Martinov 26 – Les sculptures incas – 1 – La visite de la sorcière par Maud-Anne Amaro

Martinov 26 – Les sculptures incas – 1 – La visite de la sorcière par Maud-Anne Amaro

Arsène Chamoulet, sous-chef de service au Crédit du Sud est enfin à la retraite, il va réaliser le rêve de sa vie en se rendant dans une agence immobilière, accompagné de son épouse, Hélène. Il y explique ce qu’il recherche :

– Oui, nous avons quelques corps de ferme qui devraient correspondre à vos attentes, celui-ci dans la Nièvre…Leur répond l’agent immobilier en leur présentant une mosaïque de photos.
– Non, il ne me plait pas.
– Celui-ci dans la Sarthe…
– Vous appelez ça un corps de ferme, vous ?
– Disons que ça s’y assimile… sinon j’ai encore celui-ci dans l’Orne, mais il est un peu plus cher.
– Ah, ça n’a pas l’air mal !
– Je vous montre une jeu de photos complet ?
– Bien sûr.

Le diaporama défile sous les yeux du couple, l’intérieur, la courette, le petit jardin, le terrain.

– On peut visiter ?
– Bien sûr, fixons une date et mon collègue d’Alençon vous accompagnera.

Rendez-vous est pris par téléphone et deux jours plus tard Monsieur et Madame Chamoulet étaient dans les locaux de l’agence d’Alençon.

– Ah, le Clos de Merisiers ! Leur dit le type de l’agence, vous n’êtes pas tous seuls sur les rangs.
– Mais qu’est-ce que ça signifie ? A quoi bon visiter si quelqu’un a déjà pris une option ? S’offusque Chamoulet.
– Ne nous emballons pas, vous venez visiter, alors on va visiter, ensuite on discutera. La devise de l’agence c’est « Il n’y a jamais de problème, il n’y a que des solutions ! »

Ils se rendirent à Vertgland à quelques dizaines de kilomètres d’Alençon. On fit donc la visite. Monsieur et Madame Chamoulet furent emballés, c’était exactement ce qu’ils cherchaient, enfin surtout Monsieur parce que Madame, elle s’en foutait un peu…

– Il reste deux ou trois meubles, l’ancien propriétaire les fera enlever. Bon je vois que ça vous intéresse, on retourne à l’agence pour les papiers ou vous souhaitez réfléchir ?
– Non, non, ça nous intéresse ! répondit Chamoulet.

Une fois revenu à l’agence, le type prit un air contrit.

– Le soucis, c’est que j’ai un client qui a pris une option dessus, il est en attente de l’obtention d’un prêt, mais son dossier est bon, il va l’avoir son prêt.
– Non, mais j’aimerais comprendre, vous nous aviez dit qu’on revenait ici pour signer des papiers…
– Je peux éventuellement m’arranger pour vous accorder la priorité.
– Vous voulez quoi ? Un dessous de table, C’est ça ?
– On pourrait faire comme ça, oui !
– Vous êtes gonflé quand même !
– Le monde des affaires est cruel, et ce n’est pas moi qui vais le changer.
– Bon, arrêtez de tourner autour du pot ! Vous voudriez combien ?
– 50 000 euros
– Vous plaisantez ?
– Non ! Mais ce que je sais c’est que vous allez avoir du mal à trouver l’équivalent à un prix aussi avantageux, alors si vous voulez ce corps de ferme, vous me faites un petit chèque, sinon je ne vous retiens pas.
– 10 000, je ne peux pas plus !
– Au revoir messieurs dames !
– Pfff ! Quelle mentalité!

Les époux Chamoulet quittent l’agence, ils ont à peine franchi dix mètres qu’une discussion s’engage. Et les voilà qui reviennent.

– On vous propose 25 000…
– Vous ne pouvez pas aller jusqu’à 30 ?
– Non !
– Asseyez-vous on va s’occuper des formalités et convenir d’un rendez-vous chez le notaire.

Et quinze jours plus tard Monsieur et Madame Chamoulet étaient devenus propriétaires du Clos de Merisiers.

Louveciennes jeudi 24 février

Eh oui, nous revoilà dans l’antre du professeur Martinov, sexagénaire et inventeur génial, associé à Béatrice Clerc-Fontaine, chimiste diplômée, dans la trentaine, blonde, pulpeuse et peu farouche.

– Alors qu’est-ce qui vous amène Monsieur Chardonnay ?
– Chamoulet !
– Pardon !

Ah, nous n’avons pas décrit Arsène Chamoulet, pas grand-chose d’original, dégarni, un peu d’embonpoint, visage ovale en œuf de Pâques, nez trop petit, lèvres trop fines, cheveux rares, pantalon gris en flanelle, veste blazer marine, chemise blanche. Un vrai playboy, quoi !

– Vous n’avez pas pris connaissance de mon dossier ? Demande ce dernier.
– Si, j’y ai jeté un coup d’œil, (le menteur) mais rien ne vaut l’échange physique. Répond le professeur Martinov.
– Vous avez lu ce que j’ai trouvé sur le carnet ?
– Oui, mais je ne peux pas me souvenir de tout. Rafraichissez-moi la mémoire.
– C’est très simple. L’ancien propriétaire devait finir de vider les lieux, il ne l’a pas fait, ce que je me suis empressé de faire remarquer à l’agence. Ils n’ont rien voulu savoir, ces gens-là sont des voyous, J’ai pensé prendre un avocat mais finalement je ne l’ai pas fait, je ne vais pas entamer une procédure pour une commode, une armoire et deux ou trois chaises…
– Oui…
– Sans compter toutes les saloperies…
– Venons-en au fait, Monsieur Chardonnay, je vous en prie.
– Chamoulet si vous permettez.
– Désolé !
– L’un des tiroirs de la commode n’avait pas été vidé, il y avait des vieux journaux et puis ce fameux petit carnet.
– Et il dit quoi ce carnet ?
– Vous ne l’avez donc pas lu la photocopie ?
– Je lis tellement de choses…
– Je vous ai apporté l’original, beaucoup de pages ont été arrachées mais ce qui nous intéresse est là.

Le carnet est ancien, broché comme on n’en fait plus, l’écriture est appliquée à l’encre violette.

Martinov lit :

« Je suis retourné dans le puit, je me suis équipé pour éviter les bestioles, les bas-reliefs m’ont parlé à travers mon esprit, je n’ai pas tout compris, ils semblent avoir perdu quelque chose qu’ils veulent récupérer. Je n’y retournerais pas, j’ai eu trop peur »… puis sur la feuille suivante : « je n’arrive pas à bien les dessiner mais on voit bien qu’ils ont un casque leur entourant le visage »

– Humm ! (Ça c’est le professeur Martinov qui se racle la gorge) T’en penses quoi, Béatrice ?
– Pas grand-chose.
– Ben moi non plus, vous attendez quoi de nous Monsieur… Monsieur…
– Chamoulet !
– C’est ça, Chamoulet !
– D’éclaircir cette affaire ! En vous rendant sur place…Tous frais payés bien entendu !
– Vous avez essayé de descendre au fond de ce puit ?
– A mon âge ? Vous plaisantez !
– Ce n’est pas moi qui vais le faire non plus ! Rétorque Martinov.
– S’il faut embaucher quelqu’un pour descendre, ça m’embête un peu… je ne voudrais pas que cette affaire s’ébruite. Il doit y avoir d’autres moyens, je ne sais pas, des caméras…
– On réfléchit et on vous rappelle demain.

Le professeur Martinov poussa un long soupir.

– C’est dingue le nombre de tarés qui viennent nous voir !
– N’exagère pas, il n’y en pas tant que ça ! Répond Béatrice.
– Oui mais ils sont pénibles !
– On fait quoi, on va voir ?
– On peut toujours y aller.
– Comment veut-tu qu’on démêle une histoire pareille ?
– On verra bien, des bas-reliefs au fond d’un puit, ça peut être intéressant ! Conclue Martinov
– Et ton bas-relief à toi, il est intéressant en ce moment ? Demande Béatrice avec un air canaille.
– Hein ? Quel bas-relief ?
– Celui-là ! Répond Béa en portant la main sur la braguette du professeur.
– Mais enfin ?
– Enfin quoi ? Elle ne t’excite plus ta petite Béatrice ?
– Mais si, mais si, mais il y a un temps pour chaque chose.
– Le temps que l’on consacre au sexe n’est jamais du temps de gâché, a dit Saint Trazibule.
– Que c’est celui-ci ?
– Un copain… mais qu’est-ce qu’elle a cette braguette.

Et Béatrice s’acharna si violemment sur la fermeture éclair professorale que celle-ci se cassa bel et bien.

– C’est malin !
– Ce sont des choses qui arrive, je l’apporterai à la retoucherie tout à l’heure, enlève-le.

Ce qu’il fut bien obligé de faire… Du coup Béatrice se fit un plaisir de dégager la pine du professeur de son slip démodé et de lui administrer quelques branles afin qu’il bandât convenablement.

– Ben voilà une bite comme je les aime ! Dit Béatrice satisfaite du résultat.

Et la voilà qui par une flexion du corps se retrouve pine contre bouche. Et dans ce genre de situation que fait-on ? On ouvre la bouche et on vient gober la chose.

– Humm qu’est-ce qu’elle est bonne ta bite !
– Je ne sais pas ce que tu peux y trouver, c’est une bite de vieux.
– Te poses pas de questions existentielles j’aime bien ta bite et point barre. Fin de l’interruption.

Et Béatrice reprit sa fellation. Depuis le temps qu’elle suçait Martinov, elle savait ce qu’il aimait et savait comment il fonctionnait. Elle procédait par de longs va-et-vient en bouche avant de lécher la hampe en de savants balayages, sans oublier de titiller le gland ce qui provoquait des décharges quasi-électrique chez notre vert professeur.

Quand elle sentit une goutte de pré-jouissance perler au niveau du méat, elle lâcha sa proie, son intention n’étant pas de faire jouir son partenaire prématurément.

– Tourne-toi je vais m’occuper un peu de ton cul.
– Euh, on serait peut-être mieux là-haut ! Suggéra le professeur.
– Mais bien sûr mon petit cochon !

Là-haut, c’est tout simplement la chambre du professeur Martinov, doté d’un joli lit à deux places malgré le fait qu’il soit toujours resté célibataire.

Ils y grimpent, finissent de se déshabiller et se jettent sur le plumard. Qui va sauter sur l’autre ?

D’ordinaire c’est Béatrice qui dirige les opérations, Martinov se laissant faire par sa partenaire, mais aujourd’hui par pure taquinerie, elle s’est couchée sur le dos, les jambes écartées et attend.

Mais cela ne déstabilise aucunement notre vert professeur qui s’en va lécher les superbes seins offerts de la jolie chimiste.

– Tu les aimes, mes nichons, hein mon salaud !
– Non, je les adore !
– Continue, continue… non, lèche-moi la chatte maintenant.
– Déjà ?
– Je veux jouir, lèche-moi, donne-moi ta langue.

Il est ainsi des propositions qu’on ne saurait refuser (comme dirait Marlon Brando dans le Parain) et Martinov se met à laper la cramouille de sa collaboratrice avec gourmandise. C’est tout mouillé et il adore ça.

Sans doute pour lui rendre l’accès plus facile, Béatrice lève les jambes au ciel. Interprétant de travers ce geste, et l’anus de sa complice de jeu étant à sa portée, le professeur, il se met à la suçailler.

Il adore ce petit endroit plissé où le goût est parfois âcre mais néanmoins subtil.

– Hum, quel trou du cul délicieux !
– Petit cochon !
– Ben oui !
– Ce n’est pas ça que je t’ai demandé de faire !
– Tu ne vas pas me dire que ça ne te plait pas !
– Enfonce-y un doigt !
– Tu ne préfères pas ma bite ?
– Tout à l’heure la bite ! Pour le moment, je veux le doigt.

Pas de problème, Martinov s’humecte le majeur… et hop le doigt dans le trou du cul ! Et c’est parti pour une série d’allers et retours…

On peut raconter ce qu’on veut mais le doigtage est un exercice qui à la longue fatigue les mimines, aussi le professeur finit par retirer son doigt. Il en constate l’état. Oh, certes il n’y a rien de catastrophique, mais n’empêche qu’il pourrait être plus net.

– Lèche-le ! Lui dit Béa !
– Quel intérêt ?
– L’intérêt, c’est que j’aime bien quand tu lèches le doigt qui sort de mon cul !

C’est un argument comme un autre mais il est suffisant pour que le professeur obtempère. Puis dans la foulée il reprend son léchage de chatte. L’endroit est de plus en plus humide, la mouille dégouline sur ses cuisses.

Après quelques mouvements gourmands, Béa sentant le désir monter se met à haleter, Martinov cible son clito et y enroule sa langue.

Et soudain, c’est la tempête, Béatrice hurle son plaisir, en éjectant un geyser de mouille.

– Tu m’as bien fait jouir, mon petit professeur, allonge-toi je vais bien ‘occuper de toi.

Elle sait que dans le tiroir du chevet se loge un joli godemichet très réaliste, elle s’en empare.

– Qui sait qui va sucer la jolie bibite ! Se moque-t-elle.
– Ben c’est moi !

Elle tend le joujou au professeur qui se met à lui faire une fellation.

– Y’a longtemps que tu n’as pas sucé une vraie bite ? Lui demande Béatrice.
– Quelques mois ! Quand j’ai l’occasion j’aime bien, mais je ne cherche pas.
– Allez suce encore le machin pendant ce temps-là je vais te pincer tes petits bouts de seins, t’aimes ça hein mon cochon !
– Oh, oui !

Il aimant d’autant ça que la pratique le faisait bander de bien belle façon.

– La belle bite que tu te payes !
– Suce là !
– Faisons les choses dans l’ordre, tourne-toi que je t’encule avec le gode !

Et Béatrice fit donc aller et venir le gode dans le trou du cul de Martinov qui poussait des jappements de plaisir.

– T’aimes ça te faire enculer, hein mon cochon ?
– Oui, oui !

Au bout de quelques minutes (pas facile de calculer le temps en de telles circonstances) elle retira le gode laissant le cul du professeur béant mais ravi !

– Ah, tu débandes un peu, je vais t’arranger ça, couche-toi sur le dos !
– Tu vas faire quoi ?
– On ne pose pas de question.

Béa reprit en bouche la bite de son partenaire tandis que mains projetées en avant lui pinçait les tétons.

Lorsque la bite eut retrouvé sa rigidité, la jolie chimiste se mit en levrette afin que Martinov puisse l’enculer. Celui-ci à la vue de ce cul splendide s’encapota à grande vitesse avant de la pénétrer comme il se doit.

Excitée comme une puce, Béatrice ne tarda pas à jouir de nouveau, le professeur fut un peu plus long à venir mais se tapa une jouissance du tonnerre !

Epuisée Martinov s’allonge sur le dos, Béatrice lui retire sa capote et de sa petite langue coquine lui nettoie tout le sperme gluant qui s’y était accumulé.

Moment calme, avant de rejoindre de conserve la salle de bain pour une petite toilette et afin de perpétuer les traditions, Béatrice ne manqua pas de s’amuser à pisser dru sur la bite de son complice de jeu. Il finit d’ailleurs par se baisser afin de pouvoir en avaler quelques gouttes.

Lundi 1er mars

La Peugeot 108 de Béatrice klaxonne à l’entrée du clos des Merisiers. Ils sont accueillis par Arsène Chamoulet

– Bienvenue chez nous, venez je vais vous présenter ma petite famille.

Ils entrent de plain-pied dans une grande pièce transformée en salon-salle à manger.

– Voici donc Hélène ma femme, mon fils Gino et sa copine Fanny. Ah nous avons un chien, mais soyez tranquille, il n’est pas méchant.

Nous allons un peu décrire ces gens-là puisqu’ils auront leur importance dans l’histoire,

Hélène est une femme qu’on devine discrète et réservée, (à moins qu’elle ne cache bien son jeu, mais n’anticipons pas) son visage est lisse et calme, de beaux yeux bleus, très brune.

Fanny est une petite brunette au regard pétillant de malice, elle est aujourd’hui habillée d’un jean et d’une chemise à carreau qui lui donne un air un peu western. Et puis je vais vous dire aussi, petits cochons que vous êtes, que la chemise est bien remplie !

Gino est un grand blondinet habillé n’importe comment, pantalon blanc et chemise jaune.

– Gino est artiste peintre ! Précise Chamoulet comme ici nous avons de la place je lui ai proposé de déménager son atelier ici et d’habiter avec nous.

Martinov et Béatrice s’échangent un regard, ils ont eu la même pensée « Pourquoi ce n’est pas ce mec qui descendrait au fond du puit ? »

– Ah, il faut que vous mette au courant, il y a un élément nouveau ! Nous annonce Chamoulet.
– Ah ?
– Oui, nous avons eu la visite d’une voyante, ou d’une sorcière, je ne sais pas trop comment l’appeler…

Flashback : la sorcière.

On sonne à la grille d’entrée, C’est Hélène qui se déplace pour aller voir.

– Bonjour, je suis Miranda, je voudrais voir monsieur Chamoulet, ça ne prendra que cinq minutes.

Hélène dévisage l’inconnue, c’est une assez belle femme brune dans les quarante ans, attifée d’une jupe violette qui lui descend jusqu’aux chevilles et d’un corsage beige assez décolleté. Elle a sur la tête une coiffe en tissu ornée de médailles pendantes et qui laisse échapper quelques mèches de cheveux. Une gitane de carnaval !

– Vous voulez le voir pourquoi ?
– Pour lui dire des choses importantes, mais vous pourrez écouter.
– Si c’est pour nous demander de l’argent, ce n’est pas la peine…
– Je ne demande rien, je suis là pour informer, c’est tout.
– Si vous faites partie d’une secte, ce n’est même pas la peine de continuer
– Je ne fais partie de rien du tout, je sui là à titre individuel.
– Bon venez, je vais appeler mon mari. J’espère que vous n’allez pas nous faire perdre notre temps.

Hélène la fait entrer dans le salon et appelle Arsène.

– Je serais brève ! Commence Miranda. Je suis une sorte de médium et je communique avec des êtres venus d’ailleurs…
– Ecoutez, la coupe Chamoulet, si c’est pour nous sortir des trucs de charlatans, on va s’arrêter là, la sortie, c’est juste derrière vous !
– Et les sculptures au fond du puit, c’est des charlataneries ?
– Parce que vous êtes au courant ?
– Ben d’après vous, ça sert à quoi les mediums ? Cet endroit abrite une base de communication avec les Nosrog. Donc vous ne devez pas rester là. L’ancien propriétaire était leur servant, quand il a quitté les lieux un autre servant devait prendre la place, mais quelque chose n’a pas fonctionné. Donc partez avant qu’il ne vous arrive malheur, et surtout, surtout, ne cherchez pas à déplacer les sculptures ! Voilà c’est tout ce j’avais à vous dire, aurevoir messieurs dames.
– Mais…
– Peut-être allez-vous penser que je ne suis pas vraiment médium, alors je vais vous faire une révélation : aujourd’hui, le slip de Monsieur est couleur bleu ciel. Allez, je me sauve !

Et elle a disparue.

– Ton slip, il est vraiment bleu ciel ? Me demande Hélène
– Ben oui ! Elle me fout la trouille cette bonne femme.

Fin du flashback

A suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à Martinov 26 – Les sculptures incas – 1 – La visite de la sorcière par Maud-Anne Amaro

  1. Poupart dit :

    Quand un vieux cochon saute une jolie cochonne….

  2. Dominique Tamer dit :

    Quelle santé ce Martinov !!!

  3. Forestier dit :

    On ne se lasse pas des aventures du professeur Martinov et de sa charmante assistante. Quant à la sorcière deviendra-t-elle coquine ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *