Soubrette de charme 7 – Les chaleurs de Corinne par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

Soubrette de charme 7 – Les chaleurs de Corinne par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

Attention : Texte réservé à un public averti, contient des passages scatologiques

Cette histoire appartient au cycle de la « soubrette de charme » mais ne nécessite pas la (re)lecture des autres épisodes de la série

Pour changer un peu, dans cet épisode ce sera moi Gabrielle, qui sera la narratrice ! Vous voulez bien ?

Corinne de la Villemoison… Je ne suis pas certaine du nom exact… (Mais comme ce n’est pas une histoire vraie et que toute coïncidence et bla-bla-bla….) Il y avait longtemps que je ne l’avais pas vu celle-ci, un an ou deux, le temps passe tellement vite, elle m’avait aidé à financer l’exposition de Funneck Bellis dans ma galerie parisienne de la rue de Seine. L’affaire avait bien marché et tout cela s’était conclu par une fête assez débridée au cours de laquelle j’avais pu assister aux ébats frénétiques de ma mécène, qui devant une assistance médusée suçait presque toutes les bites qui passaient, se faisaient enfiler et enculer à qui mieux-mieux, les femmes n’étaient pas en reste et elle avait voulu marquer un point d’honneur en m’emmenant dans une alcôve « tranquille » pour terminer la soirée. Nous ne nous étions pas revues depuis.

– Bonjour Gabrielle ! Vous êtes toujours aussi ravissante ! Mais vous êtes absolument injoignable au téléphone, ma chère ! Claironna Corinne en pénétrant dans la galerie.

Je l’accueille avec le sourire. Il me semblait bien me souvenir que le jour où elle m’avait léché la chatte, elle ne me vouvoyait pas ! Elle était aujourd’hui vêtue d’un ensemble tailleur rouge, qui devait sans doute valoir son pesant d’euros et d’un large chapeau assorti. Tout était dans la silhouette, une belle femme certes, mais rien non plus d’exceptionnel, elle avait surtout eu la chance de rencontrer un mari multimillionnaire.

– Etes-vous sûr d’avoir le bon numéro ?

La visiteuse ne répondit même pas et se lança dans un discours assez confus d’où il ressortait que celle-ci avait urgemment besoin d’un exemplaire du catalogue de cette fameuse exposition de l’année dernière, pour des raisons qui m’échappèrent un peu…

– Je dois en avoir encore quelques-uns à la maison, je vous en mets un demain ici à votre disposition… ou alors je vous l’envoie…
– C’est que j’en ai besoin ce soir !

Embêtant, ça ! Mais je n’avais aucune envie de contrarier une personne qui pouvait me rendre encore d’importants services dans le cadre de la gestion de la galerie.

– Qu’à cela ne tienne, je vais aller en chercher un de suite, en voiture j’en ai pour moins de deux heures aller et retour… Vous repassez, ou vous m’accompagnez ?
– Puisque vous me le proposez, je crois que je vais vous accompagner ?

Du coup, je me mordis les lèvres, voilà ce que c’est de faire des propositions par politesse !

Toujours est-il que quelques minutes plus tard, nous tracions toutes deux la route vers les Yvelines, là où se trouve notre domicile conjugal. Nous avons parlé de choses et d’autres pendant que l’automobile s’efforçait de sortir de la capitale embouteillée. Enfin quand je dis « parler » c’est surtout Corinne qui monologuait…

C’est en traversant la forêt de M… que la conversation prit une tout autre tournure :

– Tiens un auto-stoppeur ! Un black !

Je ne relevais pas ! Je n’avais pas l’intention de prendre qui que soit en stop, je le faisais avant, jusqu’à ce je tombe un jour sur un type dont j’avais eu un mal de chien à me débarrasser, je ne le faisais donc plus.

– On aurait dû le prendre ! Insista Corinne. A deux on ne risquait rien et je suis sûr qu’il était bien monté !
– Toujours aussi branchée sexe, à ce que je vois !
– Il n’y a que ça qui m’intéresse ! Répondit carrément Corinne ! Tiens, je ne vous ai pas raconté, la semaine dernière on m’a livré un superbe canapé, une vraie merveille ! Je l’ai payé… attendez, je l’ai payé combien ? C’est bête je ne me rappelle plus !

Je commençais à être sérieusement agacée par ma passagère, je n’en avais rien à foutre de son canapé, moi aussi j’ai de l’argent, moi aussi j’avais eu de la chance, mais au moins je n’étais pas toutes les cinq minutes en train d’étaler mon fric…

– Remarquez ça n’a aucune importance, donc on me l’a livré mardi, les livreurs étaient trois noirs, trois solides gaillards…

L’histoire de Corinne

Dingue, ils vont me rendre dingue, avec le prix qu’on paye, il est midi et la livraison qu’on devait me faire dans la matinée n’est toujours pas arrivée. Je téléphone furibarde, et on me raconte n’importe quoi, un contretemps, un concours de circonstances, pas moyen de vous avoir au téléphone, des problèmes de lignes, n’importe quoi ! Je hurle, j’invective, je menace. On me raccroche au nez, ce doit être ça la démocratie, c’est le pouvoir de raccrocher au nez de ceux qui ont de l’argent, remarquez l’un dans l’autre c’est mieux que de leur couper la tête… Cinq minutes après : coup de fil, ce n’est pas la même personne, mais on me dit que ma livraison sera chez moi dans une heure, et que pour me dédommager on m’offre une caisse de champagne, ils peuvent se les mettre au cul leurs bouteilles de champagne, je n’ai pas que ça à faire ! Quelle idée j’ai eu de payer ce truc d’avance sinon ils seraient retournés la queue basse avec leur canapé de merde dans leur putain de camion !

On sonne ! Chouette, je vais me défouler, ce sont les livreurs qui vont prendre ! Ils n’y sont pour rien, et alors, si j’ai envie d’être injuste, c’est mon droit, non ?

– Euh, bonjour Madame, il faudrait ouvrir la double porte, sinon le camion ne pourra pas rentrer !

Oups ! J’ai devant moi un superbe black d’un mètre quatre-vingts super baraqué et jovial ! Soudainement je n’ai plus envie de rouspéter. Je lui ouvre la porte, ils sont trois en fait, trois noirs, tous aussi mignons les uns que les autres. Pendant qu’ils installent tout ça, vite je me fais un plan : Je monte dans ma chambre et cherche un haut un peu décolleté, mais je ne trouve rien qui aille avec mon pantalon, je ne vais quand même pas me rhabiller complètement, alors j’ai une idée, je dégrafe tous les boutons de mon chemisier sauf un. Et je redescends, ça ne loupe pas, les mecs ils n’arrêtent pas de mater dans l’échancrure. Ils sont chauds, je peux continuer mon cinéma !

– Qu’est-ce qu’il fait chaud, vous avez dû en baver, les gars ?

Et joignant le geste à la parole, je défais le dernier bouton et envoie valser le chemisier, je suis devant ces trois magnifiques blacks en pantalon et soutien-gorge !

– Ça c’est bien vrai qu’il fait chaud ! Dit l’un deux !

Je repère celui qui me parait le plus vulnérable et lui met carrément ma main sur la braguette !

– Je crois que vous avez droit à un petit pourboire !

Les deux autres se regardent, n’ont pas l’air trop d’accord entre eux, et l’un deux dira :

– C’est comme vous voulez madame, mais moi je me contenterais d’un verre d’eau…

Merde, me dis-je, je suis tombé sur un témoin de Jéhovah !

Les deux autres ont l’air déçu !

– Si la petite dame veut nous faire plaisir, je ne vois pas pourquoi on refuserait ! Dit l’un des autres
– Si je comprends bien je suis en minorité ! Constate le buveur d’eau !
– Ben oui ! T’es en minorité
– Bon alors je m’incline, c’est cela la démocratie ! Rigole-t-il.

Je fais semblant de ne pas entendre ce mot qui fâche ! Je leur dis que je reviens tout de suite, leur demande de se déshabiller et courre dans ma chambre chercher des préservatifs ! Ouf je suis prévoyante, il m’en reste suffisamment ! En redescendant je suis subjuguée ! Ces trois corps nus devant moi, les trois bites tendues longues et vigoureuses…

– Attention, les gars, vous allez pouvoir me baiser, mais c’est moi qui organise tout, c’est bien compris, on ne me pénètre pas sans capote et quand on change de trou on change de capote aussi ! Toi tu vas me dégrafer mon soutif et tu pourras m’embrasser et me peloter les seins, toi tu m’enlèves tout le bas, et toi tu ne fais rien tu regardes mais prépare-toi, quand je vais être complètement nue, je vais te sucer !

Ce doit être psychologique, le simple fait de lui dire ça à celui-ci et sa bite devient toute raide et tandis que le premier se régale de mes seins comme s’il n’avait rien mangé depuis huit jours, que le second joue avec mes fesses mais n’ose encore s’égarer autour de mon minou, je me mets à mouiller comme une fontaine. Je délaisse mes déshabilleurs et me précipite vers celui à qui j’avais promis la fellation, j’embouche son joli sexe tout foncé et commence à le sucer tout en lui imprimant un joli mouvement d’aller et retour !

– C’est bon, hein, de se faire sucer par une bourgeoise, par une salope de bourgeoise ! Lui dis-je entre deux mouvements de bouche.
– C’est bon, madame, c’est trop bon !

Malheureusement il ne tient pas la distance et m’éjacule dans la bouche ! Dans la foulée j’indique à l’un des deux autres de se coucher par terre et de s’encapoter, je le chevauche fièrement dans la position d’Andromaque puis après quelques pistonnages je me casse en deux dégageant mon second orifice et indiquant au troisième larron qu’il peut lui aussi y aller. Il rentre facilement malgré la grosseur de son zizi ! Ils ont un peu de mal à se synchroniser, il faut que je les aide, mais finalement ça le fait ! Quelles sensations que ces deux membres qui coulissent si près l’un de l’autre, qui apportent des troubles si différents mais qu’on croirait complémentaires, je suis remplie de partout. J’ai bien fait de faire la fellation avant, trois orifices à la fois, je n’y serais pas arrivée, personne n’est parfait !

– Si vous pouviez vous débrouiller pour jouir ensemble les gars !
– Je suis presque prêt ! Dit celui du dessous !
– O.K. je ne bouge plus ! Et toi derrière ?
– Ça vient, ça vient madame !

Il ne dit plus rien, je ne sens plus que ses coups de boutoir dans le cul !

– Ça y est je vais venir ! dit-il enfin

Je reprends alors mon chevauchement, je sens mon enculeur jouir dans sa capote, je suis bien, j’aime jouir du cul, je sais que c’est psychologique, à moins qu’il y ait des relations nerveuses encore ignorées des spécialistes. Je pousse un cri de bête à jouir. Mon second amant suivra quelques secondes après.

Je me sauve dans la cuisine, je suis calmée, j’ai un beau canapé, je me suis bien éclatée, je reviens avec un verre d’eau, les mecs sont en train de se rhabiller.

– Qui c’est qui m’avait demandé un verre d’eau ?
– C’est moi !
– Mais c’est que nous aussi on aurait une petite soif ! Protestent les autres !

Du coup on a débouché une des bouteilles de la caisse que m’a offert le marchand de meubles, et vingt minutes après mes trois lascars étaient de nouveau en forme, je leur ai donc proposé de m’enculer tous les trois à tour de rôles. Je ne te dis pas l’état de mon cul quand cette affaire a été terminée !

Et je vais vous dire la meilleure : le champagne, il était dégueulasse !

Fin de l’histoire de Corinne
Retour dans la voiture de Gabrielle

– Oh la la ça m’a excité de raconter tout ça, je suis toute mouillée, vous n’auriez pas un gode dans votre boite à gants ?

En disant cela, elle a retroussé sa jupe, et écarté sur le côté le tissu de son minuscule string ! Effectivement madame est trempée.

– Ben non, je n’ai pas de gode dans ma boite à gants !
– Putain, il faut que je me calme, on va s’arrêter dans le bois et tu vas me faire un petit câlin. Propose-t-elle, passant enfin au tutoiement.
– On sera bientôt arrivé à la maison, se sera plus confortable !
– Vous me faites languir, Gabrielle, faites attention, je pourrais me venger (et c’est reparti pour le vouvoiement)
– Vous venger ?
– Vous attacher, vous fouettez, vous pincer, vous prendre avec un gode ceinture…
– Chez moi ? Vous rêvez Corinne !
– Aurais-je le droit d’essayer ?
– D’essayer, oui !
– Regarde ma chatte comme elle est trempée !
– Je sais, ça fait deux fois que tu me la montres !
– T’as vraiment rien que je puisse me foutre dans le cul ?
– Plus que 10 minutes, patientez que diable !
– Ah ! Ce que j’aimerais me faire enculer par une grosse bite en ce moment ! Tiens, si on en voit un qui fait du stop je lui demande !
– On se calme, Corinne !
– Tu sais un de mes fantasmes, c’est de faire la pute, on s’arrête et on lui demande 20 euros et on le suce !
– C’est ça et si un flic relève le numéro de ma voiture !
– Mais, non, il n’y a aucun risque ! Tiens là-bas, il fait quoi ce mec ?
– Pas du stop en tout cas ! Il doit se balader,
– Arrête-toi à sa hauteur !
– Corinne, calmez-vous !
– Gabrielle, il n’est pas dans mon intention de faire du chantage, je vous ai déjà prouvé jusqu’où pouvait aller ma collaboration professionnelle et artistique, et vous n’avez pas été perdante. Je souhaiterais que nous puissions collaborer encore à nouveau ! Je suis en ce moment parfaitement normale, je suis simplement trop excitée. Alors maintenant faites ce que vous voulez ! Et vous pouvez même me traiter de salope ! Ça vous soulagera et moi je m’en fiche !
– Salope ! Répéta alors Gabrielle en exécutant un demi-tour dans une contre allée.

J’arrêtai la voiture au niveau du black, et donnais un coup de klaxon, l’invitant à traverser !

– Si tu as la bite bien propre, je peux te faire une petite pipe ? Propose Corinne !

Le mec hésite, se renseigne sur le prix, hésite encore.

– Tu ne le regretteras pas, j’adore ça, sucer des belles queues noires pleines de foutre.
– D’accord ! Ça se passe où ?
– Je sais pas moi, sur la banquette arrière, viens, entre !
– Ah, non ! M’écriais-je, vous n’allez pas saligoter ma bagnole, je vous emmène dans le sous-bois.

On fait monter l’heureux homme à l’arrière, on s’engage dans une contre allée qui se termine en cul de sac, puis après être descendues, on emprunte un petit chemin jusqu’à une minuscule clairière. Là, Corinne demande à l’homme de s’adosser contre un arbre, puis le déculotte sans que celui-ci ne proteste !

– Oh, le beau joujou !

Le type bande un peu mou mais expose un bel organe d’une jolie couleur chocolaté. Corinne y goûte !

– Hum, un peu salé, mais pas mauvais, tu veux goûter, Gabrielle ?
– Commencez, très chère !

Je commence à m’exciter à mon tour de voir la belle bite coulisser de plus en plus raide et de plus en vite entre les lèvres gourmandes de Corinne de la Villemoison. Cette dernière finit par faire une petite pause.

– Et évidement personne n’a de préservatif, ici ! Proteste-t-elle. Vraiment dommage ! Ce que j’aurais aimé me la foutre dans le cul ! Allez Gaby, viens donc sucer cette queue, elle est trop bonne !

Je goûte à mon tour à la tige de l’homme et m’en régale, mais l’autre coquine piaffe d’impatience en se tripotant la chatte, et viens réclamer son dû. Elle reprend alors le nouveau la bite dans sa bouche mais son propriétaire n’en peut plus. Des secousses caractéristiques s’emparent du sexe qui finit par éjaculer dans la bouche de la fellatrice. Corinne finit par éloigner ses lèvres et je la remplace recueillant les dernières gouttes. Puis devant le regard subjugué du black nous nous roulons un patin d’enfer échangeant le sperme encore présent dans nos palais.

– Heu, vous pouvez me redéposer sur le bord de la route ? Demande-t-il

Un bruissement se fait alors entendre dans les buissons tout proches. Des pas craquent sur les brindilles en s’éloignant, une ombre furtive apparaît un moment suivie d’une autre avant de disparaître ! Me voilà peu rassurée, et Corinne n’est pas tranquille non plus, mais l’homme nous explique :

– C’est des voyeurs, vous n’avez rien à craindre, ils matent et c’est tout !
– Vous voulez dire qu’ils ont tout vu ? Demande Corinne.
– Il y a des chances !
– Hum ça m’excite ! Se contenta-t-elle de commenter.

Je me retins alors de dire la même chose de peur de me laisser entraîner par mon amie dans d’autres imprévisibles péripéties

On rembarque l’heureux homme qui en profite pour demander si par hasard nous n’irions pas à L…

– Non pas vraiment ! Désolé ! Ment effrontément Corinne !
– T’es vache on aurait pu l’emmener, c’est à côté ! Proteste Gabrielle une fois l’homme débarqué sur le bord de la nationale
– C’est que voyez-vous chère amie, je ne peux plus attendre ; alors vous allez gentiment retourner dans le petit chemin et vous allez me faire le plaisir de me sucer la chatte.
– Non, mais arrête, on est à cinq minutes de chez moi ! Je veux bien te lécher si tu veux, mais on sera mieux dans un plumard que dans l’herbe !
– Je ne veux pas attendre cinq minutes !
– Ah ! Et on peut savoir pourquoi ?
– Parce que j’ai envie de te dominer et que tu n’as pas à discuter !
– Tu ne me domineras pas si je ne suis pas d’accord ! Répondis-je sans trop de conviction.
– Et admettons que je te donne une bonne raison, tu accepterais ?
– Admettons !
– Parce que, tu vois, à ce petit jeu de savoir quelle est la plus salope, tu as largement gagné !
– Je ne suis pas sûre de comprendre !
– Si, moi j’ai joué à la pute pour pouvoir le sucer, toi tu l’as sucé pour rien !
– Arrête, il est où l’argent, il ne te l’a pas donné, à mon avis il attendait sagement que tu lui réclames, mais comme tu l’as pas fait…

Corinne se rend tout d’un coup compte qu’elle vient de perdre le défi qu’elle a lancé, mais ce n’est pas le genre à s’en offusquer, ce serait même celui de profiter de toutes les occasions et de retourner les situations à son avantage.

– Bon, un pari, est un pari, j’ai perdu, c’est donc à toi de me dominer ! Fais ça comme tu veux mais ne me prive pas de jouir ce serait pas gentil !

– L’enjeu, c’était que tu me domines ou que tu me domines pas, c’était pas d’inverser les rôles !
– S’il te plaît ! Gabrielle ! Maîtresse Gabrielle ! Punis-moi ! J’en ai envie !
– Bon, bon, puisque tu insistes, allez on retourne dans la contre allée. Et j’espère que les voyeurs vont revenir !
– Euh, c’est pas un peu dangereux ?
– T’inquiètes pas, j’ai toujours une bombe de lacrymogène dans mon sac au cas où !

Arrivées au premier tournant du petit chemin qu’elles empruntent, Gabrielle ordonne à Corinne de se déshabiller.

– Ici ?
– Oui, ici ! Et dépêche-toi, poufiasse !
– Mais on serait peut-être mieux dans la clairière, non ?
– Bon, alors écoute Corinne, je croyais que tu souhaitais une domination ! Alors bien sûr, tu as le droit de changer d’avis !
– Non, non, je veux toujours que tu me domines !
– O.K., mais alors, je te donne les ordres que je veux et je te parle comme je veux, d’accord ?
– D’accord, mais c’était juste une suggestion pour la clairière !
– Corinne, tu arrêtes de discutailler et tu te fous à poil ici et tout de suite.
– Oui Gabrielle !
– Maîtresse Gabrielle ! Reprit cette dernière, ce qui fit pouffer de rire Corinne, qui du coup se reçu une belle gifle en plein visage !
– Pardon Gabrielle !
– Mieux que ça !
– Pardon maîtresse Gabrielle !
– Bon alors tu te mets à poil ou tu attends l’arrivée du Tour de France ?
– Le collant aussi ?
– Tout !

Elle obtempéra.

– Qu’est-ce que je fais de mes affaires ?
– Ben tu les gardes à la main, tu ne crois quand même pas que je vais te les porter, non ? Et tu passes devant !

Enfin, on se mit à avancer, mais en étant incapables de retrouver la clairière de tout à l’heure. Sans doute n’avions-nous pas pris le bon chemin à un moment ou à un autre ?

Et soudain, un mec débouche devant nous. Corinne fait ce qu’elle peut pour cacher sa nudité. On se croise, on se serre pour le faire ! Corinne réalise que le type a désormais une vue imprenable sur ses fesses. Par réflexe, elle regarde en arrière. Le type a pilé et s’en fout plein la vue ! Je l’apostrophe :

– Si tu veux mater, tu mates, et tu nous suis de loin, mais tu mates et c’est tout !

Il ne répond pas mais semble avoir très bien compris le message.

Quelques minutes plus tard, on finit par découvrir une nouvelle clairière, l’inconnu se fige alors à une douzaine de mètres de nous, tout émoustillé par ce qu’il avait déjà vu !

– Tu te mets à quatre pattes ici et tu ne bouges plus !

Corinne s’installa gauchement comme on lui ordonnait de le faire !

– Mais, pas comme ça ! Qu’est-ce que tu t’imagines qu’on va faire ? Jouer à saute-moutons ? Ecarte un peu les jambes et relève tes grosses fesses de salope ! Allez, mieux que ça ! Bon je reviens tout de suite !

Je me dirige alors vers un jeune noisetier duquel je détache une petite branche, j’en retire toutes les feuilles, puis je reviens vers ma compagne de jeu tester cette badine improvisée ! J’ajuste mon coup et le fait claquer sur les fesses de Corinne :

– Aïe !
– Qu’est-ce qu’il y a, c’est trop fort ?
– Non ça va, tu peux continuer !
– Un peu que je vais continuer, et je ne veux plus t’entendre.

Une demi-douzaine de coups s’abat sur les jolies fesses de madame de la Villemoison qui s’efforça alors de ne point broncher !

– Alors ? T’aimes ça que je te fouette, le cul, salope ? Ton gros cul de poufiasse ?
– Encore un peu ! Se contenta de répondre l’intéressée.
– Et toi là-bas rapproche-toi donc un petit peu, on ne va pas te bouffer !

L’homme hésite, finit par se rapprocher.

– T’aimerais bien être à sa place ? Hein ? T’aimerais ça que je te fouette le cul ?
– Heu, non, ce que j’aime bien c’est juste regarder… parvient-il péniblement à articuler.
– Ah, ouais ? Et si je t’autorise à caresser ma copine, tu vas refuser aussi ?

Le type parait de plus en plus gêné :

– Heu, la caresser un peu, je veux bien…
– C’est 20 euros les caresses !
– Pipe comprise, si tu as la bite propre ! Ajoute Corinne.
– Toi, la pétasse, on ne t’a rien demandé !

Le voyeur semble indécis, il finit par se reculer :

– Je vais voir ! Je ne sais pas ! Mais je peux continuer à vous regarder ?
– Fais ce que tu veux, mais une occasion comme ça, tu n’es pas prêt d’en retrouver une ! 20 euros pour caresser une aussi belle pute, moi à ta place je n’hésiterais pas !

Le mec se retourne, fouille dans ses poches, revient et me tend un billet,

Je le coince dans mon bracelet-montre !

– O.K. ! Caresse-lui les fesses, mais avant tu vas te mettre la bite à l’air !

Il bande joliment et commence à tripoter le cul de Corinne avec une frénésie assez hilarante.

– Lèche !

L’inconnu ne se le fait pas dire deux fois et se met à embrasser le fondement de la bourgeoise. Je suis de plus en plus excitée et je ne sais pas ce qui me retient de m’emparer de cette belle verge au gland luisant qui semble me narguer.

– Je ne t’ai pas dit d’embrasser, je t’ai dit de lécher ! Allez mieux que ça ! Je veux que ces fesses soient barbouillées de salive ! Et toi, ma salope, ça te plaît de te faire lécher le cul par n’importe qui ?
– Oui ! Continue, fais-moi ce que tu veux… Mais tout à l’heure j’aurais ma revanche !

J’avais presque oublié cette évidence ! Il me faudra donc essayer de ne pas aller trop loin !

– Lèche lui le trou du cul, maintenant !

Il se passe alors quelque chose de curieux. Le type commence à vouloir exécuter ce que je lui demande sans aucun problème, puis il a un mouvement de recul !

– Ben quoi qu’est-ce qu’il y a ?
– J’aime pas trop ça ! Répondit-il d’une voix presque inaudible.

Parfois, il ne faut pas trop chercher à comprendre, mais là je crois bien avoir trouvé la clé de l’énigme ! Je prends la place du mec et j’approche ma langue du trou du cul de Corinne, ça ne sent pas vraiment la rose, mais moi ça ne me dérange pas du tout, ces odeurs intimes me rendent folles ! Non seulement ça sent, mais mademoiselle a dû s’essuyer avec un timbre-poste car quelques traces pas vraiment nettes entourent son trou de balle ! Voilà qui m’excite encore davantage, mais il faut aussi que je reste dans mon rôle :

– Ben quoi, il y a une petite odeur ! C’est pas pire que de bouffer du reblochon ! Enfin, bon, c’est toi le client, tu as payé ! Mets-toi devant elle, elle va te sucer la bite !

Le gars semble tout heureux que l’affaire se conclue de la sorte, et tandis que Corinne se met à pomper le sexe bandé du voyeur, j’ai repris ma badine et recommence à lui cingler les fesses !

– T’es vraiment qu’une salope, tu fais la bourgeoise avec tes fringues de luxe et tes bijoux, et t’es même pas capable de t’essuyer le cul correctement ! Et qui c’est qui va être obligé de nettoyer tout ça c’est Gabrielle !
– Pas si fort ! Répond cette dernière !
– Tais-toi et suce !
– Il n’y a plus rien à sucer, il n’a pas tenu la distance !

Effectivement, le voyeur est en train de s’essuyer le sexe avec un kleenex, se demandant ce qu’il doit faire maintenant !

– C’était bien, elle t’a bien sucé ?
– Oui ! Dit-il simplement en esquissant un petit sourire et en opinant du chef.
– Bon tu peux continuer à regarder, mais tu ne touches plus ! Toi, Corinne tu vas t’allonger par terre, sur le dos !
– Attends, je vais toute me dégueulasser, tu n’aurais pas un truc dans la voiture, une serviette, une bâche…
– Tu ne veux pas un lit à baldaquins non plus, aller, allonge-toi, tu prendras une douche chez moi ! Ou alors on arrête, c’est comme tu le sens !

Corinne obtempéra :

– Qu’est-ce que tu l’intention de me faire ?
– Je vais te pisser dessus !
– Non ?
– Si !

Je retire mon pantalon et ma culotte, j’ai tout l’entrejambe trempé ! Heureusement que je ne me suis pas habillée en clair ! Je place mes jambes de part et d’autre de son corps, et j’ai d’abord l’idée de l’arroser « en fontaine », mais la vue de ses seins me fait faire une diversion ! L’image est magnifique, deux petits seins bronzés luisants de sueur, les tétons ocres insolemment redressés, je me penche vers eux, les caresse, serre les pointes de mes doigts, les mordille… J’aurais volontiers continué ce jeu, mais l’envie d’uriner me tenaille trop ! Je m’accroupis donc, ma chatte à quelques centimètres de sa bouche ! Elle est déjà ouverte :

– Tu vas tout boire !
– Oui !
– Je te préviens, il y a la dose !
– Pisse !

C’est parti ! Directement les grandes eaux, je n’essaie même pas de contrôler mon débit. Corinne avale ce peut qu’elle peut, le reste dégouline sur son visage, sur son cou, mais elle se régale !

– Y’en a plus ? Demande-t-elle alors que j’avais terminé !
– Ben non !
– Hum, regarde-moi ça, je m’en suis foutue partout, mais bon, ça valait le coup, il est délicieux ton pipi !
– C’est vrai, ça ?
– Embrasse-moi, tu verras bien !

Bien sûr que je l’embrasse ! Délicieuse sensation que le contact de cette langue encore imprégnée d’urine ! Le baiser est long mais ne nous apaise pas !

– Je suis en train de me demander si je n’ai pas envie de faire caca ! Lui confiais-je.
– Eh bien vas-y !
– Je fais ça où ?
– Ou tu veux, mais ne te gêne pas pour moi !
– Tu veux regarder ?
– Oui pourquoi pas ?
– Tu veux voir ma merde sortir de mon cul, c’est ça ?
– Ça doit être génial !
– Mais pour m’essuyer…
– Je m’en chargerais répond Corinne, vas-y chie, ma chérie, fais-moi un gros boudin.

Je pousse, Corinne a placé sa main dans la trajectoire et récupère mon étron, elle en détache un petit morceau qu’elle garde au creux de sa main. Je me redresse et lui offre mon cul à nettoyer. Je sens sa langue qui me titille le cul, ça me chatouille.

– Qu’est-ce qu’elle est bonne ta merde ! commente-t-elle.

Elle prend le bout d’étron qu’elle avait gardé dans sa main et le place entre ses lèvres et me fais face. J’ai compris, nos bouches s’approchent et nous nous sommes embrassées comme cela avec l’étron qui se baladait d’une bouche à l’autre.

– On est vraiment dégueulasse !
– On ne fait de mal à personne ! Répondis-je.
– Fais-moi jouir ! Quémande Corinne.
– Moi aussi j’ai envie de jouir ! On fonce à la maison, un peu de confort ce ne sera pas plus mal !
– Cruelle !
– Tu te rhabilleras dans la bagnole, je dois avoir une boite de kleenex pour t’essuyer un peu.
– Et notre voyeur ?
– Disparu !
– Oh c’est quoi ces gémissements ?
– On dirait un chien qui geint !

On va voir et effectivement on découvre un labrador blanc dont la laisse est attachée après d’un tronc d’arbre.

– Il y a quand même des salauds graves ! Rouspète Corinne

Je vais pas lui donner tort, j’ai horreur qu’on fasse souffrir des bêtes.

– Heureusement qu’il a plu, sinon, il serait mort de soif ! Me dit Corinne en détachant la bestiole qui manifeste sa joie en lui sautant au coup

– On se calme on se calme !
– Qu’est-ce qu’on va en faire ?
– Ben on va l’emmener, le nourrir et ensuite, je ne sais pas, on le conduira à la SPA ! Répond Corinne qi a décidément réponse à tout
– Je vais le nourrir avec quoi ? Je ne vais pas aller acheter des croquettes dans l’état où on est…
– T’as des boites pour ton chat, non ?

Je vous dis, elle a réponse à tout.

2ème partie

– On arrive à la maison dans cinq minutes ! On va être tranquille, c’est le jour de congé de la petite bonne ! Remarque d’un autre côté, c’est dommage parce qu’elle est très délurée…

Je commande l’ouverture de la grille, et là : surprise : la voiture de mon mari ! Je pense d’abord au pire !

– Reste dans la bagnole, je vais voir !

Je cours, je me précipite. Mais seconde surprise, mon époux qui m’a entendu arriver m’ouvre la porte du perron !

– René ! Tu m’as fait peur ! Il y a un problème ? Demandai-je !
– Non pas du tout, mais je ne t’attendais pas si tôt ! J’ai emmené un type que j’ai rencontré ce midi au boulot, on s’est découvert quelques affinités et disons que je voulais en profiter un peu !
– Je vois ! Monsieur profite de l’absence de madame pour me tromper avec un mec, c’est du propre ! Répondis-je sur le ton de la plaisanterie.
– Tu ne vas pas nous faire une crise… mais il y a quelqu’un dans ta voiture ?
– Oui, je suis avec Corinne de la Villemoison, la nana qui a financé l’une de mes dernières expos ! Et figure-toi que moi aussi j’ai quelques affinités avec elle et que je voulais en profiter !
– Bon comment on fait ? Tu ne peux pas aller faire tes galipettes à l’hôtel ?
– Impossible, on a un peu fait les folles dans la nature, faut qu’elle se rebichonne !
– C’est vrai que tu m’as l’air d’être dans un drôle d’état.
– Ben oui, on a trouvé un chien, il est affamé, ça t’embête du lui ouvrir un boite pour le chat.
– Non mais attend, je veux pas qu’il fasse du mal à notre chat !
– C’est provisoire tout ça., ne t’inquiètes pas
– Bon O.K. je vais te céder la place et m’occuper du chien, mais viens et fait entrer ton amie, on est entre gens civilisés !

Certes, mais je me suis demandé à ce moment-là si mon mari n’avait pas quelques arrière-pensées partouzardes. A priori, j’étais plutôt contre ! Je n’ai rien contre l’amour de groupe, mais il se trouve qu’en ce moment j’avais envie de prolonger le trip sexuel avec Corinne sans interférence d’aucune sorte ! Mais bon… Je prévenais ma complice de la situation, elle commença par me faire une comédie, arguant qu’elle n’était pas présentable…

– Mon maquillage est à refaire, et j’ai de la pisse dans les cheveux…

Je réussis tout de même à la convaincre de sortir de la voiture

– Ah ! Corinne ! Permettez que je vous appelle Corinne, l’interpelle mon mari, soyez la bienvenue, j’ai encore bien sûr le souvenir de cet inoubliable vernissage ! Mon seul regret c’est de ne pas avoir pu vous approcher !
– Et bien dommage que vous soyez, à ce que viens de le dire Gabrielle, très occupé, sinon nous aurions pu faire une séance de rattrapage !

Insatiable, décidément, la Corinne !

On entre ! René, mon mari nous présente son invité ! Un mec dans la trentaine, blond, yeux bleus, allure sportive, bel homme, il se prénomme Denis.

– Je ne suis pas présentable, je vais prendre une douche et je reviens, c’est où ?

Je me dis que la douche va peut-être la calmer, mais moi je ne le suis pas… calmée.

– Vous voyez, j’avais déjà sorti le champagne, je vais chercher deux coupes supplémentaires, on va trinquer, puis Denis et moi, vous laisserons la place, Mesdames.

En attendant Corinne, René s’occupe de nourrir le chien, me laissant seul avec le Denis qui ne pipe pas un mot. Charmant ! Quand René reviens c’est pour me raconter des trucs de son boulot dont je me fiche un peu.

J’en ai marre d’attendre Corinne, je monte dans la salle de bain, elle est en train de s’essayer.

– Ça m’a fait du bien une bonne douche, maintenant il faut que je me remaquille.

Ben voyons.

Je me douche à mon tour, une fois terminée la Corinne est toujours à poil.

– Tu pourrais me prêter des fringues, ceux-là sont bon pour la machine à laver ! Je passerais te les rendre à la galerie la semaine prochaine.

Bien sûr que je vais lui prêter des fringues, mais pour l’instant on est là toutes les deux à poils et on ne peut s’empêcher de se peloter. Quelle idée il a eu le René de se pointer avec l’autre abruti.

– On est un peu obligé de descendre trinquer, mais je vais m’arranger pour abréger les choses ! Prévins-je ma complice.

– On trinque à quoi ? Demandais-je malicieusement en levant mon verre !

– A la vie, aux plaisirs de la vie ! Répond mon mari !
– … Au sexe ! Ajoute Corinne !

Incorrigible !

Puis quelques instants plus tard tandis qu’un ange passe c’est encore elle qui cherche à rompre la glace :

– Alors comme ça, vous êtes bisexuel ! Dit-elle s’adressant à mon époux, félicitations, voilà une belle manifestation d’ouverture d’esprit ! J’apprécie beaucoup !

C’est ce qui s’appelle foutre les pieds dans le plat ! René ne répond pas se contentant d’approuver d’un signe de tête accompagné d’un large sourire.

– Et vous monsieur ? Continue-t-elle nullement gênée en s’adressant à Denis.
– A quoi bon les étiquettes, à quoi bon tout classer, mais on peut sans doute dire que je suis bi, même si c’est un peu simplificateur !

Il manque un peu de décontraction et de naturel, ce mec, pensais-je à ce moment-là !

– Moi, ça m’excite de voir deux mecs ensemble se faire des trucs ! Reprend notre bavarde.

Pas de réponse, mais sourire entendu des deux hommes.

– Ça ne vous dirait pas de vous faire une petite pipe devant nous, juste une petite ?

J’ai vraiment à ce moment-là, l’impression qu’elle va se faire renvoyer dans ses cordes…

– Je n’ai pas trop l’habitude de faire ce genre de choses en public, mais… Répond Denis en souriant.

Puis il chuchote quelque chose à l’oreille de mon époux qui à son tour affiche un visage rigolard.

– C’est vrai ça vous plairait ? Demande ce dernier.

Corinne approuve bien sûr, moi aussi, plus d’ailleurs pour faire plaisir à ma complice du moment que pour autre chose, parce qu’en ce qui me concerne j’ai déjà eu l’occasion, des tas de fois de regarder mon époux en situation avec d’autres hommes. Je sais donc sa passion pour les belles queues plus que pour les mâles, je sais aussi sa bouche gourmande et son trou du cul accueillant.

Alors René place sa main sur la braguette du bellâtre et se met à masser l’endroit afin qu’il prenne du volume. Puis d’un geste vif, la fermeture éclair est ouverte, la main pénètre dans l’ouverture ainsi libérée, se livre à quelques caresses complémentaires, tire ensuite la lisière du caleçon fini de la baisser légèrement et libère le membre ! Un bien beau membre, je dois dire, un joli cylindre bien droit et plutôt pale, terminé par un joli gland violacé et luisant.

– Humm qu’il est beau ! S’exclame Corinne

Je me fais la réflexion qu’on en est quand même à notre troisième bite de l’après-midi !

René la masturbe un petit peu, puis il s’accroupit afin de la mettre dans sa bouche. Tout en suçant, il lui déboucle sa ceinture pour pouvoir baisser son pantalon et avoir plus d’aises. Du coup nous découvrons ses fesses qui sont tout à fait dans mes goûts.

René poursuit sa fellation par de réguliers mouvements de va-et-vient buccaux, il se régale, et l’autre semble heureux comme un pape, le visage tourné vers le ciel, les yeux mi-clos, l’air béat ! Puis brusquement tout s’arrête !

– Voilà, le spectacle a-t-il plu à ces dames ? Demande mon mari.
– Super, répond Corinne, c’était court mais super… C’est juste dommage que…

Mais ces messieurs ne l’écoutent pas. J’entends Denis demander « encore un peu ! », puis ils complotent je ne sais quoi mezzo voce, et de façon tout à fait inattendue, René reprend sa fellation !

– Putain, ça m’excite ! Me murmure Corinne

Moi, ce qui m’embête, c’est justement l’attitude de cette nana, je sens qu’elle brûle d’envie de participer aux ébats de ces messieurs prenant ainsi le risque de se faire ramasser, mais de plus, mes projets de continuer à faire des trucs avec elle ne deviennent plus très clairs !

Denis chuchote de nouveau quelques paroles inaudibles. Du coup mon époux cesse sa fellation et se redresse ! J’ai, un très court instant l’espoir qu’ils aillent terminer leur duo ailleurs et nous laisser ainsi le champ libre. Mais non, c’est le contraire, ces messieurs entreprennent de se déshabiller méticuleusement en rangeant bien leurs vêtements respectifs sur des sièges ! Les voilà tous nus, Denis a conservé ses chaussettes, d’incroyables chaussettes fantaisies avec la « panthère rose », ça m’a toujours amusé ces hommes « en quéquette et en chaussettes » voulant sans doute par cet oubli volontaire marquer leur comportement du moment !

Et voilà que René reprend une nouvelle fois sa position, je comprends, certes, qu’il ne se lasse pas de ce bel engin, mais ils pourraient tout de même varier les positions, ça va devenir lassant cette affaire-là !

– Hum ! Qu’elle doit être bonne, cette belle bite, j’aimerais bien y goûter juste un petit peu !

Ça y est la Corinne va se faire ramasser me dis-je ! Mais les choses ne se déroulent jamais comme on le croit !

– Attend je vais faire un truc ! Dis Denis à l’adresse de mon mari !

Ce dernier se dégage, et son invité se dirige alors vers la table !

– Tu permets que je trempe mon sexe dans le champagne ? Demande-t-il
– Je t’en prie, fais comme chez toi !

Il le fait donc et s’adressant à Corinne !

– Tenez, je vous offre un boudoir !

Elle n’y va pas, elle se précipite, et en un instant, la voici à genoux à côté de mon homme en train de sucer la queue champagnisée du bellâtre !

J’ai un peu l’air conne, toute seule dans mon coin. Je décide pourtant d’y rester, si on m’invite à me joindre à la sucette partie, j’irais mais sinon je reste là !

Denis retrempe une seconde fois sa queue dans le champagne, mais il éconduit sèchement Corinne qui y aurait bien goûté de nouveau !

– Je vous ai fait goûter, mais cette fois, tout est pour lui ! Clame-t-il du haut de sa suffisance.

Vexée, elle s’éloigne en haussant ostensiblement les épaules. Elle s’apprête à me dire quelque chose mais le beau gosse fait à mon mari une suggestion à haute voix !

– Ce qui me plairait bien, c’est de te prendre le cul pendant que tu suces ta femme, ça te dirait ?

Par contre, moi, on me demande pas « si ça me dirait », c’est quoi cette mentalité ?

– T’es d’accord chérie ?

C’est René qui me pose la question, pas l’autre !

– Tourne-toi, elle va venir ! Reprend le blondinet

C’est ça, j’ai l’impression qu’ils vont m’attendre longtemps ! René s’est arc-bouté sur le canapé, l’autre lui badigeonne le trou du cul avec du gel, puis approche son engin, la pénétration est rapide, mais il est vrai que mon mari est un habitué des introductions anales.

– Viens dans ma chambre ! Chuchotais-je alors à Corinne.
– Quel con ce mec ! S’exclama-t-elle quelques instants plus tard !
– Personne n’est parfait, répondis-je simplement, ne souhaitant pas dévoiler le fond de ma pensée !

Con oui, car il se permet de faire des propositions me concernant en demandant à mon mari plutôt qu’à moi, comme si je n’étais qu’un vulgaire objet. Con parce qu’il a envoyé bouler Corinne, c’est moins évident ! Tout le monde a le droit de choisir ses partenaires ! Tout le monde a le droit de dire « non » ! Mais il aurait pu le faire avec tact.

On se déshabille dans la chambre, je me sens un peu fatiguée par tout ça, et mon excitation est un peu retombée, mais je sais aussi qu’il me suffirait de peu de choses pour que ça redémarre !

Et tandis que Corinne s’est débarrassée de ses vêtements et de ses sous-vêtements à une vitesse fulgurante, je prends plaisir à paresser, me voici exhibant un petit ensemble string et soutien-gorge en fine dentelle transparente…

– C’est super joli, ton truc, tu l’as acheté où ?

…Et nous voilà parti à papoter chiffons pendant cinq minutes ! Je vais pour retirer le haut !

– Tss tss ! C’est moi qui vais te l’enlever, tu veux ?
– Je t’en prie !

Elle passe derrière moi ! Me flatte les fesses, me les complimente, me les embrasse, puis elle descend le string tout cela sans changer de place, elle se baisse, écarte mes globes fessiers, et sa langue vient alors explorer mon intimité arrière ! Voici une caresse que j’adore

– Dis donc, tout à l’heure tu m’as dit que j’avais le cul qui sentait ! Tu n’as pas senti le tien ?
– Ben non, je ne suis pas contorsionniste !
– Bon alors je vais te faire sentir !

Elle m’introduit alors un doigt préalablement humecté de sa salive dans mon anus, le fait aller et venir à l’intérieur, puis me le fout sous le nez !

– Ben quoi ça sent le cul ? C’est une odeur naturelle, non ?
– O.K., vive la nature !
– En tous les cas, ta langue, elle a l’air de drôlement l’aimer, la nature…

Elle continue, quelques minutes et autant vous dire que mon excitation est revenue au grand galop. Puis elle se redresse, me dégrafe mon soutien, et me caresse le dos quelques instants avant de me masser la nuque. Le miroir de la penderie renvoie nos images et je trouve ça très troublant. Elle finit par m’empaumer les seins, les malaxer sans douceur excessive. Un moment ses doigts s’écartent puis se resserrent en tenailles sur le bout de mes mamelons. La pression est forte.

– T’aimes ça qu’on te les serre !
– J’adore, mais pour l’instant tu ne serres pas vraiment !
– Tu te fous de moi ! Et comme ça, c’est mieux ?

Cette fois elle les a pris entre le pouce et l’index et les a pressés comme une dingue ! Je pousse un gémissement. Corinne me contourne, pose sa bouche sur mon téton droit et lui donne quelques petits coups de langue tout en pinçant le gauche. Elle me le suce maintenant, je devrais dire, elle me l’aspire avant de rapprocher ses dents ! Un peu peur qu’elle me morde trop fort, mais mademoiselle a l’air de savoir ce qu’elle fait, elle continue de mordiller, puis, histoire de ne pas faire de jaloux, elle passe à l’autre. Je mouille comme une éponge, j’ai envie de jouir, là maintenant, tout de suite. Je ne peux m’empêcher de porter ma main sur mon sexe et de frôler mon clito brûlant.

– Ben dit donc, qu’est-ce que tu fais petite vicieuse ?
– D’après toi ?
– Laisse, je m’en occupe, couche-toi sur le lit !

Et la voici entre mes jambes…

– Et ben dis donc, toi, quand tu mouilles, tu mouilles !

Je sens que ce sera rapide, même si elle a la bonne idée de varier ses mouvements de langues afin de ne pas solliciter en permanence mon clitoris. Mais il vient vite un moment où ce n’est plus la persistance du plaisir qui m’intéresse mais son aboutissement :

– Continue comme ça, n’arrête pas !

Message reçu ! Je me cramponne au couvre-lit et essaie sans succès d’étouffer le cri de mon plaisir.

Corinne est restée entre mes cuisses, mais a abandonné mon sexe, s’abreuvant gloutonnement des ruissellements de ma jouissance.

Après le plaisir, j’ai besoin qu’on me dorlote, j’ai toujours fonctionné comme ça ! Mais l’idée n’a pas l’air d’effleurer ma partenaire, il va falloir que je lui dise :

– Viens me faire un bisou !

Ça y est, elle s’allonge contre moi, j’ai tout son corps contre le mien, je me sens terriblement bien. Nos langues se trouvent et le baiser m’apaise. Je ferme les yeux… Coup de barre, je ne vais quand même pas me mettre à ronfler… Si…

Une secousse ! J’émerge ! Qu’est ce qui se passe ?

– Gaby, il va falloir que j’y aille !
– J’ai dormi longtemps ?
– Vingt minutes !
– O.K., on va y aller, tu as fait quoi pendant ce temps-là ?
– J’ai somnolé, on va dans ta salle de bains ?
– Tu veux reprendre une douche
– Non c’est moi qui vais t’en offrir une, une douche dorée !

Je fais couler un fond de bain dans la baignoire et on va pour s’y installer

– Tu sais, Gaby, je me retiens de faire pipi depuis tout à l’heure, je me suis dit que ça te ferait plaisir d’en profiter ?
– Je ne refuse jamais un cadeau !
– Et tu le veux comment mon cadeau ?
– Hum… je veux le boire !
– O.K., assis toi dans l’eau, mais je te préviens, il va y avoir la dose !
– Tant mieux, allez, ramène-toi !

Debout, très proche de moi, sa chatte à trente centimètres de mon visage, Corinne commence à pisser, elle ne vise pas mon visage, mais mon buste. Douce, chaude et troublante sensation, mais j’aime en ces jeux aller jusqu’au bout de cette innocente perversité, ma bouche se place sur la trajectoire du jet et j’avale ce que je peux de cette source dorée !

On s’est embrassées, on s’est mutuellement savonnées, rincées, séchées

– Bon, je te laisse finir, pendant ce temps-là je vais chercher ton catalogue, et après je te raccompagne !
– Tu vas retourner à la galerie !
– Je ne sais pas, je suis un peu crevée !
– Appelle moi un taxi alors !
– Non, non, je te raccompagne, de toute façon, j’ai une course à faire ! Je te laisserais à une station de métro…
– De bus, plutôt, je ne prends jamais le métro !
– Il ne faut jamais dire jamais, mais O.K. pour la station de bus !

On a croisé en bas, mon mari et l’autre zigoto. Ces messieurs s’étaient rhabillés et sages comme des images étaient affairés devant la bibliothèque.

– On va s’en aller ! Me dit René.
– Ah ! Au revoir monsieur René ! lui dit Corinne, faisant exprès de ne pas saluer l’autre bonhomme.

Ils auraient pu ranger les bouquins, c’est quoi ce bordel sur la table ? M’agaçais-je.

– Des bousin de quoi ? Demande Corinne.
– Ce sont des bouquins sur la marine à voile, mon mari en a toute une collection.
– La marine à voile, tiens, tiens, et sur la marine à vapeur il n’a rien ?
– Si justement ! Répondis-je désamorçant la suite de cette plaisanterie vaseuse.

On arrive dans la cour pour découvrir un spectacle ravissant, le chat de la maison est en train de roupiller entre les pattes du labrador.

– Oh les braves bêtes.

Mais notre présence à réveille le chien qui vient faire la fête à Corinne.

– Il est adorable ce toutou ! Dis-moi Gaby tu as déjà essayé avec un chien ?
– Essayé quoi ?
– Ben, de baiser !
– Ah, non, j’ai fait pas mal de choses, mais pas ça !
– Et ça te dirais ?
– Je ne sais pas trop.
– Tu veux me regarder ?
– Te regarde, je veux bien
– On va s’installer sur les transats, là-bas

On y va, Corinne se débarrasse des vêtements que je viens gentiment de lui prêter, la voilà à poil sur le transat, les jambes écartées.

– Viens mon toutou ! Viens lécher tata Corinne !

Et le chine se met à lécher la chatte de Corinne en donnant de grands coups de langues répétitifs.

– Oh ! Quelle langue il a ce chien ! Mais c’est qu’il va me faire jouir le clébard vicieux ! Aaaah !

Elle repousse le chien ! La démonstration serait déjà terminée ? Pas du tout, Corinne se retourne et tends ses fesses.

– Allez chien, chien, maintenant lèche moi mon cul !

Mais le chien comprend d’ordre de travers, il s’élance bite en avant et cherche à pénétrer Corinne quine devait s’attendre à cela si tôt.

– Mais attends toutou !

Elle parvient à s’en dépêtrer, amis avec du mal.

– Attire le vers toi, Gaby que je souffle un peu.

Elle en a de bonne, elle, j’appelle le chien à grand renfort de Tss-tss puisqu’on ne sait comme il s’appelle. Il arrive, je le caresse.

– Essaie de te faire lécher ! Tu verras, c’est géant ! Me nargue Corinne.

Je le fais ou je ne le fais pas ? Finalement je n’ai pas hésité longtemps, j’ai baissé mon futal et mon string et laissé le chien me lécher. Effectivement la sensation est terrible, non seulement sa langue est targe parvenant à recouvrir toutes les zones sensible de mon sexe, mais on le dirait monté sur plies tellement il s’active.

Corinne se relève, vient vers moi et passe sa main sous le ventre du chien lui faisant ressortir son sexe dégoulinant, par l’arrière, puis comme si elle avait fait ça tout sa vie se met à le sucer. Elle m’invite à la rejoindre.

Si je n’avais été excitée je ne l’aurais pas fait, mais là, j’ai à peine hésité et me voilà avec la bite d’un chien dans la bouche ! Quand je vais raconter ça à René, il va tomber du placard.

Corinne a voulu aller jusqu’u bout, et s’est mise en levrette son magnifique croupion relevé exposant impudiquement ses deux orifices trempés. Le chien l’a donc sauté. Pas moi, mais j’essaierais un de ces jours !

– Pauvre bête, j’espère que quelqu’un l’adoptera à la SPA ! Me dit Corinne
– Pas de SPA, je crois que je vais le garder ! Lui répondis-je

Nous prenons à nouveau la route qui traverse le petit bois !

– Tu crois qu’il y a encore des mecs qui traînent dans le bois ?
– Je n’en sais rien, mais je suppose que oui !
– On va voir ! Je sucerais bien encore une ou deux belles bites pour finir l’après-midi !
– Corinne !

Fin de l’épisode

PS : Farida, la soubrette de charme qui donne son nom à la série n’est pas présente dans ce chapitre, mais n’ayez crainte nous la retrouverons avec grand plaisir dans les prochains épisodes


Hélène Sevigsky et Boris Vasslan. Paris et Alençon Juillet 2005

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11 réponses à Soubrette de charme 7 – Les chaleurs de Corinne par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan

  1. Nina dit :

    Un tourbillon de perversité ! J’ai adoré !

  2. Mathilda Stenberg dit :

    Héléna et Boris, vous êtes des gros cochons et j’adore vos histoires

  3. Felicia dit :

    Elle a le diable dans le cul, cette Corinne ! et puis ce passage avec le chien, hummm. Joli texte !

  4. Chastaing dit :

    Et en plus Gaby a fait une bonne action en adoptant un pauvre chien abandonnée dans la forêt par des connards

  5. Stablinski dit :

    Un joyeux délire bien raconté et agrémenté de propos intelligents

  6. Pansu dit :

    Encore du racisme ! Les hommes noirs d’après vous ne sont bons qu’à jouer les esclaves sexuels !

  7. Darrigade dit :

    C’est très cochon, c’est très pervers, c’est bien raconté, c’est bien !

  8. nyalartotep dit :

    Très cochon, ça fait bien bander

  9. lesignac dit :

    le passage scato m’a mis dans un état, je ne vous dis pas…

  10. Claire dit :

    J’adore cette série pleine de bonne surprises et délicieusement perverse

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