Ma petite vie gay 8 – Ma petite chérie – Luz et nos plaisirs par Emmanuel_2

Ma petite vie gay
8 – Ma petite chérie – Luz et nos plaisirs
par Emmanuel_2


Comme promis, Emmanuel chéri, voila donc la plaisante aventure qui nous est arrivée, à Marie et moi, l’an dernier. Je ne sais pas bien raconter mais comme toi je garde bien les détails de tout ce qui se passe et maintenant les odeurs de pain provoquent en moi un petit pincement au ventre. Tu comprendras pourquoi en lisant la suite…J’ai également mieux compris ce besoin fréquent de me sentir bercée par Marie….

Milles baisers. Ils ont encore un petit goût de Luz et de Marie chérie mais je sais que tu apprécieras …

Ta petite chérie


Ça a commencé de façon très drôle…Tu sais le week-end du 1er mai quand il a fait si chaud à Paris.

Vers midi on était, Marie et moi, en  » amoureuses-langoureuses-alanguies » sur les bords de Seine à regarder passer les péniches aux environs du Pont Marie .On se tripotait bien un tout petit peu et on était habillé un peu slim et très light du fait de la chaleur mais rien de bien provoquant. Tu nous connais …

Une petite jeunette blonde et rondelette, (très) bien en chair dans son jean serré et le chemisier un peu beaucoup tendu sur ses formes  » généreuses  » s’accoude tout près de nous et regarde comme nous les péniches.

Une touriste de plus on se dit. Mais elle s’est soudainement penchée tellement qu’on a eu peur qu’elle ne passe par dessus le parapet et voilà Marie chérie qui la saisit par la taille et la tire vers elle. La fille se retourne, rigole et nous dit « no panic » ou un truc comme ça en anglais. Marie qui la tient encore par la taille est toute rouge de confusion. Je lui adresse mon sourire spécial  » plaisir des sens  » et me met à rire aussi. Ensuite c’est le tour de Marie et on s’esclaffe toutes les 3 comme si on était copine depuis toujours.

Ensuite, bien sûr, on essaie de discuter avec notre anglais approximatif et elle avec le peu de français qu’elle a dû apprendre à la fac. En fait c’est Luz et elle vient de St Paul aux US pour quelques jours.

Bref. On va boire un pot dans un troquet du Marais avec elle et durant la discussion je sens un pied qui remonte le long de mes chevilles puis de mes cuisses. Je dis à Marie

–  » coquine, t’as envie de quoi ??  »

et elle de répondre

– » et toi pourquoi tu me fais du pied « .

On se regarde, on soulève la nappe et on voit les deux pieds de Luz sur nos jambes et elle avec un petit sourire malin et plein de désir dans les yeux qui nous fixe l’une et l’autre…Bref on finit nos verres dans une atmosphère très différente, plus chaude et nous trois qui nous trémoussons du cul sur la banquette les sens un peu échauffés.

Marie me dit au bout d’un moment :

–  » tu veux qu’on se fasse une partie d’amour avec elle ? Tu en as envie ? Moi oui !  » ;

J’ai mis quelques secondes à répondre car j’adore les petits gabarits et petits seins et fesses et me retrouver avec toute cette chair me mettait assez mal à l’aise.

Marie a insisté en faisant l’enfant gâté :

– « Allez, dis oui. Tu dois essayer pour comprendre ce que tu aimes car avec moi c’est trop facile ! Je corresponds à ton type. Tu verras à nous deux et elle ça devrait être passionnant. Regarde sa poitrine, imagines sa belle peau de blonde et ses fesses qui vont t’engloutir ! Allez fais moi plaisir ! On y va ?  »

Finalement je me suis laissé faire car Marie semblait excitée comme une puce et je me suis dit que ça lui ferait une expérience. Depuis qu’on vivait ensemble elle n’avait eu pratiquement que moi et d’autres corps et des sensations différentes devaient lui manquer.

On se fait comprendre (facilement) de Luz et nous voila parties à l’appartement de Marie, Luz semblant trouver ça naturel et Marie chérie se trémoussant, passant son bras sur la taille de Luz, mettant sa main dans la poche arrière du jean de Luz, me faisant les yeux doux et me touchant sous n’importe quel prétexte. En fait j’étais très excitée moi aussi de voir Marie comme cela et ça me rappelait notre premier contact au rayon lingerie des Galeries Lafayette quand c’était moi qui mouillais dans l’attente de ses caresses.

A l’appartement, dès l’entrée, Marie s’est déshabillée en jetant ses fringues sur le chemin vers la chambre et toute nue s’est jetée sur le lit en riant comme une folle. Luz, un peu surprise, a retiré ses vêtements un par un en nous regardant .Je m’étais assise sur le lit et en la regardant dévoiler une à une les différentes parties de son corps j’ai été surprise de voir qu’elle était bien en chair mais que ses seins, cuisses et fesses étaient fermes. Nue, debout, les vêtements épars autour d’elle, elle m’a regardée avec désir, et moi aussi je me suis mise nue assez doucement. Marie, coquine absolue, très contente de voir comment ça se passait, en a profité pour caresser les fesses de Luz avec son pied en dévoilant toute son intimité avec une belle impudeur.

On s’est retrouvé toutes les trois sur le lit, Luz entre nous deux. J’ai pris mon temps pour détailler les moindres parcelles de son corps pendant que Marie se laissait caresser par Luz. Celle ci enveloppait Marie, la palpant partout, lui passant les mains partout sur le corps. Ses seins imposants semblaient l’étouffer et l’une de ses cuisses passée au dessus des fines hanches de Marie paraissait l’engloutir. Je me suis reculée un peu pour jouir du spectacle de Marie complètement dans un autre monde qui feulait comme une chatte et qui se tortillait en ouvrant ses cuisses et son cul aux mains de Luz. La cuisse relevée de Luz me laissait entrevoir un sexe généreux et une raie des fesses très claire. La main de Marie s’activait sur son sexe et son cul, les doigts disparaissant dans l’un ou l’autre. Excitée, Je me suis pelotonnée contre le dos imposant de Luz et tous les souvenirs des câlins douceurs de mon enfance sont remontés brusquement à la surface, toute cette chaleur des couvertures du lit de Maman, ces odeurs de pain chaud des corps.

Mon corps se souvenait de ces tendres matins de dimanche où Maman et moi somnolions dans son grand lit, l’une contre l’autre. J’aimais à la folie ces instants d’abandon et de tendresse que nous partagions insouciantes dans la chaleur des corps et la moiteur de la nuit.

Tous ces souvenirs sont remontés à la surface en une fraction de seconde et mon corps s’est de lui-même collé au dos de Luz pour retrouver ces sensations de tendresse. Finalement je suis restée comme ça, émerveillée, bouleversée la tête dans le cou de Luz, au rythme des vagues de jouissance de Marie et Luz qui se déchaînaient.

Au bout d’un moment elles se sont calmées, repues, Luz s’est retournée, m’a fixée l’air surprise que je n’ai pas participé à leurs ébats. A mon air elle s’est doutée que je n’étais pas dans leur jeu. Elle s’est retournée face à moi, m’a serrée dans ses bras, contre sa poitrine et là j’ai fondu, j’ai craqué avec des larmes mêlées à des petits cris. Elle m’a caressée partout avec une douceur incroyable, sa peau était très douce, et je ne sentais aucun os comme un matelas d’eau .ses seins avaient une odeur de son et son corps dégageait un parfum de pain grillé et de miel. J’ai pleuré quelques minutes et mes larmes coulaient sur sa poitrine, mes petits seins tressautant à chaque sanglot contre les tétons encore dressés de Luz.

Une fois calmée j’ai ouvert les yeux et me suis retrouvée face à ses seins et plus haut ses lèvres et son regard. Derrière elle Marie, inquiète et bouleversée, me regardait avec des pépites dans les yeux. Marie m’a dit :  » je t’aime  » plusieurs fois doucement, a contourné Luz et est venue se lover dans mon dos en mettant sa main entre mes fesses et en m’embrassant dans le cou amoureusement. Ainsi prise en étau je n’ai pu que me laisser porter comme une chiffe molle à leurs caresses, leurs mains se mélangeant sur mon sexe, les seins de Luz caressant ma poitrine et le pubis de Marie me caressant le haut des fesses. Elles ont pris leur temps et avec une lenteur contrôlée m’ont transportée dans un autre monde ou le temps n’existe plus, d’où on voudrait ne jamais revenir. Les gros doigts de Luz me semblaient être des pénis qui m’emplissaient le sexe, les doigts fins de Marie s’inséraient dans mon sexe et mon cul très doucement et de façon tellement naturelle que j’avais l’impression d’être prise par un millier de sexes. Luz m’a embrassée m’a léché le visage, a pris mes lèvres dans sa bouche et s’est collée à mon visage. Ses grosses joues m’ont engloutie et je me suis retrouvée dans son corps, Naturellement mes mains ont saisi ses fesses et mes doigts ont caressés langoureusement l’intérieur de sa raie des fesses et son sexe. Il était encore humide et brûlant de sa jouissance avec Marie chérie et mes doigts se sont introduits si facilement que moi-même j’en ai été surprise. Ça m’a semblé durer des heures .Les vagues de jouissances se succédaient sans que j’arrive à me contrôler. Je ne savais plus qui était sur moi ou en moi et les yeux fermés je me laissais porter. Mon corps enchâssé dans celui de Luz ne m’appartenait plus et le corps de Marie ondulant dans mon dos me berçait. Et puis l’éclatement avec des éclairs de plaisir qui se propagent partout, des mouvements désordonnés pour me désarticuler, les seins de Luz qui me brûlent la poitrine, les lèvres de mon sexe qui sortent de moi pour engloutir les doigts, sexes et autres mains qui me fouaillent, des cris et plaintes, des pleurs aussi.

Et le calme avec des milliers de mains qui me caressent, le matelas du corps de Luz qui me berce doucement, le corps de Marie qui se colle à moi. Un calme avec des bruits de mer comme avec un coquillage. Et le sommeil.

Des rêves de plaisir, des micro jouissance dans les parties intimes, des seins tendus irradiants de bonheur, des ondes de chaleurs sur tous le corps durant des heures. Et puis un réveil tout en caresses, en baisers sur tout le corps, des doux massages et étirements. J’ouvre les yeux Les deux amantes ont profité de mon sommeil pour remettre ça et les lèvres de Marie sont toutes boursouflées, son sexe rouge et gonflé, sa poitrine et ses fesses sont irritées et striées de suçons et traces de doigts. Elles me regardent me réveiller, mes malaxent doucement, me massent, me tirent les membres. Luz s’assoit sur mon pubis, sexe écarté et me fait des doux baisers sur tout le corps. Sa poitrine me caresse quand elle se penche et son pubis choque le mien. Marie lui caresse les fesses en me souriant, elle s’allonge près de moi et on reste comme ça des heures à se caresser langoureusement.

Puis la douche commune avec des doigts qui se mélangent, des crémages réciproques du corps, Désireuse de retrouver mes rêves je m’occupe de la poitrine de Luz, en admiration devant les courbes de ses seins et des tétons couleur de miel. Ils réagissent à chaque caresse et me donne tellement envie que je ne peux que les prendre en bouche. Bref on a passé plein de temps sous la douche à se cajoler car on n’avait pas envie que ça se termine.

Apres on a bavardé, bu du thé et grignoté des petits gâteaux, toutes nues dans l’appartement. Luz ne me semblait plus grassouillette mais pleine de formes douces, ses grosses mains me rappelaient les douceurs qu’elles avaient provoquées en moi, ses seins imposants étaient les oreillers qui m’avaient bercée.

Je l’ai bien détaillée pendant qu’elle bavardait avec Marie et remarquée qu’elle avait une toison toute blonde. Je ne m’en étais pas aperçue avant. J’ai tendu la main et caressé son pubis. Cette toison que Marie et moi-même n’avons plus me semblait douillette, j’apercevais le début de sa fente au travers des poils blonds et en écartant doucement les lèvres son clitoris un peu rouge devint visible. Je me penchais, la léchais du bout de la langue, retrouvant le goût du suc de Marie mélangé aux parfums épicé de la chatte de Luz, la suçais goulument. En riant elle me caressa la tête doucement. Je me relevais et l’embrassais goulûment sur la bouche lui passant sans vergogne toutes les odeurs de nos émois. Je partis me rhabiller car je voulais conserver en moi toute la beauté de cette rencontre d’une après midi.

On se quittait bientôt, avec une vague promesse de se revoir et on se retrouva seules Marie et moi avec une odeur de plaisir flottant dans tout l’appartement .Sans se concerter on s’est jetées toutes les deux dans les bras de l’autre, on s’est embrassées comme le jour de notre rencontre, et on est restées allongées et serrées l’une contre l’autre sur le canapé jusqu’à ce que la nuit apparaisse. Chacune alternativement s’endormant un petit peu ou somnolant tout en sentant les mains de l’autre sur son corps ; bien sûr nos mains et doigts s’attardaient sur les différentes sources de nos plaisir mais juste ce qu’il fallait pour rester dans ce second état de somnolence-plaisir. Partageant notre chaleur et notre amour, on se disait merci pour cette super journée et on laissait nos corps se souvenir des sensations de plaisirs.

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