Lynn a la joie par Malicia et Christobal
Je me prénomme Lynn, j’ai 23 ans, je suis eurasienne, étudiante et on me dit jolie brune.
Cette soirée d’anniversaire chez Thibault de Charaniac, je n’avais pas spécialement envie d’y aller, mais je me devais d’y être pour des raisons que je ne développerais pas ici : elle s’annonçait chiante, les invités n’étant pas de ceux qui m’intéressaient. Je pensais adopter la méthode assez classique consistant à me montrer à un maximum de gens puis à disparaître discrètement. Les circonstances on fait que je n’ai pas vraiment pu faire ça, alors pour tromper mon ennui, je me suis mise à boire, mais modérément, je sais aussi me contrôler…
Ne pouvant partir pour le moment, je me suis amusée à chauffer quelques garçons et j’ai commencé à les aborder les uns après les autres, ce que je ne devais pas faire avec une très grande efficacité ce soir-là, car je n’obtenais pas de réaction particulière. Pire un type plutôt mignon m’envoya carrément dans mes cordes :
– Le jour où j’aurais besoin d’une fille comme vous, je vous ferais signe, mais ce soir c’est inutile !
Le mufle, le salaud, le sale con ! Résister à l’envie de lui en retourner une, résister à l’envie de foutre le camp, résister à l’envie de chialer de honte, de rage et de dépit…
Alors je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis dirigée vers le garçon que je trouvais le plus saoul, ce qui n’était pas peu dire, il était proprement torché, et j’ai commencé à entamer une discussion des plus laborieuses avec ce déchet.
Qu’importe, ce qui comptait, c’était d’arriver peut-être à tirer quelque chose d’un peu amusant de cette loque, et dans mon état, je devenais prête à tout pour y arriver.
Au bout d’un moment, perdant patience, je me suis levée, et le traînant avec moi, je l’ai emmené dans les toilettes. Là, l’adossant contre un mur, je tentais de lui faire comprendre mes intentions en lui roulant une pelle, mais dans l’état où il se trouvait, je crois qu’il ne comprit pas trop ce qui lui arrivait. Je décidais donc d’en profiter. Pendant qu’il comatait tout seul contre son mur, je me suis baissée, ai fait sauter le bouton de son pantalon, ai extrait son sexe de son caleçon. Là j’ai vérifié l’état de la chose, je n’ai rien contre les bites qui sentent un peu fort, mais il y a des limites quand même. ! Mais ça allait, et ce joli gland violacé me convenait parfaitement, je l’ai donc engouffré dans ma bouche, elle sentait un peu le pipi, juste ce qu’il faut… J’avais besoin d’être excitée, j’avais envie de le sentir éjaculer sur moi. Dans cette attente je relevais mon tee-shirt et fit sortir mes seins des bonnets du soutien-gorge. Je commençais à être très troublée, au fur et à mesure que sa queue se durcissait sur ma langue.
C’est alors que la porte s’est ouverte ! Complètement perturbée, sous l’emprise de l’excitation, je n’avais bien évidemment pas pris la précaution de fermer le loquet. Un garçon brun, avec lequel j’avais discuté un peu avant pendant la soirée avant de me rendre compte que c’était un abruti fini, a fait son apparition. Ses yeux se sont agrandis quand il nous a découverts, mais ne se décontenançant pas, il demanda :
– Heu, si ça ne vous dérange pas, je voudrais bien faire pipi, je ne peux plus me retenir
L’autre loque n’étant plus en état de répondre, je lui fais rapidement oui de la tête, avant de reprendre ma besogne.
– Heu, mais vous aller rester là ?
– Tu crois pas que je vais arrêter ce que je fais pour te faire plaisir, pisse, ne fais pas attention à nous !
Le mec hésite, incapable de savoir ce qu’il faut qu’il fasse.
– Heu, il faudrait peut-être vous pousser un petit peu ! Finit-il par dire
Je décidais alors de le provoquer, et abandonnant un instant la bite de mon épave, je me tournais légèrement vers l’importun, en me caressant vicieusement les mains sur ma poitrine.
– T’as qu’à me pisser dessus, j’adore ça !
– Mais vous êtes folle ! C’est dégoûtant !
La tête qu’il faisait, le mec était en pleine confusion mentale.
– Ecoute, si c’est dégoûtant, tu te casses de ces chiottes, tu sors dans la rue et tu t’arranges pour pisser contre un arbre…
– C’est vrai, vous aimez ça ?
– Allez dépêche-toi !
– Mais je vais en mettre partout !
– C’est pas grave, je finis ce que j’ai commencé et après je me sauve d’ici !
Et puis, c’est parti tout d’un coup, voilà que je reçois son jet tout tiède sur les seins ! Hummm J’adore ça ! Je me les caresse en même temps, je me baisse un peu pour faire profiter mon visage de cette douche dorée, mais le mec ne comprend rien et baisse son jet, je suis donc obligée de lui dire que j’en veux aussi dans la bouche ! Il réalise enfin et j’avale un peu de son urine, je ne vous dis pas comme je suis excitée.
– Bon t’as fini ? Tu peux disposer !
Mais l’autre bien qu’il ait terminé son pipi ne partait pas, j’avais repris ma pipe mais je sentais ses yeux fixés sur moi, et sans doute sur ma bouche, qui allait et venait toujours sur la queue de ma brave loque. Je lui ai fait comprendre par un signe de la main que ce n’était pas pour lui, et qu’il devait partir maintenant, mais il m’a répondu » non » et a continué à regarder, comme çà, et çà l’excitait comme un petit fou, et alors qu’il aurait dû ranger sa pine depuis un moment, voilà qu’il se l’astiquait…. La situation commençait à m’énerver ! J’ai horreur de perdre le contrôle d’une situation. Et puis l’idée me vint comme ça, tout d’un coup :
– Bon tu te casses ou tu payes !
– T’es une pute ? lâcha-t-il
– Là, tout de suite, en ce moment, oui ! Alors ou tu payes et tu auras ta part de pipe ou sinon je laisse tout tomber et il n’y aura plus rien à voir !
Le mec fouille dans ses poches et sort un billet de 20 roros
– C’est tout ? J’en veux deux comme ça !
Il m’en file un autre ! Je ne vais quand même pas me gêner avec un mec qui est probablement plein de fric ? Alors je lui ai fait signe de s’approcher, j’ai lâché la verge de l’autre pour mieux pouvoir sortir celle de l’abruti brun. C’était la première fois que je me retrouvais avec deux garçons dans une telle situation, et avec deux queues à ma disposition ! Au départ, j’avoue que je n’ai pas trop su comment m’y prendre, mais bientôt, j’ai trouvé la méthode : je masturbais les deux avec chaque main, et j’allais et venais de l’un à l’autre avec ma bouche, afin de donner aux deux une égale quantité de fellation. Très excitée par cette situation que je vivais pour la première fois, j’ai donné tout ce que je pouvais, je les ai sucés à fond, le plus profondément possible. Ne pouvant vérifier l’effet de ma fellation sur la loque à gauche, j’observais mon abruti brun gémir, les yeux dans le vague.
Finissant par s’apercevoir que je le regardais, il s’est enhardi et a voulu reprendre l’initiative : comme il commençait à me malaxer les seins du mieux qu’il pouvait, je l’ai vite interrompu, repoussant sa main et lui faisant comprendre qu’il ne m’intéressait pas.
– J’ai payé, non ?
– C’est vrai, mais alors caresse gentiment, c’est des seins, c’est pas de la pâte à modeler…
C’est la loque qui a lâché le premier, j’étais en train de sucer l’autre quand j’ai senti l’orgasme arriver dans ma main gauche. Rapidement je me suis mise face à lui, et j’ai reçu quelques giclées de son sperme sur mon visage et sur ma poitrine. Là, il s’est effondré.
Je suis revenue sur l’autre, et ai pu me consacrer entièrement à lui faire une fellation du mieux que j’ai pu jusqu’à ce que je sente son orgasme monter. Là, j’ai conservé son sexe dans ma bouche et je me suis contentée de frotter très vite avec ma langue le dos de son gland du côté de son frein. Il a commencé à râler, et j’ai senti son sperme me gicler dans la bouche. Complètement partie, je l’ai avalé, et puis, je trouve que, même si ce n’est pas génial, le sperme n’a pas si mauvais goût que çà, alors j’ai fait l’effort de lui faire ce plaisir. Après s’être rhabillé, le mec m’a sorti :
– Si je te donne un peu plus, on pourrait peut-être aller plus loin ? Tu es bonne (çà, ça m’a fait plaisir.) et j’avais bien envie de toi (çà, ça ne m’a rien fait.).
– Oui, ben non ! Maintenant tu me laisses j’ai quelque chose à faire…
Il est parti, déçu… Mais tant pis, et puis je lui ai fabriqué un souvenir, ce truc là il s’en rappellera toute sa vie… En fait j’avais deux choses à faire, la première pisser à mon tour. La loque s’était carrément endormie sur le côté de la cuvette. Je lui pissais dessus n’épargnant pas son visage, mais cela ne fit même pas cesser ses ronflements. Je ne m’essuyais pas, puis je m’installais le plus confortablement possible sur la cuvette, les cuisses bien écartées, et commençais à me frotter la chatte avec mes doigts tout humide d’urine, l’autre main tordait fortement mon téton, l’excitation ne tarda pas à monter, ma main se concentra alors sur mon clito bien dur et tout sensible. J’essayais autant que possible d’étouffer le cri de jouissance qui montait dans ma gorge, et failli m’affaler à côté du poivrot. Je pris sur moi pour me lever, je réajustais plus ou moins mes fringues, mais les taches d’urine étaient partout… je sortis, me dirigeais vers l’endroit où j’avais laissé mon manteau et mon sac et disparut dans la froideur de la nuit…
Finalement cette soirée m’aura amusé et excitée au-delà de toute espérance ! Je dois être un peu spéciale quand même !
Malicia (et Christobal)
Une première version est parue en 1999 sous la signature de Lynn et sous le titre « Une soirée… » chez Sophiexxx, une seconde a été publié avec le même titre qu’ici en septembre 2000 sous la signature de Fabienne et jean sur le site de Revebebe puis archivée .C’est donc la version 3 que nous vous présentons ici.
Du bon gros délire
Délire quand tu nous tiens…
Toujours aussi allumé ces deux là, joli texte complètement déjanté
La faute d’orthographe dans le titre fait un peu tache
Quelle faute ?
Il manque un accent sur le A de « à la joie ! »
Ben non parce que ici le A, c’est le verbe avoir !
Je n’aime pas trop les récits « alcoolisées » mais il faut bien avouer que celui-ci fait dans l’originalité