Anita et Mélanie sont deux nouvelles membres, elles ne se connaissent pas
mais ont rendez vous au Club pour leur premier combat.
Anita arrive la première, sonne à la porte, aussitôt par un judas une voix
féminine lui demande ce qu’elle veut, Anita indique le mot de passe et la
porte s’ouvre immédiatement. La voix féminine, Irma, lui souhaite la
bienvenue et conduit Anita à un joli bar acajou, la elle lui sert une flûte
de champagne.
Anita a 24 ans, elle est coiffeuse dans un salon assez bourgeois. Elle boit
nerveusement, elle est très excitée et très anxieuse également, elle connaît
les règles du jeu et sait ce qu’elle risque. Depuis plusieurs jours elle
pense sans arrêt à ce moment. Anita a une sexualité épanouie, elle n’a pas
de compagnon attitré mais plusieurs amants qu’elle rencontre régulièrement.
Son travail lui fait côtoyer de nombreuses femmes et il lui est arrivé
quelquefois d’avoir une aventure avec une cliente.
Anita en est à sa seconde flûte lorsqu’Irma fait entrer une autre femme
Mélanie.
Mélanie a 30 ans et exerce la profession de secrétaire de direction. C’est
une femme équilibrée mais qui a du mal à se trouver sur le plan sexuel. Ces
relations avec des hommes ne l’ont jamais totalement satisfaites.
Lorsqu’elle était étudiante Mélanie a vécu quelques aventures avec une autre
étudiante, elle a apprécié mais n’a jamais recommencé.
Mélanie est tendue, Irma lui sert du champagne, elle trempe ses lèvres dans
le liquide en profite pour regarder discrètement Anita.
Maintenant que les deux jeunes femmes sont présentes, Irma fait les
présentations et leur explique qu’elles vont bientôt se battre l’une contre
l’autre. Il reste à se mettre d’accord sur le type de combat. Pour un
premier combat il est de tradition de commencer par la lutte entièrement
nue, mains attachées dans le dos, avec immobilisation de l’adversaire et
étouffement par face sitting jusqu’à ce que celui-ci s’avoue vaincu en
écartant les jambes au maximum.
Les deux femmes acceptent ce type de combat, Irma en sera l’arbitre. Elle
conduit maintenant chacune des deux femmes dans une cabine vestiaire et leur
indique qu’elles ont 15 minutes pour se préparer.
Désormais seule Anita regarde autour d’elle en se déshabillant. La cabine
est exiguë et ne dispose que d’une patère et d’une chaise. La tête lui
tourne un peu, le champagne et l’énervement sans doute. Elle aimerait uriner
avant le combat, mais c’est impossible il n’y a rien de prévu pour cela.
Elle se concentre sur son adversaire, cherche à se motiver au maximum. Cette
femme ressemble par son maintien et son style bon chic bon genre à ses
clientes du salon de coiffure qui la traitent trop souvent comme une
domestique, si je gagne se dit elle, je viderai ma vessie sur cette chienne.
Anita est maintenant entièrement nue, c’est une brunette aux cheveux courts,
elle mesure environ 1m65 et possède un joli corps un petit peu potelé avec
des seins poire à larges aréoles et une jolie pilosité bouclée et bien
taillée sur le pubis.
Dans son box Mélanie se prépare lentement et calmement. Elle a jaugé son
adversaire, elle est plus petite mais paraît tout de même un peu trapue. Il
faudra que je me méfie se dit elle. Son air un peu vulgaire avec ce sourire
à pleines dents mérite que je lui apprenne les bonnes manières, j’aimerai
lui faire lécher mes pieds et lui raser la vulve.
Mélanie est prête, ses habits bien rangés sur la chaise. C’est une belle
femme aux formes épanouies, 1m72 de taille, cheveux châtain clair bouclés,
seins lourds mais fermes, sexe entièrement rasé. En attendant l’heure elle
se force à contrôler sa respiration, à bien inspirer et à souffler
longuement.
Pendant ce temps Irma s’est également préparée, elle porte un body, des bas
et un slip en latex noir. Irma est une femme d’environ 40 ans, les cheveux
courts, mesure 1m70 pour environ 70 kg. Irma est une sportive, elle est
certes un peu ronde, mais ses bras et ses jambes sont bien musclées. Elle a
gagné de nombreux combats et n’a d’ailleurs jamais été battue par une autre
femme. Peu d’adversaires osent la défier, celles qui essaient terminent
généralement le combat mal en point la langue dans sa chatte ou dans son
cul. Le plaisir d’Irma est en effet de se faire sucer longuement la vulve et
l’anus avant de fesser vigoureusement son adversaire.
Irma a été chercher les deux adversaires et les a conduit dans la salle du
combat. C’est une petite pièce sans fenêtre, les murs jusqu’à une hauteur
d’un mètre cinquante sont protégés par un rembourrage de cuir noir, un tissu
pourpre est tendu sur la partie haute des murs et sur le plafond. Sur chacun
des murs une grande glace permet aux participants de mieux visualiser sous
tous les angles les différentes situations. Ces glaces sans teint ont
également pour but d’observer discrètement les combats. L’éclairage est
assuré par de nombreux spots qui inondent la pièce de lumière. Une étagère
fixée à l’un des murs reçoit les différents objets utilisés pour le combat,
on y trouve de la corde pour attacher les poignets, un long fouet pour
l’arbitre et deux gods. Le sol est constitué d’un vaste tapis de mousse
recouvert d’un tissu vinylique qui en assure la protection. Des caméras
dissimulées dans les murs et au plafond vont enregistrer tout le combat.
Les deux adversaires occupent chacune un coin de la pièce, elles se font
face et s’observent, elles se voient nues pour la première fois. Les seins
des deux femmes se soulèvent rapidement au rythme de leur respiration qui se
fait de plus en plus saccadée. Irma s’est munie des cordelettes et attache
dans le dos les poignets de Mélanie, puis c’est au tour d’Anita. Ainsi
entravées les deux femmes sont au paroxysme de l’excitation, à la fois un
peu honteuse de leur situation, nues les mains attachées, mais surtout
terriblement pressées de se jeter sur le corps de l’adversaire.
femmes, puis en faisant claquer son fouet déclare le combat ouvert.
Aussitôt les deux femmes se jettent l’une sur l’autre, elles se frappent à
coups de seins, essaient de se déséquilibrer avec les jambes. Assez
rapidement les voilà toutes les deux à genoux, chacune poussant l’autre pour
tenter de la renverser, Mélanie profitant de sa plus grande taille joue des
épaules mais Anita résiste. Aucune des deux combattantes ne prend le dessus,
elles respirent de plus en plus bruyamment, des gouttes de sueur perlent sur
leur peau, la bouche ouverte à la recherche d’air elles continuent de se
pousser, de se donner de violents coups d’épaules dans les seins. Esquivant
un coup de Mélanie, Anita pivote et se jette de tout son poids sur son
adversaire déséquilibrée, celle-ci pousse un cri de surprise mais ne peut
éviter de tomber sur le côté. Immédiatement, profitant de son avantage,
Anita se couche sur Mélanie qui se débat comme une forcenée. Anita
s’accroche comme elle peut mais elle tient bon, petit à petit elle rampe sur
son adversaire et parvient enfin à s’asseoir sur sa poitrine. Le souffle
coupé Mélanie fatigue mais se débat toujours, donnant de violentes ruades
pour faire tomber son adversaire. Mais Anita a maintenant bien assuré sa
prise, Mélanie se fatigue, elle ne se débat presque plus. Poussant son
avantage Anita se positionne sur le visage de Mélanie, sa chatte humide de
transpiration et aussi de plaisir juste sur la bouche et le nez de son
adversaire. Mélanie suffoque, ne trouve plus d’air mais seulement l’odeur de
femme de son adversaire. Ne tenant plus, étouffant littéralement sous Anita
qui serre de plus en plus les jambes, Mélanie abandonne la lutte et écarte
les jambes au maximum en signe de soumission. Aussitôt Anita se soulève un
peu pour permettre à son adversaire malheureuse de respirer. Elle a gagné,
elle sent des ondes de plaisir la parcourir, elle ne jouit pas mais
l’orgasme n’est pas loin, son sexe est inondé. Mélanie ne bouge plus, les
yeux fermés, offerte, elle attend résignée l’humiliation suprême qu’elle va
subir.
Les mains d’Anita sont alors déliées par Irma qui lui apporte les deux gods,
elle va pouvoir soumettre totalement la vaincue. Toujours assise sur
Mélanie, Anita se tourne sur son adversaire, lui relève les jambes et se
saisissant d’un god de bonne taille l’enfonce sans ménagement dans le sexe
de Mélanie qui se cabre un instant en poussant un gémissement vite étouffé.
Heureusement la transpiration et le plaisir sournois de sa condition de
vaincue lui avaient bien lubrifié le sexe. Maintenant il s’agit pour Anita
de bien faire ressentir à Mélanie son état de vaincue et d’esclave offerte.
Pour cela Anita se replace bien assise, la chatte juste au dessus de la
bouche de sa victime, et lui ordonne de lui lécher le sexe. Mélanie doit
s’exécuter et du bout de la langue caresse les lèvres et le clitoris de sa
maîtresse. Anita apprécie mais en veut plus, elle s’assied alors directement
sur le visage de Mélanie, elle sent sa bouche de celle-ci bien appliquée sur
son sexe, elle commence à onduler en se frottant sur la figure de Mélanie
dont la bouche ouverte est totalement bâillonnée. Le nez sur l’anus et la
langue enfouie dans le vagin de sa Maîtresse la pauvre Mélanie a du mal à
respirer, elle est submergée par l’odeur de femelle excitée qui entoure tous
ses sens. Elle voudrait se redresser, retirer ce god qui la gêne, respirer
normalement, ne plus voir ce sexe qui l’écrase, mais elle a perdu, elle doit
subir. Après avoir bien profité de sa situation, Anita se relève un peu, ses
yeux sont dilatés par le plaisir que lui procure le frottement sur la figure
de Mélanie mais aussi par celui de dominer et d’humilier cette autre femme.
Le visage de Mélanie est humide des sécrétions de son bourreau. Elle ne dit
rien, les yeux fermés elle reprend petit à petit une respiration normale, ce
face sitting l’a laissée terriblement vidée, elle ne pense plus à rien,
évitant de prévoir ce qu’elle va encore subir. Et ça ne tarde pas, Anita
l’insulte, la traitant de souillon mal soignée,
– Je vais te laver la figure à ma manière, tu vas voir salope ce que je fais
aux truies de ton espèce !
Anita se met alors à genoux, la tête de Mélanie entre les jambes, elle ferme
les yeux et se concentre. Au bout de quelques secondes elle commence à
uriner, un fin filet de pluie dorée qui coule sur les lèvres de Mélanie qui
ferme la bouche, horrifiée, par ce qui lui arrive. C’est maintenant une
belle averse qui inonde le visage de Mélanie, Anita lui pince le nez pour
l’obliger à ouvrir la bouche, sitôt fait elle dirige habilement le jet dans
la bouche de sa victime qui essaie de résister puis résignée l’accepte. Elle
doit avaler un peu d’urine avant de pouvoir recracher ce qu’elle reçoit.
Anita a terminé, elle oblige Mélanie à lui sucer le sexe pour le nettoyer.
Mélanie est définitivement matée, elle n’est plus que l’esclave de cette
Maîtresse.
Anita se relève enfin, retourne Mélanie sur le ventre et l’oblige à se
mettre à genoux, la tête contre le sol, les mains toujours attachées
derrière le dos. Ainsi dans cette position peu confortable, elle a la cul
bien dégagé et entièrement offert. Lors de retournement Mélanie a perdu le
god ce qui met Anita en colère. Celle-ci replace brutalement le sexe en
plastique bien à fond dans la chatte de Mélanie et la gratifie en prime de 3
ou 4 claques bien assénées sur le postérieur qui se colore immédiatement
d’un joli rouge. La pauvre Mélanie grimace de douleur. Anita n’en a cure,
elle caresse doucement l’anus de sa victime puis lui enfonce un puis deux et
enfin trois doigts dans le cul. Ceci fait, et malgré les gémissements de
Mélanie, elle tourne ses trois doigts dans l’antre serré comme si elle
voulait les visser au plus profond. Après cette séance de préparation, Anita
retire ses doigts juste le temps de les remplacer par un god d’une bonne
quinzaine de centimètres. Mélanie serre les dents pour ne pas gémir, le
visage par terre baignant dans l’urine de sa Maîtresse,. Les deux sexes en
plastique la pénètrent totalement, le god qui la sodomise lui brûle l’anus.
Anita attend un petit moment puis empoignant chacun des gods commence un
lent va et vient, ressortant presque les deux faux sexes pour les enfoncer
de nouveau bien à fond. Mélanie gémit, sanglote, elle a mal. Anita ne
s’arrête pas et augmente même un petit peu la cadence. Le spectacle de ces
deux orifices forcés l’excite. Elle est trempée. Les deux godes coulissent
de mieux en mieux, l’anus de Mélanie ne résiste plus, tout comme sa chatte
il s’humidifie, un peu de mouille commence même à apparaître. Anita, les
yeux à demi clos, est an bord de l’orgasme mais elle se concentre pour bien
manipuler les gods, Mélanie la bouche ouverte ne gémit plus, sa respiration
se fait de plus en plus bruyante et saccadée, elle ne veut pas donner à sa
Maîtresse le plaisir de sa jouissance, car elle en est proche maintenant,
elle ne ressent plus la douleur de la double pénétration mais uniquement du
plaisir. Anita continue et accélère, les gods en cadence pénètre et sodomise
à vive allure, les deux orifices dégoulinent de plaisir. Soudain Mélanie se
crispe et ne peut s’empêcher de crier tellement son orgasme est violent,
Anita poursuit et achève la pauvre Mélanie qui hurle son plaisir avant de
s’effondrer sur le ventre les deux gods fichés au plus profond de son cul et
de sa chatte. Quel plaisir elle a ressenti ! Sans lui laisser le temps de
reprendre ses esprits Anita la retourne sur le dos et s’assied sur sa
figure, frottant son sexe sur sa bouche et son nez. Elle est si excitée et
si trempée que trente secondes plus tard elle jouit de tout son corps
inondant de cyprine le visage de Mélanie.
Apaisée, Anita se détend, toujours assise sur Mélanie qui commence à
suffoquer, cherchant de l’air bâillonnée par le sexe d’Anita et le nez bien
coincé sous son anus, profitant de toutes ses odeurs intimes. Anita, se
relève un peu pour lui permettre de mieux respirer, mais elle en profite
aussitôt pour ouvrir les vannes et uriner à longs et puissants jets sur le
visage de la pauvre Mélanie à qui, décidément, rien n’aura été épargné.
Ayant terminé, Anita s’essuie lentement le sexe sur les seins de Mélanie
avant de se relever abandonnant son esclave allongée dans une mare d’urine,
les mains toujours attachées et un god encore fiché dans la chatte. Debout
Anita observe sa victime, ce n’est plus la femme un peu hautaine et BCBG de
toute à l’heure mais une esclave nue offerte vaincue et humiliée.
Maintenant qu’elle a bien joui Anita est plus calme, elle va pouvoir
s’occuper tranquillement de sa victime, s’amuser avec elle, l’humilier
davantage. Mélanie, toujours sur le dos attend son prochain supplice, elle
sait que son adversaire va encore profiter d’elle, ses mains attachées sous
elle lui font mal, les glaces tout autour d’elle lui renvoient l’image d’une
esclave salie et totalement vaincue. Anita s’approche de la tête de Mélanie
et pose sans délicatesse son pied droit sur sa bouche. Elle appuie un peu
obligeant Mélanie à ouvrir la bouche, le pied est trempé d’urine et Mélanie
doit maintenant le lécher pour le nettoyer. Sa langue parcourt tout le pied
d’Anita, la plante, puis le coup de pied et enfin chaque orteil un à un. La
bouche de Mélanie est emplie d’un goût d’urine et d’un goût salé. Après le
pied droit c’est le pied gauche que Mélanie nettoie consciencieusement sous
les quolibets de sa maîtresse. Le travail terminé Anita s’agenouille à côté
de Mélanie et, pour la récompenser, lui caresse doucement les seins avant de
se saisir et de tordre les deux tétons. Mélanie pousse un cri de surprise et
de douleur, elle le regrette tout de suite car Anita retirant brutalement le
god encore planté dans le sexe de sa victime le lui enfonce dans la bouche
pour la faire taire. Mélanie a ordre de garder le god dans la bouche sous
peine de punition sévère. Sa victime bâillonnée Anita en profite pour pincer
sadiquement les tétons de Mélanie qui se dandine de douleur en implorant des
yeux sa tortionnaire de stopper ses manipulations. Mélanie est très sensible
des seins, elle a du mal à ne pas rejeter le god pour crier sa douleur, ses
yeux s’humidifient, des larmes coulent, elle n’en peut plus. Anita continue
encore un peu à martyriser les tétons de Mélanie puis satisfaite de voir son
esclave anéantie, elle stoppe enlève le god de la bouche à Mélanie et lui
caresse alors doucement et tendrement les seins. Mélanie sanglote toujours,
elle n’ose bouger mais apprécie les douces caresses de sa maîtresse et petit
à petit elle se calme, retrouvant une respiration normale. Ses yeux croisent
ceux de sa maîtresse, et lui adressent un bref clignement d’obéissance et de
reconnaissance. Anita a bien reconnu le signe de soumission de Mélanie et en
est flattée et fière. Elle sait qu’elle a définitivement conquis Mélanie,
cette femme lui est désormais soumise, maintenant bien sûr mais aussi demain
et tous les jours. C’est la première fois qu’elle ressent cette impression
de domination, c’est excitant. Pour marquer son contentement et terminer
cette séance qui l’a épuisée Anita se penche sur Mélanie et l’embrasse
quelques secondes à pleine langue. Mélanie est surprise, elle voudrait
prolonger ce baiser mais déjà Anita s’est relevée et se dirige vers la
sortie. Le combat entre les deux femmes est terminé.
Anita est sous la douche, elle repense à la folle après-midi qu’elle vient
de vivre, jamais elle n’avait vécu une relation si intense. Cette séance lui
a procuré un réel plaisir, elle a découvert un penchant pour la domination,
l’abandon final de Mélanie est certainement le moment le plus émouvant.
L’émoi qu’elle a alors ressenti était si fort qu’elle n’a pu s’empêcher
d’embrasser furtivement Mélanie puis de quitter rapidement la pièce pour ne
pas s’effondrer en sanglots.
Anita douchée et rhabillée retrouve Irma au bar. Celle-ci lui offre une
coupe de champagne et la félicite pour sa prestation.
Mélanie toujours étendue, nue, souillée, les mains attachées attend, elle a
froid, elle n’arrive plus à coordonner ses pensées. Elle si attentive à son
image, si soignée vient de se faire traiter de la plus humiliante des
façons. Elle devrait s’en offusquer se rebeller, mais elle ne sait plus.
Certes elle a souffert physiquement et surtout moralement, elle a été
souillée et humiliée mais par une femme, mais cette épreuve lui a procuré un
plaisir sournois qu’elle ne connaissait pas. Il lui faudra du temps pour
analyser ses pensées et pour essayer de cerner ses propres fantasmes.
Irma vient d’entrer dans la pièce, elle libère enfin les mains de Mélanie
qui se lève difficilement et quitte la salle pour prendre une douche.
L’eau lui fait du bien, elle peut enfin se débarrasser de cette odeur
d’urine qui lui collait au corps. Enfin propre Mélanie s’habille et se
dirige vers le bar. Elle sait qu’il lui reste encore une épreuve avant enfin
de pouvoir sortir. Irma l’attend assise sur un tabouret devant le bar. Irma
fixe Mélanie dans les yeux qui baisse la tête et lui ordonne, avant de
partir, de lui sucer la chatte jusqu’à l’orgasme.
Irma se soulève légèrement de son siège et Mélanie lui enlève son slip de
latex noir. Irma s’est assise sur le bord du siège et relève les jambes au
maximum, elle présente ainsi sa chatte aux lèvres roses déjà ourlées
d’humidité. Mélanie s’est agenouillée, ses deux mains se sont agrippées aux
cuisses d’Irma et sa bouche se pose délicatement sur son sexe. Mélanie est
immédiatement surprise par l’odeur de transpiration, de jouissance et de
latex qui émane de la vulve d’Irma. Le combat que les deux jeunes femmes se
sont livrées ne l’a pas laissé indifférente. Irma saisit les cheveux de
Mélanie et lui plaque la figure sur son sexe. Mélanie ferme les yeux, sa
langue pointée en avant caresse le bouton rose, ses lèvres happent à tour de
rôle les lèvres ouvertes. La vision de cette femme, habillée avec goût, à
genoux, en train de sucer la chatte d’une autre femme assise sur un tabouret
est un tableau très érotique. Irma elle se concentre sur son plaisir, elle
apprécie la minette que lui prodigue Mélanie. Les mains toujours agrippées à
la chevelure de Mélanie elle frotte le visage de celle-ci sur son sexe. La
langue, les lèvres et le nez de Mélanie participent aux caresses de la
chatte et de l’anus. Irma soupire de plaisir, Mélanie a du mal à respirer,
elle a la figure humide des sécrétions d’Irma, mais elle continue à
s’appliquer, à donner un maximum de plaisir. Irma a maintenant la bouche
ouverte, les yeux fermés, elle va jouir, encore quelques va et vient de la
bouche d’Irma et ça y est elle jouit. Irma crie sous l’orgasme, plaque
fortement le visage de Mélanie contre sa chatte, elle jouit ainsi plusieurs
secondes. Mélanie a bien ressenti l’orgasme d’Irma, sa bouche suce
maintenant un sexe totalement liquéfié, elle a de la liqueur de femme sur
les lèvres, sur le nez. Irma profite encore de Mélanie, de la douce caresse
de sa langue qui l’apaise après l’orgasme. Enfin elle libère la tête de
Mélanie qui se relève, le visage humide, les yeux cernés, et qui peut enfin
sortir du Club. La séance est terminée pour elle, elle fut très dure et
excitante à la fois. Mélanie n’aspire qu’à une chose c’est se reposer chez
elle pour repenser calmement à tout ce qu’elle a vécu aujourd’hui.
Yvon Yvon
Ce texte a obtenu le 1er prix Vassilia du « meilleur récit LESBOS » ainsi que
le prix spécial du récit le plus original publié sur notre site en 2003
Spécial mais pas si mal
Le fantasme est rare y compris sur ce site, là il est bien raconté et bien illustré