Une famille tuyau de poêle par Lucette

Une famille tuyau de poêle par Lucette

Rachel, sculpturale blonde de trente-quatre ans, est prof de français au lycée St. Martin. C’est aujourd’hui que doit être prononcé son divorce, à cette occasion ses parents lui ont proposé de l’héberger. Elle a hâte de retrouver sa sœur Cécile, âgée de trente-deux ans, célibataire endurcie, pourtant très belle.

Rachel arrive à la villa tout sourire. C’est justement sa sœur qui l’accueille.

– Tu es radieuse ma chérie ! Dit-elle.
– Si tu savais, répond Rachel. C’est le plus beau jour de ma vie.
– Maman est en course, elle ne devrait pas tarder…

Et Rachel lui résume la séance au tribunal. Entre temps, son père Gérard, et son oncle René, sont rentrés de leur promenade journalière. Rachel les embrasse affectueusement.

– Les inséparables, dit-elle, ça va ?
– Très bien, répondent-ils, et toi ?
– Un peu lasse. Je vais aller prendre une douche, ça me réveillera.
– Tu veux que je vienne te frotter le dos, murmure Cécile.
– Le dos et le reste si tu veux ! Rétorque Rachel. Viens.

Cécile pénètre dans le carré à douche derrière sa sœur, et la prend par la taille. Elle se colle contre elle, et l’embrasse dans le cou. Une main va d’un sein à l’autre. les doigts font rouler les bouts. L’autre main descend entre les cuisses qui s’ouvrent pour laisser pénétrer les doigts entre les lèvres.

– Il y a si longtemps, murmure Cécile. Ta petite chatte est toute mouillée, vicieuse !
– C’est l’eau de la douche ! Répond Rachel.
– Attend, poursuit Cécile, je sais distinguer l’eau et la mouille.
– Oh, oui, qu’est-ce-que tu fais à mon clito ? Gémit Rachel.
– Il faut bien le laver aussi ce vilain ! Sourit Cécile.
– Oui mais, ha ! ha !, c’est trop bon, vas-y ma sœur, branle mon petit minou, ça fait un moment qu’on ne m’a pas caressée comme ça.

Rachel jouit. Les deux femmes s’embrassent. Seul le bruit de l’eau qui ruisselle sur leur corps résonne dans la salle de bains.

– Je vais faire pipi ! Prévient Rachel.
– Chic, je vais te boire ! Répond Cécile en se baissant de façon à ce que sa bouche soit devant la chatte de sa sœur

Rachel pisse, Cécile boit.

– Hum, c’était délicieux, tourne-toi, j’ai envie de te mettre un doigt dans le cul.
-Tu peux même en mettre deux ! Mais après ce sera ton tour de faire pipi.
– Pas de problème.

Puis, ce fut au tour de Rachel de faire jouir Cécile.

Les deux femmes sortent de la douche, s’essuient. S’arrangent les cheveux…

– Ta relation avec papa ? Demande Rachel, ça va ?
– Très bien, répond Cécile, rien de changé. De temps en temps, il me donne un coup de queue. Cette semaine avec tonton, ils m’ont fait une double péné devant maman ! C’était génial !
– Arrête, dit Rachel, tu m’excites. Il y si longtemps que je n’ai pas fait l’amour avec un homme. Enfin, bon, on va rejoindre tout le monde, ils doivent avoir faim.

Le repas bien arrosé se termine vers vingt-trois heures. Cécile roule une pelle à sa mère Josy, puis souhaite bonne nuit à tout le monde, en jetant un regard complice à sa sœur.

– Moi aussi, dit Rachel, je vais me changer. je reviendrais vous faire la bise.

Elle revient dix minutes après, vêtue d’un peignoir qui lui arrive à mi-cuisse. Les deux hommes se sont mis en caleçon. Ils sont assis sur le canapé de part et d’autre de Josy.
.
En arrivant près de son père, elle bute contre son pied. Rachel se retrouve appuyée contre le dossier du canapé, son corps incliné sur son père. En voulant la retenir, la main de Gérard glisse entre les jambes écartées de sa fille. Dessous, elle est nue. Ils se regardent dans les yeux. Pas un mot. Mais Rachel ne se dérobe pas. C’est à se demander si elle n’a pas provoqué cette situation. Gérard plie le majeur et l’index, et pénètre les lèvres humides de sa fille.

– Oh papa ! Sursaute-t-elle.
– Ta chatte est bien mouillée, ma fille. C’est ta sœur qui t’a gouinée sous la douche?
– Bien sûr !

Oncle René, voyant la tournure des évènements, se lève, et se place derrière Rachel. Il quitte son caleçon, et soulève le peignoir. Il découvre les fesses écartées et cambrées de sa nièce. Le petit trou est totalement offert. Avec ses deux pouces, il écarte l’orifice, et le taquine avec le bout de la langue.

– Ha… ha… Râle Rachel.
– Qu’est-ce qu’il t’arrive? Demande Gérard.
– C’est tonton, si tu savais ce qu’il me fait. je sens son gland contre mon petit trou. Ha… ha… ça y est, il est en train de me le mettre, il m’encule, Ha… ha… et toi qui me branle. Vous êtes des vicelards, tous les deux ! Mais c’est tellement bon !.
– Mais c’est normal ma chérie, poursuit Gérard. Regarde dans quel état tu es, ta chatte est pleine de mouille. Après, c’est papa qui va te baiser. tu veux bien ma chérie ?.
– Ouiii !

Dans un cri de bête, René joui dans le cul de sa nièce. Il l’a fait se retourner et l’embrasse goulument .

– Merci ma chérie, je me suis régalé.
– C’est moi qui te remercie, tonton, tu me l’as bien mis, salopard !

Le tonton quitte les lieux. Gérard ôte son caleçon, et dégage un membre en érection assez imposant. Rachel saisit la queue de son père entièrement décalottée, et suce le gland, tout en le branlant, et l’avale jusqu’aux couilles. Elle sait que son père se régale.

– Tu aimes te faire sucer par ta fille, hein Papa ?

N’y tenant plus, Rachel se relève, s’assied sur les genoux de Gérard, dos à lui. Elle lui prend le chibre et le fait coulisser dans sa chatte en poussant un cri de plaisir.

– Enfin une grosse queue, soupire Rachel, ça fait du bien.

Josy excitée par le spectacle s’est levé et vient caresser sa fille. Elle prend les pointes de seins et les fait rouler entre ses doigts.

– Oh, moi, caressez-moi partout.
– Mais doucement ma chérie. On a tout notre temps.
– Non, gémit Rachel, je suis trop chaude là, on recommencera après…. Oui….

Rachel a un orgasme puissant, elle hurle de plaisir, ne se souciant guère si les autres dorment.

– Encore papa, souffle-t-elle, j’ai envie, en levrette, je t’en prie.

Rachel se met à genoux, appuie ses mains sur le dossier du canapé. Gérard se place derrière elle, la queue contre sa chatte. C’est elle qui, en se cambrant, se fait pénétrer. Et pendant ce temps là Josy se place devant elle offrant sa chatte dégoulinante de mouille à lécher.

– Tu aimes te faire niquer par ton père, hein ?
– Oh oui papa, c’est tellement bon. J’aime bien lécher Maman aussi. Tu nous baises si bien. Mon dieu, je viens encore, je jouis, je jouiiiis.
– Moi aussi je viens ma chérie, ha… ha, je peux cracher dans ta bouche, s’il te plait ?
– Mais bien sûr papa. Viens.

Rachel ouvre grand la bouche. Gérard se branle, son gland contre les lèvres de sa fille.

– Vas-y papa, fait toi plaisir, jute dans la bouche de ta fille, hum, que c’est bon.

C’est en râlant de plaisir que la semence de Gérard gicle au fond de la gorge de Rachel. Elle prend la queue en main, et la nettoie jusqu’à la dernière goutte.

A neuf heures du matin, Rachel s’engage sur l’autoroute. Un sourire aux lèvres, elle pense à la séance avec son père, sa mère et son oncle.

– Quelle famille d’enfoirés tout de même ! Pense-t-elle.

Fin

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4 réponses à Une famille tuyau de poêle par Lucette

  1. Harivel dit :

    Un jour ma mère était sous la douche et n’arrivait pas à se frotter le dos, cela suite à un faux mouvement. Elle m’a demandé si ça ne me gênait pas de lui donner un coup de main. Non, ça ne me gênait pas, ma mère n’était pas pudibonde et il lui arrivait de se promener à poil dans la maison. Je lui ai frotté le dos, elle m’a demandé se lui frotter aussi les fesses, puis tout est allé très vite, nous étions très excités tous les deux, elle s’est retourné et m’a roulé une pelle , je lui ai embrassé les seins, elle s’est baissé et m’a sucé la bite, ce fut le début d’une série de folies que je ne regrette pas du tout.

  2. bibi24 dit :

    J’aime les histoire de cul entre les parents et enfants moi même j’ai baisée avec ma mère c’est trop bon. donne une suite, trop belle histoire

  3. Chandernagor dit :

    C’est écrit trop vite. Les personnages n’ont aucune psychologie. Mais si on est branché un peu sur le fantasme, l’érotisme parvient à fonctionner

    • Lucia dit :

      Excuse moi te te répondre si tard, je n’avais pas vu ton commentaire.
      Je suis consciente que ce récit ne vaut pas grand chose, je me suis bien excité en l’écrivant, maintenant avec le recul je me dis que j’aurais pu le travailler davantage
      Bisous

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