Esclave pour couple 2 – fin de soirée par edozw

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DE NOMBREUX PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Voici un essai de suite pour le texte « esclave pour couple » de Wanda Lee puisque les instigateurs, Isabelle et Cédric, laissent ouvert cette possibilité de suite…

Au sortir de la douche dont nous avions bien besoin, Dany nous a tendu des peignoirs, blancs bien épais et tièdes et nous sommes redescendus vers la salle à manger où la table était mise…

J’ai proposé à Dany de l’aider mais elle m’a dit que tout était préparé et qu’elle n’avait qu’à faire chauffer les plats, je l’ai suivi dans la cuisine attenante et elle m’a posé des questions assez précises et perverses, je dirais, sur ce que nous venions de vivre… Je lui confirmait le plaisir que j’avais pris et réservais mon opinion quand à Cédric à qui je préférais parler avant… tout en lui assurant que je pensais qu’il avait pris un pied assez fort lui aussi (je le connais mon mec.. rire). Quand Mario est arrivé elle lui a demandé d’ouvrir une bonne bouteille, ce qu’il a fait, et nous nous sommes retrouvés tous les quatre à table.

Un repas très sympa, drôle, avec de bonnes chose à manger (Dany est une fine cuisinière) nous avons ri… parlé de sujets très divers et parfois assez loin du SM… pas moyen pour nous de nous lever et d’aider en cuisine… C’est toujours Dany ou Mario ou les deux en même temps qui allaient chercher ce qui manquait ou qui allaient préparer la suite… Je regardais Cédric du coin de l’oeil avec la ferme intention qu’il me raconte plus tard ce qu’il a ressenti dans les situations assez inhabituelles qu’il a vécu…

Une soirée vraiment agréable, mais dont je ne soupçonnais pas vraiment la suite.

A un moment inattendu j’ai senti Dany, que je n’avais pas vu disparaître, s’approcher dans mon dos et me remettre le collier que j’avais enlevé pour me doucher… j’en ai eu un petit choc amusé et elle s’est penché vers moi très tendrement en murmurant à mon oreille :

– « Enlève ton peignoir Salope, la soirée n’est pas terminée… Tu veux du dessert ?… Tu vas goûter une recette maison !!! »

J’ai tourné la tête vers elle pour lui montrer mon sourire et elle en a profité pour m’embrasser avec beaucoup de tendresse, d’excitation même.

Elle a remis son collier à Cédric qui avait vu ce qui se passait entre nous et qui s’attendait à ça, bien sûr.

Pendant ce temps, Mario avait débarrassé la table de tout ce qu’il y avait dessus, laissant la nappe dégagée et demanda à Cédric d’y monter et de s’y mettre à quatre pattes, le cul tourné vers lui…

« Vous n’avez jamais mangé de ce dessert là ! C’est une spécialité maison, une invention de la « patronne » spécialement pour vous !! »

Je restais un peu interdite sur ma chaise, regardant Mario peler une banane et réalisant qu’aux moments où ils étaient tous les deux dans la cuisine, ils avaient dû se mettre d’accord sans que nous les entendions…

Dany était toujours derrière moi et me demanda très doucement de branler la queue de mon mari qui était, de fait, à portée de ma main…

Quand Mario commença à enfoncer la banane froide dans son cul, je senti sa queue réagir dans ma main… Dany, elle, avait saisit mes tétons qu’elle serrait et tournait avec beaucoup de détermination. Mario allait doucement pour de pas écraser le fruit, mais le cul de Cédric, déjà ouvert par les jeux précédents ne semblait pas trop serrer… Mario fit un certain nombre d’aller et retour assez lents avec un sourire sans équivoque et puis, quand il le jugea bon, il enfonça la totalité du fruit gluant dans le cul de mon mari dont ma main, toujours branlante, sentait une solide érection.

Dany me fit lever, prendre une assiette à dessert dans un placard, la poser par terre et me mettre à quatre pattes devant… Mario fit descendre Cédric de la table et le fit accroupir au dessus de l’assiette en lui ordonnant de pousser sans excès pour ne pas abîmer la présentation…

J’étais aux première loges pour voir doucement descendre « mon dessert » comme disait Dany, du cul de mon mari vers l’assiette, un objet un peu lustré, brillant, luisant, entaché de sombre et mélangé de ce qui restait de merde dans le cul d’Eric… Quand l’objet entier fut tombé dans le récipient avec un bruit mou, Dany le recouvrit de chantilly en bombe en me disant :

« Tu vas adorer ça, salope; mais la bienséance veut qu’on attende que tout le monde soit servi pour commencer à manger. »

Je n’ai pas mis longtemps à sentir une sensation froide sur mon anus et comprendre que j’allais contribuer à fabriquer le même dessert pour mon mari, dans les mêmes conditions et c’est ce qui fut fait. J’ai dû, tout comme lui expulser le fruit doucement dans une assiette et je n’ai pas pu me retenir après la sortie, d’un petit supplément échappé par mégarde et qui allait faire qu’il serait mieux servi que moi… pardon Cédric… j’espère que tu vas aimer.

Mario et Dany, nous firent placer cul à cul à chaque extrémité d’un double dong en s’amusant de cette façon originale de copuler pour un couple :

« La salope et le pédé… ça vous plaît j’espère, il vaudrait mieux pour vous, c’est comme ça que vous devrez baiser quand vous êtes avec nous, désormais ! »

A partir de ce moment là, j’ai un peu perdu de vue ce qui arrivait à Cédric, je ne l’entendais plus, je sentais seulement des mouvements de recul assez violents qui enfonçait le gode dans mon cul, en me disant qu’il y allait un peu fort.

De mon côté, si je peux dire, Dany s’était aperçue que, soumise aux mouvements forcés de mes hanches, je ne pouvais pas déguster en même temps le contenu de mon assiette. Elle s’est penchée vers moi, a très gentiment empoigné mes cheveux pour éviter qu’ils trempent dans le mélange, et pris la banane qu’elle a enduite au maximum de ce qu’il y avait dans l’assiette pour la glisser dans ma bouche et me la faire sucer comme une bite. Plus ses gestes étaient doux et plus les choses qu’elle susurrait à mon oreille étaient obscènes.

 » J’ai d’autres recettes pour toi, bouffeuse de merde, la prochaine fois il y aura moins de banane et beaucoup plus d’autres ingrédients, pas la chantilly, bien sûr (elle riait), tu vas adorer ça ! »

A l’autre bout, plus de nouvelles de Cédric, pas un bruit, des insultes de Mario que je n’entendais pas très bien, c’est après qu’il m’a raconté que Mario lui avait rempli la bouche avec la banane et ma merde mélangée en lui demandant de ne pas avaler, puis avait réduit tout ça en purée en pilonnant avec sa bite dans la bouche de mon mari… difficile de s’exprimer forcément… et j’ai compris que c’était ces assauts violents qui se transmettaient jusqu’à mon cul par l’intermédiaire du double dong.

Je voyais la chatte de Dany accroupie devant mon visage, elle se branlait d’une main pendant que l’autre faisait aller et venir la banane dégueulasse dans ma bouche, j’étais excitée de tout ! De ce qui se passait dans mon cul, de ce qui se passait dans ma bouche et du sexe de Dany, luisant, laissant même couler des gouttes devant mes yeux…

Et puis Mario a poussé un cri bref, j’ai compris qu’il jouissait, j’ai su plus tard que c’est à ce moment là que Cédric avait dû avaler la bouillie qu’il avait dans le bouche, mais Dany n’était pas satisfaite pour autant et plutôt très excitée…

Elle a dit un truc un peu abstrait du genre : « Maintenant, je le fais, je veux le faire… » à l’adresse de son mari, je pense ou plutôt à elle même.

Elle nous a fait dégager du dong et coucher sur le dos de façon à ce que nos deux visages soient côte à côte…

Puis elle s’est accroupie au dessus de ma bouche qu’elle m’a demandé d’ouvrir, j’ai vu son cul s’approcher de mon visage en se dilatant doucement, un bout d’étron apparaître au centre, et alors que toutes les cellules de mon corps m’ordonnaient de fermer la bouche… à mon grand étonnement, je l’ai ouverte avec excitation, et sans savoir pourquoi je cédais à son désir et j’ai senti cette chose chaude traverser mes lèvres, toucher ma langue et envahir ma bouche, forcer toutes les barrières de mon dégoût et je crois bien que j’ai joui.