Serj et Coco 10 – Vacances d’été (arrivée) par Smoty

Serj et Coco
10 – Vacances d’été (arrivée)
par Smoty

Je proposais à Colette, par un bel été, de quitter un moment la Bretagne et de partir à l’aventure du camping plus au sud de la France. Armés de notre tente et de tout le matériel nécessaire aux apprentis campeurs, nous prîmes le chemin des côtes landaises. Nous avions eu une longue discussion et décidé de passer 1 ou 2 jours dans un camping de naturistes.

J’avoue que j’étais le plus emballé des deux. Je souhaitais à la fois vivre un peu nu au milieu d’autres personnes, et je trouvais troublant de le faire sans aucun tabou. Colette était plus réservée sur son aisance dans un tel milieu, mais voulait tout de même essayer…. Je la rassurais ironiquement en lui disant que si la promiscuité avec d’autres engendrait une gêne, elle serait plus flagrante chez moi, qui serait bien embêté de me balader, le sexe en érection…. (La suite me le prouva….).

Nous avions décidé d’adopter notre unique règle de conduite, tout se permettre mais ne jamais partager avec d’autres partenaires. Autrement dit, si l’on se retrouvait dans un camping aux allures d’échangistes entreprenants, nous partions tout de suite…. Mais nous savions l’un comme l’autre, qu’avant ce stade, mille choses pouvaient arriver. Colette y pensait par curiosité. Moi aussi avec un zeste supplémentaire d’excitation.

Nous jetâmes donc notre dévolu sur le « camping des dunes », nom très banal, mais on ne peut, mieux choisi. Sous des pins parasols, entre des haies sauvages, une bonne trentaine de tentes multicolores avaient poussé dans un désordre sympathique. Au centre, un petit bureau d’accueil, un bar et des sanitaires. A cette heure de l’après-midi, beaucoup de monde se trouvait à la plage et nous ne pûmes tout de suite nous percevoir de la vie quotidienne d’un camping de naturistes…. Le personnel du camp (était-ce pour qu’on les remarque) portait maillot de bain et tee-shirt à l’effigie de l’établissement. Nous décidâmes de piquer une tête dans l’océan et c’est tout naturellement que nous prîmes le chemin des dunes…. Il ne fallut pas longtemps pour trouver nos estivants entièrement nus, à bronzer, nager et jouer au volley. Nous avions gardé nos maillots et rapidement quelques regards se portèrent sur nous…. Colette s’arrêta et le plus naturellement du monde ôta le sien en me regardant d’un air entendu et coquin …. J’en fis de même. Paradoxalement, on fit moins cas de nous….

Pour autant, certains messieurs avaient l’air d’être en phase de bronzage particulier du dos…. J’aurais pu parier sur le pieu qu’ils devaient planter dans le sable à travers leur serviette…. Nous nous retrouvâmes rapidement à l’eau et Colette en profita pour venir dans mes bras…. Cette fois, rien n’aurait pu m’empêcher de bander et j’affichais sous l’eau une belle érection…. Colette, mutine et joueuse se colla un peu plus.

« Et si maintenant je file sur les dunes ? ».

Elle en était capable….

« Et bien Vas-y ma belle ».

Je faisais mon fanfaron, mais piquée au jeu elle sortit de l’eau et fila vers nos serviettes derrière une petite haie de plantes grasses…. Pour la rejoindre, pas moins de 15 personnes, à moins de 50 mètres allaient mater ma virilité…. Et puis zut, je filais la rejoindre, le sexe dressé….


« Et bien mon chéri, nous allons nous faire repérer… » Dit-elle narquoise.

Elle partit d’un bel éclat de rire. Derrière notre haie, nous entendions les autres mais sauf à se lever ou se redresser, on ne voyait personne. Colette s’enduit de crème solaire.

« Je veux bien reconnaître que c’est trop cool d’être ainsi à poil…. ».

Cela me faisait plaisir qu’elle y consente….

« Tout compte fait tu es le plus ennuyé avec ton mât à cacher…. ».

Elle désignait ma verge toujours tendue. D’autorité elle me massa le dos de sa crème et s’attarda sur mes fesses…. Puis elle me retourna et sortit avec le plus grand aplomb.

« Bien, maintenant nous allons empêcher que ton petit sabre de hussard ne prenne le soleil »….

Et le plus naturellement du monde, elle entreprit d’enduire mon sexe de crème solaire grasse….

« Laisse toi faire… ».

J’obéissais pour me faire délicieusement masturber sous un pin parasol, dans la chaleur de l’été…. La giclée qui en résulta fut merveilleuse et inonda mon torse encore humide…. Un coup d’œil à gauche et à droite et je replongeai dans la mer, pour effacer tout cela, cette fois le membre d’un aspect respectable…. Cette arrivée au camping des dunes commençait parfaitement….

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