Soubrette soumise par Marie-France Vivier

Soubrette soumise par Marie-France Vivier

Ce texte n’est pas ma plume, il s’agit d’une traduction-adaptation d’un texte anglais.

Etre exhibée dans un menu costume aux tissus transparents… Aux coupes trop courtes… Et aux côtés échancrés… Revêtir la peau d’une vraie soubrette et tout faire pour répondre aux moindres désirs de Monsieur, à ses moindres caprices, ainsi vêtue, le cul exposé aux regards, pendant qu’il reçoit des amis… Devoir faire le service, nécessairement être très polie et courtoise à l’égard des invités de Monsieur… être humiliée de la situation, rougir de gêne et sentir ma chatte qui coule… Avoir honte d’être excitée de la sorte… Tout faire pour éviter qu’il s’en aperçoive… Et qu’il me qualifie de salope avant de me traiter comme telle…

J’imagine facilement l’amusement qu’il prendrait à échapper un quelconque objet par terre et à me demander de le ramasser, m’obligeant ainsi à me pencher vers l’avant et à montrer mon cul dans sa totalité. J’imagine son plaisir au moment où je viendrais pour me relever et, que d’une main robuste, il me contraindrait à rester penchée, poussant sur ma tête pour m’obliger à rester pliée en deux. J’entends déjà les rires de ses invités qui se rinceraient l’œil, leurs commentaires à mon égard. Je sens même la mouille qui coule entre mes cuisses mais ça c’est vraiment réel et présent au moment où j’écris ces mots !

Et puis la voix d’un invité qui dit son envie pressante d’aller uriner, le regard de Monsieur qui s’illumine et ses mots qui tombent et qui me nouent la gorge…

– T’es ici pour servir… Alors va avec lui… Détache son pantalon… Et tiens sa bite pendant qu’il pisse !

La peur mélangée à la honte qui m’envahit… Me retrouver ainsi seule dans une pièce fermée avec un inconnu… L’humiliation de la position dans laquelle je vais me commettre. Je me vois agenouillée dans la salle de bain en train de sortir ce sexe mou de sa prison… Maladroite et tremblotante, je vois la silhouette derrière lui et je l’entends me dire de faire attention et de bien diriger le jet dans la cuvette, ce qui ne fait qu’accentuer ma nervosité… Le jet fuse et, par maladresse de ma part, vient atterrir sur le sol… Je lis la colère dans ses yeux et j’entends dans le trop calme de sa voix son mécontentement… Il empoigne mes cheveux fermement, me tire vers l’arrière et me dit que je devrai tout nettoyer. Il m’oblige à me mettre à quatre pattes et à lécher l’urine sur le carrelage…

– Lèche ! Nettoie comme il faut et totalement ! Salope… Cochonne… Souillon.. Traînée !

Une pluie d’insultes vient couronner la mauvaise posture dans laquelle je me trouve. L’humiliation qui me remplit, la honte et la peur… être ainsi invectivée en public et pourtant être excitée comme ce n’est pas permis !

Je lèche le carrelage, m’appliquant pour faire disparaître la moindre trace… Monsieur m’abandonne à mon sort, allant rejoindre ses invités… Je n’ose pas revenir… Morte de gêne et de honte… Craignant d’accentuer sa colère par ma simple présence… Je l’entends rire… Je reste seule dans les toilettes pendant une durée de temps qui semble s’éterniser, ne sachant plus quoi faire… Et n’osant surtout pas attirer son attention ou faire quelque bruit que ce soit.

Quand je lève les yeux, Monsieur est devant moi, imposant par sa stature, imposant par son regard… Regard de glace ! Visage déserté de sourire…

– A genoux salope ! J’ai envie de pisser mais cette fois, je ne risquerai pas de salir la céramique ! Ouvre la bouche et bois ! Si tu perds ne serait-ce qu’une seule goutte, tu serviras d’urinoir à tous ceux qui auront envie ce soir, je te le jure !

C’est le cœur battant la chamaille que je m’agenouille, que j’ouvre la bouche et tends la langue pour recevoir son urine… Urine que je bois, urine que je suce pour ne rien perdre, de peur d’être contrainte à en boire toute la soirée… Enfin un sourire sur son visage me rassure un peu… Puis il me dit de le rejoindre au salon, m’abandonnant encore une fois…

C’est la tête baissée et le regard fuyant que je les rejoins, me faisant la plus petite possible pour ne pas être remarquée, pour être inaperçue… Mais sa voix plus forte que la musique retentit !

– Ça mérite une correction salope ! Tu as manqué à ton devoir envers un invité ! A plat ventre sur mes cuisses et cul relevé !

J’hésite, osant espérer qu’il n’est pas sérieux, qu’il blague… Mais non !

– Tu préfères que je me lève et que j’aille chercher le fouet peut-être ?

J’obéis immédiatement, me retrouvant à plat ventre sur ses jambes…

– Relève ton cul !

Aussitôt une main vient se glisser entre mes cuisses… Ses doigts découvrent instantanément ma chatte… Diluvienne… Monsieur me présente ses doigts enduits de ma mouille…

– Qu’est-ce que c’est ça ?

Je bredouille, ne sachant que répondre…

Monsieur me fesse sans ménagement… Je sens les claques pleuvoir sur mon cul… Je sens mon fessier en feu… Je me confonds en excuses, l’implorant d’arrêter… Puis il m’ordonne de servir le souper… Ce que je m’applique à faire minutieusement… Après avoir déposé la dernière assiette sur la table, Monsieur me regarde, sourire aux lèvres… Je connais ce sourire en coin, signe qu’il n’a pas terminé avec moi ! Je baisse les yeux, cherchant un peu d’indulgence et j’entends…

– Prends la bougie dans le tiroir !

Je vais chercher la bougie… M’en voulant amèrement de n’avoir pas pensé à la mettre sur la table pour le souper… Au moment où je m’apprête à l’allumer et à la glisser dans le chandelier…

– Non ! Tu vas nous servir de chandelier ! Allez ! A quatre pattes, à côté de la table, le cul bien cambré… Tu t’insères la bougie dans le cul et je vais me faire un plaisir de t’allumer !

Tous s’esclaffent de rire… Tout le monde sauf moi bien entendu… Néanmoins, j’obéis redoutant de ternir la bonne humeur qui semble habiter Monsieur… Accroupie, le cul bien relevé, j’introduis la bougie…

– Plus profond ! Allez, pousse un peu !

Puis il vient allumer la mèche… Je sens les regards amusés qui me fixent… La cire qui dégouline jusqu’à mon anus… Je reste silencieuse et immobile… Le souper semble s’éterniser… Je sens mes genoux engourdis… Mes bras s’affaiblissent… La chaleur de la flamme se rapproche dangereusement de mon cul… Et pourtant, une seule envie obsède mes pensées : l’envie de me masturber encore et encore !

L’attente, j’entends des propos de plus en plus grivois… Monsieur éteint la mèche… On me fait me relever. Les invités sont debout les uns à côté des autres… les bites sortent de leur braguette… Je sais qu’il me va falloir les sucer…

Je commence par la première, la plus proche de moi… je la masturbe un peu, puis la porte en bouche… mes lèvres et ma langue s’activent.

– Sois une vraie salope, fous-lui un doigt dans le cul ! Me dit Monsieur.

Très vite, il décharge… j’avale un peu et laisse couler le reste sur mon menton.

– Nettoie, il a la queue pleine de sperme.

Je m’acquitte de cette tâche… l’homme range son sexe, puis sort un billet de son portefeuille qu’il jette à mes pieds.

– Tiens, putain !

Je suis morte de honte… mais ma chatte est en feu…

– Ne t’essuie pas, reste comme ça, et suce son voisin.

Je suce, il veut aussi que je lui suce les couilles, puis le trou du cul, il m’énerve ce type ! Mais j’obtempère en bonne soubrette obéissante.

Son cul sens la merde mais peu me chaut, ce soir je ne suis que la salope de service.

Il veut ensuite m’enculer, je redoute ce moment, certains s’y prennent tellement mal. Je me demande dans quelle position il veut faire ça… Il me fait mettre en levrette ! Tant mieux, je ne verrais pas sa gueule !

Il m’écarte les fesses et entre en force. J’ai mal, je serre les dents. Heureusement l’homme est tellement excité que l’épreuve ne dure pas longtemps. Je pensais en avoir terminé, mais un autre prend sa place et contrairement au précédent semble vouloir prendre son temps.

Celui qui vient de jouir dans mon fondement me présente sa bite afin. que je la nettoie. Il a conservé sa capote polluée par ma propre merde. J’ai un instinctif mouvement de recul, il me gifle. Je suce en lui lançant un regard de haine. Il en retire sa capote et je lèche son sperme

C’est tout ? Oui ?

L’autre décule, se débarrasse de sa capote et se branle en m’aspergeant le visage de son sperme visqueux.

Ils ont tous joui, ils n’ont plus besoin de moi, je suis invité à débarrasser le plancher.

Je ramasse les billets gisants au sol et l’enveloppe que m’a réservée le maître des lieux.

J’ai bien gagné ma soirée, mais quels connards ! Ils ne sont pas près de me revoir. Heureusement que la plupart de mes clients ne sont pas comme ça.

Mais je n’ai qu’à m’en prendra qu’à moi-même, j »avais accepté ce scénario… et n’empêche qu’ils m’ont fait mouiller !

Fin

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5 réponses à Soubrette soumise par Marie-France Vivier

  1. Stablinski dit :

    Le consentement me paraît bien artificiel

  2. Lise du Sud dit :

    C’est glauque à cause de l’image des mecs que le récit renvoie

  3. Lecharmant dit :

    Pa d’accord avec les avis précédents. Personne ne force la soubrette à se soumettre, elle est est libre de quitter le jeu quand bon lui semble, mais elle veut vivre son fantasme. On est pas dans la contrainte mais dans le consenti

  4. Ramona dit :

    Limite, limite…

  5. Petrus dit :

    Je saus pas, vous, mais moi j’ai trouvé ça glauque

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