La collectionneuse
par Theo2
Lorsque j’étais étudiant à l’université, j’ai connu une fille très… particulière. Elle avait mon âge, n’était pas le genre de fille dont je tombais amoureux, mais elle avait de beaux atouts, en particulier une belle poitrine qu’elle n’hésitait pas à mettre en valeur par de très généreux décolletés. Elle n’avait aucun scrupule à se pencher devant les garçons, moi compris, dévoilant ainsi une partie de ses charmes. Ses jambes n’étaient pas mal non plus. Elle était sexy, à la limite un peu vulgaire, à mon goût, abusant trop souvent de maquillage. Cette brune, qui ne cachait pas son goût pour le luxe et les garçons plus âgés qu’elle, ne m’a jamais laissé indifférent et plus d’une fois, je me suis dit qu’il devait être agréable de se laisser caresser le sexe par ces belles mains expertes. Elle donnait en effet d’elle l’image d’une fille très… à l’aise avec le sexe (au contraire de moi qui eu la malchance de rester puceau durant toutes les études, dû à une certaine timidité avec les filles, mais ça, c’est une autre histoire).
On n’était pas amis, au sens propre du terme mais on s’aidait mutuellement, s’échangeait des tuyaux, etc. Lors de la dernière années, j’eu l’occasion de faire plus amples connaissances avec elle, et d’une façon que je n’aurais jamais imaginée.
On passait la soirée chez des amis, occupés à un travail. Vers 23h, on se dit qu’il était temps de prendre congé, qu’on finirait ça demain. Anne-Sophie (c’est son nom) était venue en voiture, seule, et moi à pied. Comme il était tard, elle me proposa de me déposer. Par politesse, j’ai refusé, mais :
– Mais si voyons, je passe devant chez toi.
Comme elle avait un copain (que je n’avais jamais vu, pour ma part, mais on me l’a affirmé), je n’avais aucune raison de suspecter quoi que ce soit, mais vous savez, dans ces moments là, on a toujours ça en tête, ne fut-ce qu’une seconde, avec l’espoir que quelque chose va, effectivement, se passer.
Lors du trajet, rien que des banalités (« fait chier, ce prof », etc.). Arrivée chez moi, elle se gare dans la petite rue déserte, peu illuminée, de l’immeuble où je logeais. Elle coupa le moteur, alluma la petite lampe de la voiture et continua la conversation. Puis il y eu un silence. Et à un moment, elle me dit :
– Tu aimes les piercing, chez une fille ?
La voix était douce, onctueuse.
– Heu… Oui, mais ça dépend où.
– Et où tu les aimes ?
– Ben… Au nombril (je savais qu’elle en avait un là). Au niveau du nez, aussi, mais pas les anneaux…
Elle me sourit. Elle n’en portait pas sur le nez.
– Et toi tu en as un ?
– Non, aucun.
– Moi, j’en ai un au nombril, tu veux voir ?
J’eu à peine le temps de répondre qu’elle souleva légèrement son chemisier (on n’était au printemps, elle ne portait pas de veste, et elle portait une jupe) pour exhiber son piercing au niveau de son nombril. Il était très joli et comme son ventre était relativement plat, il était bien mis en valeur. Et généralement, elle ne s’en privait pas de le dévoiler grâce à des t-shirt courts.
– J’en ai aussi au niveau de mes seins. Tu veux voir ?
Là aussi, je n’ai pas eu le temps de répondre. Elle déboutonna son chemisier, ni trop vite, ni trop lentement, bref, comme si elle se déshabillait pour prendre une douche. Elle le déboutonna entièrement mais ne l’enleva pas. Elle portait un beau soutien-gorge en dentelle. Je rougissais, je tremblais d’excitation et j’étais incapable de dire quoi que ce soit. Mon sexe se mit à durcir. Elle souleva alors les bonnets pour exhiber ses deux mamelons. J’admirais le piercing fixé à chaque téton.
– Ils te plaisent ?
– Heu… Oui, oui, beaucoup.
– J’en ai encore un autre. Devine où ?
– …
– Je l’ai mis il y a quelques mois, avec une copine qui en voulait un aussi. Dis où il se trouve, prononce le mot.
Le ton de sa voix avait quelque chose d’autoritaire mais doux. Je ne parvenais pas à m’extirper du spectacle de sa généreuse poitrine piercée.
– Sur ton sexe ?
– Oui, sur mes grandes lèvres. Un par lèvre.
Ce n’est pas vrai, elle ne va quand même pas me les montrer, me dis-je. Et si… Elle déboutonna la jupe, la baissa jusqu’à hauteur des pieds et baissa ensuite immédiatement sa petite culotte. Malgré qu’il faisait nuit, que la lampe de sa voiture n’était pas forte et que son sexe était épilé, je les voyais bien : deux anneaux, un par lèvre. Mon sexe n’a jamais été aussi dur de ma vie.
– Ca te plait ? me demanda-t-elle ?
– Oui, beaucoup…
Ma voix était faible, je ne suis pas sûr qu’elle m’avait entendu.
– Je vais te confier un secret. Tu sais tenir les secrets ?
– Oui, lui répondis-je.
– J’aime le sperme. Et je n’hésite pas à goûter celui de mes partenaires. Celui de mon copain est délicieux, très doux. Le précédent avait un sperme plus âcre. Mais ça m’excite d’en avaler.
Imaginez cette scène complètement folle. Une fille, dans sa voiture, les seins découverts, déculottées, en train de me parler de sa passion du sperme.
– Tu as déjà goûté le tien ?
En fait oui, mais je ne savais pas quoi répondre.
– Pour moi c’est un minimum, poursuivit-elle. Si un garçon veut qu’une fille le suce, il doit au moins goûter à sa propre semence pour savoir ce qu’il donne. Alors, tu as déjà avalé le tien ?
– Oui, plusieurs fois…
A ce moment là, avec sa main gauche, elle se chipotait ses piercing génitaux.
– J’ai envie de ton sperme.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Je la vis alors prendre son sac et en sortir un petit flacon.
– Donne-moi ton sperme. Maintenant.
Après quelques minutes d’hésitations, je m’exécutai. Je déboutonnais mon pantalon, que je descendis jusqu’aux pieds, comme elle, et je baissai mon slip. Mon sexe était en pleine érection et du liquide séminal s’écoulait du gland.
– Pas mal, elle est belle. Mais inutile d’insister je ne te sucerai pas. Je ne suce que mes petits copains. Branle-toi devant moi et verse dans le flacon ta semence. Moi je regarde.
Elle enleva le bouchon et se mit à me regarder dans les yeux. Je pris mon sexe en main et je fis ce que je fais en moyenne cinq fois par semaine. Le spectacle d’Anne-Sophie en train de me regarder me branler pendant qu’elle se masturbait le sexe facilita grandement les choses.
– N’hésite pas à jouir, ne te retiens pas de crier, si c’est bon, me dit-elle.
La branlette dura quelques minutes mais je sentais que ça venait. J’avais néanmoins quelques trucs pour retarder l’éjaculation. Elle semblait apprécier les changements de fréquence de mes mouvements de mains puisque :
– Je vois que tu sais comment faire pour ne pas éjaculer trop vite… Je veux une grosse dose de sperme. Verse bien tout dans le flacon, ne salis pas ma voiture.
Et l’éjac survint, relativement abondante. Je versai le sperme dans le flacon. Ca me rappelait la visite médicale quand je devais pisser dans une petite bouteille.
– Bien, très bien, me fit-elle. Tiens prend ça pour t’essuyer.
Elle me tendit un mouchoir et moi je fermai le flacon. Elle remonta sa culotte et sa jupe, rentra ses seins dans son soutien-gorge et reboutonna son chemisier. Elle me prit le flacon des mains et le rangea dans son sac.
– Bien, c’est fini, remonte ton pantalon et n’oublie pas : ça doit rester entre nous.
Sans dire un mot, ému par l’étrange expérience que je venais de vire, me rendant à peine compte que je venais d’éjaculer pour la première fois devant une fille, je me rhabillai.
– Allez, on se voit demain au cours ? me demanda-t-elle.
– Oui, OK, ça va…
On se fit la bise comme d’habitude et j’ouvris la portière, mis un pied sur le trottoir lorsque :
– Anne-Sophie, qu’est-ce que tu vas faire avec le flacon ?
Elle me regarda avec un air à la fois malicieux et amusé :
– Je te laisse imaginer…
Je compris qu’elle n’allait jamais me le dire et on se quitta. Pendant que sa voiture quittait la rue, je pris plusieurs minutes pour retrouver mes clés et ouvrir la porte d’entrée tant mon esprit était occupé par ce que je venais de vivre.