Tant va le Temps… Tant va le Cul… 025 – Je rêve… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… 025 – Je rêve… par Verdon

Eh oui, je rêve.

Je rêve comme tout le monde. Comme vous sans doute, à tout moment. Je rêve surtout la nuit, car dans la journée c’est moins évident, on a beaucoup d’occupations qui ne nous laissent pas le loisir de nous assoupir et de laisser divaguer notre esprit.

Je fais toutes sortes de rêves. La plupart sont invraisemblables, souvent agréables mais incompréhensibles, d’autres sont inquiétants, des fois cauchemardesques, ils me laissent ‘tout chose’ et m’interpellent même pendant une partie de la journée, jusqu’à ce qu’ils s’estompent complétement. Pourtant en réalité, la plupart n’ont ni queue (quoique,) ni tête et je les oublie instantanément.

Je suppose donc que vous rêvez comme moi et que vous devez faire comme moi aussi, des rêves passionnants, excitants même, des rêves érotiques, hi ! hi !

Humm ! Voilà qui devient intéressant et qui peut virtuellement nous amener au septième ciel sans nous obliger à faire beaucoup d’efforts !

Allez ! Ne vous cachez pas dessous votre oreiller, je sais que ça peut arriver à tout le monde et vous n’échappez pas à la règle… n’est-ce-pas ! Les Dames comme les Messieurs. Il n’y a là, aucun mal, c’est naturel et ça nous désinhibe de la routine quotidienne. Sans compter que ce n’est pas désagréable de se réveiller, la queue bandée ou la main en train de se bichonner la foufoune ! N’est-ce pas mesdames ?

Donc, je rêve comme tout un commun et je me retrouve certaines fois, dans des situations rocambolesques qui ne sont pas pour me déplaire, mais qui sont très volatiles. Je ne les maîtrise pas et ça finit toujours en fiasco quand je sors de mes songes, réveillé par un bruit quelconque ou par les secousses que m’adresse ma compagne dérangée par mes agitations intempestives, surtout quand je me colle à son cul, persuadé dans mon demi-sommeil, de pouvoir concrétiser sur son dos mes hallucinantes rêveries. (Ben oui… Quoi !).

Mais Madame n’est pas prête. Avec ma pine raide j’ai beau avoir l’allure d’un satyre qui sort des bois, ça ne l’émotionne pas pour autant. Elle serre les fesses et elle bougonne, la garce ! (si ça se trouve je lui ai interrompu un songe exaltant qu’elle devait vivre avec un jeune homme bien plus fringant que moi… Ah, la salope !).

Finalement, ces rêves, pour si agréables qu’ils soient, ne sont pas ma tasse de thé. Passé le petit moment d’exaltation, je suis déçu, je me retrouve dans le vide, je débande, je vais pisser et je m’endors…

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Les rêves que je préfère sont ceux que je fais, tout éveillé.

Oui, je rêve consciemment. Je canalise mes pensées. Je participe en me masturbant et je maîtrise mes moments de bonheur en me branlant plus ou moins sensuellement pour flatter ma libido suivant le scénario que j’imagine. Ça finit en général par de longues jouissances concrètes qui barbouillent mes phalanges ou mon bas ventre, ou mes draps et quand ce n’est pas parfois, l’écran de mon ordi !

Vous voyez donc que je ne suis jamais à court d’idée pour les poèmes ou les textes que j’écris avec l’encre de mes couilles.

Mais pour me mettre au boulot (au bonheur, devrais-je dire) , il me faut du temps libre, du calme, du confort. Je crée l’ambiance. Il fait doux, dans une chambre douillette ou sur la terrasse, je me fous à poil devant une table avec mon ordi, quelques livres érotiques ou des revues avec des images très expressives.

Ce n’est pas le moment que ma fameuse voisine (Ernestine, vous l’avez connue, précédemment… ), vienne m’embrouiller les neurones avec son petit cul intempestif. (J’accorde assez de temps aux chaleurs de son petit trou, pour ne pas être obligé de jouer au plombier quand justement je m’astique la tuyauterie !).

Aussi je ferme les portes, coupe mon téléphone et je m’installe confortablement. (Je suis occupé avec ma queue… qu’on ne me dérange pas… bordel !).

Puis, avachi mollement dans mon fauteuil, je sirote un cognac. Je m’enduis le chichi avec une bonne crème, un peu de vaseline au cul et je mets en route un ventilateur pour me rafraîchir, car ça commence à chauffer entre les jambes. Je me détends et me mets à l’écoute de mon corps.

Humm ! Que c’est bon ! (Que ma queue est bonne ! ). Je sens déjà mes roupettes qui s’émeuvent. (Ça bouge là-dedans !).

Des fois je me mets devant la glace et je m’admire. Je suis un peu vaniteux. J’adore me regarder en train de me branler. Je me fais mon petit porno. Mes mains sont celles d’une femme ou de deux (je peux tout me permettre… ), Je trousse le prépuce, je le redescends… Humm !, je roule mon pouce sur les ailes de mon gland… C’est bon !… Je me malaxe les couilles et je me fous un doigt au cul… (Putain ! Je vais jouir !).

Libres, entre mes cuisses écartées, mes roustons prennent du large. Ils s’étalent. Ils laissent de la place à mes roubignoles qui tournicotent lentement heureuses et décontractées comme deux œufs dans une casserole pleine d’eau sur le feu. (Ça ne vous fait pas ça à vous aussi !).

Ça chauffe… ça ne va pas tarder à bouillir… je sens déjà mon tuyau d’échappement qui se serre et j’ai la bite qui s’en étonne ! (elle s’éveille, la cochonne… elle aime que je la caresse… elle fait sa chochotte, mais ça ne va pas durer… une bonne bite, c’est fait pour bander ! elle fait la fière devant ses deux cousines qui se prélassent !).

Je calme le jeu. Je me branle doucement, histoire de faire circuler le sang et de rafraîchir la tuyère. Tandis que dans mon esprit commencent à s’empiler des images et des envies très coquines.

Ben voilà, c’est un bon début, vous connaissez tous, cela. Ça fait tellement de bien lorsqu’on sent sa bistouquette qui prend tout doucement des allures de vireton… Humm ! (Eh, mesdames, pourquoi vous serrez les cuisses comme cela,… ça mijote là-dedans ! Hi ! hi !).

Alors là, il ne faut pas aller trop vite. C’est l’instant de gamberger. On relève la ‘chasuble’, pour dégager le gland qui s’impatiente et un doigt sous le méat, on taquine la friandise… Humm !
Ça sent déjà le nœud qui transpire et qui libère cette bonne odeur du mâle en rut… (Surtout si je ne me suis pas lavé la bite depuis ma dernière baise Humm ! Cochon ! Qu’elle me dit Ernestine qui pourtant aime bien sucer ma pine quand elle sort du trou du cul de son gigolo !… ).

C’est le moment d’imbriquer mes neurones au milieu de toutes sensations qui naissent dans mes burnes en m’enflammant le cerveau. Je glisse mes doigts le long de ma hampe et je me titille le bouton marbré.

Alors là, je commence à divaguer. Gentiment bien sûr, je ne suis pas un boute-en-cul. J’aime les femmes, je m’imagine entrain de les flatter, de les gâter, de les soumettre dans la douceur et non sans un peu de vigueur, tout de même, pour quelques revêches dont l’insolent fessier provocateur mérite bien une petite correction (ne croyez-vous pas ?).

Tiens, on va démarrer avec ma petite voisine qui vient de se marier l’autre jour.

– Viens donc ma Belle, ton mari est au boulot, il ne faut pas rester toute seule à t’ennuyer, tu vas te dessécher ma mignonne… Oui, je sais, il a un joli marjolin ton chéri, mais viens avec moi, j’ai le même à la maison !

(Qui est-ce qui me dit que ce n’est pas bien ?… mais puisque je vous dis que ‘je rêve’… alors rêver ça ne fait de mal à personne, et puis le mari, il n’a qu’à en faire autant ! ). Je peux lui faire beaucoup de bien à sa chérie… je suis prêt, sait-on jamais si elle le veut bien !

Eh bien justement, puisque c’est moi qui dirige le rêve… Elle vient la jeune femme, elle le veut bien.
Une jeune mariée c’est délicat… Je suis sûr que pour sa première nuit, son ‘fier à pine’, il a dû la faire souffrir… la pauvre… même qu’il paraît qu’elle a beaucoup crié, m’a dit sa mère. Il faut dire que sa mère je la connais bien.

Évidemment, pour agrémenter mon rêve, je vais vous dire qu’un jour, cette maman s’ennuyait toute seule dans sa maison. Une nana qui s’ennuie, il ne faut surtout pas la laisser moisir ainsi. Moi, vous me connaissez, qui suis toujours très dévoué pour les chattes en peine, je me suis retrouvé à poil dans sa salle de séjour. (Allez savoir comment ? je l’ignore, mais c’est facile à placer dans un rêve… ). Je lui ai troussé son trou du cul à la vieille. Elle a aimé, la cochonne. (Vous pensez-bien qu’une bonne levrette ça vous ragaillardit une mature fatiguée de se faire baiser en missionnaire par un malheureux mec qui n’a jamais osé tremper son nœud dans la rivière boueuse… comme disent les Chinois).

Elle avait un peu honte la bienheureuse… mais pas au trou du cul en tout cas. Et ensuite, une bonne fessée, pendant qu’elle suçait mon esquimau au chocolat, ça lui a remis sa conscience en paix.

– Tu fais ça si bien’, m’a dit, la dévergondée… que je vais conseiller à ma fille de se faire un peu dégripper son cachemaille, juste avant le mariage. Ça permet d’agrandir un peu la voie et d’apprécier la cochonnaille… Hi, hi !

Elle ne l’a pas écoutée la novice. Aussi vous pensez bien que le jeunot, devant cette petite chatte toute neuve, il n’a pas pris des gants… Le salaud !…

Pourtant elle était de bon conseil, la mater… Elle savait de quoi elle parlait, (l’astucieuse) . En effet avant de lui confier sa pouliche, elle a elle-même essayé le bonhomme (C’est la moindre des choses pour savoir de quoi il ressort son futur gendre ! ), et ce qu’il lui a mis l’a convaincue que sa fille allait devoir vachement ouvrir les jambes… (La veinarde !)

– Fais attention quand même à son petit trou, qu’elle lui a dit, au ‘va-t’en pine’, tu l’as si grosse !

Alors je lui dis que j’allais m’en occuper de son tendron… .

– Je vais lui dégripper gentiment la moniche… Si elle veut bien. Elle va sûrement aimer (telle mère, telle fille !) , et de là elle aura tant de plaisir, qu’à me tromper de trou elle n’y verra que du beurre ! Elle va même en redemander… (Comme sa mère).

… J’en ai dessalées plus d’une avant la noce (Décidément je fais de ces rêves !… ) . Des Nanas qui voulaient apprendre le métier pour ne pas décevoir le mari. (Très attentionnées ces Dames… qui du coup sont très sages et n’ont pas de mal à ouvrir les jambes et sont bien contentes de passer sous le mari après un bon rodage !). … ..

Allons, revenons à notre brebis… c’est si bon de rêver tout en se branlant !

– Voilà… fais comme elles… ouvre-bien les jambes. Oui, en grand… Que c’est beau !… Tu en as une bien jolie craquette, le sais-tu ?

Elle est nacrée et fraîche comme un bouton de rose qui vient de s’ouvrir… Et charnue comme une moule de Bouzigues… C’est divin et ça doit être goûteux, j’en ai les papilles qui frémissent !

Mais tu manques un peu de rosée, alors laisse-toi faire, avec ma langue je vais l’approprier ta jolie chatte… Humm que c’est bon… et ne te voilà-t-il pas toute trempée, et déjà un peu salope! (Elle tient bien de sa mère !).

Oui ouvre-toi, tu aimes, Tu sens comme c’est bon. !

Il faudra lui apprendre à ton mec… ça se prépare une Nana. Quelques coups de langue, tu vas sentir comme ça fait du bien à ta foufoune… et puis ça aide au passage, tu vas voir !…

Une bonne lapée à ton petit trou du cul, ça aussi c’est bon !… c’est si coquin en cet endroit.

Et je lui mets la langue au cul…

Alors elle fait l’offusquée… Oh juste un peu… elle serre la fesse la coquine un peu comme on serre les lèvres avec gourmandise quand on suce une bonne glace … mais elle se dégage mollement… mais si mollement que j’ai le temps de lui enfoncer ma langue bien profond dans l’anus… Elle dit :

– Humm ! ( en ouvrant son cul).

Bof, ce n’est pas terrible un cul de jeune mariée… ça sent l’eau de Cologne… la fleur de lys c’est pour plus tard… Puis viendra le bâton de berger !… (Dans bientôt une petite odeur mâle et des séquelles amoureuses ajoutées à quelques audacieuses négligences, vont apporter à ce coin béni, du piquant et beaucoup d’attrait à quiconque y mettra son bout du nez).

Elle fait la grimace !

– Ah pardon je t’ai choquée… excuse- moi… Mais tu sais, ce n’est pas fait que pour faire caca ce trou-là … Elle me regarde avec des yeux plus curieux que dégoûtés.
– C’est vrai que c’est encore bien fragile pour être visité se petit trou-là !
– Ton cerveau n’est pas encore prêt. Il va te falloir un peu de temps, mais pour le cul ce sera l’affaire de ton mari, n’est-ce pas ! (Tu lui réserves, c’est normal, tu es une chouette Dame, mais prends garde à son impatience).
– Pour l’instant on va se contenter de ton calisson… ouvre grand les jambes et ta fente d’amour, comme je te l’ai expliqué.
– Et hop !… Tu vois bien avec un peu de mouille ça passe tout seul !
– Waouh ! Que c’est bon ! Tu crois qu’il va savoir faire aussi bien que ça mon Nono ?
– Bien sûr qu’il va savoir-faire… tous les hommes savent faire avec des Dames bien sages… Il te faudra le sucer auparavant… viens je vais t’apprendre…

Et elle suce la bonasse… comme elle suce bien ! (c’est moi qui me branle !).

En effet, plus je rêve et plus je me branle, et plus je me branle, plus j’ai envie de la baiser la coquine.

Elle remonte ses genoux jusqu’au cou, la gourmande. Quel fameux spectacle que sa craquette fendue entre ses blanches cuisses et ses gros nénés qui pointent tout en haut ! (Quand ça chauffe tout en bas, ça bande un peu plus haut… ), tu as de jolis tétons !

Putain, je ne tiens plus les gars ! Je me branle comme un fou, je vais l’user mon andouillette ! J’ai bien dégagé mon prépuce et j’ai le gland fier comme un fer de lance !

Ça y est (J’y reviens) , je la baise, je ne peux plus me retenir, je jouis comme les fontaines du palais de Versailles…

Elle crie ma gourmande, je ne lui fais pas mal… la preuve :

– Baise-moi plus fort qu’elle s’écrie !

Alors je tire tellement sur ma queue que je jouis

Oh bonté divine je gicle de partout, en l’air, au plafond, mais aussi sur le tapis… Qu’est-ce qu’elle va dire demain la femme de ménage !… (Ce n’est pas grave, elle me connaît et je vais bien la dédommager, c‘est une bonne aide-ménagère celle-là ! c’est du cru ! Elle ne porte jamais de culotte… ça aide quand ma femme a ses ‘choses’… Oups !).

C’est une fin de rêve qui ne se termine trop vite… Je me vide les couilles… mais putain que c’est bon !…

Quant à la jeune mariée de mon rêve, elle s’est évanouie… Concrètement j’ai son souvenir dans le creux de ma main… C’est tout !

Mais tout de même, c’est un peu maigre!…

Hé Ernestine ! Demain tu peux venir, je suis seul à la maison… alors ramène ton cul, on va se faire du concret comme tu aimes !

Ah, les mecs… je devine plus d’un affamé, en train de se taquiner le sac de billes.

Et des lectrices qui aimeraient prendre place dans mes rêves ! (toutes des Salopes !… Oups !).

Allez, bande de crapules, masturbez-vous.

Ça fait du bien.

01/10/2023

 

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Une réponse à Tant va le Temps… Tant va le Cul… 025 – Je rêve… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Peut-être moins délirant que les précédents épisodes, mais c’est toujours agréable à lire

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