Soirée Coquine – Seconde partie par Verdon

 

Soirée Coquine – Seconde partie par Verdon

Lorsque mes amoureux ont reçu ce gentil mail que je leur avais envoyé sous le coup de mes lubriques émotions, ils se sont régalés et m’ont invité très rapidement pour festoyer agréablement.

On se retrouve à poil dans leur salon et pour se mettre en train on commence par visionner de belles photos et des vidéo qu’ils ont prises au cours de leur petites séance à quatre avec les filles qu’ils les avaient reçus.

Belles images entre lesbiennes, au départ avec des vues plongeantes sur leur festival d’entre cuisses, de gamahuchage, de léchages et de feuilles de rose pathétiques.

J’en suis même jaloux car mon ami s’est fait bouffer pendant de longs moment par ce trio de femmes délurées et affamées comme trois lionnes sur une proie désemparée, et vachement content de se retrouver entre les griffes de ces charmantes femelles.

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La vue de ces images et le souvenir de ces bons moments excitent de nouveau mes hôtes et moi-même. Aussi je commence à les tripoter et à vérifier l’état de liquéfaction de l’entrecuisse de l’une et la bandaison de son compagnon.

Mon âge ne me permet pas toujours de dévoiler de trop vigoureuses promesses à l’adresse de mes hôtes. Je ressens soudain sur mes arrières, le poids de leurs regards concupiscents et leur convoitise sur cette partie de mon corps qui répond maintenant plus facilement et par défaut à l’appel de mes recherches sensuelles.

Il n’est plus là le temps, hélas, où la flamberge au vent, j’investissais avec brio la moindre petite brèche de citadelles de tout acabit, de toutes tailles, plus ou moins fermes, chaudes, serrées ou profondes. Il me reste encore la joie d’en faire frissonner quelques-unes en les flattant du bout de ma langue qui n’a rien perdu de son pointu ni de son bagout, façon bien agréable de préparer le petit pertuis d’une Dame à recevoir les amabilités de son Homme.
Mais j’avoue que la situation inverse n’est pas pour me déplaire, lorsque c’est la Dame qui vous apprête le médaillon afin d’engager son Mari à vous le lustrer avec toute la pompe et la dextérité que vous méritez.

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Mon ami excelle dans l’art d’accorder du plaisir à son invité en lui flattant le plus profond de ses bas-instincts. Il m’invite à couvrir son épouse qui est allongée sur le tapis pour lui dévoiler mes attributs entre mes jambes ouvertes au-dessus de son visage.

Fier de ma raie culière, j’ai l’anus rose et bien épilé, je pense qu’elle doit être émoustillée par le paysage qu’elle découvre d’autant que m’écartant les miches elle me fout dans le petit conduit une lapée digne du meilleur coup de langue de la chèvre de notre cher ami Fernandel.

Hum que c’est bon la fraîcheur de sa langue humide !

Aussitôt je la remercie en geignant et en plaquant mon bel encombrement, sur le bord de ses lèvres car dans ces plaisirs quand on en a un petit bout on en veut plus encore.

Et justement quand on parle de bout, j’en ressens un qui avec quelque fébrilité s’empresse de vouloir remplacer la langue salope pour profiter du petit passage qui commence à bailler comme un poisson qui fait des bulles.

Oups ! La douane est dure à passer ! Heureusement que j’ai quand même pas mal l’habitude de bourlinguer depuis longtemps et de passer des contrôles douaniers toujours aimables bien que très approfondis. En fin de compte, me voici empapaouté comme un grec, dans les bras de ma très serviable copine qui a mis bien sûr la main à la pâte avec une précision d’orfèvre.

A la place où elle est, elle dirige un peu la situation en guidant le membre inquisiteur dans l’étroit logement qui s’ouvre poliment bien qu’un peu gênée par l’outrecuidance et la désinvolture du gland énorme qui jovialement m’élargit la rondelle sous l’œil charmé de Madame.

Elle en pisse de bonheur en lâchant quelques petits jets salés, au rythme des secousses que je lui inflige sur le ventre, suite aux assauts répétés que son homme fait sur mon dos.

Oh putain ! Il y va de bon cœur le salaud ! Mais ce membre dans mon cul ça m’en bouche un coin !….

Un peu trop fier de son bel empennage, il force, il entre, il me tirebouchonne et il ressort avec un bruit de bouteille de champagne qu’on débouche pour pénétrer de nouveau à raz ses couillons.

D’autre part j’ai la tête enfouie dans la moniche de la bergère, ruisselante de la crue de ses humeurs amoureuses dont j’abreuve mes babines tout en bouffant la salade de son petit frisé.

Les coups de boutoir de mon galant font que de temps à autre je me retrouve le nez entre les genoux de l’équipière, mais me rattrapant par les hanches, la brute remet sa turlute à sa place et mon nez dans la tirelire de son épouse, puis le revoilà parti pour une nouvelle rafale d’amabilités au fond de mon trou du cul

L’affaire devient maintenant de plus en plus plaisante. Mon colon s’est soumis, ma pine dans les babines de la chérie commence à prendre des airs de boudin blanc et je ressens dans mes lombes des petits frissons, signes avant-coureur de jouissance imminente.

Mon chargé d’affaire libère enfin dans le préservatif ses lettres de créance et j’éjacule dans le palais de ma gourmande suceuse.

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Il n’y a pas à dire, ce sont des gens qui savent recevoir.

Ils ont le coup de langue agréable, et la bite performante.

Il me reste à leurs donner des faveurs à mon tour pour les en remercier.

Ils aiment les gâteries et se font lustrer tous ces endroits coquins qui chez eux sont de très belle qualité.

Côté bas-fond la Belle a des charmes indéniables.

Un petit cul plein de fraîcheur et de velouté comme la peau d’une pêche, un calisson d’amour qui apprécie l’intrusion de ma langue et une rosette digne de la légion d’honneur !

Elle adore les mamours que je lui fais et elle remue son popotin avec adresse et insolence.

Elle réclame le mâle, exhibe son bouton marbré avec provocation et elle offre à ma bouche ce merveilleux trésor, en toute tranquillité, sachant bien sûr, la garce, qu’avec moi elle ne risque rien d’autre que les doux câlins du pointu de ma langue.

Il faut dire aussi que le petit endroit est réservé uniquement au Mari qui doit drôlement la faire chanter lorsque certains soirs elle lui fait allégeance et je sais que certains soirs, ce n’est pas sans une bonne fessée qu’elle entrouvre la belle panoplie de sa raie culière pour se faire visiter par son homme impatient.

Ben ! Voyons, une bonne maîtresse de maison se fait un devoir d’ouvrir ses cuisses à la demande de son mâle surtout quand elle est gourmande et que ça lui procure tant de plaisir ! Et avec eux je crois qu’il n’y a aucun problème de ce côté-là.

Cerise sur le gâteau, grâce aux bons services des mandibules de la bonne amoureuse, et aussi grâce à l’inondation survenue sur les berges de sa pachole, j’arrive à foutre ma bistouquette dans sa boîte à ouvrage.

Elle me fait casse-noisettes en serrant fort ses cuisses et en me mettant le doigt au cul.

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Je n’insisterais pas sur la longueur et le diamètre du marjolin de mon pourfendeur, j’en garde encore de cuisants souvenirs, ni sur la finesse de la petite rondelle cuivrée de la châtelaine, un petit amour de bouton de rose. J’ajouterais que comme dans le cochon, en amour tout est bon mais que chez eux c’est encore meilleur.

Ainsi nous avons passé une fort belle soirée et j’ai pu rattraper un peu le temps perdu le weekend précédent.

C’est fou comme certains jeunes couples adorent partager des moments coquins avec des hommes âgés.

C’est sans doute la douceur qu’ils recherchent et aussi l’expérience en même temps qu’une certaine sécurité dans la pondération et la maitrise de ses sentiments.

Mais j’ai commencé bien jeune mes aventures et j’aurai peut-être l’occasion de vous faire partager d’autres lectures bien coquines.

A bientôt …

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2 réponses à Soirée Coquine – Seconde partie par Verdon

  1. Orsini dit :

    Une excellente suite très imagée
    Mais pourquoi diable une feuille de rose serait-elle pathétique ?

  2. Foxenberg dit :

    Délicieusement conté

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