Ce qui ne manque pas de maintenir P(errine).G.M dans un état d’érection.
Ce qui ne manque pas de satisfaire P.G.M rassuré d’avoir retrouvé sa virilité fusse au prix de quelques humiliations qu’il a d’ailleurs trouvé très agréable.
Ce qui ne manque pas d’émoustiller Hélène qui compte bien bénéficier des bonnes dispositions dans lesquelles se trouve la bite conjugale.
– Bon, maintenant ma petite pute chérie, nous allons nous occuper de ton pucelage.
Ces paroles dites haut et fort annonce la reprise du jeu.
– Mon cul est à toi ma doulce ! Disposes-en comme tu le désires !
– C’est bien ce que j’ai l’intention de faire avec ou sans ta permission d’ailleurs. Bon ! Ma petite Perrine, tu vas t’installer à genoux sur le fauteuil. Tu embrasses le dossier, tu joins tes mains comme si tu priais. Ok ! Maintenant tu écartes les jambes du plus que tu peux ma petite chatte ! Ne bouge pas avant que je revienne sinon…
Perrine n’a guère l’opportunité de bouger car l’absence d’Hélène est de courte durée. Avant de la voir, ille l’entend. Manifestement, elle porte quelque chose d’encombrant car ce quelque chose heurte la porte au passage. Perrine se demande ce qu’elle a encore inventé. Pas longtemps à attendre : Hélène entre dans son champ de vision traînant, plus que portant, la psyché qu’ils avaient stockée dans la chambre d’amis.
– Je veux que tu ne perdes pas une miette de ce qui va t’arriver.
En suivant les indications de Perrine, Hélène place le miroir de telle façon qu’ille puisse voir son cul.
– Nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses !
D’une main sûre, elle roule la mini robe aussi haut qu’elle le peut, découvrant non seulement le petit cul de son mari mais aussi une bonne partie du dos.
– Tu as vraiment un joli petit cul ! Je crois que j’avais oublié combien tes fesses étaient goûteuses, dit-elle en les mordillant alternativement. Il me vient une envie soudaine… Jusqu’à maintenant, tu reconnaîtras que tout ce que je t’ai fait subir était plutôt agréable, n’est-ce pas ?
– Plus qu’agréable, mon amour ! Il y a longtemps que je n’avais eu autant de plaisir !
– C’est bien ce qui me désole ! Je devrais te punir pour ton inconduite et en fait je te donne du plaisir ! Reconnais que ce n’est pas juste !
– Ce n’est pas juste, tu as raison mon amour ! Tu es trop gentille !
-Ben justement ! D’où mon idée…
A peine le dernier mot prononcé, la main droite d’Hélène s’abat sans retenue sur les fesses offertes de son petit mari qui fait un saut de carpe, se relève :
– Putain ! Ça va pas ! T’es complètement tarée !
et se retrouve face à son épouse qui, bras croisés sur la poitrine, le toise avec sévérité :
– Ai-je bien entendu ?
– Mais bibiche, tu…
– Pas de bibiche qui tienne ! Tu es ma servante… Et tu as affirmé, il n’y a pas si longtemps que je pouvais en faire ce que je voulais…
– Oui ! mais de là à me taper d…
– Tu veux arrêter le jeu ?
– Là n’est pas la question !
– Si ! Justement ! Et n’oublie pas que tu m’as bafoué aujourd’hui même ! Alors ?
Sans répondre, Perrine retourne sur son fauteuil et reprend la pose. Ille constate en jetant un œil dans la psyché que sa femme n’y a pas été avec le dos de la cuillère, sa fesse gauche est toute rouge.
– Soyons clair, ma petite pute chérie ! Cinq coups pour l’adultère de cet aprem ! Deux de plus pour avoir joui dans une de mes culottes sans ma permission ! Deux pour m’avoir traité de tarée et un (tu vois chais être indulgente) pour m’avoir traité de putain !
– Mais, ma puce, je ne t’ai pas traité de p…
– Ne me contrarie pas sinon… Donc ça fait dix coups, n’est-ce pas Mademoiselle le professeur des écoles. Bonus ! Je double la punition si tu geins un tant soit peu ! Alors serre les dents, serre les fesses ! Serre tout ce que tu veux mais sans bruit !
Le coup numéro un, main ouverte, est asséné sur la fesse droite avec autant de force que le coup d’essai. Mais préparé, Perrine encaisse sans broncher. Après un temps mort d’une dizaine de secondes, le deuxième tombe sur la fesse gauche avec une intensité égale.
Ensuite les coups s’enchaînent avec régularité :
un geste amorcé,
une frappe,
une pause …
Dans la glace, Perrine peut suivre l’évolution du rougissement de ses fesses.
Très troublant : après le cinquième ou sixième coup, ille rebande.
Très perturbant : plaisir et douleur se mêlent.
Ille appréhende enfin le sens de l’expression avoir chaud aux fesses.
Ses fesses le cuisent mais ille désire le coup suivant aussi quand,
– Et voilà ! C’est fini ! Tu vois que ce n’était pas si dur que ça !,
ille est presque dépité.
– Tu as été très courageuse, chérie-chérie ! Ca mérite quelques baisers !
Aussitôt annoncé, aussitôt réalisé ! Hélène s’agenouille à son tour et dépose des baisers lécheurs sur les rouges rotondités. Naturellement sa main se glisse entre les cuisses de Perrine et se dirige tout aussi naturellement vers la queue.
– Ben mon salaud ! A moins que tu sois doté soudain du pouvoir de bandaison instantané, j’comprends que tu gémissais pas ou alors si t’avais gémi ça aurait été de plaisir !
Abandonnant pour un instant son rôle :
– Ca fait chais même plus combien d’années qu’on baise ensemble et jamais je n’aurai pensé que tu aimes ça !
– Ben moi non plus jusqu’à ce matin, je m’étais aperçu de rien. Remarque ma puce, j’peux en dire autant de toi ! Tu ne m’avais guère habitué à de telles manifestations d’autorité. Mais c’est vrai que j’adore et être ta chose m’excite comme c’est pas possible.
– Alors la P.G.M., tu m’en bouches un coin ! Trêve de bavardage maintenant c’est moi qui vais t’en boucher un ! Et j’vais être totalement écolo, que des produits naturels…
Faisant glisser le string mauve :
– Déjà, on ne va pas déformer encore plus cette pauvre culotte.
Forçant Perrine à quelques exercices gymniques, elle ôte la culotte sans qu’ille perde la position.
– Ben mon… ma petite cochonne, je… tu vas être obligée de la laver car le moins qu’on puise dire c’est qu’elle n’est plus de première fraîcheur.
La portant à ses narines:
– Y’a même une odeur de marée prononcée !
Dans un geste étudié, la culotte rejoint la robe d’intérieur sur le sofa.
Sans préliminaires inutiles, ses mains ouvrent le cul couleur homard.
Sa langue toctoque à l’huis fripé.
Sans attendre de réponse, elle entre.
Cette tête de pont solidement installée, elle laisse couler un maximum de salive.
Ecartant encore plus les deux demi-naines rouges, ses lèvres viennent se coller à l’anus.
Elle enfonce sa langue au maximum élargissant, lubrifiant autant qu’il est possible.
Perrine est aux anges.
Cette langue qui fouille son cul, un vrai délice.
Popaul, libéré de la contraignante présence du string mauve, se tend, enfin autant qu’il veut.
P(errine).G.M. ne se rappelait pas qu’une bite bandée puisse générer une douleur (délicieuse douleur) qui donne une envie irrésistible de se libérer.
Contempler dans la psyché sa femme à genou.
Une partie du visage disparaissant entre ses fesses.
Se rendre compte, de plus, que la gueuse non contente de lui lécher le cul, ayant écarté le gode, se masturbe la chatte avec trois doigts
P(errine).G.M. plane complètement.
Ille n’a qu’une crainte : jouir avant même qu’elle ne le touche.
Lorsqu’elle retire ses doigts de son minou et son visage de ses fesses, il comprend que sa masturbation n’avait pas pour seul but de lui donner du plaisir.
Il voit les trois doigts généreusement enduits de mouille s’élever et prendre la direction de …
Index, majeur, annulaire dans un commun élan appuie sur son anneau et s’y enfonce sans vraiment rencontrer de problème.
Une fois à l’intérieur, tournant, virevoltant, se détachant, allant et venant, ils préparent le terrain pour l’intromission suivante.
Bien que peu expérimenté dans cette pratique, les sphincters absolument décontractés accueillent sereinement ces doigts qui dans une improvisation sur ce thème nouveau pour eux se montrent très efficaces.
Perrine littéralement « sent » son cul s’ouvrir sous ces caresses. Depuis plusieurs minutes aucune parole n’a été échangée.
Aux mouvements du bassin de plus en plus hasardeux de sa petit mari, Hélène devine qu’ille s’impatiente, que son plaisir monte et que son anus ne peut plus attendre cette deverginisation.
Elle se relève et, au travers du miroir, ille suit l’avancée de cette pseudo-bite.
Hélène présente l’engin entre les fesses.
Une seconde d’anxiété !
Puis la chair de ses fesses qui s’ouvre pour laisser coulisser la prothèse virile.
Le gland, bélier de plastique, atteint le trou noir.
Préparé comme il l’a été, il n’oppose aucune résistance à la pénétration.
Comme un mec, Hélène agrippe les hanches de la charmante Perrine et enfonce entièrement en elle, ce dard de ville.
Ille est surpris de ne pas avoir ressenti plus douloureusement l’introduction.
Surpris agréablement par les sensations procurées par le passage de l’engin, Surpris aussi des contractions spasmodiques de son anneau.
Hélène entame des va-et-vient dans l’ (pas si) étroit canal (que ça).
Le conduit formidablement oint par la salive et les sécrétions d’Hélène accepte, sans problème, ce coulissage.
Les frottements contre sa prostate font monter la pression.
Ille veut utiliser sa main pour aider cette montée du plaisir par une bonne branle.
Alors qu’ille va pour empaumer sa queue :
– Pas touche ! Remets ta main où elle était ! Tu jouiras quand je te le dirai, si je le veux ! Compris !
–
Sans protester, ille obéit.
Les coups de queue de la belle Hélène deviennent plus chaotiques et partent un peu dans tous les sens.
Avec le peu de lucidité qu’il lui reste, Perrine constate que ces désordres sont provoqués par les mouvements réalisés par le bassin de sa femme pour s’auto masturber avec le socle du gode.
La méthode est efficace.
Les trajectoires sont de plus en plus désordonnées.
Le bassin bouge de plus en plus rapidement.
Les mains d’Hélène se crispent sur les hanches de son amante.
Perrine entend dans son dos le souffle de sa partenaire s’accélérer,
devenir de plus en plus haché,
s’entrecouper de sanglots, de gémissements.
Un dernier gémissement plus long, plus fort…
Les ongles qui pénètrent dans la chair tendre des hanches…
La queue d’acier fichée totalement…
Bassin collé au cul…
Relâchement … et :
– 4 – 4 ! Nous sommes à égalité.
Hélène décule.
Sans prendre le temps de défaire la ceinture, elle se débarrasse du gode.
Elle s’allonge à même la moquette, jambes relevées, cuisses ouvertes.
– Maintenant ! Mon amour, baise-moi !
Avant qu’elle n’arrive trois, la queue de Pierre-Georges Mistouflet est bien au chaud dans son vagin.
Putain que c’est bon !
Il la bourre !
Il la laboure !
Il la ramone !
Il la pilonne !
Il lui défonce le con avec une violence qu’il ne se connaissait pas.
A chaque coup de boutoir ses couilles vont frapper le cul potelé de sa belle.
Il lui remonte les cuisses contre les épaules.
Il empoigne ses mamelons, les malaxe avec une rude virilité.
Il en étire les pointes avec ce qui pourrait paraître de la brutalité mais qui est simplement le reflet libératoire de mois d’angoisse.
Disparu toutes ses peurs, toutes ses angoisses ! Mieux ! Ces quatre éjaculations précédentes, cet état d’excitation maintenu depuis l’arrivée d’Hélène font que le plaisir est long à venir. Tout à fait bénéfique aussi pour Hélène qui sortant d’un orgasme a le temps de se remettre au diapason.
Arrive l’Instant : concentré de folie pure !
Le bassin de la belle Hélène se jette à la rencontre de celui de son mari avec la même brutalité.
Leurs pubis se heurtent violemment à chaque tour (bonjour les bleus !).
La douleur décuple leur désir.
Sur la même longueur d’onde, leurs orgasmes arrivent à la même seconde.
Réaction tout à fait différente : P.G.M. est comme tétanisé, arc-bouté au-dessus de sa femme dont le bassin perdant le nord, le sud, l’est et l’ouest s’agite dans tous les sens cognant toujours avec la même violence le pubis de l’homme.
P.G.M. a l’impression qu’il n’en finit pas de jouir, qu’il se vide.
Sa jouissance vient du plus profond de ses reins et de plus de six mois d’abstinence forcée.
Cet orgasme qui n’en finit pas déclenche des orgasmes à répétition chez Hélène qui hurle son plaisir.
Quand, au bout de ce qui leur paraît une éternité, ils s’écroulent sur la moquette, ils sont vidés. Vidés dans tous les sens du terme. Bien évidemment, c’est Hélène qui a le mot de la fin :
– C’est quand qu’tu r’vois Julien ! Tu sais, tu d’vrais me le présenter.
Elle avait parfaitement compris que P.G.M. le reverrait mais manifestement, elle n’avait pas l’intention de le laisser en profiter seul. P.G.M. s’était incliné, pas vraiment convaincu que ce soit une bonne idée. Il comptait sur la nuit pour que le calme revienne dans la tête de sa moitié et l’absurdité de cette idée lui apparaisse.
Malgré les crèmes adoucissantes dont Hélène lui avait enduit le cul avant leur coucher, la fessée qu’il a prise hier soir se rappelle à son bon souvenir, sans parler de cette sensation d’avoir encore le gode dans le cul. Les réminiscences associées à ses douleurs l’émoustillent et, à sa grande stupeur, P.G.M. s’aperçoit qu’il bande de grand matin. C’est comme un rayon de soleil qui rentre dans sa vie. Il saute de son lit et va se contempler dans la glace. Et oui c’est bien sa queue, ce pieu érigé bien ferme. Tentant d’y porter la main ! Il commence à se masturber en revisionnant dans sa tête la K7 de la soirée.
– Et merde ce serait trop con ! J’ai peut-être mieux à faire ! Pensée vers Julien ! Il enlève à regret sa main de sa queue et, à poil, se dirige vers la cuisine. Lorsqu’il prend son bol pour se servir son café, il y découvre une feuille pliée en quatre. Hélène lui a laissé un message. Ce n’est pas inhabituel. C’est une méthode qu’elle utilise fréquemment pour lui donner des consignes. Mais en ce jour particulier, ce petit poulet n’augure rien de bon. Il le pose sur la table sans l’ouvrir, se sert son café, s’assoit, touille son sucre, boit une bolée. Il recule l’échéance.
– Bon ! Quand faut y’aller, faut y’aller ! Il déplie la feuille :
Pour P.G.M.
Mon chéri, j’espère que tu as bien dormi et que tu as fait de beaux rêves (aussi beaux que les miens). J’ose espérer aussi que tu as résisté à la féroce envie de masturbation que tu devais avoir en te levant (si j’en juge par le chapiteau qui déformait le drap quand je me suis levée). Ne te préoccupe pas de la bouffe, je passerai chez « Cestouprêt » par contre, mets un peu d’ordre dans le salon (n’enlève pas la psyché, peut-être en aurons-nous encore l’usage).
Mon amour, la soirée d’hier a été merveilleuse…
Pour Perrine,
Ma chérie, j’espère que tu as bien dormi et que tu as fait de beaux rêves (aussi beaux que les miens).
Lave la lingerie que tu portais hier. Elle en a sacrément besoin.
N’oublie pas de téléphoner à Julien, demande-lui s’il est libre ce week-end et si ça lui plairait de le passer avec nous.
J’arriverai vers onze heures trente. Tu porteras la mini robe que je t’ai prêtée et la lingerie que tu as achetée. Ne mets pas de bas… Et surtout ne te maquille pas…
Mon amour, la soirée d’hier a été merveilleuse…
P.G.M. est subjugué par l’autorité nouvelle de sa femme… La déconvenue de devoir partager Julien (Reste la possibilité que celui si refuse, mais il n’y croit pas) est largement contrebalancée par le fait qu’il sera de nouveau Perrine dans à peine… P.G.M. regarde la pendule murale.
– Merde, il est déjà 10 heures et demi. Il ne lui reste qu’une petite heure pour sa toilette, faire le ménage qu’Hélène lui a demandé et surtout, surtout se préparer pour sa maîtresse.
Pierre-Georges Mistouflet a presque réussi. Lorsque la voiture de son Hélène s’arrête dans la cour, il est encore au téléphone avec Julien. C’était la dernière corvée, celle qu’il avait reportée au maximum. Mais à 11 h 20, récuré, tous les travaux ménagers accomplis, redevenu Perrine, il a bien été obligé de décrocher le combiné… Il prend congé rapidement et raccroche
– A qui téléphone ma petite pute ?
– Justement, bibiche, je viens d’appeler Julien…
– Alors ? interroge-t-elle en s’installant dans le fauteuil près de la psyché.
– Euh… ben, il accepte.
– A quelle heure viendra-t-il ? insiste-t-elle tout en retroussant sa jupe.
– Ben… il ne sait pas exactement… Perrine se tient debout les mains croisées devant elle dans une attitude empruntée.
– Comment il ne sait pas ? s’énerve Hélène. Elle ouvre largement ses cuisses et
les pose sur les accoudoirs du fauteuil. Faisant cela elle révèle aux yeux effarés de sa mari que si elle porte bas et porte-jarretelles, elle a totalement omis de passer la moindre culotte.
– Oui ! Je n’ai pas de culotte ! Et alors ? Ca te pose un problème ?
– T’es pas un peu folle ! Imagine qu’un de tes collègues s’en soit aperçu ?
– Pour ce qui est d’imaginer, j’ai imaginé et rien que de penser qu’on pouvait
mater mon petit minou poilu, ça me faisait mouiller. Quant à l’insulte, ma petite pute chérie, tu sais ce qui t’est arrivé hier au soir ! Tu as de la chance, nous n’avons pas assez de temps et j’ai d’autres projets… Mais tu ne perds rien pour attendre ! Alors il vient quand ?
– Il va essayer de se libérer le plus tôt possible ! Il va demander à une copine de le remplacer. Au pire, il sera là vers 18 heures.
– Tu lui as expliqué que ce n’était pas pour repeindre la cuisine que nous avions besoin de lui.
– Oui, ma doulce.
– Et qu’en pense-t-il ?
– « Ca me branche, chéri ! » Voilà textuellement, ce qu’il m’a répondu.
– Bon ! Assez bavassé ! Approche ma petite pute chérie ! Viens voir maman !
Perrine , les mains toujours timidement croisées devant elle, s’approche du fauteuil. Alors qu’ille arrive à un mètre :
– Stop ! Soulève ta robe, ma chérie et montre à Maman, ta petite culotte ! Mais qu’est-ce que c’est que cette bosse qui déforme si horriblement cette jolie petite pièce de lingerie ?
–
Une érection du plus bel effet déforme effectivement la culotte de Perrine. Tout à sa discussion, ille ne s’en est même pas aperçu.
– Mais c’est que je lui fais de l’effet à cette petite dévergondée… Approche ! Non ! Attends ! Descends ta petite culotte, jusqu’à tes genoux ! Bien ! Relève ta robe ! Tiens la bien au-dessus du nombril ! Maintenant tu peux approcher.
Perrine, la bite en avant, empêtrée dans sa culotte, se dandine jusqu’à sa femme.
– Plus près !
Ses genoux heurtent le bas du fauteuil.
– Monte sur le fauteuil ! A genoux sur le coussin ! Sans me toucher ! Et sans lâcher ta jupette !
Perrine doit effectuer une gymnastique pas possible pour parvenir à grimper sur le coussin sans désobéir : le fait de ne pouvoir utiliser une seule main, la culotte à mi-cuisse et le fait que les fesses de sa femme occupe déjà une bonne partie du siège compliquent salement l’entreprise. Ille y parvient non sans se sentir ridicule mais en évitant tout de même la chute. Ses humiliations le font bander comme jamais.
– Avance ! Relève-toi ! Viens offrir ta sucette à Maman !
Avance ! Relève-toi ! Elle en a des bonnes, se dit Perrine dans sa Cadillac intérieur. Si je me relève en tenant cette foutue robe, j’vais me casser la gueule et en plus je vais lui défoncer la chatte. Comme en écho à ses pensées :
– N’aie pas peur ! Ok ! Passe ta robe par-dessus ta tête, comme ça tu auras les mains libres !
– Mais je ne vais plus.
– Perrine, je ne t’ai pas donné la parole ! Fais ce que je te dis !
Pas vraiment rassurée, ille obéit.
– C’est bien ma petite pute chérie ! Tu dois obéir à Maman, sans chercher à comprendre ! Maintenant pose tes mains sur le dossier du fauteuil, lève-toi et laisse-toi aller vers ma bouche.
Aveuglée par la robe sur sa tête, Perrine s’exécute. Tout se passe comme Hélène l’a annoncé. Ille sent les lèvres humides happer son bourgeon tandis que deux mains ouvrent ses fesses et que deux doigts appuient sur sa rosette.
Tout en frottant son vagin contre ses genoux serrés, Hélène le suce divinement. Après avoir repoussé le prépuce de ses lèvres collées, elle alterne les avalées totales, les remises à l’air avec des léchages du gland et de la hampe, des succions, des pénétrations du méat.
Hélène connaît bien P(errine).G.M. Elle sait exactement ce qu’elle doit faire pour que la fellation dure sans que son petit chéri gaspille son sperme. De plus quelques doigts enfoncés à l’instant crucial ou un bon serrage de couilles font redescendre les spermatozoïdes trop pressés dans leurs quartiers. La seule chose qui dérange P.G.M. est l’immobilisme qu’il doit respecter mais ceci ne dérange pas Perrine tout heureuse de satisfaire sa patronne, de sentir couler sur ses jambes la cyprine sécrétée en abondance par la chatte patronale.
Si Hélène contrôle parfaitement sa fellation, il n’en va pas de même de son mont de Vénus qui s’agite avec une ardeur croissante contre les genoux de sa homme. Soudain, Perrine se retrouve tout con la bite à l’air abandonnée. Hélène, la voix rauque :
– Ma petite pute chérie, tu te dépêches de descendre comme tu veux. Tu peux t’aider des mains, des pieds mais tu te démerdes. Ensuite tu t’allonges sur le dos, robe relevée, jambes allongées, serrées et bras sous la tête. Y’a urgence.
Alors qu’ille agit avec rapidité et docilité, Perrine se dit que sa chère et tendre maîtresse a du cogiter chaque geste de cette joute ! Fallait espérer pour ses élèves qu’elle leur ait préparé des contrôles sinon … Dès qu’il a pris la position ordonnée, Hélène, jupe en corolle, s’empale, sans plus de formalité sur sa bite tendue.
– Tu restes strictement immobile ! Pas un geste ! Compris chérie chérie !
Posant ses mains à plat sur la poitrine de sa monture, la belle Hélène se lance dans un trot tonique. La fellation préparatoire a amené la bite de Perrine à son maximum de volume mais malgré cela le vagin lubrifié à l’extrême y coulisse avec aisance. Hélène, assurément, trop pensé à cet instant.
L’orgasme arrive très rapidement extériorisé par un OUIIIIIIIIIIIIIIII jubilatoire, par un cramouillage de la vulve inondée sur le pubis de Perrine. Le temps suspend son vol… au moins trois secondes puis :
– Bon ! J’vais m’laver la foufoune pendant ce temps, tu mets la table ! T’auras bien le temps de te laver quand je serai au boulot… Exit Hélène.
Un instant, Perrine (P.G.M. ?) reste conne, pétrifiée. La jouissance d’Hélène a été si rapide qu’ille n’a pas eu le temps de prendre le train. Ille est là sur le quai, abandonné, la queue à la verticale luisante de cyprine
– Ben ! Et moi ! Je jouis quand ?
De la salle de bain, une voix lui répond :
– Quand j’aurais envie ! Et n’avise pas de te branler cet aprem ! Au fait, tu me donneras le numéro de Julien.
A suivre