Ma petite vie gay 1 – Mon bel anniversaire à moi ! par Emmanuel_2

 

Ma petite vie gay
Mon bel anniversaire à moi !
par Emmanuel

J’avais un peu-énormément planifié cet intermède, voulant absolument me faire un anniversaire béton ! Et donc, après un long et indolent voyage, arrivée sur la côte bretonne. Une super soirée, matelas au coin du feu et face à la mer dans les bras d’un beau rouquin que j’avais rencontré (et aimé furtivement sur l’ancienne banquette de la salle télé) au sauna.

Nous avions juste échangé nos téléphones au cas où et il a répondu présent à ma demande d’hébergement. Je lui avais dit n’accepter que s’il pouvait me baiser toute la nuit des mille façons qu’il connaissait… et il avait bien ri de ma prétention et m’avait assuré que son sexe était déjà raide dans son pantalon !

Avant, un petit apéro sandwichs, nus et l’un sur l’autre et ses mains qui me fouillent pendant que je le suce, la bouche pleine de jus de fruit glacé. des parlottes insouciantes et entrecoupées de baisers et caresses, des léchouilles recto-verso, des rires gras tout en tentant de faire rentrer un surimi dans le petit trou de l’autre avec les lèvres; des huitres que, bouches collées, on s’échangent avec la langue, un Hot-dog plein de crainte, le sexe placé entre deux tranches de pain de mie, les longues sucées, le sexe irrité par la mayonnaise moutarde et qui ne se calme qu’avec la langue. Bref un diner d’anniversaire incroyable et « exhib-jouissant ».

Nuit chaude et ravissante avec vers 2H une petite insomnie, et un trop plein d’énergie ; me voila debout contre les baies vitrées glacées à admirer la mer laiteuse sous la pleine lune givrée ; et lui qui se lève et se plaquant à mon dos m’entoure de ses bras et de sa chaleur et nous emmaillote tous deux bien serrés dans la couette; puis qui introduit délicatement son sexe brulant de désir en moi avant de le bouger tout doucement. Long plaisir décuplé par toute cette atmosphère de fantaisie où de grenouille on devient amant insatiable. Puis toute la nuit de la baise avec son corps qui ne me quitte qu’un instant pour aller chercher un verre d’eau ou aux toilettes.

Mon cul complètement épanoui de tant d’hommages qui ne fait que crier son désir d’encore-encore ; et toutes les cellules de mon corps qui se gavent de caresses et de massages. Puis le petit matin, un rapide thé-croissant nus l’un contre l’autre et moi qui ne me lave pas pour garder sur moi son odeur de rouquin et de sperme mélangé à notre sueur. Juste les dents, pour le confort ….

Un micro string pour prolonger le plaisir avec la ficelle qui agace mon anneau trop gonflé, un jean que je peux à peine fermer et un gros polaire sous lequel il engloutit les mains pour me caresser les tétons. Et puis bisous et on se quitte, lui, partant au boulot, les cernes sous les yeux, moi l’esprit liquide et le cul brulant qui rêve de prendre la place du cerveau.

Une longue matinée dans les vaps, l’esprit absent et jouisseur une promenade solitaire et carrément égoïste le long de la plage et ramassage de coquillages et petits cailloux. Un gros morceau de bois tout rond-lisse que je place discrètement dans mon cul à l’occasion d’un rocher qui me cache.

Et la promenade toute douce et longue avec l’impression d’un gros sexe en moi qui me gratte les fesses et fouille le cul à chaque pas. Puis trop excité par tout ce bonheur une halte entre deux gros rochers, le pantalon et string descendus rapidement sur les chaussettes et une douce branlette avec en écho le bout de bois qui me visite le cul avec des ondes de plaisir. Quelques mouettes qui rient de moi et un long plaisir, le sperme se mélangeant au sable.

Une courte pause plaisir à moitié assoupi, le sexe mouillé bavant sur mes cuisses et le bout de bois bien fiché au fond de moi Je prolonge mon petit plaisir en le coulissant tout doucement un long instant, bien à l’abri dans ma caverne de rochers. Puis, comblé, je le retire laissant mon cul bien ouvert et brillant de jus se calmer. Quelques minutes insouciantes le bercement de la mer, puis re-fringue, la ficelle du string a peine supportable et dans les vaps, je continue ma ballade avant d’arriver à un petit bistrot en bord de plage vers 16 heures.

Tout seul dans la salle du bar et me réchauffant le corps au coin du feu, un polar à la main je sirote lentement un chocolat chaud avec moustaches de chocolat en prime, le corps et l’esprit absents.
Puis le barman qui vient en face de moi et me draguouille en me faisant ses yeux dorés. Sous la table il a négligemment placé un pied entre mes jambes et le message est on ne peut plus clair.

Pleins de sourires et rires de parts et d’autres, mon sexe qui se gonfle, mon cul qui crie de désir. Moi, qui, au détour d’une phrase, lui lâche furtivement

« J’en ai envie aussi …ca vous dit » et pas le temps de ravaler ma honte que déjà il se lève, et m’entraine dans son arrière boutique.

Parmi les boites, packs de canettes et bouteilles ; Il descend son jean avec son kangourou sur ses chaussettes et son sexe raide jaillit littéralement vers moi. Il est prêt d’exploser et tout humide de chaleur. Il est tout beau et le gland est déjà hors de sa cachette. Il se branle, les yeux exorbités. En vrac, des caresses furtives et rapides, moi qui le pompe rapidement et qui lui écarte les fesses pour tenter d’y rentrer mes doigts et lui qui explose tout aussi vite. Je n’ai même pas eu le temps de descendre mon jean. Petite consolation il a passé sa main sous ma ceinture et m’a enfilé l’index bien au fond dans mon petit trou. Il se calme et je le suce délicatement en le flattant délicatement des lèvres, chaque goutte de son sperme devenant mon cadeau d’anniversaire. Puis des caresses, papouilles, sa main qui me tripatouille un peu et moi qui lui caresse les fesses et le petit trou du bout des doigts.

Puis encore sur ma faim je baisse jean et string et me retournant me penche en levrette, les mains en appui sur les packs d’eau; mes fesses grandes ouvertes et mon petit trou encore gonflé, rouge et entrouvert ne lui laissent aucun doute sur mon envie. Ravi de cette aubaine il se branle et cherche à se la faire raide.

 » Tu peux y aller, ca doit rentrer facile », je lui dis.

De fait, mon petit anneau objet de tant de sollicitations ces jours ci est très facile à ouvrir et son sexe un peu mou accompagné d’un de mes doigt y pénètre aisément. Là, il entre directement tout au fond puis se met à me pilonner, d’une main je le caresse et lui manipule les boules .ses testicules très gros me font penser qu’il doit être en manque depuis un sacré temps et que je vais être rempli de jus! Du rythme entrecoupé de pauses, sa respiration bruyante et d’un coup il se colle violemment à mes fesses et avec des soubresauts et un long cri se vide littéralement en moi, m’écrasant les fesses comme si il voulait se faire engloutir.

 » Reste un peu au fond » je lui dis.

Haletant il se love sur mon dos, le sexe bien au fond de mon cul. Je le sens tressauter régulièrement .Long moment de confiance, d’abandon et de chaleur. Il fait quelques doux aller-retours de plaisirs en se calmant.

Puis il se retire doucement et au moment de ressortir reste là, le gland posé sur mon anus ; je sens son jus brulant couler doucement entre mes fesses et le long de mes jambes. D’une main gourmande je le recueille et le lèche sans en perdre une goutte insistant sur celui qui goutte de mon petit trou resté ouvert. Lui se baisse et me lape lentement l’entre-fesses, sa langue s’insinuant profondément dans mon petit trou puis il me caresse négligemment le sexe de sa main. Puis tranquille ré-habillage, moi, le suçant longuement, avide des quelques gouttes le long de sa tige et sur sa toison et le pompant du jus resté dans sa bite, un doigt lui titillant l’anus. Puis de la main je lui place délicatement le sexe et les boules dans son slip, tandis que lui m’embrasse tendrement les cheveux. Je remets comme je le peux mon sexe tout gonflé dans mon string, le gland et la moitié de la tige dépassant de la ficelle, puis je remonte tant bien que mal le jean et la fermeture impossible. Tant pis ça ira comme ça.

Puis, retour en salle. Ouf il n’y a toujours personne ! Insatiable j’avale doucement les restes de son délicieux sperme restés en bouche en le faisant passer tout doucement avec le reste du chocolat (jamais vu quelque chose d’aussi délicieux !!). Lui qui s’assoit prés de moi et se colle à moi en me communiquant sa chaleur, calmé mais si tendre ; je l’embrasse à pleine bouche, les lèvres toute collantes de son jus.

Une main ouvrant sa braguette, je place ma main sur son sexe et le masse doucement au travers du tissu. Lui a glissé sa main sous mon polaire et l’a introduit entre la ceinture et mes fesses. insolemment on discute de pédé et de baise et de sa difficulté à le vivre dans ce coin perdu; de ses voyages dans une grande ville pour baiser à mort quand il n’en peut vraiment plus, de ses branles quotidiennes seul dans son lit à mater des vidéos ou des photos de cul ;de ses copains qui se rendent visite et tirent rapidement leur coup mais qui n’osent pas rester coucher la nuit de peur du qu’en dira t’on… des conversations de bar et des connards qui cassent du pédé. Puis on se quitte après une longue et amoureuse étreinte et de ma part une ultime promesse d’envoi de photos de cul bien crues et de revenir bientôt. Direction, mon hôtel de ce soir et après, la douche méritée (et nécessaire car je commence à sentir fortement le sperme…).

Pendant une heure, cocooning dans le lit, un peu de sieste insouciante .Un réveil le sexe bandé et le cul en émoi, tout excité à péter les plombs, je ne peux que me donner de longues et tendres caresses à mon point G chéri avec mes doigts et gagner ENFIN cette explosion de plaisir si rarement obtenue. De mes doigts je recueille tout ce que je peux de cet autre jus plaisir et le lape avec délectation. Petit cadeau plaisir personnel pour mon anniversaire. Puis sortie avec ma frangine chérie, des crêpes-cidre délicieuses au coin du feu, des conversations insouciantes-confidences en veux tu en voilà mais pas un murmure sur ma petite vie de gay profiteur. Des absences en plein milieu de conversation en revoyant le sexe de mon barman ou des bouffées de plaisir en me souvenant de mon amant-cadeau de ma nuit de rêve Et puis retour tardif à l’hôtel avec le cœur et le corps bourrés d’hormones. Une douce et chaude nuit nu et détendu, ma coquette érection du petit matin, la longue et délictueuse vague de plaisir que j’en retire et mon jus qui me barbouille les lèvres et le menton. Puis toilette-soin de mon petit corps si aimable de m’avoir offert tout ca et tranquille retour à la civilisation.

Bon anniversaire mon petit corps chéri !

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Une réponse à Ma petite vie gay 1 – Mon bel anniversaire à moi ! par Emmanuel_2

  1. Foxenberg dit :

    Du bon gay

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