Les libertins de la fin de l’été par Alexis Defond-Rossignol

Les libertins de la fin de l’été par Alexis Defond-Rossignol

Encore un barbecue coquin ! S’écriront les grincheux ! Et alors si ça m’a amusé d’en écrire un, j’en ai bien le droit, non ?

Bonjour, je suis Alexis, 37 ans. Ma femme Vera est une petite brune frisée avec des seins comme des obus. Nous sommes très portés sur le sexe et sommes tous deux légèrement bisexuels.

Nous étions invités en cette belle journée de fin d’été à un barbecue chez Yannick et Felicia, des amis libertins, les parents de Yannick que nous ne connaissions pas étaient là également..

Le dessert étant consommé, Yannick pris la parole :

– On ne va pas rester habillé d’un temps pareil, ce serait faire insulte au soleil. Mettons-nous tous à poil.

Personne ne fit d’objection et bientôt nous nous retrouvions tous les six dans le plus simple appareil. Je pu ainsi admirer les jolis seins d’Edwige, la mère de Yannick et la jolie bite de Lucien, le père de Yannick, lequel se rendit compte de mon intérêt pour cette partie de mon anatomie.

– On dirait qu’elle te plait bien, ma bite !
– Elle est belle !
– Tu me la sucerais ?
– Bien volontiers.

Et l’instant d’après j’avais sa bonne bite dans ma bouche et mes mouvements de langue la firent rapidement devenir bien raide. Et pendant que je me régalais, Edwige, la mère de Yannick passa derrière moi et m’introduit un doigt vicelard dans mon petit trou du cul. J’aime beaucoup !

De l’autre côté de la table ma Vera suçait la bite de Yannick tandis que Félicia lui léchait le trou du cul.

Un moment Lucien me demanda s’il pouvait m’enculer.

– Mais avec plaisir.

Un petit voyeur qui serait passé par là, aurait pu voir ce spectacle insolite, où Lucien n’enculait, tandis que Yannick sodomisait ma tendre et chère Vera. Quand à Félicia elle avait initié une partie de broute minou en soixante neuf avec Edwige (tout le monde suite, ça va ?)

Ces petits emboitements durèrent bien une dizaine de minutes aux termes desquelles Edwige annonça à la cantonade qu’elle avait une grosse envie de pisser et que si ça intéressait quelqu’un elle se ferait un plaisir de lui pisser dessus.

Je me suis porté volontaire et j’ai reçu en bouche la bonne pisse de cette jolie mémé..

– On se repose un peu, puis après on ira à rivière ! Propose Yannick

Allongé sur une couverture à côté de ma femme, j’ai commencé à la caresser. Bientôt excités, nous nous sommes enlacées pour faire l’amour entre époux. Ma femme était très excitée, et je me souviens de la forte odeur sexuelle qui émanait d’elle.

Comme je l’avais longtemps caressée, j’ai éjaculé presque tout de suite. Très excitée, encore, elle a continué à se donner du plaisir en se masturbant. Assis à côté d’elle, je la regardais en attendant le retour d’une érection. A ce moment, le chien de nos amis, qui était resté couché dans un coin du jardin, s’est levé et est venu vers ma femme. Machinalement, celle-ci a tendu la main vers lui. Il lui a flairé les doigts, avec lesquels elle s’était masturbée, et s’est mis à les lécher avidement. Puis en quête de la source de cette odeur, il a glissé sa grosse tête entre les cuisses de ma femme qui l’a repoussé machinalement.

Mais la scène m’avait vivement troublé, et j’ai décidé de pousser la chose plus loin. J’ai dit à ma femme que ce pauvre toutou avait bien le droit de lécher une jolie chatte, et qu’il n’y avait pas là de quoi fouetter un chat. En outre, ajoutai-je, ce serait peut-être très agréable. Et, passant mon bras autour de ses épaules, j’ai recommencé à l’embrasser et à lui caresser les seins.

Le chien est revenu flairer entre les belles cuisses ouvertes de ma femme, puis s’est mis à lécher. Appréhensive au début, ma femme s’est progressivement laissé aller et à commencé à réagir.

Fasciné, je me suis levé pour mieux jouir du spectacle. Ma femme de son côté, a redressé la tête pour pouvoir regarder. Le chien la léchait à grands coups de langue. Ma femme s’est mise à gémir. Le chien s’est alors avancé, a posé ses pattes de devant sur les seins de ma femme et a commencé à pousser de l’arrière-train, exactement comme un homme, en cherchant l’entrée. La scène paraissait totalement irréelle.

J’ai vu le pénis écarlate de la bête, qui sortait, congestionné, de son fourreau, et butait aveuglément sur le pubis de ma femme. Sans hésiter, je l’ai pris en main pour le guider dans le vagin tandis que ma femme avançait son bassin. Une fois en place, le chien s’est mis à assurer un va-et-vient énergique. Bientôt, déchaînée, ma femme s’est accrochée à l’animal, en écrasant la tête de celui-ci contre ses seins et en le suppliant de continuer. Elle était trempée de sueur. Plusieurs orgasmes se sont succédé, dans un concert où les halètements canins répondaient aux gémissements féminins. Enfin, le chien, ayant éjaculé, se remit à quatre pattes et se dirigea vers la cuisine boire tout le contenu de son écuelle d’eau.

Ma femme est restée longtemps immobile sur sa couverture. Elle avait une expression étrange. Elle m’a regardé, timidement, avec un sourire de petite fille qui a fait une grosse bêtise. Je l’ai rassurée d’un sourire et d’une petite tape sur la tête. Elle m’a alors expliqué comment le pénis du chien lui avait donné des sensations absolument différentes de celles d’un homme : plus visqueux, plus pointu, plus long aussi, elle le sentait très profondément. Et le rythme aussi était différent, plus rapide. Et la sensation de cette fourrure contre elle. Tandis qu’elle me donnait ces détails, je voyais dans ses yeux un nuage rêveur que perçait toutefois une lueur malicieuse. Elle semblait penser : « C’est incroyable ! Je me suis fait prendre par un chien ! »

Et Voici Félicia qui s’approche de nous.

– C’était bien avec le chien ?
– En fait j’ai bien aimé.
– Mais tu ne lui a pas sucé la bite ?
– Ah, non !
– Ça te dirait d’essayer ?

Ma femme n’a pas hésité un instant, elles ont rappelé le chien qui est revenu en gambadant et en frétillant de la queue. La mère de Yannick les a aidé à trouver la bonne position.

Ça fait une drôle d’impression de voir sa femme avec la pine d’un chien dans la bouche…. Je bande !

Fin

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