Martinov 29 – L’archipel de Véga – 10 – L’abominable Moineau suivi de Partouze spéciale par Maud-Anne Amaro
Gérard raccompagne Servane et Béatrice jusqu’à leurs domiciles parisiens respectifs.
L’affaire serait donc terminée ?
En fait non pas tout à fait…
Au 1 bis rue du Capitaine Crochet, Moineau a rapidement repris connaissance. Il attend que les choses se calment, puis pénètre dans une chambre dont la fenêtre donne sur l’entrée du pavillon. Il surveille le départ des « intrus », puis après avoir récupéré ses affaires personnelles, il rejoint sa voiture au garage avant de quitter les lieux en père peinard, tandis qu’il entend la sirène de l’ambulance s’approcher.
– Je me vengerais, je me vengerais, et ma vengeance sera terrible ! Grrr !.
(c’est bien ce que rabâchent tous les méchants de pacotille, genre Olrik dans les aventures de Mortimer)
Un mandat d’arrêt a été lancé contre lui, il s’en doute bien et ne regagne pas son domicile préférant se faire héberger chez Bobby, une vieille connaissance.
Il est conscient qu’il sera arrêté tôt ou tard, il apprend que la police est venu interroger son oncle et qu’elle s’est également rendue à la librairie ésotérique que Michelet s’est décidé à réouvrir après avoir été entendu par la police.
Ce qu’il ignore c’est que Michelet l’a désigné formellement comme étant l’un des assassins du professeur Coulmes :
– Ils n’avaient sans doute pas l’intention de le tuer, en fait ils voulaient l’enfermer à la cave, mais il y a eu une bagarre, Coulmes s’est débattu et a reçu plusieurs coups de barre de fer et il en est mort.
– Qui sont les coupables ?
– Paul Rivière et Jean-Bernard Moineau.
– Vous étiez présent ?
– Non, j’ai rencontré Rivière dans la foulée, il faisait une drôle de tête, il était en état de choc, il avait besoin de parler alors il m’a raconté.
– Et le corps ?
– Je n’en sais rien, et apparemment Rivière ne le sait pas non plus.
– Moineau aurait déplacé le corps seul ?
– Je vous répète que je n’en sais rien.
Des fouilles approfondies (c’est le cas de le dire) permirent de découvrir un cadavre dans une cave, on fond d’un fût rempli de charbon de bois. L’identification du Professeur Coulmes fut rendu possible par l’examen de son dossier dentaire. Des traces de chocs violents au niveau du crâne et de la cage thoracique corroborèrent la version de Michelet.
Obnubilé par sa soif de vengeance, Moineau achète un bidon d’essence avec le projet de le déverser devant la porte d’entrée de la maison du Professeur Martinov et d’y mettre le feu.
Arrivé sur place, il se dégonfle. Eh oui parfois des intentions aux actes, il y a un sacré pas à franchir.
« Je ne vais pas prendre le risque de tuer des innocents, déjà avec l’affaire Coulmes, je suis mal embringué… Et puis ils vont me retrouver avec la vidéosurveillance… »
Il rentre donc au bercail et réfléchit.
« Je vais faire comme l’autre fois, je vais attendre cette Béatrice, en fin de journée, je l’enlève et je l’enferme dans la cave de Bobby, elle sera mon esclave, je lui ferais faire toutes les tâches ménagères dans une tenue ridicule et si elle n’est pas sage je la punirais… Hi, hi, je vais bien m’amuser ! »
Il en a la bave aux lèvres, Moineau !
Premier problème : il sollicite le concours de Bobby qui refuse fermement de participer à un enlèvement. Il lui faudra donc agir seul.
Second problème : la vidéosurveillance. « Bof, il n’y a pas des caméras partout, je peux prendre le risque, mais je ferais une balade dans des endroits où il ne risque pas d’y en avoir et puis j’utiliserais des fausses plaques. »
Bref il est prêt !
Et ce jour-là, il gare sa Peugeot noire à 50 mètres du domicile du professeur Martinov et attend que Béatrice en sorte.
Moineau s’énerve parce qu’il ne la voit pas sortir… mais finalement la voilà…
« Il n’y a pas grand monde et la portière va masquer la scène, à moi de faire très vite ! »
Il ouvre sa portière, se saisit d’une bombe au poivre et attend le passage de sa victime
Mais il y a parfois des images qui restent gravées en mémoire, et Béatrice est stupéfaite de reconnaitre cette portière ouverte. Instinctivement, elle traverse la rue pour gagner le trottoir d’en face.
Moineau est décontenancé, bien sûr il pourrait la suivre, mais ce n’est guère évident, des gens arrivent de chaque côté.
« Je reviendrais demain, j’essaierai de me garer plus près ! »
Ce n’est qu’une fois dans le train de banlieue, que Béatrice téléphone à Gérard.
– J’espère que je n’ai pas rêvé, mais j’ai bien l’impression que Moineau a décidé de revenir m’emmerder. (elle lui explique, la portière, la Peugeot noire…)
– T’as fait quoi ?
– J’ai changé de trottoir…
– Bien ! On peut donc supposer qu’il va revenir. Il faut contrattaquer et le neutraliser. Mais comment faire ? S’il me voit, il va me reconnaitre et nous échapper… Il faut trouver un truc, on se rappelle.
« Le truc c’est de lui faire détourner l’attention, ne serait-ce que quelques minutes, afin que je puisse intervenir sans qu’il ne se sauve ! J’ai bien une idée, mais à qui demander ça ? A moins que… »
– Allo Brigitte ! (il s’agit de Brigitte Silverberg, détective privée fort délurée que nos lecteurs ont déjà eu l’occasion de rencontrer dans les épisodes précédents) Béatrice a quelques ennuis, (il raconte) Est-ce que je peux te demander un petit service ?
– Dis toujours !
Il lui expose son plan. Cela amuse Brigitte qui accepte le jeu de rôle proposé.
Et le lendemain…
A 17 h 45 Moineau se gare à 30 mètres du domicile du professeur Martinov. A 17 h 50 Brigitte se gare un peu plus loin, prévient Gérard par téléphone qu’elle est arrivée, puis descend en tenant en laisse le labrador de son gardien.
Elle est habillée d’une gabardine beige aussi classique que sage.
Arrivée à la hauteur de la Peugeot de Moineau elle toque à la vitre. Surpris, celui-ci l’abaisse,. Brigitte ouvre alors sa gabardine dévoilant une bustier hyper décolleté.
– Alors, mon mignon, ça te dirait une bonne petite pipe ? Je ne prends pas bien cher.
– Foutez-moi le camp !
Mais non seulement Brigitte ne détale pas, mais elle a le temps d’asperger l’individu de sa mini bombe lacrymogène. Il tousse, il pleurniche, il ne voit plus rien. Gérard arrive à la rescousse.
– Ouvre ta portière, on va te soigner.
Il n’en fait rien alors qu’un petit attroupement se forme. Gérard parvient en allongeant son bras à alpaguer Moineau par les cheveux.
– Appelez la police au lieu de mater ! Lance Gérard aux badauds qui s’agglutinent .
Gérard lui met la main sur les yeux, Moineau hurle.
– Alors tu l’ouvres cette portière !
Une voiture de police patrouillait non loin de là, ce qui fait qu’elle arriva rapidement.
– Qu’est-ce qui se passe ?
– Je vous présente Jean-Bernard Loiseau, recherché dans l’affaire des chimistes enlevés.
– Et vous, vous êtes qui ?
– Gérard Petit Couture, ancien agent de la DGSE et ancien ministre.
– Ah ! Vous pouvez nous suivre comme témoin ?
– Mais avec plaisir !
Brigitte est entrée chez Martinov.
– Ben, Brigitte, t’en as une tenue ?
– Elle ne te plait pas ?
– Si, mais c’est inattendu ! On se boit un apéro en attendant que Gérard revienne ?
– Volontiers !
Il n’est revenu qu’une heure plus tard. accompagnée de Béatrice
– L’affaire est terminée, Moineau est entre les mains de la police, il ne s’en sortira pas. Ça m’a donné soif tout ça, Martinov tu as toujours cet excellent whisky ?
– Bien sûr
– J’ai pensé qu’on pourrait faire une petite fête improvisée… on se commande des pizzas, c’est moi qui paye ! Ah ! Je me suis permis de prévenir Servane, elle devrait être là d’ici une demi-heure.
– Ah ? J’ai hâte de la rencontrer ! Indique Martinov.
– Tu ne seras pas déçu, c’est un sacré numéro ! Précise Florentine.
On ouvre le Champagne, on trinque, on rigole, on reprécise les détails de l’aventure pour Martinov qui n’a suivi tout cela que de loin… et qui pose plein de questions.
Et une demi-heure plus tard…
– Coucou, c’est moi ! S’annonce Servane. Ah bonjour Monsieur…
– Martinov, enchantée !
– Ah, on m’a beaucoup parlé de vous, enchantée de vous rencontrer ! Euh, bonjour Madame, je suis Servane !
– Appelez-moi Brigitte !
– Et c’est à vous ce gros toutou ?
– C’est le chien de mon gardien, mais je suis un peu sa deuxième maîtresse.
– Je peux le caresser !
– Bien sûr, mais soyez prévenue, il est assez vicieux.
Avant d’aller plus loin il faut peut-être faire un peu le point, Nous avons là deux hommes, le professeur Martinov et Gérard. Ces dames sont Béatrice, Florentine, Servane, et Brigitte…
…Et puis il y a le chien, il ne tient pas en place et vient renifler tout le monde.
Servane ne le repousse pas.
– Il est toujours comme ça ?
– Souvent oui ! Mais il est adorable… et puis il lèche bien !
– Ah bon ? Parce que…
– Et alors, ça ne fait de mal à personne !
– Ça fait même du bien ! Croit devoir ajouter Florentine.
– Je suis bien d’accord ! Renchérit Béatrice.
– Vous me faites marcher !
– Pas du tout ! On peut te montrer, si tu veux ! reprend Florentine.
– Chiche !
Inutile de répéter ça deux fois à Florentine, elle a pris goût à la chose depuis que Brigitte l’a initié.(voir Martinov 24 – L’énigme du hangar) Aussi retire-t-elle prestement pantalon et string, écarte ses jambes et appelle la bestiole qui se radine en remuant la queue et vient de suite pointer sa langue dans son intimité.
– Eh ben ! Se contente de dire Servane, les yeux écarquillés.
– Tu voudrais essayer ?
– Il n’y a aucun risque ?
– Aucun !
– Je ne suis pas contre mais je préfère attendre un peu.
– Comme tu veux ! Répond Florentine. Ah, les garçons j’ai fait comprendre à Servane que vous pourriez lui offrir un petit spectacle.
– Un spectacle ? S’étonne Martinov.
– Oui ! Un petit duo coquin !
– Hé ! On n’est pas au théâtre ! Fait semblant de protester Gérard !
– Ben justement au théâtre on ne fait pas ça !
– Et tu voudrais qu’on fasse quoi exactement.?
– Faut vraiment vous faire un dessin ?
– On ne va pas décevoir ces dames ! Intervient Martinov en se levant de son siège. Viens Gérard on va leur faire plaisir.
Gérard se lève à son tour et fait descendre sur ses chevilles pantalon et caleçon en exhibant une bite demi-molle.
Le professeur s’accroupit et engloutit dans sa bouche ce sexe qui le nargue.
Florentine vient aux cotés de Servane et plonge sa main dans son haut, passe sous le soutien-gorge et lui pince le téton.
– Plus bas la main ! implore-t-elle.
– Tu mouilles ?
– Un max !
La main de Florentine s’en va vérifier, effectivement ça fait floc-floc.
Martinov a eu beau avoir l’occasion de sucer maintes fois la bite de Gérard, il ne s’en lasse pas, il en redemande, c’est qu’il aime ça sucer des bites notre vert professeur !
Gérard, lui, bande comme un cochon sous les effets de langue de son partenaire.
– Tourne-toi que je t’encule ! Lui demande-t-il au bout d’un moment.
Le professeur se met en position de levrette sur le tapis, Gérard après lui avoir abondamment léché le fion et s’être recouvert d’une capote, le sodomise d’un coup sec avant d’entamer une série d’allers et retours..
Servane n’en perd pas une miette et continue de se laisser tripoter par Florentine. Tandis que Brigitte a dégagé la poitrine de Béatrice afin de lui sucer ses jolis tétons.
L’ambiance est chaude et Gérard décharge dans le cul du professeur en soufflant comme un bœuf. Martinov n’a pas joui et voudrait bien le faire mais toutes ces dames semblent fort occupées.
Gérard en bon camarade de jeu ne saurait le laisser en l’état et vient le sucer à fond.
Ils vont ensuite se poser, mais Martinov propose à son ami quelques pilules de son remède miracle « Le Lapin dur » qui les remettrons en forme en moins de vingt minutes.
Le chien s’approche maintenant de Brigitte et de Béatrice qui ont envoyé valser leur petites culottes et le reste. Il connait bien Brigitte mais allez savoir pourquoi en ce moment c’est la chatte de Béatrice qui l’attire.
N’ayant rien contre le fait se faire lécher, notre gentille chimiste écarte ses cuisses laissant œuvrer l’animal qui y va à grands coups de langue. Et puis tout d’un coup la bestiole se couche sur le dos réclamant qu’on lui caresse le ventre.
Mais ce n’est pas le ventre que caresse Béatrice, c’est sa bite déjà bien raide. Saisit d’une pulsion irrésistible elle se penche vers cet insolent organe et se met à le sucer.
– Oh !
Ça c’est Servane qui n’en revient pas de ce qu’elle voit.
– Choquée ? lui demande Florentine qui continue à le peloter.
– Non ! Mais je me demande si je serais capable de faire pareil !
– Eh bien essaie, tu verras bien !
– Et si je bloque ?
– Si tu bloques, tu ne le fais pas, c’est tout simple.
– J’ai envie de le faire mais c’est comme si quelque chose me retenait !.
– Tu veux qu’on y aille ensemble !
– Oui… murmure Servane.
Elles s’approchent du chien !
– Béa tu peux nous laisser la place quelques minutes !
– Et en quel honneur ?
– En l’honneur de Servane qui voudrait essayer !
– O.K.
Florentine demande à Servane de rapprocher son visage du pénis du chien, puis l’embouche quelques instants avant de le proposer à sa camarade de jeu.
Celle-ci souffle un grand coup, ferme les yeux et fait pénétrer le membre en bouche. Comme disait Neil Armstrong, c’est le premier pas qui compte, après ça va tout seul.
Elle s’arrête néanmoins au bout de quelques minutes, toute fière d’avoir accompli cet acte.
De son côté Brigitte s’est débrouillée pour lécher le cul de Béatrice, prélude à un broute minou qui l’envoie rapidement au ciel.
Martinov et Gérard ont repris de la vigueur. Le professeur s’approche de Servane.
– Nous n’avons rien fait ensemble, me semble-t-il ?
– Nous n’avons pas eu cette occasion !
– Puis-je vous caresser ?
– Nous sommes là pour ça, Non ?
Et puisqu’il en a l’autorisation, notre brave professeur jette ses mains sur les seins de la belle (Ben oui tous les hommes font la même chose, sauf dans les films américains, ce ne sera que la troisième fois que je vous le dit)
Ses doigts viennent titiller timidement les tétons érigés et comme Servane ne proteste pas, il y va carrément et se met à les sucer.
– T’aimerais que je te fasse une pipe ! lui propose-t-elle.
– Comment refuser ?
Servane se baisse et prend dans ses mains le service trois pièces de notre bon professeur. Et miracle du tripotage, la bite passe rapidement de l’état de demi-molle à celui de petit mât fièrement dressé.
Sa petite langue vient ensuite titiller le gland
– Oh là là ! Gémit-il.
– Un problème ?
– Non mais quelle langue tu as !
– Hi ! Hi !
– Tu me sucerais derrière ?
– Avec plaisir, tourne-toi, mon pépère !
Servane écarte les globes fessiers de Martinov et approche son visage de l’anus.
– Humm, ça sent un peu fort, par ici ! Constate-t-elle.
– Oh, je suis désolé, laisse tomber !
– Penses-tu ! C’en sera que meilleur !
Et la langue de Servane virevolte tant et si bien autour de l’œillet du professeur qu’il finit par béer
– J’adore sucer les trous du cul !
– Tu m’as l’air d’une sacrée cochonne !
– Non pas tant que ça… mais il y a des jours, je ne me contrôle plus. Répond-elle en introduisant son doigt dans l’anus offert !
– Allez retourne-toi que je m’occupe un peu de ta bite.
Et cette fois, elle se déchaîne, en faisant coulisser le membre de chair en de vifs mouvements de va-et-vient.
– Tu veux jouir comme ça ? Demande-t-elle.
– Je ne sais pas, tu me proposes quoi ?
– Tu veux m’enculer ?
– Oui ! Décidemment c’est la fête !
Mais voilà Gérard, qui, la bite en étendard, s’approche d’eux.
– Une double péné, ça te dirait ? Propose-t-il à la journaliste.
– Allez, on essaye ! Répond-elle sans hésiter une seconde.
Distribution de capotes, puis Gérard se couche par terre sur le dos afin que Servane puisse s’empaler sur son membre, ce qu’elle fait, puis elle se courbe légèrement permettant au professeur d’accéder à son anus.
Et s’est parti pour un trio infernal, ça pistonne, ça va, ça vient, ça fait du bruit, Servane ne cesse de japper. Tout ce petit monde ne tarde pas à jouir, puis à s’affaler de fatigue.
Et voilà que Brigitte et Béatrice qui n’avaient rien manqué du spectacle applaudissent d’enthousiasme.
Et Florentine ? Me demandez-vous ?
Eh bien figurez-vous que cette dernière après s’être placé en levrette a invité le chien à venir la sauter et qu’elle est en ce moment sous les assauts du quadrupède.
Quelle ambiance, mes amis !
Et tout d’un coup c’est la bousculade, tout le monde a envie de pisser… Mais la salle de bain n’est pas extensible… C’est Brigitte qui entre la première et prend place sur la cuvette. Servane la suit.
– Vite j’ai trop envie ! Implore-t-elle
– Chacune son tour !
– Je ne peux plus me retenir !
– Ben pisse moi dessus !
– Faut pas me dire ça, je suis capable de le faire !
– J’espère bien que tu vas le faire, vise ma bouche
Il faut se contorsionner un peu pour rendre la chose possible, mais ça finit par le faire.
Brigitte se relève, de l’urine lui a dégouliné sur le corps et elle décide prendre une douche, tandis que Béatrice propose à Servane de l’arroser. Damme pendant qu’on y est !
Retour au salon, après ces instants de folie, on ne se rhabille pas, on remplit les verres, on trinque. Martinov lève son verre.
– Vive la baise ! S’écrie-t-il.
On ne saurait mieux dire. Et nous allons laisser là nos amis que nous retrouverons bientôt dans de nouvelles aventures qui je l’espère seront aussi passionnantes et coquines que la présente.
Fin
Hum… ce chien… ça m’excite trop !
Brigitte sans son chien, ce ne serait pls Brigitte