Dépannage pervers par Estonius

Dépannage pervers par Estonius

Bonjour

Je suis Vincent, bientôt 30 ans, je suis pour le moment célibataire, ma compagne ayant été voir ailleurs. Je suis hétéro mais pas à 100 % si vous voyez ce que je veux dire.

L’histoire commence un samedi matin quand on vint frapper à ma porte. J’ouvre, c’est le voisin du dessus, un blondinet dans les 25 ans.

– Excusez-moi, vous avez Internet en ce moment ? Parce que moi, je ne sais ce qui se passe…
– Je vais regarder, entrez cinq minutes.

J’ouvre mon ordi, je ne décèle aucun problème.

– Non, tout est normal ça doit venir de votre machine.
– J’y connais rien, je vais essayer d’appeler la hotline mais ça va être galère.
– Vous voulez que je regarde ?
– Ce serait gentil, mais je ne voudrais pas abuser.
– Allons-y !

On monte là-haut, il me présente sa mère que je croise souvent dans l’escalier sans que nos relations aillent au-delà des bonjour, bonsoir.

Belle brune, cheveux noirs assez court et frisotants, lunettes à grosse monture, sourire carnassier et une poitrine que je ne vous en parle même pas.

– Je m’appelle Hugo, me précise le blondinet.

Sa chambre est un vrai bordel, des bouquins des DVD, des disques, des revues, des canettes de bière vides, des cendriers non vidés et j’en passe…

Mon œil de fin renard est tout de même surpris de voir au milieu de tout ce bordel, une revue gay très hard. Ainsi le mec est homo, ça ne m’étonne qu’à moitié mais ce ne sont pas mes oignons.

Je vérifie les connexions de son ordi, m’aperçois que la prise RJ45 est déplacée, je la remets correctement, mais pas très facilement car elle est à moitié cassée. Et voilà que ça refonctionne. Son navigateur était paramétré pour s’ouvrir sur la dernière page web visitée. Or la dernière page visitée était celle d’un site gay très explicite.

– Ah vous me sauvez la vie ! Faites pas attention aux images, je surfais… un peu n’importe comment.

Ben voyons !

– Je suis content de vous avoir rendu service !
– Je vous offre une bière ?
– Volontiers, on peut peut-être se tutoyer, on a à peu près le même âge.
– Bien sûr !

Je sens que le mec est gêné d’avoir ainsi dévoilé sans le vouloir son homosexualité, je fais donc dans le rassurant :

– Moi aussi ça l’arrive d’aller sur des sites comme ça ! Lui confiais-je.
– Des sites gays ?
– Oui, entre autres. Y’a pas de mal à se faire du bien !

Hugo ne semble plus gêné, mais est visiblement en train de se demander comment peut évoluer la situation. Je décide de le provoquer un peu.

– C’est vrai que le mec sur l’écran il a une jolie bite !
– Oui, j’aime bien !
– Moi aussi j’aime bien les jolies bites, ça m’est même arrivé d’en sucer !
– Ah oui ?
– Ben quoi, faut pas mourir idiot.

Et Hugo se met à se tripoter la braguette, attendant manifestement une réaction de ma part.

– Et toi tu aimes sucer ? Relançais-je.
– Oui j’adore, Et j’aime bien qu’on me suce aussi.
– Tu aimerais que je te suce ?
– Pourquoi pas ?
– C’est vrai, on le fait ?

Le mec dégrafe son pantalon qui lui dégringole sur les chevilles. En dessous il a un string, un string de femme.

– J’aime bien porter ça ! Dit-il comme pour s’excuser avant de le baisser à son tour.

Il se branle un peu la bite afin de la raidir comme il convient et me l’exhibe.

– Alors t’en dit quoi ?
– Elle est très belle !

Un petite merveille ! Taille standard, très légèrement courbée, le gland décalotté luisant… un amour de queue !

– On ne sera pas dérangé ? Demandais-je.
– Ne t’inquiètes pas !

Je m’agenouille, ouvre mes lèvres, et hop dans la bouche la bite à Hugo !

Humm, qu’est-ce qu’elle est bonne cette bite, je me régale d’autant que cela faisait plusieurs mois que je ne m’étais pas donné à ce genre de fantaisie.

Je lèche un peu partout, le gland, surtout le gland, je balaye la verge de haut en bas, puis de bas en haut, en même temps je lui caresse ses grosses couilles. Puis je me mets à pomper cette bite m’efforçant de la faire pénétrer au maximum dans ma bouche au point que ça me cogne dans l’intérieur des joues.

– Qu’est-ce qu’elle est bonne ta bite ! Commentais-je en reprenant mon souffle !
– Tu suces trop bien ! Me répondit-il
– Tu me la mettrais dans le cul ? Demandais-je.
– Ça peut se faire ! Tu voudrais maintenant ?
– Ben oui, pourquoi pas ?
– J’ai pas de capotes ici, je vais demander à ma mère !

Ais-je bien entendu ?

– A ta mère ?
– Ben oui, quoi… bouges pas, je reviens.

Il remonte son pantalon et me laisse seul. J’attends qu’il revienne pour me mettre à l’aise… seulement voilà… quand il revient il n’est pas seul, il est avec sa mère… ça se complique !

– Ben alors Monsieur Vincent, qu’est-ce que j’apprends ? Que vous êtes un petit coquin ?
– Ben…
– Ne vous inquiétez pas, j’ai les idées larges… vous êtes gay ?
– Non, hétéro mais avec quelques penchants…
– Je vois… j’ai apporté les capotes ! Ça vous gêne si je regarde mon fils en train de vous enculer ?

Mais où suis-je tombé ?

– Euh, non…
– Alors allez-y les garçons, foutez-vous à poil et offrez-moi un joli petit spectacle.

Situation insolite, mais après tout pourquoi pas ? Je me débarrasse de mes vêtements

– Vous avez une bien belle bite, Monsieur Vincent ! me complimente la mère d’Hugo, me permettez-vous de la prendre en main ?
– Bien sûr madame !
– Vous pouvez m’appeler Louisette. Et d’ailleurs on a qu’à se tutoyer, au point où nous en sommes…

La Louisette m’a pris ma bite, la branlotte, se penche un peu, je sens qu’elle va me la sucer, ça ne rate pas. Oh putain quelle lague elle a, la Louisette ! Elle a dû en sucer des kilomètres !

– Tourne-toi Vincent que je vois tes fesses ! Oh le joli cul ! T’as vraiment un petit cul de pédé !
– Ah bon ?
– Ça te fait bander quand je te dis que tu as un cul de pédé ?
– Oui, ça m’excite ! J’aime bien les mots crus…
– Quel cochon, penche-toi un peu, je vais t’embrasser le trou du cul !

Et sa langue se met à frétiller autour de mon trou intime, une vrai diablesse, cette nana !

– Hum, il a bon goût ton cul, mais dis-moi, tu voudrais peut-être gouter au mien ?
– Avec plaisir !
– Je vais me donner un coup de lingette avant, je ne me suis pas bien essuyé tout à l’heure… A moins que tu t’en fiches.
– Pas besoin de lingette ! Répondis-je, présumant que la situation ne devait pas être si catastrophique..

Me voilà derrière elle, derrière son gros cul qu’elle écarte. Ça sent bon, ça sent le cul, pas le gel douche !

– Tu peux me mettre un doigt si tu veux !

Je veux bien, et allons-y pour le doigt, je le mouille, le fait entrer et bouger comme il se doit.

– Hum, c’est bon tout ça, mais maintenant je veux mon petit spectacle, allez en position et ouvre bien tes fesses, Vas-y Hugo, il est prêt !

La bite d’Hugo est contre mon anus et quémande l’entrée, on me tartine avec un peu de gel. Une bonne poussée et le gland entre !

Une autre poussée et ça entre complètement ! Me voilà rempli, il y avait un certain temps que je n’avais pas connu cette sensation, une petite gêne au début qui s’estompe rapidement devant les frissons de plaisirs provoquées par les va-et-vient de cette bonne bite..

– Ne jouis pas dans son cul, Hugo, je veux ma part ! Déclare Louisette.

De quoi, de quoi ? J’ai du mal entendre, il ne va tout de même pas enculer sa mère !

– Tu voudrais qu’on te prenne en sandwiche, Maman ? Répond le fiston.
– Bonne idée !
– Alors on va faire comme ça, prépare-toi, pendant ce temps-là je vais continuer à lui limer le cul.

Euh, je rappelle que j’étais simplement venu dépanner l’ordinateur du voisin… Comment vais-je me dépêtrer de cette situation que la morale réprouve ?

Masi quand j’ai vu la Louisette se déshabiller, je n’avais plus du tout envie de me poser des questions philosophiques. Quelle poitrine superbe ! Envie de la lui lécher, ça ne devrait pas tarder…

Hugo décule

– Couche-toi par terre, me dit-il, ma mère va s’empaler sur ta bite, tiens voilà une capote.

O.K. c’est Hugo le gentil organisateur, j’obéis docilement et Louisette vient s’empaler sur mon sexe raide comme la justice. Puis elle se penche de façon à rendre son cul accessible à son fils qui l’encule d’un coup d’un seul !

Voici une figure de style qui demande une certaine coordination, mais nous la trouvons vite.

Ça n’a pas duré bien longtemps, nous avions, Hugo et moi du trop-plein de sperme dans les couilles. Tacitement nous avons attendu que la dame jouisse (et cela n’a pas été très discret) pour nous lâcher.

Tout le monde se relève en sueur.

– Un Coca, une bière ? Me propose la dame,
– Je veux bien une bière !!
– Vous êtes fort sympathique, mais je veux juste faire une mise au point, me dit Louisette, qui revient au vouvoiement, c’est l’occasion qui a nous a fait partouzer ! N’imaginez pas que nous allons prendre des habitudes…
– Oui bien sûr ! Murmurais-je.
– Je dis ça pour moi, en ce qui concerne Hugo, il assez grand pour faire ce qu’il veut.
– Oui bien sûr !

Hugo n’a rien ajouté, mais quinze jours plus tard son ordinateur était de nouveau en panne…

Fin

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4 réponses à Dépannage pervers par Estonius

  1. Muller dit :

    C’est n’importe quoi, mais l’érotisme fonctionne bien

  2. Stablinski dit :

    Estonius sacrfie à son tour au fantasme de l’inceste… et c’est ma foi, pas mal du tout

  3. Dominguez dit :

    Une variation originale sur un thème classique, c’est plutôt bien fait.

  4. Sapristi dit :

    Estonius a fait beaucoup mieux, mais il est toujours agréable de lire sa prose

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