Peut-être un ange ? par Orlandho
J’ai été pendant un an, garçon de restaurant, durant mes études. Un restaurant, à la cuisine traditionnelle, avec le patron en cuisine. La clientèle est surtout composée d’habitués. Je me souviens tout particulièrement d’un soir où j’ai vu arriver deux belles et grandes femmes. L’une d’elles, une blonde aux cheveux courts ne m’était pas inconnue. Elle venait souvent, mais rarement avec les mêmes personnes. Elle était difficile à oublier car elle est toujours vêtue d’une longue jupe ample et d’un chemisier largement ouvert sur une splendide poitrine. L’autre, une brune aux grands yeux foncés m’était tout à fait inconnue. Comme à chaque fois, je propose de les débarrasser de leurs manteaux. De fait, ma cliente blonde était vêtue d’une jupe couleur blanc cassé fermée par des boutons, et un chemisier à fleurs. L’autre était vêtue d’une jupe portefeuille foncée et d’un pull.
La soirée était déjà avancée, et je pris directement la commande. Comme à chaque fois, qu’elle était là, je ne pouvais m’empêcher de plonger mes yeux dans son décolleté. C’est toujours à ce moment-là qu’elle croisait mon regard et surpris, je me sentais devenir pivoine. Elles semblaient avoir bien le temps. En leur servant le café, je vis que l’un des pans de la jupe avait glissé et laissait apercevoir une jambe galbée gainé d’un bas résille.
Comme elles étaient ma dernière table et que la soirée touchait à sa fin, elles m’ont proposé de prendre un verre, je me suis donc assis à leur table, la blonde se prénommait Sylvie et l’autre Anne mais ça je ne l’appris que plus tard dans la soirée. On s’est mis à discuter de tous et de rien. Comme elles n’avaient pas l’air pressées et que mon patron en cuisine voulait fermer, je leur proposais d’aller prendre un dernier verre ailleurs. Elles acceptèrent.
– Et ce dernier verre, si on le prenait chez moi ? Me proposa Sylvie.
Je n’allais pas refuser. Curieusement elle me fit monter à l’avant de sa voiture.
Avant de mettre le contact, elle eut le geste de dévoiler complètement sa jambe droite.
– Ça te plait ? Me demanda-t-elle d’une voix suave.
Elle me jetait des regards malicieux.
– Tu peux me la caresser !
Alors, j’ai posé discrètement ma main sur son genou. Elle s’est laissé faire. J’ai donc remonté le long de sa cuisse. Elle desserra un peu les jambes. Je suis arrivé sans difficulté juste au-dessus du bas. Je sentis sa chair quand Anne dit derrière nous :
– Tiens notre petit serveur a les mains baladeuses.
Surpris, je voulus retirer ma main, mais Sylvie plus rapide plaqua la sienne sur la mienne en disant :
– Arrête, idiot, tu n’es pas bien là ?.
Ma main remontait vers l’intérieur de la cuisse jusqu’à sa culotte… et…
– Oh !
Je retirai prestement ma main, je venais de tâter un pénis de bonne taille. Sylvie était donc une transsexuelle.
Elle se mit à rire aux éclats, c’est communicatif parce que Anne rigola aussi, pas moi ! Elle met le contact, et va pour démarrer, et moi je ne sais pas comment me sortir de ce guêpier.
– Mon invitation tient toujours ! Me dit Sylvie avec un merveilleux sourire.
Un sourire si merveilleux que ma résolution de les quitter au prochain arrêt, s’émoussa considérablement, quelque part j’avais envie de cette expérience.
La voiture stoppa au feu rouge. Sylvie m’enlaça et me roula un patin. Je bandais. C’était cette fois décidé, j’irais jusqu’au bout.
Arrivé à l’immeuble où habitait Sylvie, nous sommes sortis de la voiture. Elle logeait dans un appartement au 4° étage et nous nous sommes engouffrés en riant dans le minuscule ascenseur. Nous étions coincés les uns contre les autres. J’en profitais pour me serrer contre Sylvie. Elle cambra les fesses et ne put ignorer l’état dans lequel j’étais. La soirée s’annonçait du plus belle augure. Elle nous fit entrer et nous installa dans un salon agréable, mit un disque d’ambiance pendant qu’Anne s’éclipsa. J’étais assis dans un profond fauteuil et pour arriver au bar Sylvie devait passer devant moi. Je la pris par les hanches et le renversa doucement sur mes jambes. Elle riait en faisant semblant de se débattre et je décidai de l’embrasser. Sa bouche était de la lave en fusion. Elle m’aspira. J’en profitais pour partir à la découverte de ses seins. Je défis les boutons de son chemisier et me mit à les caresser. Ces seins que j’avais tant lorgnés. Ils étaient pareils à deux pommes bien fermes avec deux minuscules tétons que je sentais s’hérisser sous mes doigts.
– Alors vous deux, on s’amuse bien !
C’est Anne qui nous regardait en souriant. Elle en avait profité pour se changer. Elle avait passé une longue chemise qui lui descendait à mi-cuisse et dont les premiers boutons étaient ouverts. Je pouvais voir la naissance de deux petits seins bien fermes.
– Je peux jouer avec vous ? Demanda-t-elle avec de grands yeux coquins.
Je les regardais tour à tour, interloqué. Elles se mirent à rire. Anne s’est mise à mes genoux et a enlevé mes chaussures avant de s’attaquer à mon pantalon. Pendant ce temps, Sylvie après avoir enlevé son haut et son soutien-gorge me fit cadeau de ses seins. Mes mains essayaient d’être partout à la fois. Je sentis la bouche d’Anne autour de ma queue. Elle l’engloutit avidement. Quelle suceuse !
Moi, j’avais glissé deux doigts dans la culotte de Sylvie qui gémissait à côté de moi. J’en extirpais sa verge tendue que je voulais regarder de plus près !
– Alors, ça te plait ?
Je ne savais pas si ça me plaisait, mais ça me fascinait.
– Tu peux caresser !
Je ne voulais pas la décevoir alors comme dans un rêve, je caressais ce membre viril, ce membre masculin d’une créature féminine. De façon quasi automatique j’imprimais à ce bel organe quelques mouvements de masturbation
– Mais c’est qu’il me branle bien, notre petit serveur ! Dit-elle.
– Humm, je crois qu’il a envie de te la sucer, mais il est un peu timide, il n’ose pas demander. Reprit Anne
Oh, le piège, pas envie de faire ça ! Comment le dire ?
– Je vais vous faire un aveu, c’est la première fois avec une transsexuelle, alors c’est un peu nouveau, je suis un peu perdu…
– Mais ce n’est pas grave, on va t’aider ! Me répond Sylvie.
Je ne m’en sortirais pas !
– Donne juste un petit coup de langue, tu vas voir comme c’est doux ! Me suggère Anne
Elles savent y faire, ce doit être l’un de leur trip d’embarquer des non-initiés.
– Allez, tu ne le regretteras pas ! Renchérit Sylvie.
Alors j’approche ma langue de la bite de la grande blonde, je donne le petit coup de langue demandé, m’étonne d’avoir fait une chose pareille, et quand elle me dit de continuer, je continue, j’ai maintenant sa bite dans la bouche. La sensation est surprenante et je dois dire bien agréable, je suce, je me régale. Je sais aussi, que ce que je suis en train de faire va me marquer à vie, moi l’hétéro pur et dur, je suis en train de lécher une bite… mais comme elle me l’expliquera plus tard, ce n’est ni un homme, ni une femme que je suce, c’est autre chose, un troisième sexe, peut-être un ange !
Je suçais et j’étais sucé, mais la position devint assez vite inconfortable ! Qu’importe, elles se levèrent et m’entraînèrent dans la chambre. Un grand lit bas devant lequel Anne releva sa chemise, se mit à genou, la croupe dressée au-dessus de son pénis, ainsi elle aussi était transsexuelle, je n’aurais pas cru. Sylvie me prit la queue et la plaça contre l’anus de sa copine. Le temps de prendre une capote et je n’avais plus qu’à me laisser glisser en elle. Sylvie se colla derrière moi pendant que je baisai Anne et m’introduit délicatement un doigt dans le cul.
Je savais donc comment se conclurait cette folle partie de jambes en l’air. Je ne sortirais qu’ici que dépucelé du cul ! J’étais prêt !
La nuit allait être longue et délicieuse.
Puisqu’on vous dit que les anges existent ! LOL
Un excellent récit trans ! très bandant
Ce superbe récit m’a provoqué une superbe érection ! Merci Orlando !