Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 3 – En ces Temps-ci… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 3 – En ces Temps-ci… par Verdon

Eh bien voilà, avec Ernestine on s’installe pour se raconter et pour écrire de nouvelles histoires de cul. A tous les deux on en connaît pas mal, on en a vécu beaucoup, elle raconte et moi je tapote sur le clavier de mon ordi quand ce n’est pas dessus ses fesses qu’elle a toujours très réceptives.

Cependant rappelez-vous, à la fin de notre dernier épisode, notre histoire sur les mœurs du moyen âge nous a tellement excités que nous avons envie de nous taper une petite orgie. Aussi toujours à poil nous nous installons dans le salon et nous apprêtons à flatter nos plus chers et bas instincts, les meilleurs.

Il faut vous dire qu’on aime bien le cul. C’est beau, c’est plaisant, ça jouit. Chacun a son cul, il est différent de celui d’un autre, plus ou moins beau, ou gros ou mince ou rond. Il y a des culs larges et d’autres tous petits. On peut y mettre un doigt, deux doigts trois doigts ou encore mieux sa bite. Il y a aussi la langue qui plaît beaucoup aux Dames surtout deux femmes entre elles. Et les bonnes tapettes, les trans, les vieux cochons tous vous diront qu’au cul ils aiment qu’on les flatte.

Mais il n’y a pas que le cul, il y a tout autour tout ce qui fait la joie d’une femme toute seule ou d’un homme bien sûr et même d’un régiment, depuis les doigts de pied jusqu’au bout des cheveux. La chatte, la bite, les seins et sans compter la bouche, les oreilles et les aisselles. Tout ça a des saveurs, des odeurs et bien sûr des sueurs, des humeurs et du pipi caca qui font partie du lot à prendre ou à laisser pour qui veut ou bien qui ne veut pas.

Alors jouissons. Chérissons-nous avec beaucoup de joie et pas trop de sérieux mais surtout du respect et aucune contrainte. Certains aseptisés ont le cul plutôt fade, mais si d’autres l’ont sale c’est pour qu’un connaisseur y trouve du bonheur et que moutarde au nez lui donne de l’ardeur. Car il faut bien savoir que « cul bien odorant attire les amants ». Mais pour être complet j’ajouterais aussi que « autant crotte qui sort fait sourire l’impétrant, autant bouse qui tâche lui coupe son élan « .

Eh bien en voilà un oiseux et vilain discours, je vais me faire chahuter !… Vous avouerez quand même qu’entre les deux extrêmes il y a de quoi réjouir notre putain de cul ! Et à chacun ses goûts et ses choix, bien entendu.

Bof toute cette péroraison me fatigue et en plus j’ai sommeil. Ma gourmande commence à me tripoter les roustons et à me souffler dans la pine pour jouer de la cornemuse. Mais sa musique est lancinante, je ne tiens plus, je m’endors.

Putain on sonne à la porte !… j’ouvre un œil.

– Bon je vais aller voir qui ça peut bien être…
– Oh laisse tomber qu’elle me dit, ce sont des emmerdeurs.

Mais c’est qu’elle ne veut pas lâcher le morceau la gloutonne ! Je n’insiste pas, je me rendors…

Soudain… ..

– Eh ! regarde qui est là, me dit Ernestine en me secouant comme un prunier.
– Mais c’est Bernardo me semble-t-il ! Que je lui réponds en m’asseyant tout vasouillard sur le bord du canapé.

Putain elle ne va pas me laisser dormir la pétasse, j’ai sommeil, j’ouvre un œil.

Ah. Oui… c’est en effet Bernardo qui vient de débarquer vent debout dans le salon. C’est un pote d’Ernestine il n’est pas seul me semble-t-il. Lui je le connais. Il a la quarantaine, emmanché comme un diable, il n’est pas un gars à fréquenter lorsqu’on a ses arrières aux quatre vents et justement c’est mon cas, alors je fais gaffe ! Il tire sur tout ce qui bouge ce fou. Tiens il est accompagné d’une nouvelle copine : Juliette qu’il a dû, à n’en pas douter, racoler quelque part et la consommer avant de venir nous la présenter. Je connais ses goûts et ses idées pour être sûr qu’il nous amène là, une personne de qualité, débonnaire et consentante, qu’il aura auparavant dressée aux aptitudes amoureuses nécessaires quand on veut partager ses services en bonne compagnie.

Plutôt décontractée, la vingtaine largement dépassée, elle est loin d’être choquée par notre nudité et je pense même ravie vu la façon dont elle jette un petit œil malin sur ma pine qui prend du coup cette pose assez fière et insolente qu’ont les pines quand un regard intéressé se pose sur elles. Bernardo avait dû la prévenir de notre manière de vivre et je sens qu’ils sont arrivés là avec quelques intentions bien précises.

Blonde, un beau visage un peu béat mais assez dur, lourdement fardée. Elle laisse deviner sous un chemisier transparent et décolleté, une poitrine d’un petit gabarit mais ferme. Sa jupette noire enveloppe, tout en le mettant en valeur, un fessier ma foi assez prometteur et laisse échapper une solide paire de jambes de joggeuse avec des cuisses de professionnelle, (si vous voyez ce que je veux dire). Elle parle un peu pointu avec un accent assez rude tout en faisant quelques mimiques de courtoisie et en remuant ses épaules.

A la lecture de ma description je suis sûr que vous devez déjà vous douter comme moi, chers amis connaisseurs, que cette personne doit être du genre à posséder un équipement inhabituel que l’on trouve rarement entre les jambes d’une Demoiselle.

Mais les présentations ne s’éternisent pas. Bernardo est déjà à poil, la pine au ciel il enserre Ernestine dans ses bras, son fameux sexe tout contre son nombril et il se la bécote à pleine bouche. C’est sa façon un peu directe de dire bonjour, il est franc de bite ce gars-là, Ernestine ne s’en plaint pas. Cette grosse bite qui lui laboure l’estomac, est la bienvenue. Après toutes les petites partouzes que nous avons décrites dans les chapitres précédents, qui lui ont mis l’eau à la bouche et je dirais même la mouille au con… ne voilà-t-il pas qu’elle va pouvoir concrétiser !

Ce beau sexe dont je viens de parler est d’une belle pointure.

Un gland volumineux qui ressemble à un casque de casoar avec une couronne bien prononcée, comme une flèche (le genre d’outil que savent apprécier les p’tits gourmands ou les bonnes dames consentantes qui après avoir impudemment serré les dents, savourent cette aimable sensation d’être aussi bien ferrés de par leur petit trou ou bien entre leurs lèvres). Pas de prépuce, une longue tige ciselée de veines bleues (Quelle belle insolence !). De la grosse artillerie en vérité qui pourrait intimider le trou de balle du commun des enculés, mais certainement pas celui d’Ernestine… (Vous savez bien pourquoi… )

Pour ma part je laisse nos deux amoureux à leurs affaires et je m’intéresse de très près à cette Juliette qui semble n’attendre que ça et se fourre dans mes bras en remuant son cul.

Je me glisse derrière son dos en l’enserrant et d’emblée je commence à lui tripatouiller le bide en passant mes mains sous sa jupette. Elle se laisse faire en collant son postérieur contre mon pubis. Je vais à la recherche bien sûr de ce que je soupçonne qu’elle a entre ses cuisses. La chose n’est pas facile, la jupe est serrée et pour la dégager je tire tellement fort dans mon empressement que je la déchire. Je suis tout confus…

– Ce n’est pas grave, ‘mon chou’ qu’elle me dit la mignonne… avec la mine d’une chatte en chaleur… . vas-y continue…

Puis toujours en ondulant ses fesses elle laisse tomber le chiffon et je découvre dessous son ventre un joli string blanc décoré de dentelles et qui semble prêt à éclater tant son contenu m’a l’air volumineux et prêt à s’échapper.

En la saisissant par les hanches je lui fais faire un demi-tour sur place, afin de découvrir la face cachée de sa beauté lunaire. Et c’est un cul splendide que découvrent mes yeux, épais, ferme et joliment fendu. La fesse est bien soutenue et tout en haut deux petites fossettes donnent à la chose un petit air de gaîté (un joli mot qui tombe bien à propos… n’est-ce pas !). Un simple fil noir sépare les deux lobes de ses fesses et disparaît dans la raie de son cul. Je glisse mes doigts sous l’élastique du slip que je fais descendre sur ses jambes en l’accompagnant jusqu’en bas, elle soulève ses pieds l’un après l’autre et se retourne devant moi jambes écartées, sourire aux lèvres et service trois pièce à l’étalage.

Superbe ! Oui je dis toujours superbe quand je découvre le bel assortiment que déballe ce genre de personne dans de tels moments et en toute décontraction. Pour moi c’est toujours une surprise, une révélation, un mélange de genre sublime. Superbe surtout quand le sexe est flasque, tombant et reposant sur une paire de balloches toutes aussi molles qu’importantes.

Cette mollesse confirme le côté féminin de cet ersatz de pine. Ce joli charme qui pendouille démontre la soumission de cet être ambigu. Son désir à lui c’est d’être féminine, c’est d’être pénétrée et de sentir dans son vagin anal cette puissance mâle qui le confond et le transcende. Tandis que son membre nonchalant n’est plus une bite mâle mais un gros clitoris aguichant pour le profit de ses amants.

En fait il est ‘il’, mais il ne veut plus être un homme. Il veut être ‘elle’ soumise aux désirs des mâles. Il ne bande pas mais il sait que les hommes adorent lui tripoter la grappe, lui sucer le clito, ça les excitent. Il se fait traiter de tapette, de lope, de pédé, il aime… il s’en fout, du moment qu’ils l’enculent comme ils baisent leur femme. Et si par hasard il dérape, que son sexe se dresse insolent il sait qu’il a droit à une bonne punition du genre ceinture de chasteté ou peut-être un renoncement à sa féminité, la déchéance, le retour au plaisir masculin dans le cul de son maître… (Oh non les gars, je suis une femelle !).

Mais on n’en est pas là. Je prends dans les mains son superbe phallus. Je retrousse le prépuce et dégage le gland qui est de belle apparence. Que c’est bon de le sentir glisser entre mes lèvres, de le rouler sous ma langue, de le téter ! Je hume le délicieux parfum équivoque mi féminin, mi mâle qu’exhale le joli champignon. Un mélange de musc sauvage, légère émanation d’urine et de sueur provoquée sans doute par de nombreuses masturbations. Je le sens abandonné dans ma bouche. Bon sang qu’il est moelleux et tendre sous ma langue ! Je malaxe ses roustons.

Sage et sans doute bien dressée Juliette est bien femelle et donc ne bande pas, je savoure. Je profite de ma position pour lui passer la main sous les fesses et investir son anus avec plusieurs de mes doigts. Bon sang que cet endroit est chaud. Je sens qu’elle a le trou bien large, humide et accueillant comme une chatte.

J’allonge ma petite lope sur un long guéridon matelassé et bas et qui sert souvent à nos amours avec Ernestine. Couchée sur le dos elle ouvre grand ses jambes.

Quelle belle vision ! Les cuisses écartées elle relève son paquet d’amour sur son pubis afin de m’offrir son paradis charnel, ouvert, brillant. Je ne tiens plus… Moi qui ai tant de mal à bander ces temps-ci, j’ai la bite qui se dresse, gourmande. C’est un miracle ! Oh quelle forme ! J’enfile vite un préservatif, décidé à la prendre là, comme une vraie femelle, à la missionnaire, entre ses cuisses.

Ses mollets sur mes épaules, je pousse mon sexe contre son anus. Elle s’ouvre, ça passe sans trop d’efforts (Je ne suis pas le premier… ), humm, ça glisse, elle miaule, elle resserre sa rondelle sur mon gland… putain que c’est bon ! Je rentre doucement, fermement. Elle roucoule la Belle. Mon ventre roule sur ses roupettes et je prends en bouche un de ses tous petits tétons. Oh oui que c’est bon ! Qu’elle a le cul chaud !

Elle aime. Elle s’affole, relève un peu plus son entre-jambes pour que je la pénètre davantage. Elle crie, elle cherche à me saisir par le cou mais elle ne peut pas, elle a les deux jambes au plafond.

C’est alors qu’Ernestine, très habile et salope avérée vient s’accroupir au-dessus d’elle, à genoux, les cuisses de chaque côté de son visage. Elle me tourne le dos et lui présente son minou et son cul à lécher.

J’ai sous les yeux le magnifique spectacle d’un cul qui se fend au-dessus de Juliette pour se faire chahuter la venelle depuis sa moule jusqu’à l’anus.

Quelle merveille ! Elles y vont de bon cœur les deux salopes. Tantôt se bouffent la mounine ou tantôt se masturbe sur le nez de l’autre. Elle y va de sa langue l’ambiguë. Et que je te lèche la pacholle et que je te taraude le trou mignon, et qu’elles poussent des cris toutes deux.

Puis tout à coup, profitant de sa bonne position, elle pisse Ernestine ! Oh putain elle pisse drue et longtemps sur le visage de Juliette. Elle se lâche la salope en de grands jets bruyants qui éclaboussent notre tapette et moi-même en approchant mon nez j’ai l’occasion d’apprécier la couleur et le goût de ce divin nectar dont je me suis si souvent régalé.

Quelle salope cette Ernestine ! Spécialiste en la matière elle dirige son gros jet sur le nez, sur les lèvres sur la poitrine de notre souillon qui en frissonne comme une ablette sortie de l’eau. J’en profite pour lui lécher le cul à notre vaillante arroseuse. Il a bon goût le petit opercule de ma copine !… Le goût un peu corsé me semble-t-il de ce petit endroit récemment visité et chargé de ces sueurs, ces humeurs et même d’autres choses qui s’y sont déversées pour la satisfaction des deux bons partenaires et de leur serviteur.

Moi l’esprit tellement absorbé par la beauté du pugilat, j’en oublie complétement la présence de Bernardo le troisième larron qui lui ne loupe pas le moindre détail du paysage. Il va sans dire que lui il bande le monsieur et qu’il est certainement à l’affût de quelque placement avantageux qui pourrait lui être offert en ces bonnes circonstances. Il tourne, il vire autour de moi et je ne m’en soucie guère. Il est sorti tout à l’heure du trou du cul d’Ernestine et sa bite encore humide n’a rien perdu de sa vigueur … et moi inconscient de la suite je regarde la pisseuse, je lèche, je bande et j’encule… ..

Apparemment à part mon petit trou qui papillote entre mes fesses, il semble qu’il n’ait rien trouvé à se mettre sous la bite notre ami… .

– Oh ! mais putain! Mon cul !…
– Au secours… à l’abri !… On m’assassine ! On me branche ! On me percute !

Mais qu’est-ce qu’il fait ce salopard de Bernardo ! Il veut m’enculer le salaud… Moi, un honnête homme, avec le cul propre, la rondelle neuve et l’œillet printanier ! (heu non pas tout à fait… mais quand même… ). Et devant Ernestine en plus ! (Elle s’en fout… elle rigole, elle pisse, la vache !)

Oh mais c’est qu’il pousse… (Hé attends putain on n’est pas aux pièces !).

Mais c’est que ça entre !

– Ouille, il me troue le cul… .

Ça y est, il me l’a mis le salaud

– Hé tu m’as tout mis ?

Putain il pousse encore… le salaud !

– Ouille !… .c’est bon… Ouf !
– Humm oui c’est bon vas-y comme ça … .oui ça fait du bien.
– Oui continue comme ça… tout doux… putain c’est que tu l’as bien longue… .

Voilà il me la bien mise son imposture, le voyou… .elle s’est écarquillé ma rondelle !

La petite porte passée, ça fait du bien… il a de l’expérience le mec… il fait ça bien… quoique me faire ça à moi sans même me demander pardon… quelle impolitesse !… Bon je sais bien que si chaque fois que l’on veut courtiser un gourmand il faut se perdre en salamalecs … Où va-ton ?… (C’est : tu veux ou tu ne veux pas et si tu ne veux pas tu le planques ton cul ! Non ?).

C’est vrai que moi je ne l’ai pas planqué justement… mais je ne l’ai pas cherchée non plus la faveur… sans doute que j’ai la raie courtoise ?… Ou le cul mignon simplement. Et Ernestine de se moquer :

Hi, hi qu’elle s’exclame Ernestine ! Tu t’es fait empapaouter comme un Grec ! Avoue que tu aimes ça !


Non mais de quoi elle se mêle celle-là avec son p’tit trou qui clignote encore!

Elle s’est bien fait tire-bouchonner le centre des délices elle aussi, la garce.

Toi tu as un beau cul! Tu as un cul mettable, qu’elle rajoute.

J’ai un beau cul… Ok, ça renforce un peu mon ego sa remarque, car c’est vrai je le trouve beau mon cul quand je le regarde dans la glace… . mais n’empêche que je n’en serre pas moins les fesses quand elle me dit ça… car je suis plutôt du genre ‘chevalier de la rosette’ (vous voyez bien avec Juliette !). aussi je vous avouerai qu’avec ses façons il m’en a bouché un coin le camarade !

Boff, je ne vais pas vous chier une pendule pour un petit entre fesses finalement assez sympathique passé en chaude compagnie. D’ailleurs je vais vous avouer… ça ne m’a pas trop déplu, ce n’est pas la première fois à vrai dire… et je n’ai même pas honte, c’est dommage car ne dit-on pas que c’est bon la honte !… mais surtout ne le dites pas à ma mère !

Donc voilà une partouze qui s’est bien emmanchée si j’ose dire, mais vous devez vous demandez comment ça s’est poursuivi avec Juliette… He bien le plus naturellement du monde, je la gâte, elle adore. Mais gâté moi-même par l’autre zinzin, je décroche (si vous vous êtes essayés à la manœuvre, vous savez bien que ce n’est pas facile d’accrocher les wagons… ). Alors elle s’est mise en stand-by pour laisser Bernardo peaufiner son affaire avec moi (peut-être un petit retour de connivence masculine de sa part la coquine !), puis s’est fait achever par ce sacré fouteur qui décidément devait les avoir bien pleines ses roubignolles avant de faire sa petite tournée.

Comme de droit, Juliette fait la toilette de tout le monde. Il faut voir comment elle fait ça bien ! On est tous les trois accroupis sur le divan, on lui présente nos culs et elle y va la goulue, en long, en large et en profondeur. Baveuse elle nous chamboule le derrière, chacun son tour, chacun son trou. Sa langue a du métier il n’y a rien à redire.

Ensuite ‘il’ récupère ses affaires et prend le large, habillé cette fois comme un gentleman au port un peu provoquant et le cul vachement souple à la recherche certainement d’autres petites aventures. Je dois vous dire aussi qu’en remettant son slip il y a trouvé quelques gros billets que nous lui avons mis là pour le féliciter de sa belle prestation.

Une fois nos petites affaires terminées, après le départ de Juliette nous nous installons devant une table, toujours à poil et Ernestine repart dans ses délicieuses histoires de cul. Moi j’écris et Bernardo… il rit, il se détend et il ose des remarques plutôt élogieuses sur la prestance un peu ‘vieille France’ de mon arrière-boutique, ce qui me fait craindre du revenez-y et qui fait rire aux éclats notre coquine délurée… alors moi je crains !

– Hi, Hi… Tu as un beau cul… tu sais !… il va te la remettre, tu aimes salope !… n’importe quoi !

Mais pas de problème, finalement le Bernardo il range son outillage et il retourne voir sa bergère. C’est qu’il a une régulière, le cochon et il va lui en promettre à celle-ci ce soir, il est encore suffisamment lesté pour bien la secouer sa mignonne, (il paraît qu’elle aime ça, mais elle a ses heures… c’est normal tant qu’il y a de charmantes voisines pour la soulager entre temps… .).

– Il faudra bien qu’un jour tu nous la présentes ta Bourgeoise, que je lui dis…
– Mais c’est qu’elle aime que les jeunes qu’il me répond… ce p’tit con !
– Amène-la-moi et tu verras si elle n’aime pas les vieux… mon salaud !

Ouf ! Ça y est la maison est vide on va se reposer avec Ernestine…

Allongé sur le canapé je dors du sommeil du juste (c’est bien comme ça qu’on dit, je crois… ). Ma zétète pendouille bien heureuse…

Je nage dans le bonheur… .

Je suis dans les vaps… .

… Je ne sais plus où je suis !

A + plus mes cochons…

25/05/2022

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Une réponse à Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 3 – En ces Temps-ci… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Chaque fois que je lis les textes de cet auteur, je me régale, d’autant qu’il semble gagner en truculence

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