Tant va le Temps…Tant va le Cul… 18 – L’apéritif… par Verdon

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 18 – L’apéritif… par Verdon

Paul, 20 ans. Le régiment, les colonies, la perme après 15 mois d’armée…

Le passage à Marseille…

La Tata et son mec…

– Va les voir lui a dit son père, ils sont charmants. Ce sont de bons vivants.

L’accueil est formidable… Les bras grands ouverts. La chambre est déjà prête, le repas mijote.

Charlotte, petite dame boulotte, joviale et distinguée, genre bonne bourgeoise qui n’a pas froid aux yeux. Divorcée depuis pas mal d’année, elle vit avec Fernand un copain du papa de Paul.

Ce Fernand est un rentier, très aisé, ancien haut fonctionnaire, aspect très vieille France, moustachu, très loquace, bavardages amusants et souvent crus. Ne cache pas son jeu, ni bien souvent sa queue.

Les deux la soixantaine. Bien portants. Physiques agréables, visages satisfaits, joie de vivre apparente. Côté cul ils s’entendent assez bien. Elle aime ça, d’autant qu’il a su fort bien la dresser.

– Elle n’est pas comme ta mère, lui avait dit son père…Les coups de bites elle aime ça !

Mais attention, elle sait aussi très bien le mener par le bout de son nez son Fernand, mais plus souvent par un autre bout… (chacun son style…).

Ils ont plaisir à recevoir le jeune troufion. Elle ne l’a pas revu depuis bien des années, quand il était minot. Fernand ne le connaît pas, mais il sait que c’est un beau gars qui va plaire à sa bergère.

– S’il est comme son père, avec la Charlotte ça va défrayer la chronique.

Des bises, des embrassades, comme s’ils s’étaient toujours connus, puis la découverte des lieux, des commodités, des goûts et des envies. Et très vite des familiarités enthousiastes qui mettent le garçon dans une ambiance détendu et sympa.

Fernand est fier de recevoir le jeune homme. Il le congratule en le serrant de bien près, tout en lui donnant de bonnes tapes sur le dos. Il se remémore le bon temps quand il avait le même âge que le père de Paul.

– Tu dois être heureux de rentrer chez toi…tu vas revoir un peu tes parents. Ils vont bien, j’espère. Avec ton père, ça fait un bail que l’on ne s’est pas vu ! Un sacré loustic celui- là. Je l’aime bien ton père ! Tu sais à tous les deux on en a fait de sacrées conneries. Tiens au régiment, les putes on se…
– Oh arrête avec tes histoires de filles, laisse-le ce garçon….allez viens mon gars… si on s’occupait d’abord de faire le ménage. Je suppose que tu n’as pas dû prendre une bonne douche depuis longtemps !
– Viens vite à la salle de bain, je t’ai préparé ce qu’il faut pour te décrasser et tu enfileras ensuite ces vêtements d’intérieur pour te mettre à l’aise.

Il est heureux le pioupiou, d’être si bien reçu. Intimidé il ramasse ses affaires et s’apprête à prendre un bon bain.

– Voyons, qu’elle lui dit, déshabilles-toi et donne-moi tes frasques, Je donnerai le tout à laver demain matin à Clochette qui s’en chargera. Aller viens !… à poil !

Un peu gêné, il hésite, elle insiste, il a du mal à se mettre nu devant elle, pourtant il en a vu d’autres !

– Mais quitte-donc le slip aussi ! Ne fais pas le timide, pas de chose comme ça entre nous…tu faisais moins de manières il y a des années ! et puis j’étais infirmière pendant la guerre, alors les zigounettes ça me connaît…

Et zou…le voilà tout nu devant la tante. Du coup, une main devant, l’autre derrière il court se jeter dans l’eau bouillante, tout ému mais heureux de s’exhiber devant la Dame qui semble bien s’en amuser. (sentir le regard d’une nana sur son cul, c’est tellement excitant !…).

Le savon dans la main, elle reste là, plantée devant lui qui enfoncé jusqu’au cou dans l’eau chaude se croit à l’abri de son regard, mais ne fait pas gaffe : ses roubignolles flottent joyeusement à la surface de l’eau, accrochées sous un fameux mât de misaine !

– Eh bien en voilà de jolies roupettes ! Donne-moi tout ça je m’en vais te les briquer tes coucougnettes Avec un si bel équipement tu as dû en baiser des nénettes dans les colonies. J’espère que tu n’as pas ramassé un gros microbe… montre-moi tout cela !

Et elle lui empoigne le gros paquet, lui dégage le gland avec délicatesse et se penche pour le renifler, non sans faire une petite grimace dont on ne comprend pas bien si c’est de dégoût ou d’envie… (et à votre avis ?)

– Mais dis-donc tu ne t’es pas lavé depuis ta dernière africaine, il me semble ! tu te serais égaré entre ses fesses, que ça ne m’étonnerait pas, cochon ! Salopard tu as dû la faire crier…

Et comme elle lui frotte vivement sa bite, ça lui procure au garçon une putain d’émotion …

– En voilà une façon de se tenir devant une Dame, mon cher Monsieur !… Eh Fernand viens vite voir le Paul comme il bande ! C’est bien le fils à son père celui-là ! Oh putain de morceau ! Vient vite !

Fernand accourt :

– Mais vas-tu lui foutre la paix, ne vois-tu pas que c’est un homme maintenant, il s’est bien se débarbouiller tout seul. C’est toi qui le fais bander avec ta façon de toucher à tout !
– Toucher à tout !…Ben dit-donc tu n’en dis pas autant quand c’est le tien que j’ai dans la main !

Dépitée Charlotte se retire pour aller vaquer à la préparation du dîner.

– Elle est chiante la vieille, elle ne t’a pas trop ennuyé j’espère… (il lui dit cela avec un petit sourire en coin).
– Euh non ! Au contraire. Et pourquoi tu dis la ‘vieille’, elle n’est pas vieille à ce que je vois …Elle est toujours comme ça ?
– Insupportable. Toujours excitée, surtout quand elle reçoit un beau garçon comme toi ! C’est vrai que tu as de quoi aiguiser son appétit, mon salaud. Ton père t’a laissé un bel héritage, nom de dieu quel outil !!

Du coup c’est Fernand qui maintenant tâte le nœud de l’invité.

Quelle famille, qu’il se dit le garçon ! Il n’y en a pas un qui vaut moins cher que l’autre. Bon sang je ne vais pas m’ennuyer avec eux…Il a raison mon vieux ce sont de bons vivants !

Il est plutôt surpris. Il ne s’est jamais fait tripoter par un mec. Un mec âgé en plus, comme son père… il pourrait être son fils… Bof, après tout, quelle importance ! Il suffit de dépasser sa honte. Mais quelle honte ? Il n’a pas honte de sa bite, il est même flatté qu’un ancien la trouve belle sa pine… ça n’est pas déplaisant et d’ailleurs le Fernand ne lui demande pas si ça lui plaît ou pas, même qu’il saisit le bel objet avec une certaine concupiscence qui ne déplaît pas à l’impétrant…

Quand Fernand le prend en bouche, ça lui fait tout drôle au jeune homme. Il a écarté toute gêne et se complaît à tendre son sexe et à regarder le vieux le sucer comme une femme…. même mieux qu’une femme, lui semble-t-il. Il s’y prend bien le suceur, délicatement. Avec ses babines il lui ‘gansaille’ le gland, le branle lentement, le suçote comme un bonbon. On sent qu’il aime cela et Paul apprécie ses lèvres et les chatouilles des poils de sa barbe l’excitent.

Le temps passant, Charlotte qui se doute qu’il se trame quelque chose entre ces deux mecs, revient dans la pièce.

– Eh bien mes salauds, vous n’allez pas faire bande à part, nom de dieu !

Aussitôt, l’impolie se saisit de nouveau de la bite prometteuse et la suce avec acharnement espérant profiter de ses bonnes faveurs.

Fernand cherche à la lui reprendre. Leurs lèvres côte à côte veulent avaler le gros morceau… comme deux chiens, le même os. Ça ne passe pas, mais ça fait monter à son comble l’excitation du jeune homme. Et quand Fernand lui met un doigt au cul, ça le fait jouir en envoyant une partie de ses amabilités sur le nez de sa tante…

Surprise mais loin d’être offusquée, elle renfourne l’ustensile dans sa boîte à clapet et se régale du bon jus qui inonde son palais.

Fernand se contente des éclaboussures qui dégorgent aux encoignures des lèvres de la suceuse dont il lèche goulûment le visage, tout en continuant à triturer le trou de balle du garçon.

– Hé Tonton ! (oui il l’appelle tonton, ça le rajeuni le vieux), que me fais-tu au cul… je ne suis pas une pédale !
– Oui on dit ça, qu’il répartit l’ancien, tout en retirant prestement son doigt inquisiteur… aller, vient on va dîner…

Dans le fond, ça ne lui était pas si désagréable ce doigt dans le cul…et il regrette finalement son impolitesse. (sûr…un doigt honnête et bien aimable ça ne se refuse pas !).

Bon, il laisse son tonton qui se suce le doigt de dépit, et tout propre et nu dans le peignoir que lui a donné la Charlotte, il va la rejoindre dans la cuisine. Maintenant que les présentations ont été faites, il a un peu plus de cran le jeune homme. Il remarque qu’elle a enfilé une jolie robe, légèrement transparente, laissant deviner les formes rebondies de sa croupe et de ses seins explosifs prêts à jaillir à l’orée de son vaste décolleté.

– Tu es charmante Charlotte (le tutoiement est de règle dès qu’on s’est fait tripoter les couilles par une aimable personne !).Charmante et rayonnante…
– Merci. Toi tu sais parler aux femmes…Ne serais-tu pas un peu voyou comme ton père ?
– Si peu, si peu…je te trouve belle et je t’aime, c’est normal, tu es ma tante.
– Oui je t’aime moi aussi. Tu es un bel homme, sais-tu que tu as un bel et bon équipement. Quand je t’ai connu tout petit je savais déjà que tu serais un bel homme… c’est notre intuition féminine, profite s’en !

Oh elle est troublante la Tatie, bon sang… nom de dieu, elle va finir par me chambouler… j’ai bien l’impression qu’elle a des envies gourmandes sur mon équipement !

C’est ce qu’il pense le neveu, à l’entendre parler et à regarder son gros popotin qu’elle trimbale non sans une certaine provocation…

– Eh bien assieds-toi et viens prendre un verre !…

Après ce juteux apéritif qu’il vient de servir à ses hôtes, c’est au tour de Fernand de lui offrir le pastis.

– Dis-moi, tu la trouves belle la Charlotte…je vois que tu la reluques depuis tout à l’heure…ça te plairait de la sauter que ça ne m’étonnerait pas petit salopard !
– Oh tonton !
– Allons, je vois ton regard plonger dans ses nichons… ils sont gros n’est-ce pas ? Et son derrière, tu as vu comme elle se le bouge la Salope ! Tu te l’enverrais bien petit salaud !
– Oh comme tu parles ! Elle n’est pas salope ! elle a un beau cul, c’est tout !
– Si ! …Salope… mais avec un grand S, bien sûr. Elle ne paraît pas comme ça, mais elle n’est pas la dernière pour faire des cochonneries ta Tante.
– Tiens tu veux voir son cul ?

(mais c’est qu’il deviendrait intéressant le Fernand…il veut lui montrer le cul de sa femme !).

Occupée à sa cuisine, elle leur tourne le dos la Charlotte et loin d’être importunée par les invectives de son compagnon, elle s’en fout. Paul a même l’impression qu’elle le bouge encore plus son gros derrière.

– Tiens je vais te le montrer son cul…viens voir le monument, regarde ! Viens !

Fernand se lève, passe devant elle et puis en l’entourant de ses bras…il lui soulève la robe, dévoilant son superbe fessier qui n’est pas recouvert du tissu conventionnel.

On se croirait au théâtre, quand le rideau se lève sur le décor, pour faire applaudir les acteurs. Sauf qu’ici le décor c’est une paire de fesses majestueuses d’une actrice qui les remue avec une insolente décontraction. Il est charnu le beau meuble ! Charnu mais pas vilain, au contraire, profondément fendu, il a un aspect gaillard, même canaille quand elle fait bouger ses fesses l’une contre l’autre en se dandinant comme une gourgandine.

– Tu vois bien qu’elle est Salope ta Tatie, regarde, elle ne porte même pas de culotte, la garce ! Viens voir de plus près, viens toucher bonhomme, viens lui caresser le cul à ma Salope !

On pense bien que médusé par la vue qui lui est offerte et par la désinvolture de la Charlotte, il s’approche le neveu, il veut toucher !

Elle s’est arrêtée de bouger et elle tend son derrière… oh mais putain ce qu’il est beau ce derrière ! Alors il touche, le voyou, il touche le cul de sa tante bordel ! qu’est-ce que dirait Maman si elle voyait son fils tâter le cul de sa sœur ! En tout cas la sœur elle n’est pas mécontente… ça fait si longtemps qu’elle ne s’est pas fait toucher l’impatiente, par un beau gars !

Bien évidemment, le Fernand jubile. Ça lui plaît de voir la main de son hôte s’aventurer sur les rondeurs fessières de sa belle catin. C’est qu’elle aime cela. Et le jeunot tâte de plus en plus le beau fessier. Il descend même doucement sa main dans la raie épaisse et profonde. Il cherche à pénétrer davantage.

(Hé ! bande de petits coquins de lecteurs, n’est-ce pas que ça provoque une sacrée émotion quand on met la main pour la première fois dans ce joli bazar!).

– Mais ouvre-donc un peu plus tes fesses, conasse ! qu’il dit à sa femme, écarte un peu tes cuisses…fais-la ta pute…laisse-toi faire…ouvre-les tes fesses !

Ce qu’elle fait volontiers et ce qui permet à Paul de glisser sa main sur son minou crépu. Il y enfonce ses doigts…

– Elle est toute chaude, tonton ! elle est humide…
– Ben oui tu vois bien…elle mouille comme une fontaine la Salope, c’est que ça lui plaît ce que tu fais, profite mon gars…met-lui le doigt au cul, elle aime ça aussi !

Il est ravi le neveu, et même qu’elle serre tellement les fesses, qu’elle lui emprisonne la main dans la raie poisseuse de son cul. Du coup il lui fourgue un doigt dans le petit trou bien profond, le salaud ! (ben on vous l’a déjà dit, c’est un homme ce garçon !et enfoncer son doigt pour la première fois dans le trou du cul de sa tante…eh bien je ne vous dis pas !…).

– Oh merde ! (ça tombe à propos !), c’est vrai qu’elle est Salope ma Tatie ! elle me le serre le doigt, je sens que ça lui fait du bien ! Putain c’est chaud là-dedans !

Et il retire sa main, non sans la porter sous son nez, histoire d’apprécier les fragrances dont son bon doigt s’est imprégné…et qui l’émeuvent encore plus.

Charlotte se redresse en rebaissant sa robe…

– Bon, fini l’inventaire, il faudrait peut-être dîner maintenant…
– Allez à table, répartit Fernand on passera aux choses sérieuses après un bon repas.

Au cours du repas les discussions vont bon train. On parle de choses et d’autres. Avec Fernand ça revient souvent sur le cul, ce qui fait rire Paul qui jubile de voir que Charlotte excitée et joviale, en rajoute et rit aux éclats en lâchant quelques mots grossiers qui font rougir le jeune homme pas suffisamment dessalé, mais vachement intéressé. Il commence à penser comme Fernand, qu’elle est vraiment salope sa tatie… il se sent un peu plus à l’aise maintenant.

– Elle a un beau cul ta Salope…tu sais qu’elle m’excite, elle me fait vachement envie ! et putain, son cul il me plaît !
– Ben voyons, bonhomme, c’est sûr elle sait s’en servir… une vraie pute, je te dis… tu verras je vais te le faire goûter…
– Puff ! Le cul de ma tante ! putain, ce n’est pas possible !

À partir de ce moment-là le neveu n’a des yeux que pour le fondement de sa tante.

Après un dessert bien arrosé, le Fernand se glisse derrière sa compagne. Lui retirant ses vêtements il passe ses deux bras autour de son buste et commence à lui peloter la poitrine. Paul en face reste figé devant la beauté du geste. Elle est heureuse Charlotte, elle sourit et grimace de plaisir quand son chameau de mari lui pince fortement les tétons qu’elle a très allongés et boudinés.

– Sauvage ! tu me fais mal…
– Bon, j’arrête ?…Je laisse tomber, et il largue les deux grosses mamelles gélatineuses.
– Non, non continue, serre fort…regarde le Paul…il en bave le voyou…
– Hi, hi…pince-lui donc les tétines, tonton, regarde comme elles durcissent !

Il ne tient plus le fripon, il bande comme un fou. Il se lève et se rapproche de sa tante assise devant lui et debout il lui colle ses bijoux de famille tout contre ses seins. Oh que c’est doux ! Mais soudain c’est le déluge. Il lâche toutes ses bonnes humeurs entre les deux nichons de la Belle.

Bon sang ! Ça gicle ! Il n’arrête plus, il se vide à gros jets et par saccade. Ça ruisselle sur les tendres mamelles de la coquine. Il vide ses gros couillons le barbare ! Ça perle au bout des deux ‘tétous’.

Il en est confus notre juteux, confus mais ravi de jouir sur ses gros lolos qui rebondissent sous les coups répétés de sa pine et la poussée de ses couilles.

Charlotte saisit alors le bel instrument pour l’enfourner entre ses lèvres afin de déguster la bonne liqueur qui termine sa course au fond de son gosier, non sans avoir arrosé copieusement les joues et le bout du nez de la gourmande.

Elle l’achève en suçotant lentement le gland qui déverse ses dernières gouttes quand elle lui presse les roustons comme on presse une éponge. Ensuite elle se passe une langue bien coquine sur les lèvres en roulant des yeux de gourmande.

– Que c’est bon le jus de tes couilles, mon chéri !

Quel merveilleux sourire pour terminer et elle embrasse le chéri dans un baiser fantastique. C’est la première fois que Paul découvre sur les lèvres d’une femme, la saveur salée du jus de ses roustons.

Fernand est emballé par la tournure des événements. Il est content de voir le neveu s’occuper si bien de sa femme. Elle l’a drôlement bien embouché, la cochonne. Il avait l’intention de la faire sauter par le jeune homme et sous ses yeux, mais celui-ci ayant juté trop tôt, il a un autre projet le vieux, c’est de monter tous les trois dans la chambre pour continuer la fête à pine que veux-tu sur le dos de sa vieille

– Allez viens mon gars, on va la baiser la frangine à ta mère ! C’est ton père putain qui serait jaloux, le salaud il m’a souvent fait cocu avec elle… c’est normal on a toujours partagé nos conquêtes et elle n’a jamais dit non. Même qu’un soir on l’a prise par les deux trous la Charlotte… qu’est-ce qu’elle a joui ! Tiens tu vas voir comme elle est bonne au lit…je vais la baiser devant toi… tu veux bien chérie… devant le neveu… ça va l’exciter bon sang !
– Oh comme s’il ne l’était pas assez déjà…mais oui baisez-moi tous les deux…, j’en ai envie !

Alors ils sont montés à l’étage. Et il faut la voir grimper les marches en bougeant son cul la pimbêche au-dessus des deux hommes qui la suivent comme on suit une proie ! Ils se sont retrouvés tous les trois sur le lit… oh quelle ambiance !

Il est plutôt saoul le vieux, pourtant il bande encore et même joliment. Un peu mou certes, mais ça a de la tenue. D’ailleurs, Charlotte bien disposée à sucer des bites aujourd’hui, se l’embouche à son tour et lui redonne un sacré ressort.

Elle s’est allongée sur le dos, les jambes grandes ouvertes et la chatte fendue. Fernand cherche à grimper sur elle. Il est lourdaud le Fernand. Difficilement mais doucement il arrive à se hisser sur son ventre.

Enfoui entre ses gros seins et ses cuisses épaisses, il essaie péniblement de la pénétrer pour la baiser. Paul les yeux exorbités, n’en rate pas une.

– Attends, je vais t’aider tonton.

Alors il ose saisir la bite du tonton et il la place au bon endroit dans la grosse moule, puis le pousse au cul.

– Oh oui ! comme ça, lui dit Charlotte, c’est bon ‘coco’, va s’y bouge maintenant ! oh que c’est bon, tu bandes bien aujourd’hui…

Bien sûr qu’il y va son mec. Il la sent bien, elle n’est pas très serrée mais elle est bonne la chatte de sa Salope !

– Mais va s’y, bouge-toi nom de dieu… lève-toi sur tes bras… tu m’étouffes… putain je n’en peux plus tu es trop lourd !

Au bout d’un moment elle l’envoie valdinguer sur le côté… désespérée de ne pas pouvoir jouir, la pauvre.

Paul veut prendre la place toute chaude, mais Fernand ne l’entend pas comme ça. Allongé, légèrement tourné vers elle, il l’oblige à se mettre sur le côté pour qu’elle lui présente son cul.

Elle a compris la manœuvre et s’y soumet sans aucune crainte et même avec empressement.

Elle aime cette position. Il va la sodomiser devant son neveu.

Hi, Hi, il va en prendre plein les yeux le jeune homme…il a compris très vite lui aussi et reste, les yeux écarquillés, au pied du lit.

Elle miaule la chérie, elle miaule en relevant bien sa cuisse pour que le jeune voit bien le spectacle de son trou du cul qui se fait enfiler par la grosse bite de son mari.

Elle a un sourire magnifique. Ce qu’elle est fière ! Il lui dépose le gland sur la rosette et il pousse le bon gars. Il pousse jusqu’à ce que ça entre… elle fait un peu la grimace, mais toujours souriante… plus ça entre et plus elle sourit à son neveu qui en reste bouche bée, en se branlant la pine.

Oh ça ne rentre pas complétement. Non la position n’est pas facile. Mais ça entre suffisamment pour qu’elle en jouisse Charlotte. Elle aime bien sentir son anus se faire élargir par un gros sexe. Mais dès qu’il a franchi le seuil, elle serre son anus autour du gland et le retient prisonnier. C’est un peu dur à l’entrée, elle en savoure l’encombrement un instant, en serrant les dents puis elle se relâche et elle le chie le morceau, comme un gros étron qui, furtif, se précipite à la sortie. . Quand il s’échappe le coquin, la Belle resserre son anus, c’est à la fois bon et piquant…c’est un soulagement, comme aux chiottes…elle adore !

Eh bien, on recommence. Ce sont ces petites entrées et sorties assez vives qui l’amènent à jouir du cul, la futée. Alors elle se déchaîne, poussant son postérieur contre la bite de son homme sur lequel elle s’encule à fond.

Qu’ils sont beaux tous les deux ! Deux bons amoureux.

Elle garde un sourire malicieux, c’est elle qui est aux commandes, son mec elle s’en fout, il bande toujours sous ses coups de boutoir qu’elle lui assène avec son gros cul…Oh diable que c’est bon !

– Oh ! C’est bon Tatie ?…Il ne te fait pas mal…putain comme il est gros ton trou du cul…tu aimes bien ça, salope ! (il lui a dit ‘salope’ !…).
– Oh non tu n’es pas une salope, tu es ma tatie et tu as un bon cul, c’est normal d’en user de ton beau cul…oui, oui c’est normal, tu me le prêteras ton cul ?

Ben oui elle le lui prêtera, c’est sûr, mais pour l’instant elle jouit alors il ne faut pas l’embêter la garce, elle en veut jusqu’à la garde…elle veut le vider son mec…aussi elle ne l’écoute pas son neveu…on ne parle pas à une femme en crise !… (elle se fait déboucher le cul, pas les oreilles, nom de dieu !)

Et voilà, c’est bientôt fait, il est H.S. l’enculeur… Caput… lessivé… vidé… plus bon à rien.

Elle est heureuse Charlotte, heureuse mais pas satisfaite. Comme toute femme qui monte aux rideaux, mais qui ne veut jamais en redescendre car elle en demande encore et encore…elle veut monter plus haut !…Mais son con de mec, il débande !

Aussi en ouvrant les yeux (et oui, vous avez remarqué qu’elles ont les yeux fermés quand elles font l’amour nos diablesses !), elle aperçoit sont gentil neveu qui la caresse, il la cajole, il lui tripote les seins et lui met une main à la chatte.

– C’était bon Tatie, dis-moi, c’était fort…Il ne t’a pas fait mal au moins ? je t’aime Tatie qu’il lui dit en la bisoutant de partout…

Mais ce qu’elle ressent surtout, la tatie avec ses grands yeux ouverts et son cul en chaleur… c’est ce magnifique sexe qui bande entre les jambes du garnement !

– Oh oui c’était bon mon chéri mais c’était trop court. Fais-moi l’amour, je t’en prie achève-moi, tu es un bon garçon, je t’aime…Viens ! Viens !

Alors il se précipite Paul, il va la baiser avec sa permission !

Eh bien non ! Elle le repousse pour se retourner sur le lit. Elle y arrive difficilement, en remuant sa graisse et elle relève son gros popotin en s’écriant… !

– Encule moi mon chéri ! Encule-moi, la place est prête ! Mets-moi ta grosse pine dans mon petit trou…va s’y d’un coup…encule-moi bien fort !… encule-la ta salope de tante qui vient de se faire graisser le trou de balle !

(Vous pensez bien, chers lecteurs, que le neveu ne s’est pas fait prier…sa tante en levrette et son petit trou offert au milieu de sa raie profonde…Je rêve !).

Ses mains de part et d’autre des fesses, elle les écarte pour bien aider à la manœuvre. Il présente sa bite sur la rosette rose qui perle encore des bonnes attentions qu’elle vient de recevoir de la queue maritale.

Très impressionné par le déroulement des événements, il prend son temps Paul, pour admirer la situation…

La Tante le cul au plafond, ouvert à sa disposition…

Le Tonton avachi sur le côté du lit, couilles vides et bite en débandade…

Et lui, Paul, la bite à midi, prêt à le faire cocu en enculant son épouse qui miaule à côté de lui comme chatte en chaleur !… (c’est pour qui la bonne bite !).


(Non ! mais les gars, vous tiendrez, vous devant une telle situation ? Il va craquer le jeune homme…nom de dieu !… mais s’il n’y va pas… moi j’y vais !…).

Mais ne vous en faites pas, il gère le bon gars. Il prend les choses en mains, (le cul en l’occurrence). Il va l’enculer la garce, bien sûr. Il va la faire patienter, s’impatienter.

Lui, il veut prendre son temps. Y aller doucement. La sentir quémander. Elle va le supplier. Il va la faire souffrir d’impatience…elle va mordre son oreiller !

(tout jeunot qu’il est, il réalise soudain qu’il est le maître de la situation. Avec l’outil qu’il a entre les cuisses il va se la dresser la femelle ! …n’est-ce pas ce qu’elle veut !).

Elle se rebiffe la bonne Dame… elle se l’engueule… ben voyons quelques claques sur les fesses et elle s’assagit… elle redresse la tête… il lui plaque sur l’oreiller… elle pète la cochonne en éclaboussant le paysage d’effluves fumantes dont son mari a encombré son troufignon…voilà qui mérite encore une bonne tripotée sur les fesses… elle aime ça !

Il continue à l’observer. Il bande de plus en plus. Il prend plaisir à la faire attendre. Il ouvre bien la raie pour cajoler le petit trou et enfoncer son index dans la rosette brune. Ça entre comme dans du beurre. Il le remue un peu son doigt, puis le ressort et le donne à sucer à la chérie.

– Dis-moi il a bon goût ton trou du cul ?
– Humm ! Fameux, qu’elle répond… ( hi, hi ! elle n’a pas vu qu’il était tout marron le fameux doigt !)….

Il lui replante un doigt dans le petit orifice, puis deux, puis trois….et puis ça y est, il est prêt il va l’enculer… encore quelques faveurs sur les fesses (pour la route !), et hop dans le cul la balayette, d’un seul et bon coup, comme elle le voulait… Oh putain, il n’en revient pas le Paul… il encule sa tante et elle aime ça… elle se laisse faire … elle en veut, c’est bon… elle crie… elle jure… elle pète… oh que c’est bon ! Elle jouit la ganache !

Et lui il barbotte. Oui il barbotte dans un trou de balle plein jusqu’au goulot, des faveurs précédentes du bon mari. Ça entre et ça ressort tout seul comme le métro à Marseille ! Et ça fait de grands bruits d’égouts… de bons bruits qui rythment avec les coups de bite qu’il lui adresse à la goulue.

– Oui bourre-moi mon chéri…encore…plus fort ! Va s’y salaud !

Il la bourre si fort qu’il finit par jouir lui aussi. Il lui remplit le colon cette nuit comme il lui a assaisonné les nichons au dîner…il en a du jus à revendre le Paul !

– Oh putain Fernand, qu’elle est bonne ta Salope !
– Je te l’avais dit, va s’y bourre-la pour moi, ne t’arrête pas, elle en veut encore !

Alors ça fait encore plus de bruit. Ça déborde même de l’anus… c’est du bon jus de jeune qu’elle se prend la ‘vieille’… elle est gâtée, elle continue à jouir tandis qu’il va et vient lentement maintenant, tout en la caressant, en lui choyant gentiment les hanches et les épaules.

Il prend plaisir Paul, à enfoncer sa pine bien profond et à la retirer entièrement ensuite. Ça fait ‘flop’ et son trou de balle reste à bailler, ouvert comme un tuyau de poêle…oh quel trou !

Alors il remet ça…juste quand la porte se referme.

– Ouille ! Qu’elle s’écrie.

Sûr ! Quand l’anus se serre, il faut que ça passe… alors il force un peu…bon c’est sûr il a un gros gland, alors ça pique un peu, c’est normal… elle ne va pas lui en faire tout un pataquès la constipée ! … quelques allers-retours et c’est le cul qui jouit. (elle aime cela, on vous l’a dit…).

Il continue à la regarder, à l’admirer. Il n’en revient pas… c’est le corps de sa tante qui est là sous lui, transpercé par sa pine. Oui c’est bien sa pine qu’il voit descendre dans ce merveilleux petit trou qui s’ouvre pour laisser passer le gland avant de se resserrer sur lui avec gourmandise.

Ah oui c’est bien elle. Maintenant couchée sous lui, aplatie, écartelée, soumise. Elle n’a plus rien à dire, elle a tout donné. Oui c’est bien elle, la Salope du tonton. Elle est plus douée qu’une gourgandine… Une jolie femme bien potelée et vicieuse à souhait. Il l’a bien dressée son mec… mais aujourd’hui il est trop lourd, pas assez dur, aussi a-t-elle besoin d’un jeune maintenant…

Eh bien voilà, c’est Paul, il est là… Certes il y a été un peu fort, oh juste un peu, mais c’est bien ce qu’elle voulait, alors tout va bien et elle peut compter sur lui quand elle veut… tout de suite même… tout de suite… ah non… elle se calme on dirait. Elle a son compte apparemment.

Lui il a ‘déculé’. Il sent le sommeil l’envahir. Il rêve tout en la caressant, coincé entre elle et les fesses du mari qui lui, dort profondément sans se soucier de savoir qu’il s’est fait cambrioler le patrimoine de son épouse, par son propre neveu…

Putain mais c’est qu’il a le cul vachement chaud l’insouciant…ce n’est pas désagréable. Du coup il se colle un peu plus contre ses fesses, des fois que… humm, sais-t-on jamais ! (allons ! vous savez bien qu’il n’est pas une tapette, le Paul !… quoique….), non il laisse tomber… mais quand même ce cul chaud contre le sien !…

(Bof, il se rendort en se disant qu’après-tout, il l’aime bien ce tonton… avec la tatie ils feraient bien la paire… non !… qu’en dites-vous ?)

10 heures du matin…

Plein soleil à travers les rideaux de la chambre…

Coincé entre les deux ancêtres, Paul arrive à s’extirper difficilement pour sortir du pieu.

Fernand profite du vide qui se crée pour se rabattre contre le corps moelleux de Charlotte étalée comme une pâte mouille dans le creux du lit…instinctivement il lui saisit un nichon et lui pince le téton… elle bougonne… elle se tourne en pétant et se rendort. Il en fait autant la main sur ses couilles.

Ça sent le chacal dans la piaule…

Paul a faim, il descend dans la cuisine, à poil, le ventre vide et la pine en éveil…

Soudain il se fige !…

Face à lui…, une jeune femme en blouse blanche très légère, le regarde stupéfaite de découvrir ce jeune homme qui se présente devant elle dans une tenue pour le moins incongrue, mais tellement provoquante ! Il ne sait pas que c’est Clochette la jeune femme de ménage.

Sidérée, elle en a les bras qui lui tombent…et l’assiette qu’elle avait dans les mains se fracasse sur le sol…

– Mais qu’est-ce que vous faites-là ?… Qui êtes-vous, Monsieur ? …

(Tiens…elle a remarqué que c’est un monsieur ! ben oui ce sont de petits détails qui sautent souvent aux yeux des femmes, vous le savez bien chers amis…).

Qui est-il ! … Il ne sait plus qui il est le Paul … et Elle, qui est-elle ?

Toujours est-il que lui bandant comme un âne, devant cette demoiselle qui, maintenant, la main sur la bouche, pouffe de rire, il va falloir qu’on s’occupe de clarifier la situation…ne croyez-vous pas mes amis !!!

En attendant…

…Oh putain… ce qu’il bande…! ! ! ! !!!!!!!!!!!!

21/06/2023

Mes histoires se déroulent dans une époque où le s.i.d.a. n’existait pas. De ce temps-là on utilisait peu le préservatif, par négligence ou par insouciance. Aujourd’hui on doit se protéger, alors couvrons-nous.

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2 réponses à Tant va le Temps…Tant va le Cul… 18 – L’apéritif… par Verdon

  1. Childeric dit :

    Il y avait déjà les apéritifs dinatoires, il y a maintenant les apéritifs baisatoires !

  2. Harivel dit :

    Ha ! J’étais impatient de lire la nouvel prose de l’ami Verdon, je n’ai pas été déçu. L’auteur sait nous décrire avec les mots qu’il faut et avec humour les joyeuses turpitudes de ces braves gens

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