Mon amie Barbara par Sandratvtg

 

Mon amie Barbara par Sandratvtg

J’accueille Barbara avec impatience.

C’est une ravissante brune aux yeux bleus très féminine qui fait l’amour sans tabou. Elle aime mettre en scènes nos fantasmes dans des jeux de rôles. Aujourd’hui, elle s’est harnachée de sa lingerie la plus sexy.

– Tu vas craquer en découvrant mes dessous, m’assure-t-elle

Je m’aperçois qu’elle porte tous les artifices de l’éternel féminin. Une jupe rouge ultra courte, gonflée par un jupon vaporeux, dévoile ses jarretelles tendues sur la peau mate de ses cuisses. Des talons de neuf centimètres allongent ses jambes gainées de nylon.

Tout en me provoquant du regard, elle dégrafe son corsage pour me faire admirer le galbe parfait de ses seins qui jaillissent de son balconnet.

Je meurs d’envie de la violer quand elle fait semblant d’ajuster ses bas pour me dévoiler ses fesses moulées dans sa culotte en satin.

Puis, elle m’observe à son tour en me voyant maquillée et habillée avec soin.

Je suis coiffée d’une perruque blonde mi courte qui encadre mon visage en ayant revêtu une lingerie glamour. Mes nombreuses années passées à me travestir m’ont permis d’acquérir une féminité tant sur le plan physique que psychique.

Barbara semble plutôt satisfaite de son examen car elle me dit :

– Ne perdons pas de temps ma chérie.

Elle me tend un verre d’eau en me glissant une pilule bleue dans la bouche.

– Avale ça ma belle, c’est du viagra.
– C’est indispensable si tu veux tenir toute l’après-midi, car je te réserve quelques surprises. Regarde, j’ai déjà envie de toi, me dit-t-elle.

Je craque lorsqu’elle soulève sa jupe en me montrant sa queue plaquée contre son corset qui atteint la hauteur de son nombril.
J’admire son gland épais et sa hampe qui va en s’élargissant jusqu’à sa racine.

Je ne pense plus qu’à baiser cette fille magnifique en songeant à tous les jeux de rôles que l’on va pouvoir vivre ensemble.

– Tu dois t’occuper d’elle maintenant, ajoute-t-elle en me montrant sa queue en érection.

Encouragée par ses paroles, je tombe à ses genoux en remontant mes mains jusqu’à la lisière de ses bas. Puis, plongeant ma tête sous sa jupe, je caresse ses cuisses fuselées sur lesquelles sont tendues quatre paires de jarretelles. Tout en la masturbant, je lui enfonce un rosebud dans les fesses.

Bien que n’étant pas attirée par les hommes, j’adore faire l’amour avec des transsexuelles. Elles symbolisent la féminité portée à son paroxysme et sont bien plus sexy que la plupart des femmes d’aujourd’hui.

Celles-ci ont malheureusement préféré adopter le style androgyne imposé par les stylistes homo en portant des vestes et des pantalons.

Ce n’est pas en voyant défiler des mannequins enfants anorexiques que nos femmes auront envie de ressembler aux pin-up des années soixante.

Cela explique que les hommes sont de plus en plus nombreux à préférer faire l’amour à ces transsexuelles hyper sexuées qui adorent le sexe et partagent leurs fantasmes.

En admirant le bijou anal que je viens d’enfoncer dans les fesses de Barbara, je me rappelle mes dernières vacances estivales dans un camp de nudistes en Ardèche.

Je suis allongée sur la plage, jambes écartées quand un groupe de jeunes éphèbes et de filles s’arrête devant moi.

Je les entends commenter avec excitation le bijou anal qui est enfoncé dans mes fesses. Son socle en cuivre incrusté d’un saphir bleu en verre taillé brille de mille feux au soleil.

Soudain, une jeune femme peu farouche s’approche de moi en me demandant de la raccompagner chez elle. Comme le courant passe immédiatement entre nous, je me décide à la suivre.

A peine arrivée dans sa chambre, elle me déshabille en m’allongeant sur son lit. Elle commence par me masturber tout en jouant avec mon rosebud. Puis, elle le retire de mon œillet pour le plonger dans sa chatte.

– Ça va me permettre de serrer davantage ta queue, me dit-t-elle en m’offrant ses fesses.

Fou de désir, je m’enfonce dans ses reins.

Je suis fascinée de voir son cul s’ouvrir comme un fruit mûr sous la poussée continue de ma verge. Comme prévu, le bijou anal enfoncé dans son vagin comprime son anus en le rendant plus étroit que celui d’une vierge.

Mon plaisir est tel que je jouis très vite en elle.

C’est avec regret que je la quitte un moment plus tard.

Revenant à la réalité, je suis fascinée par Barbara qui a décidé de me faire craquer. Elle se trémousse un moment devant moi en roulant des hanches avant de s’asseoir dans son fauteuil. Puis, elle frotte lentement ses cuisses l’une contre l’autre pour me faire entendre le crissement de ses bas.

Je m’agenouille entre ses jambes avec l’envie d’explorer ses dessous. Mes mains remontent jusqu’à ses jarretières et se glissent dans sa culotte en satin pour saisir son sexe qui me fait découvrir ses attentes.

Barbara frissonne de plaisir lorsque je lui embrasse l’intérieur des cuisses et gémit doucement quand je tiraille du bout des lèvres le plug plongé dans son ventre.

Les sens en ébullition, elle finit par se lever en m’offrant un excitant spectacle.

Sa verge massive soulève sa minijupe et ses seins volumineux et lourds jaillissent par l’ouverture de son corsage. La vision de sa queue dressée qui contraste avec son éclatante féminité me fait fondre de désir.

A son tour, elle contemple ma guêpière rouge sur laquelle sont accrochés mes bas à coutures.

– J’ai envie de te baiser, me dit-t-elle en me lançant un regard torride.

Même si je meurs d’envie de la posséder, je suis encore plus excitée à l’idée d’être prise par ma brûlante amie.

Sournoisement, elle profite de mon équilibre instable pour me culbuter sur le lit. Allongée sur le dos, je fais semblant de lui résister pour attiser son désir. Elle finit par avoir le dessus en repliant mes jambes sur ma poitrine tout en brandissant dans sa main un gode démesuré.

– Laisse-moi faire, tu vas aimer, me susurre-t-elle à l’oreille.

Pour me mettre en confiance, elle le fait glisser doucement dans le sillon de mes fesses. Puis, sans me quitter des yeux, elle passe à l’action. Une douleur lancinante me traverse le ventre lorsque mes chairs s’écartent sous la pression continue de son pieu qui m’empale.

Barbara regarde d’un air amusé mes jambes brasser l’air pour tenter d’échapper à son étreinte. Elle explore les moindres recoins de ma grotte en m’amenant peu à peu au bord de l’orgasme.

-Ton clito va bientôt exploser, me dit-t-elle.

A peine a-t-elle finit sa phrase, qu’un flot épais de sperme lui éclabousse la main.

Un moment plus tard, elle s’assoit devant ma coiffeuse pour faire quelques retouches à son maquillage et changer de lingerie.

Comme le font les femmes, elle agrafe son soutien-gorge par devant en le faisant tourner gracieusement sur son corps pour enfiler les bretelles. Elle accroche de la même manière son porte jarretelle à sa taille. Ensuite, elle remonte bien haut son string sur ses hanches en cachant son clito entre ses cuisses. Puis, elle enfile sensuellement ses bas en les attachant à ses jarretelles.

Provocante, elle s’avance vers moi en roulant des hanches comme une Messaline. Elle dégrafe sa jupe qu’elle laisse tomber à ses pieds en l’enjambant gracieusement tout en me fixant de son regard de braise

Sûre de sa beauté, elle s’exhibe devant moi sous tous les angles.

Huit jarretelles sont tendues sur ses cuisses qui ont pour mission de maintenir les coutures de ses bas bien alignées.

Campée sur ses bottes à talons aiguilles, Barbara se pend à mon cou prête à céder à tous mes caprices. En saisissant ma queue, elle prend conscience de mon trouble et m’entraîne avec un sourire carnassier vers son lit

– Viens maintenant, j’ai envie, me dit-t-elle en s’allongeant sur le dos et en retirant le rosebud de ses fesses.

Ignorant son invitation, je lui bande les yeux avec une écharpe en soie pour qu’elle n’anticipe pas sur ce que je lui réserve. Puis, je l’attache aux quatre pieds du lit en la laissant seule un moment pour qu’elle fantasme sur ce qui l’attend.

Quand je reviens, elle se tourne vers moi en entendant le crissement de mes bas sur mes cuisses. Ayant les yeux bandés, elle compense son handicap par l’exacerbation de ses autres sens.

Sa respiration s’accélère et sa superbe poitrine se soulève en cadence lorsque je pose un vibro sur son frein. J’attends que sa queue soit bien raide pour enfiler un gant lubrifié et glisser lentement un, deux, puis trois doigts dans son intimité.

Ayant repéré son point G, je recourbe mon index vers le haut pour le masser avec la pulpe de mon doigt. Submergée par le plaisir, elle se cambre pour mieux s’offrir à mes caresses.

Ayant une forte envie de m’embrocher sur sa queue dressée, je me place à califourchon sur son ventre en guidant son sexe dans mon fourreau étroit.

Je ferme les yeux en m’empalant lentement et voluptueusement jusqu’à la garde. Une fois de plus, je réalise que c’est surtout la grosseur d’un sexe qui me donne du plaisir. J’adore sentir mes chairs s’ouvrir sous la pression de sa queue. Puis, je la serre avec mes sphincters lorsqu’elle se retire pour mieux la sentir en moi. Basculant mon bassin d’avant en arrière, je tourne lentement mes fesses sur sa colonne de chair.

Le souffle court, Barbara m’implore d’une voix suppliante :

– Ne me fais pas jouir trop vite.

Je m’arrête un instant pour lubrifier un gode de gros diamètre.

– Oh non, pas celui-là, je suis trop étroite, proteste-t-elle d’une voix inquiète.

Elle se raidit quand je le presse à l’entrée de sa grotte en tentant désespérément de lui échapper.

Je contemple une fraction de seconde son visage qui exprime tour à tour la surprise, l’angoisse et le plaisir. La bouche ouverte et la poitrine palpitante, elle me fixe intensément du regard. Elle gémit de douleur et de plaisir quand je lui enfonce lentement le gode jusqu’au manche.

Nous partageons un long moment d’intense jouissance, totalement comblées par ces queues qui nous possèdent.

Reprenant mes esprits, j’explore les moindres recoins de ses entrailles. Puis, tout en massant son périnée, je contracte mes sphincters sur son Pénis en lui pilonnant la Prostate. Cette triple stimulation lui procure un plaisir maximum. Quand je la vois s’agiter frénétiquement, je sais qu’elle a atteint le point de non-retour.

– Laisse-toi aller mon ange, lui dis-je en amplifiant mes va-et-vient.

Confiante, elle écarte les cuisses pour mieux s’offrir au pal qui la défonce. Une vague déferlante de plaisir l’emporte et elle explose en moi le corps secoué de spasmes.
Je me retire rapidement pour voir sa queue perdre ses dernières gouttes de sève dans d’ultimes soubresauts.

Nous passons un long moment à nous caresser et à nous embrasser jusqu’à ce que le désir nous taraude à nouveau. Je me lève pour sortir un plug gonflable de la table de nuit.

– Ce jouet va te faire grimper au rideau, lui dis-je.

Sans attendre, je le plonge dans son anus en le gonflant rapidement. La forte pression du ballonnet dans son fourreau provoque l’écoulement d’un mince filet de sève sur sa hampe.

– Ton clito coule trop tôt ma belle, lui dis-je en souriant.

Je fais une pause lorsque la tension devient insupportable avant de le gonfler à nouveau.

Barbara mobilise ses muscles internes pour résister à cette dilatation devenue douloureuse. Elle râle de plaisir en sentant les vibrations du plug se propager dans son ventre.

Lorsque je vois son anus se contracter fortement, je sais qu’elle va bientôt jouir. Allongée entre ses jambes, je pose un vibro sur son frein.

Dès qu’une goutte de sève perle à la surface de son gland, je le soulève quelques secondes avant de l’appliquer à nouveau pour faire apparaître la suivante. Lorsque Barbara arrive au point de non-retour, je gonfle fortement le plug pour lui presser la prostate.

– Achève-moi, je n’en peux plus, me supplie-t-elle en écartant les cuisses.

A bout de résistance, elle relâche ses muscles internes en laissant le ballonnet envahir son ventre.

Je continue à dilater ses chairs jusqu’à ce qu’elle soit au paroxysme de la douleur et du plaisir.

Puis, je fais glisser ma langue sur son frein en voyant sa sève s’écouler en continue le long de sa hampe.

– Tu jouis du cul ma chérie, lui dis-je en recueillant sa source de vie dans ma bouche.

Barbara ferme les yeux en se vidant lentement dans ma gorge.

Je décide de faire une pause pour lui laisser le temps de se changer.

Elle réapparaît un instant plus tard dans une lingerie craquante qui m’enflamme les sens.

Je ne résiste pas à l’envie de l’allonger sur le lit pour la caresser longuement et explorer ses dessous.

J’adore frotter mes cuisses contre les siennes en sentant le nylon de ses bas stimuler mon désir. Puis, me mettant à genoux face à elle, je pose ses bottes à talons aiguilles sur mes épaules en appuyant ma verge contre son anneau qui s’ouvre comme un fruit mur sous mes ardentes pressions.

Cette position est idéale pour les sodomies car elle permet une pénétration plus profonde tout en stimulant la prostate.

Je regarde sa rosette s’étirer sur ma hampe quand je me retire et s’enrouler dessus lorsque je m’enfonce en elle jusqu’à la garde.

Je la baise longuement tout en la masturbant. Quelques instants plus tard, son corps se met à trembler et elle explose en jets puissants sur sa guêpière.

Après avoir épongé de son mieux ses dessous, elle me dit :

– Reste dans mes fesses, je vais t’achever.

Sans me laisser le temps de réagir, elle serre ma taille entre ses cuisses. Ondulant du bassin, elle aspire mon sexe en cadence tout en me pétrissant la croupe. Au moment crucial, elle m’enfonce sournoisement son doigt dans l’anus.

Tétanisée, le corps en arc de cercle, j’explose à mon tour en râlant de plaisir. Nous restons un moment enlacées et emboîtées l’une dans l’autre.

Épuisée de fatigue, je finis par m’endormir à ses côtés.

Lorsque je me réveille, Barbara est debout devant moi en tenant une barre d’écartement dans ses mains. Elle la verrouille à mes chevilles en attachant mes poignets aux barreaux du lit. Allongée sur le dos et écartelée, je suis totalement soumise à sa perversité. Elle se place entre mes jambes en agitant sous mes yeux un gode hérissé d’aspérités saillantes.

– C’est mon préféré, me souffle-t-elle à l’oreille.

D’une main assurée, elle le pousse lentement dans mes fesses en le tournant avec son poignet. Quelques minutes plus tard, elle doit presser la racine de mon sexe pour m’empêcher de jouir.

– Non pas maintenant, c’est bien trop tôt ma belle, me dit-t-elle dans un rire de gorge évocateur.

Allongée entre mes cuisses, elle colle ses lèvres contre les miennes pour étouffer mes plaintes en m’enfonçant son gode jusqu’au manche avec son genou.

Le savoir-faire de Barbara ne tarde pas à estomper ma douleur.

Lorsqu’elle voit le pal tressauter sous l’effet de mes contractions anales, elle s’accroupit sur moi pour s’empaler sur ma queue. Prenant le gode à deux mains, elle me fouille les reins de plus belle.

Je me mets à trembler de désir en essayant de retenir la coulée de lave qui monte dans mes reins.

Barbara s’arrête juste à temps et me retire le gode qui sort dans un bruit de succion. Me retournant sur le ventre, elle contemple la barre qui entrave mes chevilles en me laissant l’œillet grand ouvert. S’allongeant sur moi, Barbara frotte ses jambes gainées de nylon contre les miennes en remontant son genou entre mes cuisses pour m’exciter.

– Cambre toi mon ange pour que je puisse t’enfiler à fond.

La tête dans l’oreiller, encore toute chavirée de plaisir, je fais ressortir ma croupe dans l’attente de son assaut. D’un coup de rein, elle me transperce avec une facilité qui la déconcerte en oubliant qu’elle vient de m’ouvrir en deux avec son pal. Puis, elle écarte mes fesses avec ses pouces pour s’enfoncer jusqu’aux tréfonds de mes entrailles.

– Je t’ai empalée jusqu’à la racine de mon sexe, s’exclame-t-elle en me mordillant l’oreille.

Barbara appuie ses mains sur mes épaules pour me plaquer contre le lit et me montrer qui est le maître.

Mon excitation est grande lorsque je sens ses bourses me fouetter l’intérieur des cuisses.

Dans le silence de la chambre, j’entends les claquements de son bassin contre mes fesses en étant comblée par sa queue qui me lime si bien.

– J’adore sentir ta verge grandir dans ma main quand je t’encule, me souffle-t-elle à l’oreille.
– Je vais t’achever maintenant, m’assure-t-elle en me renversant sur le dos

Elle me masturbe jusqu’à ce que mon sperme jaillisse par saccades sur ma guêpière.

Quelques minutes plus tard, libérée de la barre, je me mets à califourchon sur son ventre en serrant fortement sa colonne de chair dans mon fourreau anal. Puis, je commence un massage fessier dont j’ai le secret. Je prends plaisir à terrasser cette queue qui ne me résiste pas longtemps.

Lorsque je sens sa sève fuser dans mon ventre, je pense à toutes ces femmes qui ont le bonheur de pomper par tous leurs orifices plusieurs dizaines de litres de sperme à leurs amants au cours d’une vie.

Enfin calmée, je contemple l’épaisse coulée de sève qui s’échappe de mes fesses et s’infiltre dans mes jarretières.

– C’était divin, tu avais encore des réserves, lui dis-je en souriant.
– Et moi, j’adore quand tu fais la fille, s’exclame-t-elle.

Épuisée, nous nous endormons rapidement dans les bras l’une de l’autre.

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2 réponses à Mon amie Barbara par Sandratvtg

  1. Transmonique dit :

    Plus confus, tu meures

  2. philip dit :

    le style est si distant qu’il nous éloigne de l’histoire, ajoutons à cela qu’on ne comprend pas tout de suite que l’un des personnages est un travesti (à moins que ce soit les deux) a cause de l’empoli abusif des mots chatte (pour cul) et clito (pour pénis). Bref c’est pas terrible !

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