Première expérience par Lauralynn

Bonjour à vous tous !

Je m’appelle Lauralynn j’ai 39 ans et je suis travestie. Depuis quinze ans, (le 23 Janvier 1990 exactement) je porte le plus souvent possible, des vêtements féminins. J’ai, sans doute, toujours été tentée par ça mais ce jour là, ce fut différent. Il était tard, je roulais, et j’ai ressenti comme une vague de chaleur venue progressivement. J’ai arrêté ma voiture, suis descendu et j’ai marché un peu au froid pour me calmer ! Ca ne passait pas et j’ai eu envie de faire un petit pipi. Au lieu de faire « normalement » pour un garçon, j’ai baissé mon pantalon et me suis accroupie. De savoir mes fesses nues en plein air m’a terriblement excitée, imaginant, malgré l’heure tardive, que l’on pouvait me voir. Il y avait peu de chance la route était déserte. Depuis ce jour, je n’ai plus raté une occasion de m’habiller. Je suis marié et n’ai jamais parlé de ça à qui que ce soit. Combien de fois ai je acheté des vêtements féminins, des superbes chaussures, des bas !! … Pour les jeter ensuite des que la « vague »était passée. Celles qui connaissent ces périodes me comprendront sûrement.

Ma femme m’a quittée il y a un an et demi. Mon boulot, jamais à la maison, toujours sur la route. Elle a du rencontrer quelqu’un de plus présent. Tant mieux pour elle … Et pour moi !
J’ai pu enfin donner libre cours à ma vie cachée. Je suis entièrement épilée,j’ai des jambes superbes que m’envieraient bien des filles,un joli cul bien rond et cambré,j’ai perdu le « bide des rouleurs en bagnole qui bouffent n’importe quoi n’importe ou « et j’ai repris une silhouette conforme à Lauralynn. J’ai commencé à discuter sur le minitel avec d’autres filles comme moi et, les contacts se sont succédés sans jamais concrétiser une rencontre. Ça semble parfois très malsain.

Un jour, pourtant, j’ai été accrochée par un nommé Marc. Très gentil, sympa et plein d’humour. Nous avons discuté longuement de ma féminité et d’autres choses encore. Nous avons échangés nos numéros de téléphone. Il voulait entendre ma voix. Il avait surtout envie d’un scénario au téléphone. Ca c’est super bien passé. Délicieux moment!! Il a commencé à insister pour me rencontrer et j’ai refusé longtemps, mais devant son assiduité et sa gentillesse j’ai fini par céder. Notre rendez vous était pour la semaine suivante. J’en ai tremblé de peur mêlée de désir toute la semaine. J’ai essayé toutes sortes de maquillages un tas de perruques, des tenues de la plus sage à la plus osée, me suis épilée et rasée comme jamais auparavant, passant des heures entières devant ma glace. Nous nous sommes donné rendez vous sur une aire d’autoroute. Je dois le suivre jusque chez lui. Je suis maquillée, porte une superbe perruque blonde bouclée, un caraco noir avec le haut en dentelle des bas couleur chair et un porte jarretelles et un string noirs. Par dessus tout ça, un tailleur très sage mais sexy, gris perle. La jupe m’arrive au dessus du genou de dix bons centimètres et associée à des sandales à brides noires, me dessine des jambes sublimes. J’arrive sur l’aire en question, fébrile, je gare ma 206 et commence une attente anxieuse. Comment est il ? Comment cela va t’il se passer ?… Angoisse !!
Des phares arrivent sur l’aire. Ca y est, j’y suis!… Non, c’est un camion. Je sors pour marcher un peu et essayer de me détendre. Je tremble.

Je retourne vers ma voiture et au moment ou j’y rentre, le chauffeur du camion vient vers moi. Je suis un peu inquiète car j’ai peur de sa réaction quand il s’apercevra que je ne suis pas ce qu’il croit. Je ferme ma portière. Il s’approche et se penche en tapant à la vitre.

« Vous avez du feu ? »

Je lui fais signe que non. C’est un bon gros routier, sans charme particulier, avec un bide de routier. Normal.

« Vous avez de très jolies jambes vous savez ? »

Je sais que c’est un peu prétentieux mais je fais oui de la tête et mes boucles blondes viennent un peu sur mon visage. Je les remonte d’un geste de la main.

« Vous ne voulez pas qu’on discute un peu ? »

Non et toujours mes boucles blondes sur mon visage. Je les remet en place a nouveau. Son regard est fixé sur mes cuisses et je me rends compte que l’on voit mes bas. Ce salaud se rince l’oeil. J’essais de tirer ma jupe mais elle remonte. Pourvu que Marc arrive ! Sans vergogne il me matte les cuisses en passant sa main sur sa braguette. Quel salaud !

« Remonte un peu ta jupe ma jolie »

Je suis sure pourtant qu’il sait à qui il a affaire.

 » Allez, sois sympa  »

Sa main déboutonne sa braguette et il exhibe sa queue qu’il commence à branler lentement. Elle est très belle et semble dure. Soudain, je réalise la situation. J’excite un homme ! Il se branle pour moi, et je lui refuse un simple coup d’oeil. Je suis quand même un peu venue ici pour ça et je me sens méchante. Honteuse de mon attitude envers lui et aussi parce que c’est la première fois que je me montre a quelqu’un, je me soumets à sa requête, et je remonte un peu ma jupe sur mes cuisses. Un peu d’abord,puis,voyant que sa main s’active de plus en plus et qu’il commence à bander très fort,fièrement,je la remonte totalement ,dévoilant le triangle de dentelle noire qui commence a être lui aussi tendu. Il passe son beau gland sur la vitre, laissant une traînée gluante. Je me surprends à passer ma langue sur mes lèvres. Je ne risque rien. Je suis dans ma voiture fermée. J’approche timidement mon visage de la vitre et y dépose un baiser, laissant de ce coté ci, une belle empreinte de rouge à lèvres. Il y repasse son gland plusieurs fois et ma bouche finit par rester collée à la vitre. J’ai maintenant les cuisses écartées et je me caresse le clito. J’ai écarté mon string et mes petites boules épilées frottent contre ma cuisse.

« Montre moi tes fesses ma chérie » dit il fébrile.

Je m’exécute immédiatement. Je me mets à quatre pattes sur mon siège et, espiègle, je remonte lentement ma jupe sur mes reins. Je l’entend gémir de l’autre coté de la fine paroi qui nous sépare. Je suis là, les fesses à l’air et le cul bombé. Il ne doit rien perdre du spectacle de mon joli cul nu, les fesses lisses et blanches, délicieusement séparées par le fin ruban de dentelle noire et j’imagine sa main allant et venant sur sa queue. Je suis très excitée. Je remet de l’ordre à ma position et commence à descendre la vitre

« Oui princesse, c’est ça, ouvre ta vitre »

Il avance son ventre lâchant son sexe raide et je comprends que c’est à moi de prendre le relais. Je m’empare de sa queue tendue. C’est dur et très chaud. C’est la première fois que je touche une autre queue que la mienne. C’est tout simplement délicieux !!Ma bouche s’approche et je dépose un petit baiser sur son gland chaud et tout mouillé puis, j’y fais glisser ma jolie bouche l’engloutissant doucement. Ma langue joue avec son gland et je me retire en aspirant puis l’enfourne à nouveau. Ma langue est comme folle de sentir ce nouveau jouet qui n’a pas le goût du caoutchouc. Je me caresse les lèvres avec sa queue, mouillant ma bouche de son désir. Mes yeux noisettes se pose sur ses yeux bleus, ma main caressant son ventre velu. Sa main gauche se pose sur ma nuque et sa main droite soulève le petit verrou de la portière… Je sors de la voiture, la jupe relevée sur mon ventre. Il m’embrasse, lançant sa langue dans ma bouche et je la suce comme tout à l’heure son sexe. Ses mains explorent mon corps, et je m’abandonne à ses caresses. Il ouvre la veste de mon tailleur, remonte le petit haut de dentelle noire et embrasse, suce et mordille mes seins si sensibles. Je gémis et me tord de désir sous ses doigts et sa bouche. Il s’empare de mes fesses nues à pleines mains et les malaxe sans vergogne. Il les écarte, passe ses doigts dans ma fente, exposant ma rosette vierge dans laquelle il glisse deux doigts inquisiteurs.

Il me retourne soudain, me « pousse » sur le capot de la voiture. Je me retrouve à plat ventre, les fesses en l’air. Il fait glisser mon string sur mes jolies jambes et je m’en débarrasse d’une ruade. La petite dentelle noire reste accrochée autour de ma cheville gauche. Je peux maintenant écarter mes cuisses et m’offrir pleinement. Il me fait sucer ses doigts et commence à les faire glisser dans mon ventre. J’écarte moi même mes petites fesses nues savourant déjà la suite. Je sens un liquide chaud sur ma rosette offerte. Il a craché entre mes fesses ! Son gland vient s’appuyer sur ma chair chaude et trempée. Il me pénètre lentement mais fermement, de toute sa longueur et d’une seule poussée m’arrachant un soupir. J’avais peur mais c’est délicieux. Pas grand chose à voir avec tout ce que j’ai pu essayer. C’est chaud et vivant dans mon ventre. Mes mains se contentent d’écarter mes fesses, elles n’ont rien à faire d’autre. Ses mains à lui s’accrochent à mes hanches et il commence son mouvement de va et viens, distendant ma chatte anale chaude et douce. Je sens que tout tourne autour de moi c’est une sensation merveilleuse. Je suis enfin femme, aimée par un vrai homme qui me prend les reins sans retenue. J’envoie mes fesses à la rencontre de son ventre m’empalant sur lui. C’est moi maintenant qui donne le rythme tant et si bien que mes petites boules viennent toucher ses belles couilles. A ce train là, il ne tarde pas à craquer, je l’entends ahaner dans mon dos. Il commence à dire des horreurs délicieuses

 » J’aime te bourrer le cul salope » ou encore  » Tu aimes te faire baiser, hein petite pute ».

A u son de sa voix je comprend qu’il n’en à plus pour longtemps. Soudain, son ventre se colle à mes fesses, comme s’il voulait entrer en moi en entier, donne encore des coups de reins. Je sens en moi son foutre brûlant. Merveilleuse sensation… Maintenant, je suis Femme. Il se retire de mon ventre, et son foutre coule de ma chatte anale, inondant ma fente meurtrie mais ravie, glissant sur mes cuisses pour venir tacher mes bas. Il me retourne, me prend le menton et me « force »à me mettre à genoux. Je pose mes lèvres sur sa queue trempée et je la nettoie à petits coups de langue. Il devait avoir envie depuis un bon moment car sa queue continue de m’offrir une belle dureté et son bon foutre. J’en extrait les dernières gouttes en le branlant dans ma jolie bouche, ma main gauche posée à plat sur sa cuisse. Enfin assouvi, il remonte son pantalon. Me fait un sourire en me disant qu’il est sur ce parking tous les Jeudi soir puis, il s’en va, monte dans son camion et quitte le parking. Je me retrouve seule, vannée, un peu mal aux fesses, toute pleine de nouveaux parfums et de saveurs salées. Un désordre pas possible dans mes dentelles et des taches sur mes bas et mon string. Je ne peux pas rester comme ça et décide de rentrer chez moi.

Au moment où je quitte le parking, une voiture y entre. Peut être est-ce Marc?

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3 réponses à Première expérience par Lauralynn

  1. Bertrane_Tv dit :

    Trop mignon !

  2. Transmonique dit :

    Humm, c’est bien excitant tout ça !

  3. Turenne dit :

    La confiance régne ?

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