Au poste
par Nuit de Mai
En rentrant d’une soirée bien arrosée avec des amis, j’ai accroché du mobilier urbain et abîmé ma voiture en centre ville vers minuit. Manque de chance, les gendarmes sont passés à ce moment là !
Ils m’ont demandé mes papiers et fait souffler dans le ballon : résultat positif bien sûr.
La patrouille était composée d’un homme assez jeune et d’une femme, la cinquantaine, assez rondelette et boudinée dans son uniforme, faisant ressortir ses fesses.
Comme je me suis un peu lâchée, ils m’ont conduite au poste en cellule de dégrisement. L’officier femme me fait descendre du fourgon, curieusement elle a la main baladeuse. Elle m’accompagne jusqu’à la cellule.
– Allez, rentre là dedans, ça te fera cuver ! disant cela, elle me met la main au cul pour me faire avancer dans une pièce obscure, toute en béton avec des chiottes à la turc ;
– Oh doucement, dis je en me retournant vers l’officier, parlez moi mieux que cela !
– T’es pas contente, me réplique-t-elle ? alors elle me plaque contre le mur et me coince avec sa poitrine. Pendant ce temps là, ayant vu que je suis en mini jupe, elle commence à me passer la main le long de la cuisse. Je la regarde droit dans les yeux et lui souris pour la narguer. Puis elle s’en va en marmonnant un truc du genre « sale gouine »
– N’insiste pas elle est dans ses mauvais jours, me dit une voix de femme, du fond de la pièce.
– Ah, y a quelqu’un ? demande-je, en titubant jusqu’à une chaise
– Oui, moi, me répond la voix.
Je lui tends la main, dans le vague. Elle me la serre pour me dire bonjour : elle est brune, coiffée à la punk, avec juste un débardeur en coton blanc, bien rempli par une poitrine très opulente et un jean taille basse déchiré aux genoux; elle a les yeux rougis par le manque de sommeil et elle aussi, par la présence d’alcool dans le sang.
– Tu la connais la chef ?
– Oui, c’est la deuxième fois que je me fais chopper et toujours pour la même raison… et toi ?
– Moi, c’est la première et, j’espère, la dernière. C’est horrible ici.
Alors je commence à m’étendre sur la banquette pendant que ma compagne de cellule se charge de m’étendre une couverture, voyant que je grelotte.
– C’est gentil de t’occuper de moi, j’ai besoin de réconfort, cet accident m’a mise dans un état pas possible ! et toi ça va ?
– Oui, on doit venir me récupérer demain matin, alors je vais attendre. Moi c’est Delphine et toi ?
– Moi c’est Laura.
– T’as de jolies jambes Laura me dit Delphine alors que je sens sa main chaude me caresser au travers de la couverture.
Sombrant à moitié dans le sommeil, à moitié dans les vapeurs, je n’oppose aucune résistance et respire à fond tout en écartant les cuisses de façon à laisser Delphine me caresser l’intimité.
Soudain, une envie pressante me sort de ma torpeur : l’énervement et la boisson absorbée me tiraillent la vessie…
– Attends une minute, il faut que je pisse un coup.
Au moment où je me lève, trop brutalement, la tête me tourne et je manque de tomber. Delphine me retient et je m’appuie sur elle pour aller tant bien que mal, jusqu’au recoin qui sert de chiottes. Hélas, je sens couler un liquide chaud entre me cuisses :
– Cochonne, me dit Delphine, je te fais mouiller à ce point là ?
– Quelle soirée ! comment vais je faire maintenant ?
– Retourne t’asseoir, j’ai une idée.
Alors il s’est passé une chose incroyable : au risque de se faire surprendre, Delphine a commencé à me faire écarter les jambes et enlevé mes chaussures qu’elle a passé sur sa poitrine tout en reniflant l’intérieur du cuir.
Ensuite, elle a passé ses mains de chaque côté de mes hanches et soulevé mon bassin pour descendre ma culotte en coton tout en me léchant avidement l’intérieur des cuisses à la recherche des dernières gouttes de pipi parfumé. Le bruit de la succion m’électrisa malgré que j’étais encore un peu dans le cirage.
Elle prit ma culotte et, après une brève hésitation, la mit en boule pour la porter à ses narines tout en se caressant après avoir baissé son pantalon à son tour.
Soudain, j’ai entendu d’autres gémissements caractéristiques mais de l’autre côté de la porte.
L’ombre de deux pieds dans la lumière qui passait dessous la porte laissait deviner la présence de quelqu’un : la chef ?
L’excitation provoquée par l’idée de cette nana, pantalon baissé, en train de fouiller son sexe nous fit perdre toute retenue : Delphine me proposa un 69 improvisé sur une couverture à même le sol. Je me laissai faire avec bonheur, la tête entre ses cuisses, un sexe bien poilu à portée de langue ainsi qu’une culotte plus que sale que, à mon tour, je suçais avec plaisir .
Ecartant le tissu parfumé je suis tombée sur un petit bout de ficelle pendouillant entre ses lèvres intimes.
Par curiosité j’ai tiré dessus. Ses lèvres roses se sont ouvertes pour laisser passer un petit paquet ensanglanté que j’ai avidement gobé au passage pour en goûter les saveurs ferrugineuses et sentir l’odeur musquée, mélange de mouille, urine et autres secrétions intimes.
A la fin de nos ébats, j’ai entendu la chef se laisser glisser et s’accroupir dans un râle typique de femme mûre prenant son pied.
De l’uro vampirique ?