magnifiquement parée de cuissardes à
talons vertigineux, d’un corset en latex rouge et noir, d’une peinture
corporelle rouge qui lui gaine les bras et les avants bras, de pinces
métalliques aux tétons, et enfin, de son sourire de madone.
Assis à ses cotés, Frans, pas très grand, pas très beau, la quarantaine,
visage un peu rougeaud, est comiquement vêtu d’un short et d’un petit haut
en latex rouge et noir, comme Claire. Plus loin, Theo, cheveux noirs,
caleçon noir, lunettes et teint pâle, l’apparence d’un étudiant un peu
timide (j’apprendrai plus tard qu’il est cinéaste), et enfin, au beau milieu
de la pièce, un géant blond, cheveux très courts, tout sourire, l’oeil vif,
uniquement vêtu d’un string noir : l’artiste ! Jan !!! J’apprends qu’ils
viennent de loin pour nous voir : Rotterdam, Gand et Anvers…
Luc se retourne sur moi, me fait approcher, et me présente en néerlandais.
Ma connaissance scolaire sommaire de cette langue ne me permet pas de tout
comprendre. J’entends seulement que selon lui, je suis une femme venue là
pour qu’ils puissent, tous, faire de moi ce qu’ils désirent. Mon regard
croise les regards de ces messieurs. Ils sont calmes, souriants, et
attendent poliment la suite…Je baisse les yeux, et fais de même. Je suis mal
à l’aise, debout au milieu du salon alors que tous maintenant sont assis et
me scrutent avec une curiosité bienveillante.
Une minute passe, puis Luc se lève et m’exhibe devant tous. Il soulève le
petit pull moulant et découvre mes seins, il les soupèse en affirmant,
démonstration à l’appui, que mes tétons sont très réactifs. Laissant mon
pull roulé sous mon menton, il écarte les pans de ma jupe portefeuille et
découvre mes cuisses et un mini string de dentelle noire. Il a tôt fait de
baisser le triangle de tissu à mi-cuisses pour découvrir ma chatte velue…Il
glisse les doigts dans ma toison, tire un peu sur les poils, écarte mes
lèvres délicatement… Je me sens grotesque dans cette position
et….manifestement cela amuse beaucoup Luc qui me fait maintenant pivoter
sur moi-même pour exhiber mes fesses, ma raie, mon petit trou, en un mot…
mon cul !!!
A la vue de mon postérieur, quelques commentaires chuchotés que je n’ai pas
compris…J’ai tellement honte que je n’ai plus peur. Je ne suis plus C…,
maman et épouse respectable, je ne suis plus qu’un corps, un corps de
femelle. Luc m’ordonne sèchement :
» Déshabille-toi, maintenant, complètement ! ! ! »
J’obtempère d’autant plus volontiers que je suis ridicule avec mon string à
mi-cuisses et mon pull retroussé ! A tout hasard je garde mes chaussures…On
ne m’en empêche pas…
Me voilà nue, mais… pas pour longtemps. En effet, Luc se rassied et le géant
blond, Jan, se lève, me hume, me félicite pour mon parfum puis….. en
quelques minutes me pare d’entraves aux chevilles, de menottes de cuir et
métal, et d’une large ceinture de cuir avec anneaux d’acier auxquels sont
attachées les menottes. Curieusement je suis à l’aise dans ce costume qui me
sied mieux, je le perçois, que la totale nudité : plus de honte, plus de
peur, je redresse fièrement la tête et les seins, et je croise au passage
dans le regard de Jan une lueur amusée… Il a perçu comme je me sentais de
nouveau digne et fière. Il semble hésiter puis décide de me glisser autour
du cou une lourde chaîne en acier.
Enfin, pour me récompenser de ma docilité, il porte à mes lèvres un verre de
vin blanc dont je goûte maladroitement quelques gorgées. J’ai à peine
terminé d’avaler, que je sens ses doigts me fouiller délicatement les
entrailles… Difficile de cacher que je suis déjà mouillée… Il retire ses
doigts, les renifle, les lèche, les enfonce dans mon vagin et propose à
chaque homme présent de goûter le nectar sur ses doigts. Ce qu’ils font tous
avec ferveur !… Décidément ce Jan s’impose de plus en plus clairement à
mes yeux comme le » chef de meute » !
Il dispose maintenant sur le sol, une large serviette de bain, m’invite à
prendre place debout au milieu du rectangle de coton et, avec une longue
écharpe de tissu noir, entreprend de me bander les yeux, non sans m’avoir
auparavant demandé si je l’y autorisais. Comme si j’étais en position de
refuser quoique ce soit !!! Voilà, je suis prête, harnachée, sanglée,
aveuglée : le grand jeu va commencer…Aveuglée, tous mes autres sens sont en
éveil. Je remarque la musique en sourdine : à mon avis de la musique sacrée
, ancienne ; très bien pour mon coté mystique, ça !… Me voilà prête pour le
sacrifice !
Là, on ne m’en demande pas tant. C’est toujours Jan qui officie, j’en suis
certaine. Un liquide frais coule sur mes seins, mon ventre, c’est mouillé et
frais, pas désagréable car il fait chaud… Soudain j’entends siffler la
cravache, elle me titille un bout de sein, siffle de nouveau, l’autre téton
puis :
» Un peu plus fort? » me demande-t-on
» Oui, s’il te plaît ! »
» S’il vous plaît… »
Et encore, et encore… Puis les pinces aux tétons, des pinces métalliques à
serrage réglable, elles font mal les pinces… On me présente de nouveau le
vin blanc, puis tout soudain, le collier de chaînes m’enserre le cou, je
suis hissée vers le haut, la tête en extension, et mon bourreau géant prend
ma bouche avec ferveur… Il m’embrasse comme j’aime : des baisers fondants
et moelleux…en terminant par un » smack » sonore et mouillé sur les
lèvres, qui fait rire la compagnie.
Ensuite le jeu continue, avec le travail des tétons par les pinces et la
cravache…la douleur est supportable, les coups sont parfaitement
contrôlés, Jan me rappelle que je peux dire « stop » à tout moment. Je suis en
confiance. Soudain je perçois que l’on m’entoure, et des mains, huit mains
me frôlent me caressent légèrement comme si j’étais un objet très précieux.
Je suis étonnée de tant de douceur… C’est troublant ce mélange de douleur
et de caresses… Ça donne envie de pleurer… On m’ôte le bandeau… Dommage
j’étais bien, dans le noir… Je garde les yeux fermés…
» Ouvre les yeux… »
Quatre hommes en slip autour de moi me touchent délicatement, Luc en
revanche est entièrement habillé et, du fond de son canapé, observe la scène
avec beaucoup d’attention. Le jeune cinéaste ne peut cacher une belle
érection dans son slip. Jan s’en amuse et le titille du bout de la cravache,
enfin il me libère une main et la pose sur le membre du jeune homme, je
m’efforce de le caresser lentement. Mon mari vient à ma droite , on me
libère l’autre main et je m’efforce de le branler aussi le mieux possible.
Jan me fait écarter les jambes et m’ôte les pinces aux tétons. Ce qui est
vicieux avec les pinces c’est que c’est au moment de les retirer que la
douleur est la plus forte. Je ne peux réprimer une grimace de souffrance.
Jan s’éloigne et revient avec d’autres pinces, en plastique et curieusement
beaucoup plus redoutables…..les tétons brûlent, mes seins sont douloureux,
j’ai trop chaud , je suis installée très inconfortablement, jambes écartées,
une queue dans chaque main, la tête me tourne un peu. Un baiser magique de
Jan de nouveau en tirant fort sur la chaîne pour me hisser a sa
hauteur….trop chaud, ça tourne encore… Jan désigne un gode très souple
et très large à un de ses acolytes, Frans … Ce dernier amène l’engin garni
d’une capote… Jan fouille mes entrailles, je suis mouillée, trempée, ça
fait « flic flac « puis il commence à introduire le gode… J’entends de loin,
j’ai mal au cœur ; tout d’un coup je réalise que je vais perdre
connaissance…Ma vue se trouble, j’ai la nausée, et la sueur perle sur tout
mon corps. Oubliant pour une fois tout orgueil, je dis :
» Je crois que je suis mal « …en m’effondrant…
Je n’ai pas le temps de toucher le sol que des bras puissants me cueillent
et m’étendent sur un frais canapé. J’ai dû perdre conscience 2 secondes ;
quand j’ouvre les yeux, six regards inquiets, tendres et bienveillants
scrutent mon visage, en une minute je suis débarrassée de mes entraves, on
me rafraîchit ,on s’inquiète, on me cajole, on me félicite…
Moi je suis consternée, je me sentais prête à endurer beaucoup plus, je
m’excuse, on me réconforte. Rapidement, je reprends mes esprits et propose
de continuer… Mais notre chef de meute ne l’entend pas de la sorte… Il
ne veut pas prendre le risque d’un second malaise, il me félicite de nouveau
puis…convoque Claire sur la serviette de bain, mais couchée cette
fois….. Bon, qu’à cela ne tienne, puisque je ne suis plus la reine de la
soirée, je mate !!!
Pas pour longtemps… Claire installée, quelqu’un me tend un gant en latex ,
un gel lubrifiant et on me fait comprendre ce qu’on attend de moi. Avec
prudence et circonspection, j’introduis mes doigts en faisceau à l’intérieur
de Claire en progressant millimètre par millimètre, j’ai peur de lui faire
mal avec mes mains de paysanne … Cependant, elle ne semble pas se plaindre,
et j’apprécie de sentir à travers le latex la chaleur de son ventre. Petit à
petit, l’ambiance change, Jan qui avait enfoncé son membre dans la bouche de
Claire pendant que je la comblais d’un autre côté se lève, et se place près
des trois autres comparses, qui nous entouraient Claire et moi …
L’excitation et le désir des uns et des autres sont presque palpables… Je
suis toujours agenouillée, entourée par quatre hommes qui se branlent tout
autour de ma tête. J’ai envie de toucher, de lécher, de sucer, envie ,
envie, envie…
Jan pénètre ma bouche à m’étouffer, j’en ai les larmes aux yeux, il est trop
long, je n’arrive pas à le sucer comme il voudrait… Peu importe, Frans,
facétieux, trempe son sexe dans une coupe de champagne et me le fait
goûter….
» Champagne? » dit-il…
Sourires… Je commence à lécher et à sucer Frans qui a un pénis plus fin et
moins long que les autres… J’aime bien pratiquer la fellation sur des
membres qui ne sont pas démesurés, pour les avoir tout en bouche… Hmmm, il
a l’air d’apprécier, je continue avec Jan, Theo et mon amoureux, je voudrais
avoir quatre langues, huit mains… C’est exaltant de les sentir excités,
pressés contre moi ! Jan s’agenouille et me propose de lécher Frans avec lui
! Oh oui, j’adore ça, je suis trempée, ma langue s’enroule à celle de Jan
pour lécher le sexe de Frans, celui-ci gémit de plaisir, Theo et mon mari
s’approchent aussi et nos langues à Jan et moi tourbillonnent autours de
trois glands, gonflés, humides… Je m’amuse à saisir deux tiges au hasard,
et à les frotter l’une contre l’autre comme des petites
marionnettes……apparemment, ils trouvent cela plaisant, se frottent de
plus belle. Jan se relève, se joint aux trois autres … Pendant quelques
instants, j’ai la vision magique de ces quatre hommes en cercle, épaule
contre épaule, occupés à se donner du plaisir en se masturbant et en se
frottant les uns aux autres… Les pratiques homosexuelles entre hommes
m’excitent, pas les femmes entre elles… Allez donc comprendre ça !!!…
Délaissée un instant, je jette un regard circulaire et constate que Claire a
rejoint son compagnon sur le canapé, celui-ci la caresse manifestement d’une
façon très agréable.
Mon répit est de courte durée, le groupe se disloque et Jan (encore lui !)
s’approche, se protège d’une capote et me prend en levrette avec fougue…
Je suis très excitée, je sens le plaisir monter, monter… Il ralentit,
l’artiste !… Me reprend de plus belle, nous entendons les gémissement de
Claire qui est en train de jouir et ça m’excite encore plus, Jan me laboure
maintenant sans relâche et je ne peux plus retenir mon plaisir… Je
traverse l’orgasme d’une façon parfois difficile… En même temps que le
plaisir est à son paroxysme, j’éprouve souvent une sensation de
morcellement, d’insécurité qui me fait me rouler en boule, en position
foetale dans un sanglot. Parfois cette attitude involontaire inquiète mes
partenaires… Ici mon mari les rassure d’un regard, et ils me laissent
quelques minutes pour » récupérer « …
Aucun homme n’a encore joui, leurs sexes sont très tendus, les sourires
crispés… Je me couche sur le dos, et ils continuent à se masturber
au-dessus de mon corps, Claire s’approche aussi et caresse ce qui lui tombe
sous la main, en l’occurrence le sexe de Theo…Quelqu’un parle de douche,
me demande si j’aimerais ça… Oui, oui, j’adorerais ça, dis-je… Cette
idée me plaît, j’aime être honorée de la sorte… Jan croise mon regard et
cela lui donne une nouvelle idée… Il s’agenouille entre mes cuisses et
entreprend de me doigter vite et fort et longtemps, en s’écartant un peu
pour que Luc, toujours installé à l’écart, ne perde pas une miette du
spectacle… Les doigts de Jan, le regard de Luc, me fouillent au plus
profond, ma vulve émet des flic flac tant elle est trempée, la vision de
queues bien gonflées qui continuent d’être astiquées au-dessus de mes yeux
me trouble au plus haut point, j’ai l’impression de devenir folle, de perdre
tout contrôle, le bas du ventre me brûle, je suis ouverte comme jamais et
soudain en l’espace d’un éclair j’ai l’impression que mes entrailles se
disloquent, au même moment un liquide laiteux jaillit et éclabousse mes
cuisses, je comprends au regard que se lancent Luc et Jan que ce liquide
vient de mon vagin, que c’est moi qui ai éjaculé.
Presque aussitôt, mon mari, qui a tout suivi et tout compris, éjacule aussi
sur mon ventre, suivi de Frans, sur mes seins, Jan qui s’est rapproché me
badigeonne le torse en gémissant longuement et enfin Theo, astiqué par
Claire, décharge aussi sa semence sur mon corps…
Mes souvenirs sont un peu flous à ce moment… Je sais que j’ai pris plaisir
à étaler ce sperme sur mes seins, qu’ils m’ont donné une serviette propre,
qu’ils m’ont aidée à me relever et que nous avons repris nos places sur les
canapés, épuisés mais joyeux et détendus…
Je suis un peu perplexe , c’est la première fois que j’ai cette pseudo
éjaculation….nous en parlons… Selon Luc, Jan est un spécialiste de la
chose, mon mari est curieux et sceptique… Les autres rigolent :
» Jan est un expert ! » disent-ils en plaisantant… En plaisantant peut
être, mais je ne suis pas loin de les croire !!!
Bref, nous discutons un peu, mangeons quelques petites friandises salées et
profitons des boissons mises à notre disposition… Je ne sais pas combien
de temps nous restons ainsi, à discuter, mais je sais qu’à un moment on a
voulu me faire essayer un petit top en latex trop étroit pour moi…
Finalement, c’est Claire qui l’a passé : sublime ! et Luc a pris quelques
photos…
La suite de la soirée reste floue dans mon esprit, j’ai de la peine à
retrouver une chronologie précise. J’ai le souvenir d’avoir l’impression de
flotter, d’être un peu déconnectée de la réalité, d’être extrêmement souple,
physiquement et mentalement : adaptable, utilisable… J’ai abandonné toute
résistance et tout contrôle, sans peur et sans angoisse.
C’est dans cet état bienheureux que mon mari m’a prise, sur le bord du
canapé, fort, fort et vite…..Ensuite, c’est Frans, qui s’approche, et qui
profite une fois de plus de ma langue et de mes caresses, jusqu’à gicler
dans ma bouche et sur mon visage. Theo restera sage, mais c’est l’inévitable
Jan qui une fois de plus va me faire perdre la tête.
D’un geste il m’ordonne de quitter mon confortable sofa et me fait signe de
m’allonger sur le sol, afin d’essayer sur ma vulve la ventouse infernale qui
avait auparavant déplu à Claire… Pas plus de succès avec moi, mon anatomie
intime ne convient pas à ce gadget. Cependant, les essais et ma position
obscène, jambes écartées, redonnent à Jan le goût de me lécher, de me
doigter et de me baiser. A un moment, dans le plaisir, je suis submergée par
un sentiment de gratitude qui me fait me redresser et me pendre à son cou,
pour un baiser fougueux, comme une vulgaire midinette… Il ne bronche pas
devant la familiarité de ce geste venant d’une soumise, mais ses comparses
étouffent quelques rires… Ensuite, je ne sais plus : il est question de
départ, de douche, Frans, Jan et Theo prennent congé en nous embrassant
chaleureusement, et nous terminons la soirée avec Luc et Claire, nos hôtes,
pour un dernier verre et un petit debriefing… J’apprends de Luc que Jan
est très satisfait de la soirée. Claire me semble lasse, moi je suis sur mon
nuage et mon mari paraît content.
Dehors la nuit nous attend, et pure, légère, heureuse, je m’endors
rapidement dans la voiture…
Un bel hommage à la pluralité
De bonnes descriptions mais un ensemble confus.
le récit est critérisé bisex masculine ! Or il ne se passe pratiquement rien de la sorte
Effectivement ce critère était abusif et je l’ai supprimé
Merci pour ce signalement