Histoires de bons plaisirs… 024 – Joyeusetés africaines… par Verdon

Histoires de bons plaisirs… 024 – Joyeusetés africaines… par Verdon

Qu’est-ce qu’elle est bavarde mon Ernestine !

Putain, elle n’arrête pas de me conter ses exploits chez ses amis africains. Il faut vous dire, qu’elle a beaucoup donné là-bas. Et donné autant que reçu de queues… et que de queues !… (hi !, hi !…vous me suivez !…Mais qu’avez-vous donc dans la main !…

Voyons ! Je n’ai pas encore commencé mon histoire de queues… que vous êtes déjà tous là, à la queue leu, leu… votre queue dans la main !…queue à cul si je ne me doute !…

Attention, ça peut être dangereux… On n’est pas à l’abri d’une visqueuse queue, qu’on n’a pas vu venir !

Quoique, un coup de queue …. C’est bon ! … Queue vous me dites).

Eh !…Oh !, On s’arrête là… il ne va pas bien votre serviteur, ce soir… il déconne… ça déborde… Et si en plus vous en rajoutez… Qu’est-ce qu’il va dire Eddy ?

Eh bien il va dire comme vous… .Queue… ça glisse… Oups !

Bon, maintenant, retournons à nos brebis… Oui, la Titine, (mon amie Ernestine) qui fait bander Moussa, là-bas, en Afrique, avec Fatou ou Mamadou (comme vous voulez, ça rime avec trou… ).

Et justement, (d’après Ernestine), leurs trous, ces deux femelles, elles ont commencé à se les cajoler, (je ne vous le dit pas !), depuis que ma copine a débarqué du gros avion.

Et le Moussa, qu’est-ce qu’il fait, allez-vous me dire ?

Eh bien le Moussa, la main dans son sac à bijoux il se branle… comme vous, si vous étiez à sa place, mais qu’est-ce qu’il bande le salopard !

Oh un peu comme vous, mais sans doute, un peu plus que vous. Même sûrement un bon bout en plus. Combien de cm ? … Je n’en sais rien, moi… peut-être que si je l’avais eue dans le cul, j’aurais pu vous le dire… Mais arrêtez vos questions stupides, vous n’avez qu’à y aller là-bas !… je n’y étais pas, moi. Et puis, ce n’est pas mon genre… je préfère regarder devant moi, vous comprenez. Bon ! Et puis, vous avez vu de quoi il prétend le bonhomme ! Vous comprenez maintenant, pourquoi ma copine elle va faire une tournée chez ces zombis !… Quand on aime on ne mesure pas. Elle a dû oublier son pied à coulisse à la maison… (mon œil !).

C’est vrai qu’elle aime aussi les bananes… mais pas Queues !

Donc, Moussa il bande, parce que si vous avez bien lu le chapitre précédent, sa petite femme chérie, qui est d’ailleurs, plus encombrante que petite, l’a foutu au rencard pendant qu’elle se ‘gouniafait’ la pachole avec ma bonne amie.

Bon rien d’anormal jusque-là, allez-vous me dire, (il n’y a pas de mâle, là où les femmes se font du bien).

Sauf que le Moussa qui ne l’a pas molle, il trépigne le malheureux comme un verrat devant la… euh, pardon !

C’est qu’en plus, cette canaille de Mamadou, elle le fait attendre. Elle promène sa jolie et désirable invitée dans la grande ville, dans ces fameuses rues, encombrées de nanas alléchantes et de joyeux individus à queue noire (ben… vous vous en doutiez, je suppose !). Ils doivent avoir mal aux yeux, ces gugusses, tant apparemment ils les ouvrent si grands.

C’est Ernestine qui me dit que ce soir-là, après quelques grignotages de foufounes entre elle et Fatou, elles se sont vêtues pour aller faire un tour et découvrir la ville.

Ernestine est habillée comme une africaine, drapée dans un grand tissu bariolé, avec comme Fatou, un bandeau sur la tête. Ça lui va très bien. Elle est charmante avec son petit visage éclaboussant de blancheur, au milieu de toute cette population noire agitée et accueillante qui lui adresse des sourires bienveillants et quelques fois percutants !

Les hommes qui la regardent avec des étincelles dans les yeux, doivent avoir de grosses émotions dans leur pantalon gonflant, dessous le quel ils ne portent pas de slip, (comme les petits français hi ! hi !). Ils ne pourraient pas contenir leurs puissantes émotions dans ces cache-misère !

Moussa qui joue au protecteur, pose fièrement un bras sur les épaules d’Ernestine qui rougit devant les sourires des gens qu’ils croisent et en particulier de jolies Sénégalaises aux lèvres boudinées, et richement costumées.

Elle est joyeuse Ernestine, et devant les compliments des mâles, elle pouffe de rires et d’envies, mais se sent à la fois désirée et un peu inquiète au milieu de tout ce monde bigarré et bruyant, mais aussi en sûreté entre ses deux amis.

Ah ! Ces diables de Sénégalais. Coquins, bravaches, mais polis et respectueux, toujours joyeux et plein de baratin. Évidemment Ernestine ne comprend pas, mais se doute bien de ce qu’ils doivent se dire entre eux… et ça la fait mousser. Aussi ne sent-elle pas fondre entre ses cuisses, sous le tissu, une chaude émotion.

Que ne lui arriverait-il si elle se trouvait soudain à la merci lubrique de tous ces énergumènes ? Elle frissonne en y pensant… mais est-ce vraiment un frisson de frayeur ou plutôt quelques démangeaisons sensuelles et charnelles. Côté pile ou face ?… (je vous laisse deviner… mais je suis sûr que vous y mettriez bien un doigt pour avoir la réponse !).

D’ailleurs, Fatou, l’a deviné avant vous, (entre pisseuses, elles se connaissent.), car sentant une grande excitation grimper entre son mari, leur invitée et les autres, elle décide de rentrer à la maison avec la promesse de s’accorder enfin, une petite soirée des plus euphoriques.

Mais ne vous en faites pas, elle n’est pas du tout effrayée la Titine. Des hommes, elle en a connu des tas. Aussi quelques-uns de plus… ça génère plus d’excitation que de craintes… et c’est tellement bon … l’excitation !

Et justement, elle a l’imagination très abondante, notre coquine, surtout quand elle est très galamment entourée.

Elle se verrait bien, nue, au milieu de tous ses hommes nus aussi. Au milieu de ces dizaines de bites raide, pointues, agressives… Le rêve ! pourquoi pas ?

Bon dieu, son cul, sa chatte, sa bouche et autant dans ses mains… Ce serait la foire aux pines.
Remarquez, elle a déjà fait des essais, la greluche… Mais elle était bien jeune… elle a fait ses premières armes dans des soirées très mémorables et je crois qu’elle en garde des souvenirs assez héroïques (tout au moins son petit cul qui a acquis à cette époque, ses lettres de noblesse… je vous l’ai dit… elle est super cette Nana.).

Oh ! la, la, elle est folle Ernestine. Son cerveau déménage.

Il faut vite rentrer à la maison…

Dans la grande pièce principale qui fait à la fois office de salle de séjour et de repos, il y a deux banquettes couvertes de coussins, un haut tabouret avec dossier, et une paillasse en roseaux recouverte par endroits de tapis moelleux. Le tout gentiment éclairé par quelques lampes disséminées dans la pièce.

Un coin cuisine promet un bon repas aux effluves appétissantes et quelques bougies aromatiques déversent dans l’ambiance de doux parfums euphorisants.

Mais voilà que Moussa entre dans la pièce et se dirige vers le tabouret en laissant glisser ses vêtements qui tombent au sol. Fier, il est bientôt complétement nu, marche lentement, le corps droit, majestueux, faisant saillir les muscles de son fessier. Il est beau, sculptural, impressionnant… C’est un beau mâle !

Les deux femmes sont presque nues aussi, assises sur une banquette. Emotionnées et excitées.
Ernestine à demi couchée, sur les cuisses de Fatou, regarde, médusée, l’homme qui s’avance et grimpe sur le tabouret.

Il s’assoit. Pose le pied gauche sur une marche. À l’opposé, la cuisse droite à l’équerre, la jambe détendue, laissent apparaître un sexe magnifique, bandé, décalotté (tiens… il a le bout rose !), luisant comme un glaive. Le dos appuyé contre le dossier, il est là, grandiloquent, macho sans doute, il attend sa soumise, la pine en l’air, reposant sur ses gros roustons.

A l’extérieur, très atténué, le battement lointain d’un tam-tam, semble accompagner le rythme des battements du cœur d’Ernestine, qui s’affole. Subjuguée par la beauté masculine de Moussa, elle se blottie contre les mamelles de Fatou qui d’un doigté coquin lui taquine la craquette.

Elle mouille la cochonne. Elle écarte ses cuisses pour laisser pénétrer les doigts de son amie. (ça ajoute au charme… ).

Les sons intarissables du tambour s’élèvent encore plus fort dans la nuit noire et torride, tandis que Fatou se redresse, prend Ernestine par la main et la conduit devant le tabouret où trône notre bel ami, le pénis toujours aussi raide et pointé à la hauteur du visage de son admiratrice.

Chaudement collée contre son dos, Fatou, passe ses mains sous les joues de sa copine, pour la présenter, bouche ouverte, face à l’insolent braquemart.

Il est là le gros sexe, tout près des lèvres de la gourmande. Elle en sent la douce chaleur, la sublime odeur âcre et terriblement masculine.

Elle sent ce geste puissant et têtu qui s’appuie sur sa bouche.

Elle déglutit. On peut voir ses lèvres se desserrer, s’entrouvrir en ventouse sur le gland vermillon.
Avec sa langue elle titille le bout du gros vié qui veut pénétrer et qui pousse… Elle salive. L’étau se desserre. L’animal en profite pour forcer le passage.

Elle est figée Titine. Elle voudrait l’empêcher, tout en souhaitant qu’il entre…Oh oui qu’il entre !… Elle se détend. Elle sent un immense frisson qui la traverse de part en part, depuis ses lèvres et jusque dans son ventre.

Le gland est entré tout entier… Bon sang ce qu’il est gros !

Les lèvres se referment, elles serrent le captif.

Il pousse un peu plus. Elles s’ouvrent davantage… Putain ! Quelle sensation !…

Il entre, il pénètre… bon sang mais jusqu’où !

La place est prise, les roustons lui taquinent le menton.

Il est en elle le joli membre… il est chez lui… elle ne peut que l’accueillir, lui faire fête en ses joues, bien au chaud, bien au fond, elle vrille sa langue autour du gros manchon… mais putain qu’il est bon ! Qu’il est doux ! Qu’il est dur !

Moelleux et ferme à la fois, il bouge, il va et vient et se noie dans l’abondante salive de l’amante affamée.

Soudain elle croie qu’il sort !… Non, elle le retient, elle serre plus fort le gland. Il n’a pas de prépuce. Elle s’accroche à la collerette, entortille sa langue tout autour, suçote les gros bourrelets de graisse et les veines boudinées… Oh que c’est bon… .Il est à elle ! Oh oui, pousse encore !

Il va, il vient…

Il a du goût le matos. Un goût puissant, enivrant, un goût de mâle surexcité, le pubis suant encore, des effluves femelles de ses dernières conquêtes.

Alors il s’affole. Il va et vient de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus profond.

Elle s’étouffe. Il s’en fout. C’est comme ça !…Elle le voulait… Il est là !…Elle n’a plus rien à dire, elle ne peut plus rien dire, sinon que le sucer, le bouffer, l’avaler, le faire fondre en bouche et être sa salope, sa croqueuse de bite…

Et dans un puissant roulement du tambour qui s’emballe à l’extérieur, il jouit le salaud, en la baisant en bouche… en lui tenant la tête pour bien s’y enfoncer, pour bien cracher son jus au fond de la gorge femelle.

Fatou, de service, d’une main obligée, lui soulage les couilles et flatte le petit trou borgne pour faire gueuler son homme, et décupler ses forces à baiser sous ses yeux, sa putain de copine.
À l’intérieur de son sexe il sent son foutre juter, sous pression, à lui en faire mal de plaisir et à jaillir en saccades dans le gosier de la Belle foutue !

– Ah ! Tiens ! Prend ça… et puis ça encore et ça aussi… c’est tout du bon, du tout chaud, de la crème d’homme, de l’épais bouillon à salope !

Aux commissures des lèvres de la copine, et par ses trous du nez, dégoulinent le trop-plein de l’amour.

Quand l’action se calme et pour qu’elle ne s’arrête pas là, Fatou saisit le glaive et le remet en place pour peu que le vagabond fatigué, ne s’échappe.

Ernestine l’aspire de nouveau, l’engloutie, et de nouveau le suce et s’en délecte.

Elle le sort, le regarde, le pourlèche et le remet en bouche… le ressort.

– Humm ! Que c’est bon.

Elle travaille tant et bien, la suceuse que notre bon gars ne débande pas, point s’en faut, mais la position n’étant plus très confortable, il se retire et descend de son siège, dans l’intention sans doute de se détendre.

C’est qu’il a envie de pisser notre bonhomme. Il débande un peu et profite de la bouche de Fatou qui se précipite pour avaler le bon nectar et sucer à son tour le joli robinet.

Ça dure quelques instants, puis le membre se durcit à nouveau, mais d’un geste dédaigneux, Moussa repousse sa femme qui chute sur le cul à côté d’Ernestine qui allongée sur une banquette, attend déjà les jambes ouvertes, les bons soins du garçon qui se couche sur elle et la baise.

C’est ce qu’elle l’attendait, la salope.

Elle a beaucoup aimé se faire prendre en bouche, sans état d’âme, devant sa copine. Faire la catin, c’est sa tasse de thé, comme on dit.

Alors allons-y, c’est trop bon…

– Regarde Fatou, comme il me baise bien ton chéri !

C’est sans méchanceté. C’est par jeu pour flatter le machisme du mari adultère et confondre en même temps son épouse évincée. C’est tellement bon de se glisser entre les époux !.. .pour ça, elle sait faire… la crapule !

– Ne t’inquiète pas elle aura son tour … que lui réplique Moussa.

Fatou pas forcément ravie de s’être fait éjecter, assiste toutefois avec excitation, à la bonne baise que se prend sa rivale qui se fait secouer comme un sac de patate.

Elle est fière Fatou d’avoir un homme si fort, si puissant. Elle l’aime se copine et elle se dit finalement qu’elle doit l’envier d’avoir un tel mari. Ça lui ravive sa fierté et ça lui donne de la hargne. (la bonne hargne de l’épouse si joliment trompée… Allons-donc trompée, croyez-vous ?).

– Tu l’as voulu, salope, eh bien prend-le mon mec et tu vas voir ce qu’il va te mettre.

Elle encaisse, Ernestine, mais tant catin qu’elle est… elle est bonne putain !

Bientôt le calme revient. Moussa se retire et présente son pénis à son épouse qui a droit, ce coup-ci de lui faire un bon petit ménage tout en profitant sur son gland, des dernières gouttes d’amour et des féminités de sa copine.

Ensuite, elle lèche le minou de cette dernière et se couche sur elle pour un baiser onctueux et profond, comme savent le faire les femmes entre elles (un peu goudou nos gloriettes !)

– Merci, ma chérie, tu as merveilleusement baisé mon homme.

Flatté, ce dernier, assis à côté d’elles, tripote sa bite, satisfait et souriant.

Bienveillant devant le joli postérieur de Fatou, il ne peut que lui agrémenter les fesses de vigoureuses tapes sur la croupe
.
– Salaud ! Qu’est-ce qu’il t’a fait mon cul !
– C‘est par amour. Elles sont trop belles tes fesses. Elles le méritent bien.
– Eh bien fais leur l’amour et pas la guerre, cochon !
– Ce n’est pas la guerre, c’est de la reconnaissance. Tu vas voir demain ce que tu vas prendre … Salope !

– Hi ! hi !…J’aimerais bien voir !…c’est Ernestine qui en rajoute, en se marrant, tout excitée par ce qui pourrait bien se passer prochainement !

L’orgie va durer encore jusqu’au milieu de la nuit, puis finalement, Moussa va se retirer pour rejoindre d’autres amis, sans doute pour continuer la fête.

Les deux femmes n’en ont rien à foutre, elles s’endorment, serrées l’une contre l’autre, trempée d’amour et de mouille et cuisses entremêlées…

Dehors le bruit du tam-tam s’éteint…
Une meute de chiens aboie en tournant autour d’une femelle affolée qui voudrait et qui ne veut pas…
Une longue plainte, un aboiement strident… . Eh bien elle a voulu…
(Ah ! Ces femelles !).
Wauwau… ou… ou !!!!
Elle a choisi le plus fort… Hi ! Hi !…Ils vont passer un bon moment avant de se séparer… .
Et les déçus décampent…
Le silence revient…
Le soleil va bientôt se lever.
La fraîcheur du matin fait frissonner nos deux amies allongées sur la paillasse.
Ça leur donne envie de pisser…
Alors elles se lâchent, les cochonnes, pubis contre pubis.
Ça dégouline entre leurs cuisses
C’est chaud, c’est doux, c’est prégnant et délassant…
Elles se rendorment, en s’embrassant…
Ah que les nuits sont douces en Afrique !

01/03/2025

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