Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –11 – Massages au château par Maud-Anne Amaro
Et le surlendemain, nos deux joyeux drilles étaient sur les lieux avec le matériel adéquat. Ils pensaient boucler l’affaire rapidement, mais durent déchanter.
– Quelque chose m’échappe, je me demande si ces pièces ne sont pas carrément murées ? Fait remarque le professeur Martinov à Lamboley
– Dans ce cas il faudra ouvrir à la pioche, mais ça m’embête un peu, je ne voudrais pas que l’on casse quelque chose !
– Nous allons continuer à chercher ! Le rassure Béatrice.
– Camilla, venez donc me voir. Ordonne Lamboley dans l’interphone.
La jolie soubrette à la peau d’ébène accourt.
– A votre service, monsieur !
– Figurez-vous, Camilla que je suis tombé sur le journal intime de mon grand-oncle. Il raconte de ses choses… si je comprends bien, vous êtes une sacrée coquine !
– Oh, ne me jugez pas mal, monsieur, j’apportais juste un peu de réconfort à monsieur Albert, il était si gentil !
– Mais je vous juge pas, Camilla, je n’ai rien contre les coquineries, mais que diriez-vous si je faisais appel à vos disponibilités ?
– Monsieur désire-t-il une petite turlutte ? Monsieur Albert me disait toujours que je suçais comme une déesse !
– Je n’en doute pas un instant mais ce n’est pas pour moi…
– Je crains de ne pas comprendre, monsieur.?
– Ce monsieur Martinov qui est dans nos murs cherche comment entrer dans ces pièces secrètes que j’ai découvert sur plan. Je ne voudrais pas qu’il se décourage. Alors autant qu’il se sente bien ici et qu’il ait envie de rester, c’est là que j’aimerais que vous interveniez.
– Ah oui, mais il y a une dame avec lui…
– Improvisez, faites pour le mieux.
– Je me permets de dire à monsieur que Monsieur Albert me gratifiait d’un petit billet pour ce genre de choses et…
– Cela va sans dire et rassurez-vous ce ne sera pas un petit billet mais un gros billet !
Alors elle y va…
– Oh, monsieur Martinov, toutes ces manipulations ! Ce doit être pénible à votre âge !
– J’ai encore la forme, voyez-vous !.
– Je suis pourtant persuadée qu’un petit massage relaxant vous ferait le plus grand bien. Reprit Camilla avec un œil égrillard.
– C’est gentil, mais on a du travail. Répond le professeur sans trop de conviction.
– Laisse-toi faire, ça te fera du bien ! Intervient Béatrice.
– Bon alors je vais me laisser tenter.
– Suivez-moi cher monsieur, vous ne le regretterez pas vous m’avez déjà vu à l’œuvre, non ?
– Dites-moi, Camilla, vous ne me massez que les hommes ? Demande Béa.
– Pourquoi ? Vous seriez intéressée ?
– Eventuellement
– Alors je m’occupe de monsieur et ensuite je reviens vous chercher !
Martinov suit la blackette dans les couloirs du château.
– On va où ?
– Dans une petite pièce, elle ne servait à rien, c’est Monsieur Albert qui y avait fait installer une table de massage.
La pièce n’est pas bien grande, mais propre, sur une étagère s’amoncelle divers bibelots remisés là, sans doute parce qu’ils ne plaisait pas à Lamboley… Mais en y regardant de plus près l’on peut apercevoir ente boule à neige et statuette d’hippopotame d’Egypte, quelques insolite godemichet ainsi qu’un coupelle remplie de préservatifs et de gel intime.
Sur place, Camilla proposa au professeur de se déshabiller.
– On va jouer cartes sur table, j’adore masser, mais je ne vais pas faire semblant de vous faire un massage traditionnel, je ne suis pas kiné, ce que je vous propose c’est un massage un peu coquin, je pense que vous l’aviez compris.
– Et je suppose que la prestation est payante.
– Non, c’est gratuit, mais j’accepte les pourboires ! Répond-elle en rigolant.
– Les gros pourboires, je suppose ?
– Tant qu’à faire ! Mais vous n’êtes pas obligée.
– Vous êtes fort sympathique, mais j’avoue ne pas bien comprendre votre motivation.
– Vous ne devinez pas ?
– Pas trop, non !
– Monsieur Lamboley a cru discerner des signes de découragement dans vos recherches, il m’a alors dit « Camilla débrouille-toi pour qu’ils aient envies de rester ! » et il m’a rétribué pour ça ! Alors jouons le jeu !
– OK, je me met sur le dos ou de l’autre côté ?
– Un peu sur le ventre, il faut respecter la tradition et ça me permet de m’occuper de vos fesses.
Et effectivement, pas de simili-massage des épaules ou du dos, non Camilla attaque directement le cul qu’elle malaxe comme une pâte sablée pendant plusieurs minutes avant d’introduire un doigt humide dans le rectum.
– Ben faut pas vous gêner !
– La où il y a de la gêne… Souhaitez-vous que je le retire ?
– Non, j’aime bien.
– Je peux remplacer mon doigt par un gode si vous voulez !
– Tant qu’on y est !
– Un gros ? Un petit ? Un moyen ?
– Disons un moyen.
Camilla se servit sur l’étagère, enduisit l’objet d’un peu de gel et l’enfonça dans le troufignard du professeur.
– C’est bon ! Commenta-celui-ci.
– C’est bon et sa marche à piles.
– Dites-moi Camilla, je peux vous demander quelque chose ?
– Demandez toujours !
– J’aimerais bien voir vos seins !
– Ah ! Mais je suis une méchante fille, c’est moi qui aurais dû vous le proposer !
Et la soubrette d’enlever tout son haut.
– Les voilà !
– Jolis !
– Vous pouvez toucher, caresser, embrasser. Ils sont en libre-service. ! Ajouta-t-elle en se positionnant de façon à ce que le professeur puisse accéder. Maintenez le gode dans votre cul, je ne voudrais pas qu’il s’échappe. Ces gadgets sont parfois imprévisibles.
– Hum, ils sont doux, vos seins !.
Mais Camilla revient à sa place initiale, sa main passe sous les fesses et atteint les testicules qu’elle malaxe quelques instants avant de prendre en main la bite déjà bien bandée.
– On dirait que vous êtes en forme, tournez-vous maintenant… Hum, vous avez les tétons bien développés, je parie que vous adorez qu’on vous les tripote !
– Bien vu !
Alors Camilla les prend entre ses doigts et les serre fortement
– Oh, oui, c’est bon !
– C’est qu’il aime ça, ce petit cochon !
– Encore !
Elle tire, elle tortille… il n’en peut plus ce bon Martinov.
– Tu veux me baiser maintenant ?
– Euh…
– Ne bouges pas, je m’occupe de tout.
Retour à l’étagère, pour cette fois prendre un préservatif et reprendre du gel.
Pourquoi du gel ?
Parce que c’est dans le cul que Camilla va s’empaler sur la bite du professeur.
Le spectacle offert à Martinov est d’un érotisme torride, voir cette belle blackette à la peau luisante monter et descendre sur sa bite à la manière des chevaux de bois à quelque chose de magique, à ce pont que l’homme ne peut retenir sa jouissance.
– Alors c’était bien !
– Très bien !
– Est-ce que ça mérite un pourboire ?
– T’auras un pourboire si tu me fais un bisou !
– Smack !
Pendant ce temps Béatrice n’ayant pas trop envie de travailler seule jouait avec son téléphone portable…
– Ah, te revoilà mon petit professeur, elle t’a fait des bonnes choses, la soubrette ?.
– Oui, mais en fait, elle est était en service commandé (il lui explique)
Mais voilà que Camilla revient.
– Mademoiselle Béatrice je vous avais promis de revenir vous chercher, je suis à votre disposition.
– Le professeur n’a pas eu le temps de me raconter ce que vous lui avait fait…
– Ce n’est pas racontable ! Il a l’air ravi, c’est le principal, venez donc.
Et les voilà donc dans la petite pièce.
– Monsieur Martinov ne vous a rien dit du tout ?
– Il m’a juste dit que vous étiez en service commandé.
– Comme ça au moins les choses sont claires, on va dire que je suis la pute de Monsieur Lamboley.
– J’ai l’impression que vous prenez ça avec beaucoup de décontraction.
– C’est parce que vous êtes sympas, je n’aurais pas accepté de le faire avec n’importe qui. Je vous suggère de vous mettre à l’aise, c’est plus pratique pour masser.
– Tutoyons-nous, tu te déshabilles aussi ?
– Bien sûr ma chérie.
C’est Camilla qui est nue la première.
– Dis donc t’es drôlement bien foutue ! Lui dit Béatrice admirative.
– T’aimes les femmes ?
– Je suis un peu bi, pas mal même !
– Ça tombe bien, moi aussi. Répond Camilla allonge-toi sur le truc je vais m’occuper de toi.
– On est vraiment obligé de passer par la case « massage »
– En fait non !
– Parce que tu vois, en ce moment j’ai davantage envie de te caresser que de me faire masser.
– OK caresse-moi.
Béa se colle carrément contre Camilla en lui mettant la main sur les seins.
.
– Hum, tu sens bon, c’est quoi ?
– La petite Robe noire de chez Guerlain
(publicité gratuite mais si Monsieur Guerlain veut me rétribuer, je n’ai rien contre)
– Tu peux me bouffer les bouts si tu veux lui ! Précise la blackette.
Béatrice ne s’en prive pas et se complait à lécher ses gros tétons bruns, tandis que sa main s’en va plus bas découvrant l’humidité de sa grotte.
– Ben dit donc, c’est moi qui te fais mouiller comme ça ?
– On dirait bien ! Viens dans ma chambre ce sera plus confortable pour s’envoyer en l’air… n’oublie pas tes fringues.
En chambre, Camilla proposa :
– Les godes tu aimes ?
– J’aime beaucoup de choses, mais les godes pourquoi pas ?
Camilla en prend deux dans un tiroir, (elle n’en a pas quarante non plus !)
– Tu me le mets dans le cul, et toi ?
– Dans le cul aussi !
Chacune se met à goder l’autre avec un bel enthousiasme… et même que Béatrice parvint à jouir de la sorte.
Au bout d’un moment, les deux coquines abandonnèrent les godes et c’est en soixante-neuf, langue sur le clito qu’elle terminent cette petite séance saphique.
A suivre
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Comme dans un rêve
Si Béatrice veut me masser, je suis partant, d’autant que j’adore me faire doigter le trou du cul