Ma petite vie gay 7 – Ma petite chérie – Noël à Strasbourg – partie 2/2 par Emmanuel_2

Ma petite vie gay
7 – Ma petite chérie – Noël à Strasbourg – partie 2/2
par Emmanuel_2


Un peu interloqué, il me faut quelques minutes pour faire le calme en moi et taire mon désir de la rejoindre dans la cuisine. Finalement, je rentre dans ma chambre, me douche tout doucement et me caresse longuement en mettant de la crème car elle (il) m’a mise en émoi; puis après avoir embrassé tendrement le sextoy offert par Marie-amour, je me couche toute nue comme d’habitude, la porte entrouverte, juste poussée, attirante.

Petit à petit la maison devient silencieuse, je l’entends entrer dans une pièce, prendre une douche puis plus rien. Je me colle au traversin et embrasse le tee-shirt portant l’odeur de Marie. Je suis complètement en manque du corps de Marie, de ses caresses du soir, de ses doigts qui me faufilent tendrement en moi et y restent dans mon sommeil. Mon esprit et désir dérivant vers mon hôtesse, je me dis que j’ai tellement envie d’elle, qu’elle vienne me voir, qu’elle me caresse, qu’elle me donne du plaisir, j’ai envie de « lui », je voudrais qu’il me comble de bonheur, je sens son odeur qui est restée collée à ma peau. En me caressant le sexe et l’anus tout doucement je sens monter son parfum qui s’est substitué au mien, du moins je le ressens comme ça. Finalement la tête remplie d’étoiles, de collages, de dessins, de couleurs, de beauté, d’odeurs, de caresses je m’endors d’un coup.

Un trop long moment plus tard dans un demi-sommeil, je devine qu’elle entre dans mon lit, sans bruit ; Je ne bouge pas. Elle pose imperceptiblement son corps brûlant contre mon dos. Je sens ses petits seins se poser sur mes omoplates. Son pénis est tout chaud et me chatouille agréablement les fesses mais semble ne pas vouloir passer en érection. On reste comme ça un long moment .Nos corps se frôlent au rythme de nos respirations, je sens mon désir descendre dans mon bas-ventre. Il a juste délicatement déplacé sa main sur mes fesses avec un doigt tout contre mon anus. Mon cul en attente de sa visite, mon sexe mouillé, mes fesses brûlantes se sont ouvertes dans l’attente du plaisir mais elle/il ne bouge pas. Je me retourne doucement pour l’embrasser et elle m’accompagne en me présentant son dos. Un peu déçue mais opportuniste, Je me colle à elle, lui caresse les petits seins avec douceur, place une main sur son pénis. Il est tout petit mais si doux que je ressens une joie incroyable de pouvoir ressentir pareilles sensations. Je pose amoureusement ma bouche dans son cou et me laisse entrainer au plus profond de son odeur, mélange de parfum, de cheveux, de corps, de sueur et même (leurre de mon désir ??) de sexe

Son sexe est d’une incroyable douceur, si soyeux. Doucement je lui place une main sur la raie des fesses qu’elle écarte petit à petit. Comme pour Marie je glisse ma main entre ses fesses, un doigt posé sur son petit trou, les autres autour des ses testicules. Et on reste comme ça, sans rien faire, juste dans la paix partagée. Elle s’endort et imperceptiblement je glisse ma main en arrière, pose l’index sur son anus et tout doucement entre en elle crevant du désir de la faire jouir. Mon autre main, par-dessus sa hanche, caresse imperceptiblement son pénis. Il enfle puis se raidit un petit peu, et mes douces et lentes caresses semblent lui procurer un immense plaisir. Son sexe si calme, si chaud, si tendre, il ne me fait pas peur comme ceux des hommes et je visite ainsi délicatement chaque repli de peau, retrouvant le tant aimé bourgeon de Marie dans son gland, les douceurs des lèvres de son sexe dans les replis de peau, l’inexorable et identique désir de leur anus de m’accueillir tout au fond. Je me risque à peloter imperceptiblement ses bourses, mes doigts si habitués des sexes féminins étonnés de trouver là des boules généreusement gonflées. Les larmes aux yeux, je ne me lasse pas de frôler ce sexe, de ressentir ce bonheur inouïe que procure le sommeil de l’autre. Je l’entends qui soupire de plaisir, qui rêve avec des petits claquements de lèvres, des choses comme des petits baisers, des murmures de bonheur, des râles de plaisir. Je sens bien qu’elle apprécie mes caresses et mon doigt bougeant tendrement en elle car ses fesses collées à mon pubis ondulent doucement. Son plaisir a décuplé mon envie et sans bouger je sens mon sexe qui s’ouvre dans l’attente d’être possédée. Et puis un peu de jus brûlant qui coule doucement de mon sexe, qui me baigne de douceur, qui mouille ses fesses appuyées tout contre moi .Mon odeur de jouissance m’enveloppe entièrement et se mélange à son parfum. Et puis soudain je ne peux plus résister à tant de sollicitations. Sans mouvement je jouis en longs et puissants flashs qui traversent mon corps et irradient de couleur mon esprit. A peine si j’ai contracté mon doigt en elle et si ma main a saisi son pénis un peu plus durement. Je sens mon jus couler doucement de mon sexe et ne bouge plus, goûtant cette paix et ce bonheur.

Je reprends mes esprits, brûlante de bonheur, de plaisirs, de jouissances. Elle dort toujours, ondulant contre moi imperceptiblement. Je déplace ma main tout doucement de son pénis vers ma chatte, récupère toute ma liqueur, en lèche un petit peu en pensant à mon amour pour Marie et replace ma main sur son sexe, le caressant imperceptiblement de ma main pleine de jus. Elle ne bouge pas, toute à ses rêves. Je sens quelques gouttes de sueur rouler sur son dos et sur mes seins. Gavée de jouissance, je recueille ces gouttes de sueur du bout de la langue et embrasse son cou tendrement. Puis la fatigue me prend et repue de plaisir je m’endors collée, ne faisant qu’un corps avec elle, rêvant d’étoiles colorées, de caresses volées, de sexe que je suce…

Dans mes rêves je sens de longues caresses, des baisers lascifs dans le dos, des caresses imperceptibles sur mes seins, des doigts qui me taquinent les tétons, d’un doigt qui entre tendrement dans mon anus et me masse l’intérieur tout doucement. Je rêve de corps brûlant qui se presse contre moi, de sexe qui se glisse entre mes fesses, de main puis de doigts qui m’entrouvrent et entrent en moi, de jus brûlant qui inonde mon anus, de jouissances infinies, de râles d’amour. Puis l’impression que des doigts agiles me pénètrent, s’enfoncent au plus profond de moi, m’ouvrent; que des mains de velours sculptent les formes de mon corps, me poussant inexorablement vers la jouissance. Puis dans un rêve coloré je rêve de mon corps qui se déchaîne, de mon sexe qui se tend, qui s’ouvre comme des lèvres et qui voracement englouti un gros objet brillant et rouge baignant dans une aura de jus doré. Je rêve de mon anus béant et avide qui bat la chamade sous les baisers et caresses d’un chat angora dont la queue longue et soyeuse me fouille inexorablement irradiant des éclairs de plaisir dans tout mon corps. Puis c’est une explosion de couleurs, la sensation de n’être plus que plaisir, jouissance, de ne plus être qu’un sexe qui crache son jus de tous ses orifices.

Puis le rêve se calme, le corps qui reprend son espace, petit à petit les sensations qui se précisent .Dans mon rêve je sens mon sexe toujours empli de doigts, mon corps qui se prélasse contre un autre corps, mon entre fesses qui accueille un doigt ou un sexe mou, mon petit trou qui retient un autre doigt. Je me sens baignée de douceur par un mélange d’odeurs de parfum capiteux, d’odeurs plus lourdes de corps échauffés et de l’odeur poivrée de mon précieux jus que je reconnais et qui me rassure.

Finalement je sombre corps et esprit dans cette chaude atmosphère de plaisirs. Un peu de mouvement, une chaude et longue suite de baisers lascifs sur toutes les parties de mon corps, une bouche indiscrète, des lèvres brûlantes, une langue de soie qui caressent et mordillent mes seins, se faufilent entre les lèvres de mon sexe, auscultent longuement et sans vergogne mon petit trou adoré entre mes fesses, puis un peu d’air frais et un réveil qui sonne quelque part, des miaulements, un bruit de douche. Je me détends, gorgée de sensations, le corps empli à craquer de douceur. Entre mes fesses des petits reflets brillants, des tâches sur le drap me rassurent sur mon rêve. J’embrasse ces tâches, les lèche toute au désir de recommencer sans fin. Finalement je me lève, me douche, crème et pomponne. L’esprit liquéfié descendu dans mon sexe et le corps gorgé de désirs.

Négligemment j’ai enfilé un minuscule string en dentelle et ficelle de soie et un aussi minuscule tee-shirt et me suis rendue dans le salon pour le petit déjeuner.

Surprise ! Il est là, vêtu en homme, coiffé en queue de cheval très viril, en costume-cravate, le même grand sourire espiègle; un bisou sur la bouche, il pose doucement les mains sur mes épaules, m’embrasse tendrement, laisse descendre tendrement ses mains le long de mon corps, mon corps qui s’arcboute de désir vers lui, le sexe ouvert dans l’attente de caresses.

Détournant les yeux des miens il s’éloigne de moi avec un sourire il me dit de m’asseoir là et me sert un petit déjeuner -thé-fruits frais-pain grillé. Puis il s’assoit, se glisse tout contre moi corps à corps. Sa chaleur, son odeur, son allure m’excite et je sens le désir de mon sexe inondant le cm² du string raidement tendu entre mes lèvres, les seins durs, mon petit trou palpitant contre la ficelle du string. Je le regarde, le pénètre des yeux, fais un geste vers lui, rêvant déjà qu’il me fouille de ses doigts. D’une caresse il arrête mon geste, me prend la main, me regarde tendrement, me sourit avec affection, et me dit :

 » Merci de m’avoir compris. J’ai adoré cette soirée et cette nuit de charme. Tu sais je n’ai plus vraiment de plaisir comme avec mon vrai sexe d’homme et je ne sens pas encore prête – oh pardon prêt ! – pour avoir du plaisir en pénétrant quelqu’un. Je regrette de ne pas t’avoir donné du plaisir d’homme cette nuit, même si j’ai joui mais je sais que tu peux le comprendre.  »

Tout ça en me souriant, une paix autour de lui, un charme fou. Son léger parfum qui pourtant m’entête. Je lui réponds immédiatement :

« Tu ne peux pas savoir tout ce bonheur que tu m’as donnée depuis hier soir. Je suis en quête de bonheur, pas que de plaisir, et cette nuit restera pour moi un morceau de paradis « .et je l’embrassais vivement, lui laissant un peu de confiture sur les lèvres.

On a rit, puis ensemble on a dit :  » faut qu’on y aille !  »

Je me suis rhabillé dans un nuage, laissant son odeur sur mon corps, gardant ma culotte pleine de mon jus baigner mon entrejambe pour me rappeler que je n’ai pas rêvé.

Dans l’ascenseur, je l’ai observé, homme, très beau à faire tourner les têtes, viril, sûr de lui, miroir de la belle femme d’hier soir mais infiniment plus en phase avec sa nature d’homme, avec le même sourire mais cette fois complice, avec ses mains si douces devenues énergiques sur la poignée de sa sacoche. Sa poitrine avec ses seins menus disparaissant dans la veste comme absents, ses fesses un peu (délicatement) moulées dans son pantalon, rien ne montre la belle femme qu’il devient le soir ».

Sur le trottoir, il me fait un bisou au coin de la bouche, me pince la taille et en me fixant les yeux

–  » Fais bien attention à toi et aimes la vie comme moi je l’aime! « .

Puis l’air de ne pas y toucher :

 » Penses un peu à moi aussi de temps en temps….  »
Et en éclatant de rire, il part à grande enjambées me laissant là, les pensées chamboulées, la tête emplie d’images de beauté ….

Bon allez, on se remue ! Et, le sac sur l’épaule, je suis partie visiter les marchés de Noël de Strasbourg !

Mais toute la journée je la revoyais, elle, si belle si attirante sans comprendre qui, de lui ou d’elle, m’avait apporté tant de bonheur et de jouissance.

Sous mes mains je continuais à sentir ses petits seins et son sexe si mignon contre mes fesses, ses doigts sur et dans mon sexe. Et puis je sentais mon jus sécher petit à petit puis le tissu raidi de ma culotte gratter mon petit trou et entre mes lèvres mon sexe crevant encore de désir pour ses doigts. Puis n’y tenant plus je suis allé aux toilettes d’un café et les mains dans ma culotte, je me suis masturbé violemment et le sexe et le petit trou, violentant mes seins, m’écartant les fesses comme pour recevoir une bite de taureau, expurgeant toutes mes fluides dans une apothéose de plaisir. Puis j’ai retiré ma petite culotte mouillée de mon jus parfumé, constellée de gouttes de pipi odorant et tachée des petites traces indiscrètes du tendre plaisir de mon petit trou. Je l’ai embrassée tendrement, léchée de plaisir puis fourrée dans ma poche pour respirer le plus fréquemment possible cette odeur chaude et capiteuse de mon plaisir.

Bref … un merveilleux cadeau de Noël en sorte !

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *