Ma petite vie gay 11 – le Paradis à Lyon par Emmanuel_2

Ma petite vie gay
11 – le Paradis à Lyon
par Emmanuel_2

En fait tout avait commencé lors d’une soirée avec des amis. Il y avait une dizaine de personnes et je m’étais un peu barbé. J’avais en tête un problème pour terminer un article que je devais rendre la semaine suivante et je n’arrivais pas à me concentrer suffisamment pour avancer de manière significative. En plus des amis avaient squatté mon appartement et à raison d’une petite fiesta tous les soirs, la concentration sur mon article s’avérait difficile (même si cela était compensé par de très agréables nuits de jouissance avec eux …).

Un peu inquiets par mon ennui visible durant cette soirée, des amis m’en demandèrent gentiment la raison. Mon explication fit qu’un jeune mec me proposa de venir passer quelques jours chez lui, dans son appartement, à Lyon,  » pas de problème, tu sais, tu seras seul toute la journée et comme je fais du sport le soir je ne rentre pas avant 22H00. Ca te dit ? » Les autres me dire ensuite, en riant, que ce mec était un super hétéro et aimait étaler sa musculature devant ses amies. » Et donc en conclusion, tu ne feras que travailler ! Veinard ! « .

Après tout il fallait bien que je me raisonne et me mette à fond à ce foutu article, et j’acceptais avec un rendez-vous pris pour dans 2 jours.  » La clé sera chez la concierge, tu feras ce que tu voudras !  »

Et me voila donc dans son appartement 2 jours après. Assez grand, très mignon, très « mec » avec des posters d’athlètes genre bodybuilding sur les murs et très peu de bibelots .Dans le salon un canapé qui doit faire lit et où je pose mon barda. La cuisine super sympa et bien équipée me donne envie d’y passer du temps…. Un petit mot sur la table: « Installes toi dans la chambre, le canapé est complètement défoncé, mets toi a l’aise, je rentrerais très tard… ». A l’idée de me péter les reins sur un clic-clac de merde je n’hésite pas et porte mes affaires dans la chambre. Très mignonne, un super grand lit et tout est bien rangé. Je m’installe donc, renifle malgré moi les draps et y retrouve une des choses que j’aime le plus au monde, la douce odeur parfumée du corps d’un homme. Il y a 2 oreillers et assez de place pour trois.

Après une super journée de boulot, je sors un peu et me fais une pizza rapidos puis rentre vers les 21 heures à l’appart. En fait je m’y sens vraiment bien et me mets à l’aise comme à la maison, nu sous mon jean préféré et tee-shirt gratouillis qui m’excite les tétons. Un peu de lecture puis finalement somnolant je me prends une douche, me caresse comme toujours à la limite de l’orgasme et vais me coucher, nu, non finalement, pour ne pas le gêner, je me mets en micro string (le « Plume de HOM » qui se clip avec un petit aimant ; après tout je n’ai que ça avec moi !) et tee-shirt et en baillant, je m’allonge. Tiens, sur son chevet, des revues de bodybuilders; un peu de lecture admirative pour alimenter mes fantasmes de beaux corps et puis dodo en me rassasiant de l’odeur de ce mec que je ne connais qu’à peine. Mon corps qui demande sa ration quotidienne de jouissance me tarabuste et c’est la bite raide et le cul en attente de jouissances que je m’endors.

La nuit- dans un demi sommeil, le bruit discret de la porte d’entrée; un moment plus tard quelqu’un qui vient dans la chambre, jette un regard sur le lit puis entre dans la salle de bain. J’ouvre les yeux, la cloison de verre me montre une ombre chinoise qui se déshabille puis prend une douche. Celle-ci collée contre la paroi de verre me permet de distinguer chaque partie de son corps tandis qu’il se lave, Durant la phase de savonnage je le vois se masturber assez longuement et les bruits plus sa bite raide en ombre chinoise me mettent les sens en chaleur. Puis il se rince et se pomponne un peu. La lumière s’éteint et rapidement je m’allonge sur le ventre, tête à l’opposée pour ne pas le gêner, en faisant semblant de dormir. Il pénètre dans la chambre et doucement soulève les draps pour jeter un œil sur moi puis se couche de l’autre coté du lit. Je sens son odeur mais ce n’est pas celle chaude, agaçante de désirs et gorgée d’hormones males que j’ai sentie dans son lit, plutôt un truc un peu gras : crème de soin-herbes mouillées, une touche entêtante de géranium ou Nivea. Bizarre !

Un long moment et finalement rien ne se passant, je me rendors tranquillement. Puis dans un demi-sommeil je sens une main se glisser sur mes fesses puis sous la ficelle de mon string et du bout des doigts entrer doucement dans ma raie des fesses. Je ne bouge pas .Il s’est retourné sur le coté vers moi et se masturbe doucement, avec très peu de bruit, juste sa respiration rapide. Comme il insiste (et que mon corps crie de désir!!), je fais semblant de bouger dans mon sommeil, d’un doigt déclenche le clip de mon string et me bascule sur le coté aussi, lui présentant mes fesses ainsi accessibles. Durant la manœuvre il a accompagné le mouvement en laissant sa main entre mes fesses. Rassuré de voir que je dors toujours et qu’il a le champ libre, il se remet à se palucher et posant un doigt sur mon petit trou le caresse tendrement. Moi je fais toujours semblant de dormir, la respiration calme mais la bite raide de désir.

Je l’entends haleter, il bouge un peu et je sens sa bite brûlante se poser imperceptiblement entre mes fesses puis remplaçant son doigt, sur mon petit trou. Il continue à se caresser et les petits soubresauts de son sexe me caressent agréablement l’anus. Je rêve qu’il me pénètre et dans cette attente me décontracte le cul pour avaler sa bite. Le fait que je dorme doit l’exciter au plus haut point. Un peu de liquide lubrifiant sort de son gland et enrobe les contours de mon anus, puis comme il se caresse un peu plus fortement, je sens son sexe pénétrer insensiblement en moi, millimètre par millimètre. Son gland se trouve à peine à l’intérieur et butant sur ma porte des plaisirs, délicatement cherche à l’ouvrir, et mon anus commence tout juste à essayer d’engloutir sa tige. Alors qu’il appuie un peu plus pour entrer plus profondément, il part en jouissance, un peu de son jus perle avec force autour de son gland, le reste de son jus brûlant giclant violemment en moi, pénétrant comme un jet d’eau ma porte entrouverte, me baignant tout le cul d’une douce chaleur. Malgré les soubresauts et ses mouvements désordonnés je ne bouge pas, faisant l’endormi, lui laissant le bénéfice du doute. Durant sa jouissance, l’abondance de son jus et ses soubresauts ont fait pénétrer sa bite au fond de moi et c’est bien lové au creux de mon cul qu’il se trouve maintenant, reprenant sa respiration, sa main qui le masturbait maintenant posée contre mes fesses. Il se calme, écoute, et ne me voyant toujours pas bouger, reste à l’intérieur, fait quelques longs va-et-vient qui me subjuguent de plaisir. Il a peut être envie de recommencer tellement il se trouve bien.

Puis délicatement il ressort, sa bite encore raide me caressant l’intérieur à chaque mouvement. Mon cul encore trempé de son jus est resté un peu ouvert dans l’attente insupportable d’une seconde visite, mais …il soulève délicatement le drap, regarde longuement mes fesses et mon petit trou inondé de son jus, puis s’en va sur la pointe des pieds vers la salle de séjour.

Je me redresse un peu et retire string et tee-shirt qui maintenant me brulent, m’empêchant le plaisir. Allongé comme ça, sur le ventre, le petit trou plein de désir de bite juteuse, le cul baigné de sperme, les fesses écartelées, je somnole et comme j’aime à la folie rester comme ça, je finis par me rendormir, mon esprit flottant également dans son jus. Mon sexe est resté raide entre mon ventre et le drap et chaque respiration me procure une onde de plaisir. Ce soir, je dors au paradis !!!

Un peu plus tard du mouvement et il revient et retirant sans bruits ses vêtements entre discrètement dans le lit. Tout en sommeil je remarque a peine qu’il a un peu sursauté en touchant mon corps lorsqu’il s’est allongé. Et tout à coup mon esprit retrouve son odeur de mec en symbiose avec celle de son lit. Mummm ! Elle me tourne la tête cette odeur de mâle enfin retrouvée. Il colle discrètement son corps au mien et délicatement pose sa main entre mes fesses. Il sursaute un peu en trouvant le sperme baignant ma raie des fesses et il hésite à aller sur mon petit trou qui l’attend impatiemment. Je suis un peu troublé car il vient de me baiser il y a peu de temps et il semble surpris de me retrouver dans cet état.

Finalement il pose un doigt sur mon anneau, s’y insère avec facilité tant je suis resté entrouvert et gras de jus. Il se colle plein d’affection contre moi. Je sens maintenant son corps me posséder de sa musculature et de sa violente chaleur, ses mains pleines d’énergie me caresser, son torse, ses bras m’entourer de leur puissance. Il passe une jambe entre les miennes, et se soulevant se positionne tout au dessus de moi. Délicatement il pose son sexe sur mon petit trou et y introduit le gland. C’est si facile maintenant qu’il a ouvert la voie que c’est sans effort qu’il entre et se love tout au fond. Et doucement, avec force, lenteur, énergie canalisée, comme s’il effectuait des pompes il me possède, fort, puissant, sans faille, chaque mouvement tourné vers le plaisir. Je me sens tellement rassuré que j’accompagne chacun de ses mouvements en moi avec mes hanches, mon corps, mes fesses. Ca dure tellement longtemps que mon corps est devenu un automate de plaisir ! Mon cul s’est agrandi au point de ne plus sentir que des caresses à chacune de ses coulisses. Puis il crie, et je sens son jus me remplir tellement que j’ai l’impression que ça va déborder. Son odeur de mec en chaleur me baigne totalement, m’enivre, et je me soulève le plus que je peux pour le garder au fond de moi .Il s’apaise progressivement, moi lui massant le sexe de mes muqueuses en contractant et le ventre et le cul. Je resserre un peu les fesses et par des mouvements imperceptibles lui masturbe la tige du sexe. Il reste sur moi, en moi, bien au fond et je le sens s’assoupir doucement. Moi plein de son jus, je savoure mes impressions et nos chaleurs mélangées. Au bout d’un moment, il se réveille, m’embrasse la nuque et le cou et nous basculons sur le coté, lui toujours enfoui en moi. Par de longs et tranquilles mouvements de va et vient, il se masturbe longuement sa bite toujours raide dans mon cul. Et on s’endort ainsi l’un dans et contre l’autre, lovés les bras mélangés et sa poitrine berçant mon dos.

Bien sur durant la nuit, je l’ai caressé, léché, sucé le plus que j’ai pu, lui titillant même de la langue et des lèvres le petit trou (après un peu de réticence de sa part…  » Jamais essayé avant … »…parait-il…). Au matin je l’ai sucé longuement parvenant enfin, à lui extirper une autre tournée de son sperme que j’ai longuement gardé en bouche. Une telle quantité à savourer m’a fait planer longtemps. Puis il s’est levé, a pris sa douche, moi en ombre chinoise le voyant se savonner puis doucement se caresser le sexe. Puis sur un adorable  » à ce soir, Ciao !  » il est parti discrètement, fermant la porte au verrou.

Planant et repus de jouissances, j’ai décidé de rester encore un peu au lit et repoussant draps et couvertures de me baigner dans sa moiteur et le parfum enivrant de son corps et de son sperme sur mes lèvres. Sur le dos, jambes écartées, je me suis langoureusement caressé le sexe dressé, les fesses, le cul, extirpant chaque souvenir de cette nuit. Dans la pénombre de la chambre, en pamoison et à moitié endormi, j’ai tout à coup senti le lit bouger et un corps se poser près de moi. » Garde les yeux fermés, restes comme ça !  » M’a dit une voix douce. J’ai senti l’odeur du début de la nuit et à tâtons ai senti un corps de mec, agenouillé près de moi, chaud, désirable. Mais c’était cette odeur bizarre qui me gênait. Puis tout a été très vite, une bouche a englouti mon sexe, des doigts m’ont caressé puis pénétré et je me suis retrouvé en délire de plaisir, arcbouté sur des doigts qui me fourrageaient l’anus. Il m’a retourné comme une crêpe, et m’ouvrant virilement les fesses a positionné son sexe contre mon cul et dans un élan de désir m’a pénétré. Un petit cri de douleur mélangé à la jouissance et lui qui me pilonne, me masturbant le sexe violemment de sa main, faisant de mon corps sa chose à plaisirs. La jouissance ayant annihilé mes réactions, je l’ai laissé faire de moi son trou à plaisir, engloutissant autant que je pouvais sa bite au fond de moi, mélangeant les éclairs de douleur de mes boules malmenés aux ondes de plaisir de mon sexe. Puis en criant il m’a transpercé de son sexe et rempli de son jus en longues et violentes saccades. Moi-même, n’en pouvant plus, ai giclé dans sa main, imaginant son sexe entrer dans la peau du mien au travers de mon corps.

A peine remis de mes émotions il se place au dessus de moi et me prenant par le bras, m’a conduit sous la douche. Là me faisant agenouiller face à lui il m’enfourne sa bite dans la bouche, me faisant « traire « les restes de sperme de sa queue. Puis me dit : » Avec moi tu vas découvrir le plaisir ? « !!!

A peine le temps d’ouvrir les lèvres qu’il me balance  » Tiens!  » et je sens son urine gicler contre mes dents, remplir ma bouche et couler par les commissures de mes lèvres. Puis il ressort sa bite et en long jets brûlants m’inonde le corps, passe rapidement derrière moi et me relevant se met contre mon cul et essaye de pisser dedans. Le cul bien fermé, je résiste et me dégage et il n’insiste pas trop. Ouf ça y est c’est fini ! Il est cinglé ce mec ! Je suis trempé et je pue la pisse Sans faire attention à lui, je me douche avec les jets d’eau brûlante pour me reprendre. Lui s’est collé a moi et de ses mains m’ouvre les fesses. Il saisit la pomme de douche et la colle tout contre mon anus. Surpris je sens l’eau pénétrer en moi et me remplir comme un lavement ; et rapidement j’expurge ce que je sais être le sperme de cette nuit ; lui insiste et c’est tout ce que j’ai dans le ventre qu’il m’arrache en quelques secondes. Lui se complait dans ces miasmes qui maintenant remplissent la douche. Ecœuré je m’extirpe de ses bras et m’enfui vers la cuisine, nu, sale, ne sachant comment me sortir de ce guêpier.

Finalement il revient, penaud, s’excuse de sa brutalité et me dit avoir tout nettoyé. Je retourne avec lui et de fait la douche est nickel. Je commence à me laver et il propose de me savonner.  » Gentiment alors !  » je lui dis en faisant des gros yeux.  » OK pas de PB !  » Et de fait il me savonne amoureusement partout avec des mains douces et juste ce qu’il faut d’attouchement pour m’exciter. Il me pince bien un peu les tétons, me rentre bien un peu le doigt dans mon cul et me masturbe élégamment le sexe ! Mais c’est fait avec beaucoup de soins. Il me rince, prenant son temps puis m’enfourne dans un peignoir et se pressant nu contre moi me sèche tendrement. Il me dit être un copain de gym de TIM et rester coucher de temps en temps sur le canapé. TIM lui avait dit que j’étais homo et que j’adorais le sexe. Lui s’est dit pouvoir en profiter. Mais me dit-il : » c’est la première fois que je fais ça avec un mec, J’aime bien. ». Un peu stupéfait je lui réponds  » si c’est ça que tu appelles « coucher », je plains tes conquêtes féminines. T’es une brute ! Tu n’as jamais cherché à savoir ce que je ressentais. Et puis le truc de se faire sucer a genoux et de lui pisser dessus, ça nous ramène au siècle dernier quand on chassait les homos ». Et tournant les talons je me suis rhabillé vite fait, les larmes de dégoût aux yeux, sans plus faire attention à lui. Puis je suis sorti prendre mon petit-déj au café du coin.

Revenant 1 heure après, je me suis aperçu qu’il était parti, laissant le petit mot qui tue sur le lit :  » Va te faire baiser ailleurs, pédé ! « . Visiblement la leçon a porté mais pas dans le bon sens!
J’ai éclaté de rire et ai balancé le papier dans la poubelle avec rage !

Le téléphone qui sonne, c’est TIM qui me fait sa voix d’ange pour me dire  » merci j’ai adoré pour la nuit et que « si ce soir je veux bien encore, il peut rentrer plus tôt… ».

 » Si on est seul ça me va ! Mais si l’autre malade est là, moi je repars …! » je lui réponds.

Un instant de silence; Et  » Oups! J’aurais du te le dire, il couche là de temps en temps, mais tu ne crains rien, il ne sait même pas à quoi sert sa bite ! ».

En moi même ne voulant pas polémiquer sur son copain, je me dis qu’il sait très bien au contraire s’en servir et que TIM a peut être intérêt à protéger ses belles petites fesses dans l’avenir … !

Et la journée passe à mille à l’heure avec l’article qui avance bien, mon corps maintenant relaxé par tous ces plaisirs de la nuit passée. En souriant je me rappelle l’autre idiot me pissant dessus et finalement les vagues de plaisir que j’en ai retiré. Mes doigts ne peuvent s’empêcher de me caresser mon sexe adoré et me mettant tout nu sur la chaise du bureau, je parviens à finir mon article tout en me titillant et les seins et la queue pour finir mon stylo dans le cul et me masturbant rapidement. Je jute rapidement dans le creux de ma main et lèche goulûment tout mon sperme chaud et embrasse mon stylo brûlant de ma chatte. Il porte l’odeur de mon parfum intime et en manque d’inspiration je le hume tendrement entre deux phrases.

La clé dans la serrure, la porte qui s’ouvre, C’est TIM qui arrive ! Déjà 19H et il me trouve ainsi, jambes écartées, le cul bien ouvert sur la chaise de bureau, nu, offert. Souriant il vient près de moi, m’entoure de ses bras et me cajole, me caresse. Puis il me tourne face à lui et se penche pour m’embrasser. Moi profitant de sa gentillesse lui mets la main sur la braguette et le flatte tendrement. Il se relève. Son shorty manque d’éclater sous la poussée de son engin. Je lui dis, les yeux dans les yeux : « Descends ton jean je crève d’envie de te sucer ! ».

Quelques secondes après je me retrouve avec son gros membre que je peux à loisir cajoler des lèvres et de la langue, le suçant a fond puis le relâchant en l’entourant de ma langue. J’ai passé mes deux mains derrière lui, posées sur, puis entre ses fesses. Et de mes doigts lui caresse et les boules et le petit trou. Il adore et des petits sursauts de sa bite me guident dans ma quête de ses points sensibles. Un long moment de plaisir puis il se raidit et se met à me pilonner la bouche et dans un cri me projette sa semence en longs jets puissants et brûlant que je ne peux que garder en bouche pour ne pas m’étouffer. Et lui, se calmant, je peux enfin continuer à le caresser, sa bite coulissant tendrement le jus dans ma bouche. J’avale petit à petit son nectar, humant avec passion l’odeur de ses petits poils frisés. On se détend, et il me demande de venir l’aider à préparer le dîner. Et c’est nus tous les deux qu’on s’y met, lui m’entourant de ses bras musclés, sa bite se caressant dans ma raie des fesses tandis que je prépare une salade ; moi le suçant tendrement tandis qu’il entreprend de faire une omelette. Puis à force de caresses, de coups de langues de massage de ses boules il jouit tout doucettement dans ma main.

Recueillant sa liqueur je la place dans l’omelette et l’embrassant goulûment lui dit que ça va nous rendre encore plus excités. On rit et la soirée se déroule comme ça, en gamineries, jouissances longues et douces, câlins, demi-sommeils encastrés l’un dans l’autre. Epuisés de bonheur nous avons somnolés l’un contre l’autre, celui qui se réveillait suçait, pompait et caressait l’autre sans contrainte. Sur les 4 heures du matin j’ai pu à loisir le regarder dormir, insouciant comme un enfant, le sexe légèrement sur le coté, rouge de tant de sollicitations, la petite fente ouverte et brillante de salive et de sperme, adorable, désirable. Du bout de langue j’ai cueilli une petite goutte qui suintait doucement et qui a éclatée en tendres saveurs sur mon palais. J’ai détaillé du bout des doigts chaque muscle, chaque parcelle de son corps d’athlète, humant chaque effluve de chacun de ses plis, respirant son sexe, inhalant comme un malade ses hormones, ses parfums de mâle. Profitant d’un de ses mouvements je l’ai fais rouler sur le ventre. Tendrement du bout de la langue, du bout du nez, j’ai exploré sa raie des fesses et me suis gavé longuement de son odeur de sueur et d’homme et de la senteur de mon sperme.

Enivré de tant de parfum, j’ai lentement sucé, titillé de la langue son anneau chéri, mordillé la peau si tendre autour de son petit trou merveilleux, pénétré du bout de ma langue et caressé son intérieur, désireux de me fondre en lui, d’être lui. Il s’est mis à geindre, à s’écarteler, à se masturber le sexe sur les draps, soulevant ses fesses pour faire entrer ma langue au plus profond. Remplaçant ma langue par mon index je lui ai caressé l’intérieur trouvant facilement la zone à plaisir de sa prostate, le tapotant à peine, résonnant chacun de ses mouvements par un frôlement. Puis J’ai placé une main sous son sexe et bientôt accompagnées de tremblements de son cul, des petites perles de liquide sont venues me récompenser de mon assiduité. Il a continué ainsi, me faisant cadeau de sa liqueur à petites gouttes, me confiant les petits jets de sa prostate, découvrant peut-être la folie de ce point G qui nous fait planer si longtemps au dessus du 7ème ciel. Longuement, suivant son rythme, transformant mon index en baguette de fée à chaque petit jet, puis en minuscule pinceau de soie quand son corps, son cul calment leur frénésie un peu trop, je l’ai patiemment, longuement maintenu dans cet état entre folie et petite mort quand on ne sait plus qui du sexe, de l’esprit, du cœur, du cul mène la danse. Et le voyant si beau, si désirable, si abandonné à ce doigt magique, moi aussi je jutais des perles de jouissance, brûlant de son plaisir, de son bonheur. Une petite pression et quelques douces caresses plus rapide et le voila qui crie, qui s’écartèle, le cul en folie et agité de spasmes rapides, son anus s’ouvrant pour m’aspirer, m’engloutir. Comme un fou il précipite violement son sexe en avant il me donne une longue, si chaude, si désirée rasade de son élixir et puis le voila qui s’abat comme une masse, comme terrassé de bonheur, son corps agités de soubresauts, son cul grand ouvert et s’ouvrant, se fermant frénétiquement. J’ai longuement, tendrement léché son cul, gouttant chaque goutte de liquide de son intérieur, le retournant bientôt, suçant, extrayant avec passion de son sexe chaque perle de liquide resté en lui. Lui, complètement abandonné, reprenant son souffle, calmant les battements de son cœur, se reprenant, cherchant à comprendre comment son corps avait pu dépasser si vite sa raison.

L’un contre l’autre on a parlé, je lui ai expliqué tout ces plaisirs procurés par notre point G que l’on peut se donner si facilement avec ses tendres doigts. Je lui ai montré, son doigt en moi où il se trouve, comment faire que son doigt devienne une plume, une machine à plaisir ou un gode, comment ralentir, emballer la prostate. Ayant l’habitude de me le faire, j’ai ressenti sous ses doigts hésitants de longues et délicieuses sensations, et fermant les yeux je l’ai laissé découvrir comment déclencher le galop de mon plaisir. Malgré son inexpérience et les quelques petits ratages j’ai pu quand même m’abandonner à ma jouissance, recueillant dans ma main mon fluide, le léchant, m’en badigeonnant le visage. Il m’a embrassé tendrement, m’a léché le visage, la poitrine et m’a sucé le sexe amoureusement. Sales de sperme, de sueur, de jus, nous nous sommes endormis lèvres contre lèvres.

La chanson du réveil nous a trouvé ainsi, abandonnés, désireux d’arrêter le temps, de faire de chaque seconde une heure de bonheur. Une douche en commun, des papouilles, des doigts inquisiteurs, des bouches, des langues visiteuses puis le rapide petit-déj., l’un contre l’autre, s’échangeant des bouchées de pain comme des oiseaux inséparables. Et puis la larme à l’ œil son départ et le vide, le silence qui s’ensuit. Bientôt les bagages, l’obligation de partir et le vain désir de rester à humer son odeur toute la vie. Une pensée fugace et le vol délicieux d’un de ses shortys sales imprégné de sa sueur, de sa testostérone, de ses hormones de mec, de l’odeur de sa pisse, de son jus, de celle de son cul. Cette culotte sera mon remède à l’oubli !

Et puis le TGV du retour, la puanteur de la foule et du métro, l’appartement vide. Vite respirons son caleçon. Et tout le bonheur qui remonte à la tète, le ventre qui reçoit un coup de poing, le cerveau qui se déroule mille films de cul en parallèle. Le téléphone… un amant qui s’inquiète de ma petite voix… oui ca va, c’est juste que j’ai passé 2 jours au Paradis … Oui il peut venir, là, de suite !… Oui, moi aussi, je l’attends avec impatience et …Oui, moi aussi, j’ai frénétiquement envie de baiser !

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