Chez ma maîtresse (Franou 2) par Ron01

Chez ma maîtresse (Franou 2) par Ron01

Mes premiers ébats avec Franou m’avaient appris une chose : je suis réellement fait pour obéir aux femmes.

La vie avait repris son cours normal, car Franou ne venait que chaque semaine, et que j’étais souvent au travail, soit la présence de ma femme à la maison m’empêchait de rester avec Franou.

Mais en moi-même, je bouillais de pouvoir de nouveau goûter les plaisirs qu’elle m’avait fait découvrir, avec malgré tout une grande anxiété au fond du ventre : qu’allait-elle me faire subir, elle qui avait compris le pouvoir qu’elle pouvait avoir sur moi ? Cette question me tiraillait, et j’étais partagé entre le désir et l’angoisse, ce qui ne manquait pas de déclencher chez moi des rêves extrêmement excitants.

Après dix jours, n’y tenant plus, je décidai de l’appeler pour lui fixer rendez-vous. En composant son numéro mes doigts tremblaient, et lorsque la sonnerie retentit mon cœur battait comme après un marathon ! Une sonnerie, deux, trois… Elle ne répondait pas, me laissant en proie à une frustration indescriptible !

Un peu plus tard, je retentais et encore une fois je tombais sur son répondeur. C’est la bouche sèche et la voix tremblante que je lui laissai un message, un bête message qui disait  » rappelle-moi, j’aimerais bien qu’on se voie…  »

Le soir même, excité comme jamais, je décidais puisque Franou me faisait attendre, d’appeler Sylvie pour qu’elle me libère de cette excitation contenue trop longtemps. Ce soir-là, Sylvie me soumit à ses caprices téléphoniques comme une hôtesse de charme qu’elle était, avec douceur et force en même temps. Je jouis en grognant pendant qu’elle m’appelait sa chienne, et savoir que cette femme pouvait me rendre fou rien que par sa voix décupla mon plaisir, mais en jouissant, c’est l’image du cul de Franou qui me revenait sans cesse…

Le lendemain, alors que j’étais absorbé à d’autres tâches, j’entendis soudain mon portable qui sonnait : je recevais un SMS. En plein travail je ne le consultai pas tout de suite, et quand je me rappelai de le regarder mon cœur fit un bond dans ma poitrine : un SMS de Franou ! Je l’ouvris bien vite : elle m’informait que, seule chez elle à midi, elle m’y donnait RDV, avec l’adresse. Midi ? Juste le temps de prévenir ma femme – » j’ai du travail je reste au boulot » – et je sautais dans la voiture, non sans avoir répondu – « OK j’arrive » – à Franou.

En arrivant à l’adresse dite, j’étais déjà excité et mon sexe se durcissait rien qu’en pensant à ce qui m’attendait. À l’interphone, elle m’ouvrit sans un mot et, arrivé devant la porte de palier j’hésitai un instant à frapper : je commençai par réajuster mes habits et essayai tant bien que mal de dissimuler mon érection, au moins pour paraître correct. Une fois présentable, je frappai enfin, et Franou vint m’ouvrir…

Ce fut un vrai choc ! Franou, maquillée, apprêtée, mais habillée en petit caraco, et en bas un petit short en jean moulant et ultra-court qui laissait apparaître la base de ses fesses. Elle me souriait sans rien dire, en me regardant avec plaisir la détailler, bouche bée. Évidemment, mon sexe recommença à gonfler dans mon pantalon, et c’est un peu gêné que je rentrai dans l’appartement de Franou.

– Tu es magnifique – la complimentai-je !
– Merci, dit-elle en refermant la porte, je savais bien que tu n’y serais pas insensible !
– Ah ça non, c’est sûr…

J’avais du mal à trouver mes mots

– Alors, je t’ai manqué ? demanda-t-elle. Tu as eu envie de moi ?
– Tout le temps ! répondis-je, en repensant au soulagement que j’avais dû me procurer avec Sylvie…
– Tu t’es caressé pour moi ? Tu as joui ?

Elle me posait des questions embarrassantes, je ne savais pas comment elle allait le prendre…

– Réponds ! m’intima-t-elle.
– Euh… oui, oui, répondis-je.
– Oui QUI ?

J’étais surpris : que voulait-elle ?

– Oui Maîtresse, tentai-je.
– Ben voilà, voilà un bon chien-chien qui va obéir à sa maîtresse, dit-elle d’un air triomphant. Et que je ne t’y reprenne pas ! Tu es ici pour m’obéir, n’oublie jamais ça !
– D’accord Maîtresse, bégayai-je.
– Bon, tu vas d’abord te déshabiller, et bien, pour le plaisir de ta maîtresse.

Un peu surpris par cette demande, car en fait je n’avais pas trop réfléchi à la façon dont se passerait cette étape, j’entamai un maladroit strip-tease qui, aussi ridicule qu’il soit, eut l’avantage de faire bien rire ma Franou.

Sur la fin, je m’enhardis à tenter des mouvements du bassin, qui déclenchèrent des sifflements à ma maîtresse : je me pris au jeu et commençai à prendre de l’assurance, ce qui eut l’air de ravir Franou. Je m’arrêtai au slip, dans lequel Popol était revenu à de meilleurs sentiments et s’était un peu décontracté.

– À poil ! ordonna Franou d’un ton autoritaire.
– Bien Maîtresse, répondis-je…

Et la dernière barrière à ma nudité vola en l’air pour se percher sur la télé.

– Bien ! dit Franou. Maintenant mets-toi à quatre pattes !

J’obéis et me mis à quatre pattes. Dans cette posture je pouvais contempler ma maîtresse d’en bas et le spectacle de son petit short moulant fit se redurcir ma verge instantanément. Franou l’avait bien compris d’ailleurs, et elle m’intima l’ordre de venir sentir son cul.

– Approche-toi, me dit-elle en s’appuyant sur le canapé pour cambrer ses reins. Tu aimes toujours mon cul ? Oui ? Eh bien viens l’honorer : tu ne lui as même pas dit bonjour…
– Bien ma maîtresse, dis-je en m’approchant et en embrassant son short.

Comme la fois précédente son short sentait bon et mon excitation était à son comble, quand je me rendis compte que quelque chose m’empêchait de parcourir sa raie à ma guise… Franou avait quelque chose dans l’anus !

Elle sourit en observant ma surprise…

– Déshabille-moi ! ordonna-t-elle.

Lentement je m’exécutai et bientôt son short céda, me laissant enfin la vision de son cul magnifique… au milieu duquel un plug était fiché, là, droit dans son anus ! Au bout du plug il y avait un bouton, sur lequel j’appuyai… Le plug se mit à vibrer dans l’anus de ma chérie, qui poussa un grognement de plaisir. Je l’observai, elle avait l’air d’apprécier le traitement, et c’est avec grand plaisir que ma langue s’approcha de sa chatte déjà dégoulinante pour l’aider à atteindre la jouissance… Ce ne fut pas très long, Franou aimait se faire prendre le cul presqu’autant qu’elle aimait qu’on la lèche, et dans ma bouche active son con s’imbiba rapidement d’un jus abondant pendant que Franou couinait de plus en plus fort, et finit par pousser un râle de jouissance avant de s’affaisser sur le canapé. Je finis de lécher sa petite chatte toute juteuse et m’allongeai à ses côtés pour la câliner, non sans avoir arrêté la vibration du plug… ma maîtresse était toute groggy par cet orgasme rapide, mais pour autant, elle n’avait pas perdu le nord…

– À genoux, m’ordonna-t-elle faiblement.
– D’accord Maîtresse, dis-je en lui prodiguant un baiser sur l’épaule.

Et je m’agenouillai devant elle.
Elle s’appuya de nouveau sur le dossier du canapé, et me présenta son cul.

– Retire-moi le plug.

Je m’exécutai.

– Lèche-le !

Avec un peu d’appréhension, je commençai à lécher ce plug qui sortait du cul de Franou, et curieusement la sensation qui m’envahit ne laissait aucun malaise, au contraire, j’y prenais même du plaisir !

– Entre-le à fond dans ta bouche !

Je me mis à sucer le plug avec frénésie, comme si mon objectif était de le maintenir bandé. Ma maîtresse semblait satisfaite de cette situation, et mon ardeur la faisait sourire.

– J’ai le cul en feu ! me dit soudain Franou. Couche-toi par terre sur le dos.

Je m’exécutai, et sans aucune précaution Franou vint s’asseoir sur mon visage, écartant les fesses pour permettre un accès plus profond à son anus :

– Lèche-moi, lèche mon cul, soulage-moi et mets ta langue au plus profond !

J’étais aux anges : j’aurais donné n’importe quoi pour ce moment, et Franou me l’offrait, ce cul tant désiré était enfin à moi, je n’avais pour l’instant plus d’autre vision que lui et j’adorais ça. Je me mis à lécher avec application, enfonçant ma langue dans cet anus qui me rendait fou, j’aurais souhaité entrer en entier dans ce cul si ç’avait été possible.

Ce moment dura plusieurs minutes pendant lesquelles j’eus l’impression que Franou se frottait sur mon visage pour plus de plaisir.

Enfin elle finit par relâcher sa pression et me permit de reprendre un peu mon souffle.

– Tu aimes ça hein, tu aimes lécher mon cul ?
– J’adore ça, ma maîtresse, j’en rêve chaque nuit…
– Tu es un bon chien, je pense que tu aimes lécher les culs de toutes les jolies femmes, je me trompe ? Pas seulement le mien ?
– Oh oui, ma maîtresse, mais le tien est le meilleur !
– On verra, dit-elle, un de ces jours je te donnerai l’occasion de comparer…

Avais-je bien compris ? Allait-elle réellement faire participer quelqu’un à nos ébats ? L’idée ne m’aurait pas déplu, mais cette appréhension me mettait soudain mal à l’aise… ce que vit ma maîtresse.

– Suis-moi, me dit-elle en sortant de la pièce.

Je la suivis alors, voyant qu’elle se dirigeait tout droit vers les toilettes : j’eus alors l’occasion de voir ce qui m’avait également si souvent animé, ma maîtresse s’assit sur les toilettes, les jambes écartées.

– À genoux devant ta maîtresse, ordonna-t-elle.
– Bien Franou, répondis-je le ventre de nouveau en feu.
– Approche ta langue.

Et elle relâcha son sphincter et commença à uriner dans la cuvette. Doucement j’approchai la langue et j’atteignis son jet doré, qui m’inonda le visage. Le goût un peu âcre était tout à fait agréable, et savoir que ce liquide était cadeau de ma Franou me mit dans un état second, j’ouvris alors grand la bouche et recueillis une gorgée du précieux liquide.

Franou était satisfaite et, pour me le signifier, elle avança le bassin, orienta la fin de son jet sur moi, m’inondant entièrement de la tête aux pieds.

– Tu es une salope, me dit-elle, une salope vicieuse et dégueulasse. Dis-le-moi que tu es une salope !
– Je suis une salope ma maîtresse, ta salope, tu fais de moi ce que tu veux, je t’obéirai et je satisferai toutes tes envies, répondis-je plein de pisse.
– Tu vas te branler maintenant, et jouir sur moi.

Aux anges, car après tout je n’avais pas encore joui, je me levai et commençai à me masturber au-dessus de ma maîtresse encore accroupie sur les toilettes. Très vite elle me prit dans la bouche et en quelques mouvements m’amena à l’état de jouissance attendue. D’un mouvement je dégageai ma queue de sa bouche et jouis directement et abondamment sur son visage, sur ses lunettes et dans ses cheveux, en grognant mon plaisir…

– Ça va mieux mon chou ? me demanda Franou.

Pour toute réponse, je haletai en repoussant ma queue à l’intérieur de la bouche de Franou pour qu’elle puisse la nettoyer… puis je me remis à genoux pour poser ma tête sur sa poitrine. Elle me serra dans ses bras en m’embrassant dans les cheveux… Ce contact après notre jouissance signifiait beaucoup pour moi, beaucoup de nouvelles aventures à venir…

En attendant il était l’heure de retourner travailler… La douche que nous prîmes rapidement acheva de nous fatiguer, et le cunnilingus que je lui prodiguai, à genoux entre ses jambes sous le jet d’eau chaude, la laissa toute tremblante dans mes bras.

Évidemment ce jour-là je fus en retard au travail, mais tellement repu de sexe que plus rien n’avait d’importance.

Et les perspectives que Franou m’avait laissé entrevoir promettaient encore de beaux récits à venir !

 

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3 réponses à Chez ma maîtresse (Franou 2) par Ron01

  1. Barry dit :

    On sent que l’auteur est à deux doigt de nous parler de scato, mais il se retient ! Il ne faut jamais se retenir.

  2. Werber dit :

    L’auteur rend hommage au trou du cul de sa maîtresse d’une fort jolie façon

  3. Wanda-Lee dit :

    De la domination comme je l’aime ! Bravo

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