Premiers jours après emménagement 5 – Vendredi par Aeris

Premiers jours après emménagement
5 – Vendredi
par Aeris


Hier j’ai encore passé plus de temps à m’épancher sur mon journal intime qu’à rechercher un travail. Il va quand même falloir que je me recentre sur cela bientôt. Mais j’avoue que pour l’instant je profite de cette aventure extraordinaire. Bref, tout ça pour dire que ma matinée est passée très rapidement. J’en étais au café, sur le coup de 3 heures, quand un coup de téléphone de ma Maîtresse me sorti le nez de mon journal. Elle voulait savoir si tout se passait bien et me demanda d’acheter quelques denrées alimentaires mais de ne rien préparer puisque je ne serais que marmiton et elle la chef. Je sorti donc faire ces courses, onglet, carottes, tablette de chocolat noir, fraises, saucisses de Francfort, pinceau alimentaire…bon, on a invité Prévert ce soir.

Revenu de mes courses, direction la douche, puis je pris un boxer en dentelle propre et neuf. Je fis le tour de l’appartement pour vérifier que tout était en ordre. Lorsque la clef se fit entendre dans la serrure, je me précipitais pour m’agenouiller devant ma Maîtresse, lui enlever ses chaussures et lui embrasser longuement chaque pied. Une fois fini, elle me demanda de faire mon Mea Culpa pendant qu’elle vérifiait l’ordre et la réalisation de mes tâches. Je lui dis que je pensais honnêtement avoir été sage et n’avoir rien à confesser. Elle rétorqua qu’il y avait toujours un con à fesser et me demanda de me mettre en position pour recevoir le martinet. Mains sur la table, buste en avant, jambes légèrement écartées.

« – Apparemment tu as décidé de te moquer de moi, tu dis ne rien avoir à avouer alors que tu as mis trop de temps à venir m’accueillir, et maintenant tu ne te déculottes même pas pour recevoir ta punition »

Je trouvais cela profondément injuste mais n’osait pas répliquer, j’ôtai donc ma culotte que je posai délicatement sur la table avant de reprendre la position en baissant la tête en signe de soumission.

– « C’est bon, je vois que tu reconnais ta faute » dit-elle en commençant à me caresser les fesses, d’abord le tour, puis la raie, avant de titiller mon petit trou avec son doigt.

Elle l’enfonça légèrement avant de le ressortir, puis les coups tombèrent. Je les comptais en remerciant, comme il se doit pour l’esclave que je suis. Au 7ème elle s’arrêta et me fit me retourner et me mettre à genoux puis sucer son doigt. Heureusement que je m’étais bien douché, pas trop de goût. J’avoue que je ne fantasmais pas vraiment sur mon propre anus.

Direction la cuisine avec mon boxer (devrais-je commencer à dire culotte) remis. Elle me dit qu’elle allait se doucher rapidement et que pendant ce temps je devrais éplucher les carottes. Comme elle voulait être sûre que je ne commence pas à manger sans elle, elle installa le bâillon. Drôle de sensation. Je me mis donc à l’ouvrage pendant que l’eau chauffait. Quand ma Maîtresse revint, elle fit une sauce au chocolat qu’elle laissa refroidir pendant que je mettais les carottes à cuire. Dés que cela fut fait, ma Dame, toujours en peignoir de satin, se fit servir l’apéritif devant la télé pendant que je lui massais les pieds, toujours silencieux. Au bout d’un moment, elle me signala que c’était l’heure du repas, elle prépara la viande pendant que je mettais la table, pour une personne avait-elle précisé. Pendant le repas je dû rester debout à côté de la table à servir le vin, l’eau, ramasser le couteau tombé et aller le changer à la cuisine, puis la fourchette. Bref, ma Maîtresse désirait un service de grand restaurant et en abusait. Et moi j’avais faim. Et soif. Enfin elle me dit d’aller mettre les saucisses à chauffer et de venir la rejoindre dans la salle de bain.

Une fois dans la salle de bain, elle me banda les yeux, puis ôta le cadenas de mon bâillon, à mon grand soulagement.

–  » Ca va ?
– Oui Maîtresse, mais j’ai faim et soif Maîtresse
– Très bien, agenouille-toi  »

Ce que je fis sans tarder, elle colla son sexe et commença à pisser doucement, J’étais un peu surpris, mais je goûtai ce liquide désaltérant dont j’avais déjà eu un aperçu la veille. Je me forçais un peu parfois pour avaler mais ma Dame eu la gentillesse de ne pas trop en faire à la fois. Néanmoins vers la fin elle se lâcha complètement et je ne pus tout avaler. Après avoir lécher son minou nourricier, elle me fit lécher brièvement le carrelage. Ensuite elle me fit me mettre à genoux au pied du lit pendant qu’elle repartait à la cuisine.

De retour elle m’attacha les mains à la taille. Elle faisait bon usage de tout cet attirail. Elle s’allongea silencieusement sur le drap. Puis me dit de la lécher sans y mettre les bras.

Je me mis à l’ouvrage, en commençant par les pieds, puis en remontant rapidement les mollets puis lentement les cuisses charnues, appétissantes à souhait. En m’approchant du haut des cuisses une odeur me parvint, je commençais à comprendre ce qui se tramait là. J’ouvris la bouche pour me nourrir de la saucisse qui devait être en partie insérée dans ce sexe devenant jours après jours plus inconnus et pourtant plus familier. Vive me mis en garde:

– « Attention, tu n’as le droit de croquer que quand je te le dis, je veux voir si tu sais bien sucer! »

Je me mis donc en devoir d’apprendre à sucer ma Maîtresse comme les femmes sucent leurs amants. Je m’appliquai quand ma Dame pris ma tête entre ses mains et me fis faire des aller retours rapides. La saucisse montait et descendait dans ma bouche mais elle devait bouger aussi de l’autre côté. Quand ma Maîtresse arrêta, elle me dit:

-« Maintenant, avale ! ».

Ce que je fis, excité mais toujours affamé, de bon appétit. Mon devoir fût bien sûr de nettoyer ma Dame du mieux que je pu en lui léchant le con, en la pénétrant de ma langue inquisitrice jusqu’à ce qu’elle s’estime satisfaite du résultat et nettement plus détendue. Je continuai mon exploration avant de trouver une saucisse entre les deux seins. Je fus autorisé à l’avaler rapidement avant de devoir nettoyer les seins de la base si langoureuse jusqu’aux tétons si fiers. En remontant au niveau du coup, Maîtresse me présenta une saucisse:

– « Aller, suce mon salaud! Je veux voir de plus près! »

Je ne pris pas la peine de répondre et me mis à l’ouvrage sous ses commentaires salaces:

– « C’est que tu fais ça avec application. Il faut te laisser ça. On dirait une pute. Quoique ça devrait même être plus agréable qu’avec une travailleuse à la chaîne. Toi tu y prends plaisir comme une chienne, hein !

– Oui Maîtresse!
– Oui quoi ?
– Oui j’y prends plaisir Maîtresse!
– Et tu es ?
– Et je suis une chienne!
– C’est bien ma chienne, je t’accorde le droit de continuer de sucer alors! »

Après quelque temps, je pu finir ma saucisse. Elle me renvoya au pied du lit, se mis sur le ventre et je dû recommencer à lécher ce corps toujours invisible et tellement présent…Arrivé au niveau des fesses, je sentis quelque chose de raide et droit présent dans cette région.

– « Puisque tu aimes bien sucer, fait moi jouir avec cette carotte ma salope! »

Il semblerait que ma Dame ait sauvé une carotte de la découpe et de la cuisson. Je me mis à sucer en faisant des allers retour pour que ma Maîtresse profite de sa sodomie légumière. Puis je fus autorisé à manger mon légume. La dernière partie mélangeait au goût de carotte un autre goût moins usuel mais léger et pas désagréable. Je su gré à ma Maîtresse de s’être doucher convenablement auparavant. Une fois cela fait, je dû nettoyer la rosette de ma Maîtresse, ce que je fis en état d’excitation avancé et avec grande application.

« Bien, il est temps de passer au dessert, tu vas être content, tu as le droit de jouer. Dans la première partie tu vas suivre le pinceau en léchant bien tout le chocolat qu’il répand. Quand tu trouves une fraise, tu la trempes un peu dans le chocolat et tu me la pose entre les seins. A chaque fois que tu laisses couler du chocolat sur le lit ou que tu fais tomber une fraise, tu augmentes ta punition. Quand il y aura 5 fraises entre mes seins, la première partie sera finie, alors maintenant lèche! »

Ce que je fis dès que ma Maîtresse eu relâché ma tête qu’elle avait plaquée sur son cou sans ménagement pour que je puisse trouver le début de la trace. Le chocolat était bon et je l’avalais de bonne grâce. Le pinceau fît d’abord le tour des seins en décrivant des 8, ce que je suivi avec la langue et avec un bonheur grandissant au fur et à mesure que les 8 se rétrécissaient et me rapprochaient des tétons, Maîtresse avait posté une fraise sur la cime droite, je m’empressai de la stocker. Le pinceau m’amena au nombril, ce nombril si tendre, si charmant, où je trouvais mon deuxième trophée. La partie s’annonçait facile. Toujours télécommandée par le chocolat, ma langue décrivait la courbe de la taille se dirigeant vers le côté de la cuisse quand un malheur se produit, je ne réussi pas à lécher tout le chocolat avant qu’une goutte souille le lit. La piste encore tiède descendait sur la cuisse en zigzaguant jusqu’au pied qui contenait mon troisième trophée. Entre temps j’avais aussi raté 2 fois le chocolat. En revenant de ma cachette si tendre, ma tête fût prise par les cheveux et traînée vers le deuxième pied où ce mouvement violent me fît faire tomber la fraise. Quand celle ci fût amenée avec les autres, je me mis à suivre la nouvelle trace qui partait de sous les seins, descendait autour du nombril, décrivait une longue descente vers cet abricot tant désiré. Je me retrouvais à lécher l’intérieur des cuisses, et ce faisant je fis à la fois tomber la fraise qui m’attendait sur le pubis et laissai tomber de nouveau de la sauce. Je venais de finir la première partie avec six fautes.

– « Bon maintenant, tu vas me donner les fraises une à une, en échange je t’ajouterai une pince. Si une des pinces tombe, tu en auras une en plus et ta punition augmentera. Quand j’aurais mangé les 5 fraises la deuxième partie sera finie. Aller, au travail esclave ! »

Je me mis donc à nourrir ma Maîtresse. Lorsque je posai délicatement la première fraise dans sa bouche, elle se mit à la mâcher tout en me prenant mon sexe et en le soulevant. Elle attacha une pince à linge à une de me testicules. La douleur était là mais faible. Je me remis à jouer le fraiseur, ce coup ci une pince se referma vivement sur un de mes tétons. La douleur était forte, je me concentrais sur la tâche des fraises. La seconde couille se trouva pincée pendant que la première commençait à faire un peu mal et que mon téton m’apportait une douleur excitante. En cherchant la quatrième fraise, un mouvement malheureux me fit perdre les deux pinces situées sur ma culotte. Ma Maîtresse me fit me mettre à poil pour pouvoir me mettre les pinces correctement. Je me retrouvais bien vite avec 6 pinces, une sur chaque couille, deux sur la peau de mon sexe, et deux sur les tétons. J’étais dans un état étrange, entre douleur et plaisir, un état second. Je délivrai la cinquième fraise.

– « Maintenant on va attaquer la troisième partie, la récompense: une petite fellation, ça te dit ma pute ?
-Bien sûr ma Dame, tout ce qu’il vous plaira. »

J’étais très excité à l’idée de jouir dans sa bouche si experte, d’avoir enfin le droit à une récompense. Je fus surpris quand elle me fit me mettre à genoux mais j’attendais patiemment en fantasmant ma délivrance proche. Elle allait enlever ces pinces, j’allai me sentir libérer, elle caresserait doucement mon sexe, des doigts, du bout de la langue, avant de le prendre en bouche, peut être se toucherait-elle en même temps, peut être la verrais-je nue…Pendant que mon esprit vagabondait, mon oreille remarqua quelques bruits d’habillement en arrière plan. Ensuite ma Maîtresse s’approcha de moi, me débanda les yeux, et je pu voir sa verge… pardon Holà, le cerveau mis du temps à se réveiller mais il a fini par y arriver. Elle me prit la tête et l’approcha de ce gode ceinture, que je me mis à lécher, puis sucer. La position était humiliante, excitante, dérangeante. Ma Maîtresse en rajoutait:

– « Alors ca te plait la fellation sale pute ?
– Oui Madame
– Hein que tu es une pute ?
– Oui Madame
– Oui quoi ?
– Je suis une pute Madame

– Alors continue de sucer parce que les putes je les sodomise à sec moi, alors tu as intérêt à sucer si tu veux pas en baver! »

Je me remis à l’ouvrage, un peu effrayé, me remettant l’Illuminatus dans la tête tout en me promettant d’aller le plus loin possible quand même car cela m’excitait. Mais toutes ces pinces me torturaient de plus en plus, et l’appréhension me donnait envie de pisser. Ma Maîtresse du le sentir parce que elle me demanda si je voulais pisser. Je répondis par l’affirmative, elle me fit mettre à quatre pattes en enlevant ma chaîne et mes pinces. La douleur présente en continue explosa après chaque retrait de pince avant de se calmer. Maîtresse me mis un des bols qui traînait là sous le sexe:

– « Attention, il ne faut pas que ça déborde! »

Je me mis à me libérer, mais je dû m’arrêter avant la fin.

– « Maintenant lape! »

Je me sentais humilié comme jamais, excité comme jamais, je me mis à laper le liquide chaud, qui n’avait pas trop de goût. Après quelques instant, elle retira le bol qu’elle alla vider dans la salle de bain et le remis sous ma queue. En esclave attentif j’attendais le nouvel ordre qui vint après quelques secondes, sans doute pour tester mon obéissance. Puis elle me fit mettre le torse couché sur le lit, les jambes légèrement écartées:

– « Maintenant tu vas perdre ton pucelage mon beau, mais je ne veux pas t’entendre, c’est clair
– Oui Maîtresse »

Elle commença à caresser mes fesses avec ses doigts, y glissant parfois une claque retentissante. Elle se promena dans ma raie, puis me mis un doigt lentement, pendant que son sexe se promenait sur ma raie, elle mit un deuxième doigt, je me retins de crier ou de faire des gestes brusques. Les doigts sortirent avant de se présenter devant ma bouche pendant que le gland se présentait devant mon petit trou. Je suçais les doigts avidement pour ne pas trop penser à ce qui allait se passer. Le goût était passable mais acceptable. Je ne pus laisser échapper un petit cri quand le gland trouva le passage de mes fesses jusqu’ici inviolées. Ma Dame en fût contrariée, se retira et revint avec mon bâillon boule qu’elle me mit en place.

– « Bon, maintenant on va pouvoir besogner en paix sans avoir à subir des cris de vierge effarouchée! »

Elle me pénétra de nouveau, s’enfonçant doucement de plus en plus loin. Elle se mit à faire des va-et-vient en me prenant par les hanches. Au bout de quelques minutes à ce régime, la douleur avait fait place au plaisir, plaisir de me sentir livré, plaisir de me sentir pris de manière si bestiale. J’ai joui. Enfin, je pense. C’était pour le moins bizarre comme sensation. Elle se retira, me laissant épuisé, un peu frustré mais tout de même ravi

– « Bon, maintenant qu’on a fini notre petit jeu, on va passer à la punition, on a donc dit 6 fautes, tu auras donc le droit à 6 coups de martinet. Je te dispense de les compter pour une fois »

Les six plurent de manière croissante, avec toujours suffisamment de temps pour la douleur de se répandre. Elle me débâillonna et m’autorisa à me mettre au lit.

Au milieu de la nuit ma Maîtresse me tira par l’anneau du cou pour me coller à son sexe. Je cru deviner son désir et dans mon demi sommeil me mis à lécher. Cela me valu une paire de baffe retentissante:

– « Je n’ai pas besoin d’un chien, je veux un urinoir! »

Bien réveillé ce coup ci, je me mis en devoir d’avaler le maximum du liquide coulant de cette fontaine tant désirée. Quelques filets coulèrent sur le lit. Cela me valu une nouvelle paire de baffe et ma Maîtresse changea de place, me laissant celle souillée pour finir la nuit.

Ce matin, rien à signaler, je joue les femmes de ménage pour apporter le petit déjeuner au lit et nettoyer nos cochonneries tout en écrivant ce récit…Et quand je dis matin, il est maintenant 16 h…

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Une réponse à Premiers jours après emménagement 5 – Vendredi par Aeris

  1. Marinus dit :

    Mail il est très bien ce récit et puis ça donne des idées

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