Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 4 -La cérémonie

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 4 -La cérémonie

Intermède – Lukas

Cette fois son frère l’a mieux briefé, il lui faut faire deux choses, sélectionner une jeune femme possédant des taches de rousseurs, puis une fois à bord de la voiture, se débarrasser de son téléphone portable.

Il se dirige vers la sortie de Malibourg que les automobilistes voulant se rendre à Paris empruntent avant de gagner l’autoroute.

Une rouquine en pantacourt, frisée comme un mouton fait du stop avec un carton marqué Paris.

« Trop la chance ! »

Il s’arrête.

– Bonjour, vous pouvez me conduire à Paris ?
– Bien sûr, ! Répond-il en descendant. Attendez, vous avez une grosse poussière au coin de l’œil !
– Ah bon ?
– Je vais vous passer un mouchoir en papier.

La diversion n’avait pour but que de vérifier si la demoiselle possédait bien les petites tâches requises.

« Pouah, elle n’est pas à jeun, la nana, son haleine pue la bière ! Comment on peut boire des horreurs pareilles ? »

Lukas loge le sac à dos dans le coffre arrière et démarre.

– Je m’appelle Jenny, et vous ?
– Moi c’est Lukas !
– Je suis un peu pompette, ça ne vous dérange pas ?
– Non, non !
– Je vais peut-être dormir, je suis crevée.
– Dans la voiture ?
– Ben, oui dans la voiture !,
– Vous seriez mieux dans un bon lit ?
– Vous êtes marrant vous, vous allez me proposez le vôtre? C’est ça ?
– Pourquoi pas ?
– Et comme ça vous pourriez me baiser ? Vous allez vite en besogne, vous.!
– Vous savez la vie est courte, surtout pour les humains ! Moi je m’en fous, j’ai le temps, je suis un mutant !
– On me l’avait jamais faite, celle-ci !
– Normal, il n’y a pas beaucoup de mutants.
– Si vous voulez me baisez, je veux bien, mais il faudra me donner un petit billet !
– Vous êtes une pute, alors ?
– Oh ! De façon très occasionnelle.
– Bon on y va ! Vous pouvez me prêtez votre téléphone, j’ai oublié le mien et je voudrais regarder le résultat du match !
– Le match ? Quel match ?
– Ben le match, quoi !
– Hum, ce doit être un drôle de match ! Répondit-elle en lui passant le portable

Lukas fit passer le téléphone sur sa gauche, puis profita d’un moment de distraction de Jenny pour le balancer par la vitre.

Arrivée au repaire, il lui présente sa famille.

– Malvina ma maman, qui est aussi la reine des mutants en exil, mon frère Viktor, ma sœur Corenta et Annabelle, une salope qui est à notre service.
– Vous m’avez l’air tous un peu spécial !
– Tu veux qu’on baise devant tout le monde ou tu préfères qu’on s’isole ? Demande Lukas à la petite rousse.
– Un peu d’intimité quand même…
– Bon on va monter !
– Tu t’occupes de tout ? Lui demande son frère !
– Je sais ce que j’ai à faire ,je ne suis pas un gamin !
– Bon, alors bonne bourre !

Lukas n’a rien d’un gentleman, une fois en chambre, tout en se déshabillant, il interpelle la jeune fille :

– Elle te plait ma queue ?
– Ben c’est une queue, quoi !
– T’apprécie pas ?
– Mais si, mais si !
– Alors, à poil !
– Attends un peu, je fumerais bien une cigarette.
– Non, j’ai envie de te baiser tout de suite.
– Bon, bon ! J’arrive.

Jenny se déshabilla sans trop de se presser.

– Ça va, je te plais ?
– Ça ira !
– T’es pas vraiment romantique, toi !
– Ça ne sert à rien le romantisme !
– Ah, bon ? Je me mets comment ?
– Tu me suces un peu et après je te prends en levrette.
– Oui mais pas dans le cul !
– Si, justement, dans le cul !
– Elle est trop grosse tu vas me faire mal.
– Ta gueule, suce !
– T’es d’un romantisme, toi !
– Bien sûr que je suis un romantique, d’ailleurs j’ai envie de t’embrasser dans le cou.

Lukas ouvrit une large bouche et mordit brièvement la jeune fille.

– Aïe, tu m’as mordu, t’es con ou quoi ?
– C’est rien du tout, allez suce !

Jenny eut alors l’idée (classique) de le sucer si bien qu’il jouisse dans sa bouche, cela afin d’éviter une sodomie qu’elle craignait douloureuse.

Alors elle sortit le grand jeu : mouvements de langue, pompages effrénés, titillement du gland, gobage des couilles… Et elle met tant de cœur à l’ouvrage qu’une impertinente goutte de pré-jouissance finit par venir perler à la sortie du méat.

Aurait-elle gagné son challenge ! Que nenni ! Lukas se dégage et ordonne à la pauvrette d’adopter la bonne position pour la pénétration anale.

– Pas dans le cul, je t’ai dit…
– Tu n’as pas confiance ? Tu me prends pour qui ? S’énerve Lukas.
– Je ne veux pas, c’est tout !

Et de façon tout à fait inattendue, la pauvre Jenny se ramasse deux baffes en pleine poire. Davantage vexée qu’endolorie, elle se met à sangloter.

– C’est ça, chiale, tu pisseras moins !

Puis comprenant qu’elle n’aura pas le dessus, elle se met en position, non sans avoir de son regard projeté toute sa haine vers le jeune homme.

La sodomie fut rapide, mais comme prévu, elle fut douloureuse.

– Je t’avais dit que tu me ferais mal, pauvre crétin, Regarde, tu m’as déchiré le cul !
– Pisse un coup ça ira mieux après !
– N’importe quoi !
– Si, si c’est prouvé scientifiquement, uriner, ça fait partir le stress.
– Je vais y aller alors !
– Pas la peine, il y a un broc dans le coin, tu n’as qu’à pisser dedans.
– N’importe quoi !
– Fais ce que je te dis !
– Non, je vais aller aux toilettes.
– Tu veux trois baffes ?
– Bon, bon !

Ce fut donc la première fois de sa vie que Jenny pissait dans un broc. Il y a toujours une première fois

Lukas se rhabilla prestement et quitta la chambre.

Sans perdre de temps, Viktor profita du retour de la voiture pour s’en aller chercher les gadgets réclamés par Malvina.

J’avais hâte que cette cérémonie débile se déroule et que je puisse enfin avoir l’occasion de quitter cette bande de cinglés.

Viktor revient assez vite avec tous les accessoires demandés mais il fallut attendre que Lukas redescende et que son frère analyse son urine.

– Elle fait quoi la nana ? demande ce dernier.
– Elle roupille !
– Tu ne l’as pas mordu trop fort, j’espère !
– Tu m’énerves, va contrôler toi-même si tu ne me crois pas
– Je vais me gêner, tiens !
– Du calme les garçons, Corenta va voir là-haut si tout est normal.

Corenta redescendit quelques minutes plus tard assurant le petit groupe que Jenny n’avait été mordu que superficiellement et ronflait comme un loir.

La présence de Jenny me pose un problème moral, si je parviens par la ruse à faucher compagnie à cette bande de guignols, je ne peux décemment laisser cette pauvre fille entre leurs mains. Mais comment faire ?

– Dis-moi Lukas, lui demande sa mère, est-ce qu’elle suce bien ?
– Ah ! C’était pas mal !
– Oui, mais est-ce quelle suce mieux que moi ?
– Oh, non maman, toi tu es la reine des suceuses de bites !

Et sur ces entrefaites, Viktor revient tout joyeux :

– C’est bon, T’as assumé sur ce coup-là, Lukas, pour une fois !
– Hi ! Hi !
– Je vais avoir une récompense alors ?
– Bien sûr tu l’as bien mérité, qu’est ce qui te ferait plaisir ?
– Il y a longtemps que je ne t’ai pas enculé, Maman !
– D’accord on fera ça ! Mais d’abord la cérémonie, les garçons et Corenta : allez vous mettre en tenue !
Leurs tenues tiennent du bricolage de carnaval, un grand tee-shirt blanc sur lequel ont été dessiné des machins incompréhensibles..

On recouvre la table d’un drap blanc pour figurer un autel, on dispose les cierges et on m’invite à m’y allonger, complètement nue comme on peut bien s’en douter.

On me fait boire un machin liquoreux, un peu comme du Porto mais en plus amer. C’est très fort ce truc, ça me rend un peu pompette, mais je reste consciente.

Malvina s’approche, retire son tee-shirt et s’alonge sur moi, la pointe de ses seins balaie mon corps, c’est très agréable, très sensuel, très érotique. On s’embrasse, elle me pince les tétons, tandis que je sens une langue me lécher ma touffe, j’essaie de tourner ma tête pour voir qui c’est.

– C’est Corenta ! Me précise Malvina, ce n’est pas encore le tour du chien !

Pourquoi me parle-t-elle du chien ? Mais je ne trouve pas les mots pour le lui demander.

A deux mètres sur ma gauche, Lukas est en train de sodomiser son frère lequel éjacule dans le calice rapporté de l’église. Il tend ensuite le calice à Malvina qui pisse dedans.

– Bois, juste une gorgée !
– C’est quoi ?
– Pisse de salope et sperme d’enculé.

N’importe quoi, mais j’en avale un peu. Corenta trempe ensuite une ostie dans le calice et me la fait avaler.

Ça va durer longtemps ces conneries ?

Corenta allume les deux grosses bougies attend un moment que la cire commence à fondre puis sans prévenir me fait couler la cire sur mes tétons. Je crie mais davantage de surprise que de douleur, la sensation de chaud restant très supportable. N’empêche que j’ai maintenant mes bouts de seins pris dans une gangue de cire solidifiée. On fait plus joli !

Malvina revient vers moi et s’assoit sur mon visage, j’ai carrément son gros cul sur ma bouche. Ça ne sent pas précisément la rose, elle a dû oublier de s’essuyer quand elle est allée faire caca. Je n’attends pas qu’on m’ordonne de lui lécher l’anus, je le fais spontanément et j’y prends du plaisir. Des fantasmes scatos me remontent à l’esprit, je crois que si en ce moment elle me chiait dans la bouche, je me laisserais faire. Mais cela ne devait pas être dans ses intentions.

Et voilà qu’on me lèche à nouveau la chatte, de grands coups de langue, ce n’est ni Corenta qui est restée à mes côtés, ni Malvina qui est près de moi sur ma gauche. Pas les garçons non plus qui sont allés s’assoir un peu plus loin ! Alors qui ? Jenny ? Mais je la croyais endormie.

– Lèche-là bien mon toutou, après c’est elle qui va te sucer !

Quoi ? qu’entends-je ? C’est donc le chien qui me lèche. Je vais pour protester, je n’en ai pas la force, alors je m’abandonne à cette caresse contre nature que je fini par trouver très agréable.

On me fait mettre à quatre pattes sur l’autel improvisé, Malvina y fait monter le chien, l’excite en le caressant sous le ventre, puis fait apparaître entre ses pattes de derrière une bite rouge et bandée.

-Tu dois le sucer maintenant ! Me dit Malvina.

Non, mais ça va pas non ?

– Juste un petit coup de langue, c’est pour le symbole ! Ajoute Corenta.

Si c’est juste un coup de langue, je peux le faire… en fermant les yeux, ensuite on me foutra peut-être la paix.

J’ai donc approché timidement ma bouche et j’ai donné un très bref coup de langue.

– Non mieux que ça quand même ! Me dit Corenta.

Je me disais aussi…

– Regarde comment je fais ! Continue-t-elle et joignant le geste à la parole, elle embouche la bite de l’animal devant mes yeux subjugués.

Alors, l’effet d’engrenage fonctionna à fond et quelques minutes après je me surprenais à pratiquer cette fellation hors-nature avec un certain plaisir trouble, celui de transgresser un tabou tenace.

– Et maintenant il va te baiser ! M’informa Malvina.

Ben voyons, pendant qu’on y est, il n’y a pas de raisons…

Et curieusement j’acceptais cette situation, je me demandais ce que ça pourrait bien me faire d’être baisée par un chien.

Drôle d’impression, comme celle de se faire baiser par un vibromasseur bloqué sur sa plus grande vitesse, les coups de boutoir sont terribles et ils arrivent à me faire jouir rapidement puis plusieurs fois de suite. Je jouis en me faisant baiser par un chien, je suis vraiment une grosse salope !

Et alors que j’étais encore en plein trip, on a fait dégager le chien (pour ne pas que je reste coincé m’expliquera-on plus tard).

On me relève, on m’enlève la cire agglutinée sur mes tétons, on me passe une nuisette rose à moitié transparente et on me donne à boire. Tous ces messieurs dames se prosternent devant moi.

– Gloire à la princesse ! S’écrièrent-ils

Tu parles d’une princesse ! Je suis fatiguée et j’ai besoin d’une bonne douche, mais je me sens merveilleusement bien.

A suivre

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3 réponses à Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 4 -La cérémonie

  1. Nina dit :

    Dans les rites sataniques, c’est le cul d’un âne qu’il est coutume de lécher ! Mais un rave toutou peut constituer un bon substitut

  2. Colibri dit :

    Sont un peu bizarre ces mutants… Mais bon, tant qu’ils nous excitent…

  3. Baruchel dit :

    Jolie cérémonie érotique, on se croirait dans un film de Jean Rollin

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