Marielle par Sanieptia

MARIELLE
par Sanieptia

1
J’ai connu Marielle il y a longtemps. On était tous les deux passionnés par les choses du sexe. On se posait beaucoup de questions sur le sujet et l’on se disait – un peu bêtement – que l’on pouvait se «guérir» en explorant ce côté de notre personne. On n’avait pas lu Freud, on avait juste retenu que la sexualité était quelque chose de profond en nous, et que cette dernière était liée la plupart du temps à nos diverses névroses.

Elle était repartie ensuite à Montréal, chez elle, et moi j’avais mis ma créativité au service de publicitaires qui payaient grassement mes quelques éclairs de génie. Elle avait fait un riche mariage mais avait continué ses études et fait carrière – elle occupait une position importante dans le monde de l’art. La passion du sexe et des lettres nous unissant, on ne s’était pas perdus de vue. On s’était écrit, en relatant aussi bien nos fantasmes que nos expériences réelles. Ayant un travail à faire en Amérique du Nord, j’avais très envie de la revoir. Je lui avais fait une proposition qu’elle avait accepté : je serai accompagné d’un collègue auquel j’avais envie de faire découvrir les joies d’un certain «sexe», elle serait «soumise», à notre service le temps d’une soirée.

2
Habillée de façon très chic, Marielle nous ouvre sa porte. Son appartement est vaste, richement décoré. Je pense aussitôt que si elle gagne bien sa vie, son ex-mari doit être aussi diablement fortuné. De sa terrasse agréablement boisée, on voit le Saint-Laurent, mais aussi si loin à l’est, que l’on ne peut s’empêcher de chercher l’Atlantique au loin. Le tout en plein centre ville.

Marielle nous indique le bar pour nous désaltérer, le réfrigérateur et toutes choses dont nous pourrions avoir besoin. Elle nous quitte sur ces mots, agrémentés d’un sourire : «je vais me préparer». Je regarde ma montre. Dans quinze minutes, c’est convenu, je la rejoindrai pour déposer une touche finale au tableau.

Je demande à Bruno ce qu’il a envie de boire. Nous optons tous les deux pour du vin rouge. Un cru du Beaujolais. Nos verres tintent mais le goût nous surprend. Extrêmement boisé, trop, à se demander quel genre de fût a été utilisé pour marquer autant ce vin.

Je pars rejoindre Marielle.

Elle est prostrée, le cul en l’air, la tête dans un coussin. Ses bras sont allongés le long de ses jambes repliées. Ses mains gisent à côté de ses pieds, paumes tournées vers le ciel, avec son superbe cul au-dessus. Une véritable offrande. Je me saisis d’un ensemble de quatre bracelets de cuir épais et brun. Je relie ses chevilles à ses poignets. Je la contemple – son cul surtout – avant de retourner au salon.

Bruno est avachi dans l’immense canapé, son verre à la main, rêveur. Il doit penser qu’il est bien ici, qu’il aimerait bien avoir un appartement comme celui-là, même si le sien n’est pas si mal. Je le sors de sa rêverie en tendant mon verre vers le sien. Ils tintent pour la seconde fois.

Je me promène, regarde les bibelots et œuvres d’art qui ornent le salon, et tombe en arrêt devant une minuscule tête de Giacometti. Un fil tout droit sorti des entrailles de la Terre grâce à la magie de ce sculpteur hors normes. Je vérifie, il s’agit bien d’un original. Une chose extrêmement rare dans la mesure où la majorité de ces oeuvres minuscules ont été détruites. Elles rapetissaient inexorablement au cours de leur élaboration, jusqu’à devenir infimes, jusqu’à devenir rien. «La salope ! Ne puis-je m’empêcher de m’exclamer, elle est si riche que ça !» Et je deviens jaloux… «Si j’avais autant d’argent moi aussi…» mais je me reprends. Je commence de me connaître et dois admettre que pour le pour le même prix, pensant à ma Z3 défraîchie, je préfèrerais m’acheter une Ferrari – comme un abruti. Je laisse là mes mauvaises pensées pour revenir à Marielle, à Bruno qui attend probablement pour la voir.

Elle n’a pas bougé d’un millimètre – comment le pourrait-elle ? – nous la contemplons. Merveilleuse créature à notre service. Nous écartons ses fesses pour mieux voir. Son sexe coule. Une grosse larme gluante lui recouvre déjà le clitoris. Bientôt, elle atteindra son pubis. A voix haute, je dis :

« C’est parfait ! La situation semble lui plaire ! Laissons la patienter encore un peu, ce sera encore meilleur ! »

Et je lui tape affectueusement le postérieur comme j’aurais pu le faire avec une jument.

Bruno regarde le fleuve en face, il ne semble pas préoccupé plus que ça par les choses du sexe.

« T’as une envie particulière, concernant Marielle ? Lui demandé-je. »
« Non. Je crois qu’on va la baiser. »

Quel poète !

Je lui propose d’aller la retrouver. Je ne voudrais pas la faire souffrir inutilement. J’ai peur tout à coup que ses genoux lui fassent mal, ou son dos, ou ses poignets. Je tiens à ce que cette soirée reste un moment de plaisir partagé.

Nous sommes presque intimidés maintenant qu’il est l’heure de passer à l’action. Nous lui ouvrons progressivement les fesses. Sa bave d’escargot a coulé un peu plus bas. Elle frémit quand Bruno effleure son sexe pour recueillir ce lubrifiant naturel, quand il l’étale sur son petit trou à moitié ouvert, relâché par le fait même de sa position. Ce dernier se contracte sous la caresse, mais apprécie, se détend à nouveau. Il reste dilaté, les «lèvres» à moitié sorties comme s’il allait sortir de cette «bouche» un beau rondin de merde. Bruno continue de la masser, sans entrer, imprimant seulement une pression suffisamment forte pour que la belle, en se tortillant, finisse par lui aspirer les doigts. Mon pantalon est descendu sur mes chevilles. Je me branle en appréciant le savoir-faire de Bruno. Marielle mouille abondamment, gémit dans l’oreiller, se cambre, pousse et ourle son trou qui a envie d’être pris.

Bruno se lubrifie à nouveau les doigts sur sa chatte, sans oublier au passage de lui comprimer et de lui branler le clitoris, ce qui la fait râler un peu, contracter et ouvrir son cul. Enfin il pointe deux doigts sur l’ouverture, et entre sans difficulté. Il est ravi et surpris :

« La salope ! Fait-il en me regardant… ! »

Et il se met à la baiser avec deux doigts. Lentement au début, puis de plus en plus vite, comme il le ferait avec sa bite. De temps en temps, il reste profondément enfoncé en elle, tourne ses doigts, explore.

Je suis prêt à jouir déjà, mais je me retiens, pour ne pas précipiter la fin du jeu. J’enlève ma main de ma queue et me contente de jouir avec les yeux. Il retire ses doigts pour se lubrifier encore. Il lui en met trois maintenant, sans difficulté, en douceur mais fermement.

« Quel cul, maman, quel cul, s’exclame-t-il ! Elastique ! Profond ! Propre ! T’as vraiment trouvé une super salope ! »

Je me demande comment où il est allé chercher sa mère dans un moment pareil ? Mais j’apprécie sa dextérité, sa main qui tourne et retourne dans le cul de Marielle, sa façon de lui masser le clitoris avec le pouce tout en la pilonnant. Marielle crie presque maintenant. Il est temps d’arrêter.

Je fais signe à Bruno.

« Ne t’inquiète pas, nous n’allons pas l’abandonner comme ça ».

Et je lui montre le plug que je viens de me procurer dans la malle.

« Avec ça (l’objet doit avoisiner les six centimètres de diamètre) elle aura des sensations en notre absence. »

Marielle respire bruyamment, pousse un cri mais laisse passer l’objet. Son cul se resserre sur le pied de cet étrange champignon.

Le Beaujolais destiné aux pupilles d’Amérique du Nord étant terminé, on choisit un «Bordeaux» californien qui s’avèrera bien meilleur. Bruno n’en revient toujours pas :

« Quel cul ! Continue-t-il de répéter, quel cul !… » Alors que l’on regarde couler doucement le Saint Laurent sous le ciel gris.
« Combien de temps lui faut-il rester abandonnée avant de pouvoir jouir à ta copine ? me demande-t-il, parce que moi, je vais pas pouvoir rester longtemps dans cet état ! »
« Attends un peu, ça fait à peine une heure qu’on joue. »
« Tu crois qu’il y a des phoques là-bas ? »

Je le trouve rigolo de passer du coq à l’âne comme ça, et je l’aime bien pour ça.

« Des phoques ? Pourquoi pas, en plein hiver. »

Et j’imagine de petits points noirs à l’horizon sur la banquise. C’est très beau. Un peu irréel compte tenu de l’industrialisation du coin, mais très beau.

« Tu veux manger quelque chose pour patienter ? »
« Son cul ? »

Je ne le trouve pas drôle à cause de son impatience. Pour le distraire, je lui montre le Giacometti, lui explique que cette tête d’épingle est aussi belle et immense que le paysage avec les phoques, plus belle qu’une Ferrari. Il la regarde comme une merde à cinq dollars, qu’il aurait pu obtenir dans un vide grenier, et même pour cinq dollars, il ne l’aurait pas achetée, ce genre de truc ne le concerne pas.

– On va la baiser ?

Nous nous dirigeons vers la chambre.

« Je me ferais bien sucer avant, dit-il. »
« Pas de problème, elle est là pour ça. »

Je vais chercher dans la malle de quoi lui réveiller le cul. Je choisis une spatule de cuir rigide qui devrait ravir ses belles fesses.

« Fais-toi sucer, lui dis-je, je vais lui ranimer le postérieur pendant ce temps. »

Et je me mets à lui claquer les fesses pendant qu’il lui tire la chevelure pour engouffrer sa bite.

« Frappe-la fort qu’on l’entende ! J’ai envie qu’elle me suce et qu’elle crie en même temps ! »

Je ne suis pas un spécialiste du fouillage mais fais de mon mieux. Sa chair vibre sous les coups, rougit, mais Marielle reste silencieuse. Je frappe plus fort. Plus lentement. Son cul s’assombrit. Il faut que je la cingle vraiment durement pour lui arracher un cri. J’y parviens. Ménageant l’effet de surprise, essayant de frapper quand et où elle ne s’y attend pas. Elle crie à chaque fois maintenant. Mais Bruno fait encore des siennes : il atténue l’effet de surprise en la tirant par les cheveux chaque fois qu’il me voit prêt à abattre la spatule. Il attend que le coup tombe pour étouffer son cri avec sa bite.

Je commence d’être sérieusement excité moi aussi. Ces hurlements où se mêlent douleur et plaisir me tournent la tête, ainsi que la vision du cul cramoisi de Marielle, presque bleu par endroit ; de voir Bruno aussi excité aussi.

Je décide de remplacer le plug par ma main. J’enduis celle-ci de gel lubrifiant et après avoir ôté le plug, enfonce délicatement quatre doigts jusqu’où je peux.

« Tu crois qu’elle avale ? Parce qu’il est hors de question que je jouisse comme ça si elle n’avale pas. »
« Te fais pas de soucis, lui répèté-je, elle est là pour ça. »

Et il me revient en mémoire quelques uns des meilleurs passages des confidences de Marielle sur le sujet.

Bruno se remet à son affaire, rassuré. Et moi je la pilonne méthodiquement, forçant à chaque fois en fin de course pour l’élargir plus encore.

« Qu’est-ce qu’elle suce bien la salope, souffle Bruno, je vais partir… »

J’en profite pour intensifier mes coups de boutoirs, en prenant bien soin à chaque fois de lui écraser le clitoris avec mon pouce, de plus en plus rapidement, jusqu’à ce que Bruno brame comme un cerf, jusqu’à ce que Marielle avale son sperme et se mette à crier elle aussi.

Ma main glisse doucement hors de son cul.

Nous la laissons récupérer, ficelée, immobile.

3
Après un brin de toilette, je retrouve Bruno au salon. Il est affalé, la queue molle, la chemise ouverte. Il mange un sandwich débordant de salade. Je me sens seul tout à coup, je n’ai pas joui, je me demande si je dois laisser Marielle dans la position où elle est, si elle souffre. Le Bordeaux est le bienvenu, me fait du bien. Je m’envoie moi aussi un gros sandwich que Bruno a préparé. Après une seconde rasade, cela va encore mieux. J’ai de nouveau les idées claires, et décide d’aller voir Marielle.

Doucement, je m’approche, lui caresse les cheveux.

« Ca va ? »
« Continuez… me dit-elle. »

Je lui embrasse la tempe. Sa sueur est délicieuse. Je m’éclipse.

Encore du vin, encore un sandwich.

Je décide d’aller chercher Marielle maintenant. Je la détache, lui fais sa toilette avec une lingette, visage, sexe, fesses. Je la coiffe les cheveux en avant pour cacher son visage. Je lui demande d’enfiler un soutien gorge qui ne laisse dépasser que ses auréoles. Avec ses escarpins vernis, elle n’est plus qu’un corps perché sur des aiguilles, une poupée, une sculpture vivante. Je lui dis d’attendre. Au salon, j’installe un tabouret en face de Bruno. Marielle m’attend dans la chambre, debout, sagement. Je prends dans la malle un nouvel objet.

Nous faisons notre entrée et la queue de Bruno se réveille immédiatement.

Je demande à Marielle d’écarter les jambes au-dessus du tabouret, de s’asseoir doucement.

Doucement parce que je tiens verticalement le manche court et épais d’un martinet qui est sensé lui entrer dans le cul. Le contact avec l’objet ne la surprend pas. Elle s’ajuste, s’enfonce. Le plus courtoisement possible ensuite, je lui demande :

« Tu veux boire quelque chose ? »
« Un Perrier, s’il te plaît. »

Je lui sers un grand verre. Elle boit. Elle en demande un second. Qu’elle vide d’un trait. La queue de Bruno est au garde-à-vous ; la mienne n’a pas vraiment dégonflé.

« Je peux aller aux toilettes ? »
« Non ! Fait une voix autoritaire, avant que mon esprit ne comprenne ce que veut Marielle. Tu n’as qu’à pisser ici, ajoutè-je, cela nous fera un spectacle supplémentaire. »

Je débarrasse rapidement la coupe à fruits des fruits qu’elle contient avant de m’arrêter brusquement.

« Pourquoi pas après tout ? »

Et je demande à Marielle de se lever et d’écarter les jambes au-dessus du tabouret.

« Tu vas pisser sur les fruits, lui dis-je en déposant la coupe encore à moitié pleine sur le tabouret. Plie un peu les jambes. Voilà, tu peux pisser maintenant. »

Marielle éclabousse les fruits dans la coupe. Son liquide doré rebondit jusque sur la table et finit par recouvrir partiellement les fruits. C’est beau de la voir se vider ainsi, de voir son sexe ouvert par ce jet puissant. Bruno est médusé. Il se branle. Je recueille les dernières gouttes sur mes doigts, les porte à mes lèvres, avant de débarrasser la coupe du tabouret.

« Rassis-toi, maintenant. »

Je décroche un raisin de la grappe, le plonge dans sa pisse et le porte jusqu’à ses lèvres. Le fruit glisse à l’intérieur de sa bouche. Elle le mange. Je lui en donne plusieurs comme ça, avant de me faire lécher les doigts pour les nettoyer.

« Marielle, fait soudain Bruno d’une voix distinguée, cela ne vous dirait pas que nous prenions une douche tous les trois ? Que nous fassions l’amour le plus simplement du monde dans votre lit ? »
« Non, répond Marielle, catégorique ».

Bruno, qui n’aime pas qu’on lui résiste, lui dit alors sèchement :

« Retournez-vous alors. Mettez vous à quatre pattes. Je veux voir cette queue d’animal qui sort de votre cul ! »

Marielle s’exécute.

« Philippe ! Toi qui connaît la maison, va me chercher un gode de belle taille que je m’occupe de cette folle ! »

Je ne connais pas très bien la maison mais je sais déjà quel objet que je vais choisir.

Quand je reviens, les fruits humides gisent sur la table. Bruno a déposé la coupe sur le sol et Marielle, à quatre pattes, lape sa pisse. Je me rends compte que j’ai oublié quelque chose. Je retourne dans la chambre. Il s’agit de pinces aux dents acérées auxquelles sont attachés des poids relativement importants. Je les fixe aux mamelons sensibles de Marielle en lui arrachant, par deux fois, un cri bref suivi d’un long râle. Ayant oublié le gode, je retourne dans la chambre et à mon retour Bruno me regarde avec de gros yeux semblant me dire :

« Tu es sûr que ça va ? – signifiant : tu as toute ta tête ? »

Le gode que je transporte mesure à peu près 50 centimètres de longueur sur huit de large. Je lui réponds moi aussi avec un regard :

« Tout va bien ».

Il s’empare de l’engin, quelque peu désarçonné, le lubrifie et le présente devant le sexe de Marielle. Seule sa tête en forme d’ogive parvient à entrer. Il retire l’objet, tente à nouveau de l’enfoncer. Mais il n’ose pas forcer. Je lui refais ma tête qui dit « Tout va bien », et j’ajoute, toujours avec les yeux, quelques conseils du genre : « Douceur et fermeté. Laisser sa petite chatte s’habituer. Ne pas céder. Se faire confiance et dominer la situation. »

Bruno s’enhardit, ose enfin. L’engin passe et Marielle hurle autant de plaisir que de douleur. Et déjà, quelques secondes plus tard, elle est heureuse. Elle secoue sa croupe de plaisir, se cambre comme si elle se faisait prendre par la bite de l’homme de sa vie. Elle râle, expulse le gode-martinet que nous avons le bon goût de ne pas remettre en place, trop heureux que nous sommes de voir son petit trou dilaté, déformé par l’énorme chose qui la prend en dessous. Bruno est parfaitement à l’aise maintenant, il la baise avec application comme si cette bite de cheval était la sienne. Je me branle en les regardant.

Je ressens une joie immense quand Marielle se met à crier. Bruno n’en revient pas de la puissance de son orgasme. Il continue de la baiser comme s’il était amoureux, en tentant de faire sortir de la gorge de Marielle tout ce qu’il est possible de faire sortir. Je suis prêt à éjaculer sur le dos de Marielle mais je ne le fais pas, trop captivé que je suis par sa jouissance – dans un état proche de la béatitude.

Marielle disparaît dans la salle de bain. Bruno et moi rangeons un peu. Une demi heure plus tard, elle réapparaît, toujours aussi belle, chic, pimpante.

Nous sortons tous les trois une partie de la nuit comme si rien ne s’était passé. Nous parlons de tout et de rien entre gens bien élevés, mangeons et buvons avec plaisir. Nous nous séparons bons amis vers deux heures du matin.

Le lendemain, me rendant à nouveau compte que je n’ai pas joui, que je n’en ai pas ressenti de frustration, je me dis que je suis peut-être un peu voyeur, un peu cérébral, un peu bizarre.

Ce récit à eu l’honneur d’être nommé Prix Spécial SM pour 2007

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2 réponses à Marielle par Sanieptia

  1. Voisin dit :

    Ce machin a obtenu un pris, je rêve, c’est complétement déshumanisé, c’est qui cette nanan, une poupée gonflable ? Et puis les digressions sur le pinard et sur Giacometti qu’est-ce qu’on en a à cirer ? Ça me let en colère quand je lis un texte comme celui-ci

  2. Poulbert dit :

    « Et je lui tape affectueusement le postérieur comme j’aurais pu le faire avec une jument. »
    Rien que pour cette phrase je note 5/5

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