Ma femme offerte
par Georgio
Cela faisait 6 mois que nous étions mariés moi et Céline et nous prenions nos premières vacances. Ayant peu d’argent nous avions trouvé un petit hôtel sur la côte landaise : une dizaine de chambres sur deux étages. N’ayant pas de voiture nous avions pris une pension complète et nous avions le projet de faire des balades à pied soit dans les bois de pins soit sur le bord de la plage.
Nous avons été accueillis par deux jours de pluie et l’ambiance au restaurant de l’hôtel n’était pas franchement gaie : un couple avec deux enfants, une dame seule assez âgée et un autre client d’une quarantaine d’année, un peu bedonnant qui faisait face à Claude ma femme, mais que je ne voyais pas. Il se fendait à chaque repas d’un sourire et d’un grand bonjour, ce à quoi nous répondions poliment.
Nous nous ennuyions un peu pendant les repas aussi j’entrepris d’asticoter Céline en lui disant que le type regardait sûrement ses jambes : Céline disait bien sûr que ce n’était pas vrai, j’insistais et cela animait la conversation.
Pendant le dîner du deuxième jour de pluie, j’essayais de pousser les choses plus loin et dis à Céline :
– « En sortant de table écarte largement les cuisses afin de laisser voir ton slip.
– Mais tu es fou me répondit Céline outrée !
– Mais non : tu me dis que le type ne te regarde pas alors tu ne risques rien !
– Oh ! Et s’il regarde ?
– Il n’en perdra pas la vue et j’aurais gagné mon pari ! Je suis sûr qu’il te reluque.
– Ok je vais le faire car je suis sûre que je ne l’intéresse pas du tout : il lit son journal »
J’étais étonné que Céline ai accepté mais très excité.
Sortis de table nous avons fait un petit tour dehors et j’ai demandé :
– Alors ?
« Oh quand j’ai ouvert les cuisses pour sortir de table, il a un peu baissé le journal mais sans plus ! »
Dans le lit, nous avons commencé à faire l’amour, caresses, minette puis quand je suis entré dans son petit minou, je lui ai reposé la question :
« Oui là ! Il a regardé !
– Il a regardé quoi ?
– Mes cuisses tiens !
– Tu as bien écarté les cuisses ?
– Oh oui ! Il a du bien voir mon slip blanc !
– Et ça t’a excitée ?
– Humpf.
– Avoue- Oui un peu, je n’ai pas l’habitude de montrer ma culotte tu sais ! »
Le lendemain, il faisait enfin un grand beau temps mais avec du vent. Nous sommes tout de même partis à la plage habillés hélas. Sur la plage, à l’abri nous avons tout de même pu enlever nos jeans, tout en gardant nos pulls. Céline était gênée car nous étions en slip et non en maillot de bain, ne pensant pas pouvoir nous mettre à l’aise à cause du vent.
De loin je vis arriver notre voisin de table :
– « Tiens chérie ton amoureux qui arrive !
– Arrête avec ça ! Je te dis que je ne l’intéresse pas du tout et en plus il ne me plait pas. »
En tout cas le monsieur en pull et en boxer vint nous saluer.
À ma demande Céline n’avait pas changé sa position assise jambes repliées mais écartée.
Au cours de la conversation sur le temps, notre ami bien sûr jetait des regards discrets sur l’entrejambe de Céline. Pour mieux voir sans doute il s’accroupit devant nous pour discuter. Je m’aperçus alors qu’un énorme gland violacé commençait à dépasser du boxer ! Je me dis que Céline allait refermer ses cuisses et que cette histoire se terminerait brutalement là. Je montrais à Albert, puisque c’était son prénom, un bateau à l’horizon : pendant qu’il se retournait, je regardais ma femme qui fixait le gland et, à ma grande surprise, ouvrait de plus en plus ses cuisses.
Albert parti ma femme ne pu s’empêcher de convenir qu’elle n’avait jamais pensé qu’un gland puisse être aussi gros ! Et cette couleur ?
En revenant de la plage, notre homme était à son balcon au premier étage.
– « Chérie tu me dis que tu n’intéresse pas ce type : je vais te prouver le contraire !
– Ah bon ! Je me demande comment !
– Je vais dire tout fort que je vais acheter des journaux et tu montes seule dans notre chambre au deuxième : s’il t’ouvre, j’ai gagné !
– Je suis sûre du contraire !
– Ah oui ? Et bien si je gagne tu devras accepter d’entrer dans sa chambre s’il te le propose et tu te débrouilles pour lui laisser voir à nouveau ton slip ;
– Qu’est-ce que tu me fais faire tout de même ! Bon, je suis sûre de gagner alors j’accepte »
Comme je m’en doutais le type a proposé à ma femme, ayant entendu notre désir d’acheter des périodiques, de lui en prêter quelques-uns.
Céline m’a raconté plus tard qu’Albert avait été très correct et lui avait montré une pile de journaux sous une table basse. Céline s’accroupit pour choisir tandis qu’Albert s’asseyait jambes ouvertes sur le canapé. Ma femme regardait les revues en choisissant les moins érotiques quand elle tomba sur Union : elle ne connaissait pas. Albert lui dit de la prendre : elle trouverait des conseils sur la sexualité moderne et elle pourrait lui dire quelle histoire vécue elle aura préférée.
En relevant les yeux elle ne pu s’empêcher de mater l’entrejambe du type en se souvenant du gage qu’elle devait accomplir : elle laissa doucement s’ouvrir ses cuisses. Elle m’avoua alors avec honte d’avoir désiré revoir le gland hors normes. Tout en rassemblant les revues elle laissa voir une nouvelle fois son slip qui devait être humide ; mais rien n’apparu du boxer d’Albert !
La semaine s’achevait et la chaleur maintenant était lourde à l’hôtel, surtout pour le repas de midi. C’était notre dernier jour et je parvins à convaincre Céline de ne mettre aucun sous-vêtement sous sa robe d’été. La convaincre pris bien un quart d’heure !
Le repas se passa bien, Céline était de bonne humeur ce qui m’incita à aller plus loin :
« En sortant montre à Albert que tu n’a pas de slip !
– tu es fou ? Jamais j’oserai !
– tu lui as bien montré ton slip avec une tâche d’humidité ! Cela t’a excitée non ?
– Ben oui. Mais là montrer ma minette quand même !
– De sa table, il verra seulement que tu n’a pas de slip mais ne percevra aucun détail »
Ma chérie osa le faire et pris bien son temps pour sortir de table, tout en souriant à Albert. Je restais un moment après elle et Albert vint me retrouver, vantant la beauté de ma femme. Je lui dis que nous devions lui rendre ses revues mais qu’il pouvait venir les chercher dans notre chambre dans quelques minutes, car nous allons nous préparer pour la plage. Il me dit que lui aussi allait se mettre à l’aise et ensuite monterait nous retrouver.
Dans la chambre, je ne dis rien à Céline qui s’apprêtait : elle choisit une robe toute simple en coton, genre grand t-shirt. Je lui demandais alors de ne rien mettre dessous : nous mettrions le maillot à la plage. On frappa alors à la porte, Céline enfila sa robe et alla ouvrir car j’étais à la salle de bain.
« Re-bonjour Madame, votre mari m’a proposé de venir rechercher les revues, j’espère que je ne vous dérange pas ! »
Ce faisant il reluquait les pointes des petits seins de Claude qui pointaient légèrement sous le coton. Céline rouge de confusion le fit entrer et commença à rechercher les revues.
« Au fait Madame je voulais vous demander si vous aviez lu Union ?
– Ma femme parvint à articuler un petit oui
– Ah très bien et quelle histoire avez-vous préférée ?
– Je. Enfin je crois que je préfère celles qui traitent de l’exhibitionnisme ; je trouve les autres trop poussées et relevant du fantasme.
– Vous avez bien raison : il n’est rien de plus beau qu’une femme laissant entrevoir un peu de son corps. »
Céline ne savait plus où se mettre, tirant sur son long t-shirt pour cacher le haut de ses cuisses, lorsqu’elle porta son regard sur le short d’Albert : il était encore plus court que l’autre fois. Elle me confia qu’une chaleur lui avait envahi le ventre à ce moment-là. Le boxer était entrebâillé, elle pouvait voir une couille du type, couille apparemment glabre.
Céline se demandait ce que je pouvais bien faire dans la salle de bains : elle était seule avec ce type et elle s’avouait que cela l’excitait.
Quant à moi totalement nu dans la salle de bain, je me caressais en écoutant leur conversation ; je pouvais voir Céline de profil ainsi qu’Albert. Elle commença par ne plus tenir le bas de sa robe qui, bien sûr, s’empressa de remonter doucement sur ses cuisses bronzées.
Pendant ce temps Albert louait les femmes qui osaient faire partager à d’autre qu’à leurs maris les beautés cachées de leur corps. Il aimait surtout l’abandon des femmes fidèles et aimantes. Céline se sentait concernée par ce discours et elle senti la chair de poule lui envahir gras et cuisses. Tout en discutant Albert s’arrangea le sexe qui commençait à se sentir à l’étroit dans le boxer ; le fit-il exprès ? Toujours est-il que Céline vit apparaître le sexe du vicieux. Mais pas le gland qu’elle voulait revoir : le monsieur n’étant pas circoncis, il était encore caché ! Elle se sentit frustrée ! Perdant toute pudeur elle se dit qu’en en montrant un peu plus le gland sortirait bien ! Et ce n’est pas bien méchant d’ouvrir un peu les cuisses !
De ma place, je vis la robe remonter encore : le bord devait être à moins de dix centimètre du minou ; je me dis que le gros cochon ne devait pas encore voir la chatte, peut être quelques poils ? Céline est blonde et coupe ses poils très court, ainsi ils ne cachent en rien le sexe. Il me sembla qu’Albert sursauta un peu ainsi que sa queue qu’il sentait grossir : le gland apparaissait maintenant pour un bon tiers, toujours aussi violacé.
Cela ne suffit pas à Céline puisque ses cuisses s’ouvrir un peu plus devant le regard ravi, puis le pied remonta sur le barreau de la chaise. Le type ne quittait pas les cuisses des yeux et sa bite grossissait à vue d’œil libérant presque tout le gland.
Tandis que je m’activais sur mon propre sexe je l’entendis dire à Céline « bravo, tu es belle, montre tout maintenant ! »
Ma femme subjuguée ouvrit alors ses cuisses de plus en plus tout en fixant la bite : elle ouvrait et ouvrait, elle sentit ses lèvres intimes se disjoindre doucement tandis que coulait sa mouille. D’une voix rauque, elle lui répondit : « montrez tout vous aussi ».
Albert se leva lourdement et s’approcha d’elle :
« Regarde le bien ! Tu en avais envie avoue-le »
Et il baissa puis enleva son boxer laissant admirer sa grosse bite et ses couilles qu’aucun poil ne venait cacher !
« Touche-le, fais-le coulisser doucement, touche plus bas oui là, c’est bon, continue oui va plus loin oui entre les cuisses oui caresse l’autre trou aussi ! Et maintenant délivre entièrement mon gland et sens le, tu aimes ? Tu aimes quand tout est rasé ?
– oui il est très beau murmura Céline, montrez moi bien tout. C’est la première fois que je vois ainsi un autre homme que mon mari !
– tu te sens devenir cochonne hein petite femme fidèle !- oui
Albert se retourna et se baissa puis avec ses mains écarta ses fesses et je vis ma femme faire des choses qu’elle ne m’avait jamais faites : elle caressait le sexe pendant comme on trait une vache, puis remonta aux bourses qu’elle malaxa doucement pour enfin les embrasser, puis sa main remonta, hésita un instant et son doigt vint caresser l’anus du gros homme.
« C’est très beau sans poils c’est doux » disait-elle en passant les mains partout.
Excité Albert ouvrit à nouveau ses fesses pour bien montrer à ma femme inexpérimentée mais curieuse. Son trou sembla gonfler tellement les fesses étaient écartées : il allait vers le visage de Céline. A ce moment là il se passa une chose que je n’aurais jamais crue possible : ma douce et tendre femme avança son visage vers le gros cul lisse ; je vis son nez renifler l’odeur puis la langue titiller le trou !
« Oui ! Oh c’est bon continue cochonne pousse ta langue de petite salope ! »
Je vis alors le visage de Céline coller littéralement à la raie culière du type tandis que sa petite main allait toucher son abricot d’amour ! Je n’en pouvais plus : je sortis de la salle de bain, nu, la bite dressée. Albert quand il vit mon état compris que maintenant tout lui était permis : il allait pouvoir abuser d’une jeune mariée de 25 ans sous les yeux de son mari ! Il se retourna vers Céline et chercha sa bouche : celle-ci lui refusa ; tandis qu’il embrassait son cou et son visage ses mains se mirent à malaxer les petits seins cachés sous la robe, puis une des mains descendit vers le sexe que les cuisses jointes à nouveau défendirent un moment, pour abandonner la place brusquement laissant cette intruse soulever la robe et violer l’endroit sacré. Céline eut un sursaut puis s’abandonna ; la bouche d’Albert revint vers celle de ma femme, dernière place encore refusée. Lorsque les lèvres se joignirent il y eu une dernière résistance puis enfin la langue du mâle pénétra la bouche aimée. Le baiser discret devint de plus en plus profond puis sauvage : j’ai compris alors que Céline se donnait à lui.
Il lui dit quelques mots à l’oreille qu’elle écoutait sans rien dire ; il se détacha d’elle :
– « A toi de te montrer maintenant, je veux voir tous tes trous intimes ! Tu le veux ?
– oui, vous pouvez tout voir, tout ouvrir, tout prendre, je le veux, dit-elle en me lançant un regard interrogatif »
Je lui fis oui de la tête. Céline se mit debout et passa lentement sa robe par-dessus la tête devant les yeux du vicieux qui admirait ses petits seins pointus et sa chatte bien visible sous les poils courts.
– « allonge-toi sur le lit et ouvre les cuisses
– oh chéri il va tout voir cette fois-ci ! Oh c’est bon !
L’homme commença par inspecter les oreilles, les trous de nez puis la bouche enfonçant sa langue partout ; Il monta alors sur le lit et présenta sa grosse queue : le gland entrait difficilement dans la petite bouche qui parvint à enfourner un tiers de la bite ; mais il en voulait plus ! Il força et la moitié de la queue parvint à rentrer. Il s’arrêta là puis descendit vers le ventre offert.
– Ouvre-toi et branle-toi devant nous
Rouge de honte et de plaisir Céline se masturbait, les gestes devinrent plus saccadés, elle commençait à prendre son pied !
Avec une agilité surprenante le gros type contourna Céline et s’aplatit dessus cherchant à la pénétrer !
– Non dis alors Céline, non pas ça ! Je ne veux pas, pas là ! Georges arrête le. Oh je sens son gland sur mes lèvres, il essaie d’entrer ! Oh qu’il est gros ! Chéri il va me baiser ! Chéri je t’aime, mais il entre, je ne voulais pas, mais il est dedans ; oh oui tout au fond maintenant ; il bute au bout il est au bord de mon utérus. Il va verser sa semence !
– Oh oui que je vais tout te mettre, belle salope et devant ton mari que se branle ; c’est lui qui a voulu tout ça et j’en profite ! Oh que c’est bon un jeune con ! Ah oui je le sens ton utérus, je vais juter dedans ! Ah ça vient. Dis le que tu veux tout !
– Oui oh oui je jouis de ta grosse bite ! Oh je n’ai jamais ressenti ça ! Oui verse tout au fond, baise-moi, ensemence-moi !
Bien sûr je n’avais rien pu faire tellement les évènements s’étaient précipités ! Le type s’agitait sur Céline, puis se cambra : je vis alors sa bite s’enfoncer doucement et entièrement dans le con de Céline : il pénétrait le col de l’utérus et dans un grand cri déposa sa semence dans la boite à bébé de ma chérie !
Albert se détacha du corps pantelant de mon épouse et se remit à califourchon au dessus de sa tête :
– Tu viens de vivre ta première expérience de salope, goûte mon jus et suce la entièrement cette fois-ci !
Il entra sa bite dans la bouche ouverte, laissa la langue goûter et nettoyer le sperme puis enfonça la queue un peu ramollie dans la gorge. Il n’arrêta que lorsque son ventre toucha le visage de Céline. Pendant ce temps, n’y tenant plus je baisais Céline à mon tour !
Voilà notre première expérience érotique qui se passait, il y a 20 ans, temps où le sida était moins présent
Pas de quoi s’affoler ! Les dialogues ne sont pas terribles
je ne partage pas l’opinion des collègues. Si le début est très bon, ça devient rapidement n’importe quoi (le coup des journaux, avec Union, dans le genre grosse ficelle…). De plus les dialogues sont mauvais. Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, on peut écrire en bandant, mais après faut se relire quand on est calmé.
Excellent !
Très bon récit. J’ai bandé du début à la fin et j’aurais aimé être un des protagonistes.
C’est exquis :
Il est rare que le fantasme du « candaulismee » soit si bien raconté. Bravo à son auteur.
j’aimerai être a ta place pour mieux enculer ta femme