Clotilde 20 – Je deviens un sextoy par Fafalecureuil

Clotilde
20 – Je deviens un sextoy
par Fafalecureuil


Léa me caressa, sa main gagna mon sexe écartelé, puis, je sentis le cuir d’une chaussure de femme s’appuyer contre mon clitoris. Durement, fermement, la pointe ou le talon malmenaient mon bouton prêt à exploser. Je me cambrais à m’en faire mal. Le talon s’enfonça entre mes lèvres en feu. Je suppliais,

– Léa, je t’en supplie, fais-moi jouir !
– Et pourquoi ? Je te rappelle que tu es là pour me servir et pour souffrir.
– …
– Tu es ma chose, ma chienne… Tu jouiras quand JE le permettrai.
– Pitié… Léa, je ferai tout ce que tu veux, mais laisse moi jouir…
– Tout ce que je voudrai ?
– Oui, tout !
– Absolument tout ?
– Ouiiiiiiiii
– Attention, je pense que tu ne réalises pas ce que tu dis…
– …
– …
– Si, je te promets de faire ce que tu m’ordonneras si tu me fais jouir maintenant…
– Alors, si tu promets… Mais attention, tu risques de regretter ta promesse, tu n’auras aucun moyen de reculer le moment venu…
– Je sais…. Je te promets Léa…

Elle m’enleva mon bâillon écarteur puis mon bandeau, je clignais des yeux, contemplant mon corps luisant et offert, obscène. Léa appela mon amante.

Angélique s’approcha de moi, son pied droit se glissa entre mes cuisses, le talon s’écrasa sur mon bouton, je criais de douleur et de plaisir. Puis, la pointe de la chaussure remplaça le fin talon, je criais mon plaisir sous la torture que m’infligeai Angélique. Elle s’enfonça ensuite en moi, doucement mais sans répit, écartelant mes chairs. Léa se rapprocha et se saisit d’une cravache qu’elle abattit sur ma poitrine. La douleur me coupa le souffle un instant. Sans me laisser de répit, elle arracha presque les pinces qui emprisonnaient mes tétons, je pleurais de douleur, mais pourtant le plaisir continuait à monter. Mes tétons libérés furent aussitôt fouettés et pour me faire taire, Léa enfonça dans ma bouche un gode de belle taille. Angélique faisait maintenant des mouvements de va-et-vient qui s’avéraient étonnamment faciles… Les coups sur mes seins recommencèrent. Le pied d’Angélique s’enfonça plus loin et je fus totalement submergée par le plaisir et la douleur mêlés. Je m’écroulais sur moi-même, incapable de réagir, ne sentant plus que mon ventre qui était parcouru de spasmes de plaisir brûlant. Je sentis mon sexe se liquéfier totalement et j’inondais le pied et la jambe d’Angélique, qui à son tour jouit en continuant à me malmener.

Je me réveillais au beau milieu de la nuit dans les bras d’Angélique. Je sentais son souffle chaud dans mon cou. Son étreinte se resserra et je me blottis contre son corps nu. Angélique se réveilla un peu, ouvrit un œil, puis l’autre et m’embrassa longuement. Je lui rendis son baiser et elle replongea dans le sommeil. Je n’arrivais pas à me rendormir et je me levais doucement pour aller aux toilettes. Dans la salle de bains, je trouvais mes atours… Assise sur les toilettes, je contemplais les lanières de cuir, les anneaux métalliques, les mâchoires, les pinces… Je me relevais, tirais la chasse et me mis face au miroir. Mes lèvres gonflées et rougies semblaient avoir peu souffert, malgré mes craintes. Ma main se glissa entre mes lèvres. Je portais mon doigt à ma bouche goûtant mon parfum un peu salé. Puis, je passais autour de mes cuisses les lanières de cuir, je fixais sur mes grandes lèvres les mâchoires de métal et sans hésiter, je fixais les lanières aussi loin que possible, au seuil de la douleur. Je contemplais le résultat dans la glace, excitant ! Je retournais au lit et Angélique me reprit dans ses bras…

Au réveil, Angélique était debout devant moi, vêtue d’un tailleur crème très strict, ses jambes étaient gainées de soie chair. Elle avait mis mes escarpins beiges à haut talons.

– Gaëlle m’a donné rendez-vous, Clotilde, je dois la rejoindre.
– Et moi ?
– Toi, tu restes là, Virginie est en bas, elle m’a chargée de te donner ses instructions…
– ?
– Oui, Virginie, elle était là hier et a beaucoup apprécié tes exploits…
– Et Léa ?
– Elle est retournée chez elle, visiblement ravie de sa journée, elle a laissé ses coordonnées sur la table du salon.
– Et Gaëlle ?
– Je vais la retrouver d’ici deux heures, elle m’attend, je dois semble t-il lui rendre un service…Quant à toi, tu dois mettre la tenue qui est préparée et tout ce que tu trouveras dans le carton qui se trouve dans la salle de bains.
– Mais ?

Et Angélique m’embrassa et partir en courant. Je me levais et défis mon harnachement. En ôtant les mâchoires, je faillis tomber à la renverse. Mes grandes lèvres étaient étirées et douloureuses. Je passais à la salle de bains et me lavais. Ensuite, je passais mes vêtements : bustier soutenant mes seins mais ouvert sur mes tétons, porte jarretelles, bas noirs, chemisier blanc transparent, jupe ultra courte. Puis, je plaçais sur mes lèvres six pinces auxquelles je fixais de courtes chaînettes et des petits poids. Puis un plug métallique prit place dans mon petit trou. De très fines pinces en forme d’anneau mordirent mes tétons. Je mis mes haut talons et marchais un peu, à chaque pas, les poids tiraient sur les chaînettes et lançaient des ondes de chaleur dans mon ventre. Je mis enfin le collier métallique et descendis à la cuisine. Virginie m’attendait, seulement vêtue d’un peignoir laissant deviner ses formes sculpturales, sans un regard, elle m’ordonna de lui servir un petit déjeuner, ce que je fis, docile et obéissante. Pendant qu’elle mangeait, je dus m’agenouiller à ses côtés, comme une chienne. Et c’est ainsi qu’elle me donna à manger, jusqu’à me faire laper du lait dans une soucoupe. Virginie, ensuite écarta les jambes et étala de la confiture sur l’intérieur de ses cuisses nues.

– Tiens régale-toi !

Je ne me fis pas prier et aussitôt je léchais longuement ses cuisses douces et fuselées. Elle étala ensuite de la confiture sur son sexe et là, je me régalais bien plus, goûtant son intimité salée et sucrée à la fois. Bien sûr, elle se retourna et étala de la confiture entre ses superbes fesses musclées. Là aussi, je ne laissais pas une miette de confiture. Virginie appréciait beaucoup mes caresses et tout particulièrement ma langue agile dans son anneau rose et palpitant. Je la fis jouir ainsi, grognant de plaisir alors qu’elle plaquait ma tête contre son cul. Remise de ses émotions, elle se leva et me dit de la suivre.

Elle alla à la salle de bains où je dus la laver entièrement. Elle ne ratait aucune occasion pour titiller mes bijoux et m’arracher des petits cris. Elle me demanda de me redresser et d’ôter mon chemisier et ma jupe, ce que je fis rapidement. Puis, je me mis en position d’attente, mains derrière le dos, jambes écartées.

– Clotilde, je dois t’avouer que je n’ai jamais pris autant de plaisir à dominer une femme, je l’ai fait déjà quelques fois, mais là, ça dépasse tout.
– Merci… Maîtresse,
– Non appelle moi Virginie, je préfère.
– Merci Virginie,
– En fait quand je te vois, j’ai envie de sexe, j’ai envie de te faire des choses
– Merci
– J’ai même envie de te faire souffrir, de te tourmenter.
– …
– J’aime te voir humiliée, et surtout voir que tu aimes ça. Parce que tu aimes ça, n’est ce pas ?
– … Oui… Virginie, j’aime ça.
– Je l’ai vu tout de suite à la boîte l’autre jour et sur la vidéo, quand tu t’es livrée à tous ces mecs dans le garage, tu respirais le vice et la vertu en même temps.
– …
– Je crois que c’est ça qui m’excite chez toi, sous tes airs de petite bourgeoise, tu es une furie sexuelle, une nymphomane de la pire espèce, une chienne lubrique.
– ……Oui…. je crois que c’est vrai…
– Tu es prête à n’importe quoi pour ressentir le plaisir, même s’il faut passer par l’humiliation, la douleur…
– …
– J’ai envie de t’emmener sur des terres que tu ne connais pas, de balayer tes derniers tabous, de te faire franchir des limites que tu n’imaginais pas.
– Mais… je ne…
– Chut, laisse-toi guider, tu pourras toujours faire marche arrière, à tout moment, mais laisse-moi faire…
– … Bien Virginie.
– Pour commencer, viens me sécher.

Elle sortit de l’eau et je la séchais, puis je l’aidais à s’habiller, une tenue de latex noir, ouverte entre ses jambes, ses fesses et sur sa poitrine. Puis des talons aiguilles qu’elle me fit lécher en signe de soumission.

Elle savait déjà qu’elle avait gagné à ce moment et que je ferai tout ce qu’elle me demanderait. Pour commencer, elle me demanda d’appeler son amie de l’autre jour, Claire pour qu’elle vienne lui prêter main forte. Ensuite en attendant, je fis office de soubrette, lui apportant à boire, à plusieurs reprises, attendant sagement ses ordres. Claire n’allait plus tarder et Virginie me demanda de boire deux litres d’eau en m’interdisant d’aller aux toilettes, bien sûr. Elle-même semblait se retenir de plus en plus difficilement… Elle m’emmena dans la cuisine et me fit mettre à quatre pattes sur le sol.

– Nous allons pimenter un peu le jeu, écarte tes fesses.
– Oui Virginie…
– Le plug est bien trop petit, je suis sûre que nous trouverons mieux.

Elle le retira avec un pop et bien sûr le mit aussitôt dans ma bouche.

– Nettoie-le bien Clotilde, je veux qu’il soit impeccable…
– Mmmmmoui

Imaginer qu’elle me faisait goûter avec délice mes propres sécrétions m’enivrait totalement. Je sentis quelque chose de froid pénétrer mon anus. Puis Virginie se tourna vers le micro-onde et y plaça un grand bol.

– Devine ce qu’il y a dans ce bol…
– Je ne sais pas…
– Attends, je vais te faire goûter…

Après le ding caractéristique, elle sortit le bol et y plongea un doigt avant de me le faire lécher.

– Et tu sais qu’il y en a encore ? Rien que pour toi ma belle… Tout ce que tu n’as pas eu hier a été gardé précieusement !
– Mmmmmm,
– Oui, bien chaud et gluant, sucré et salé. Ce sera ton repas si tu es bien sage…
– Mmmm s’il te plaît…
– En attendant, on va s’occuper de ton petit cul, Clotilde, et tu vas adorer.

Virginie se tourna à nouveau et prit une bouteille d’eau au frigo. Elle l’ouvrit et je compris aussitôt ce qui forçait mon anus. L’eau fraîche m’arracha un râle de surprise et je sentais mon cul, mon ventre se glacer… Lorsqu’elle s’arrêta, j’étais déjà presque au bord de l’orgasme… Elle sortit l’entonnoir et enfonça rudement un très gros plug qui me fit un peu mal. Je geignais un peu et pour toute réponse, Virginie farfouilla dans son sac et sortit un tube de dentifrice.

– Tu as déjà essayé ?
– Euh, non…
– Tu vas voir, mets-toi sur le dos et écarte les jambes. Et laisse-toi faire.

Aussitôt je me cambrais, la sensation de brûlure et de froid étaient presque insupportables. Elle en étala sur tout mon sexe qui me brûlait, puis sur mes tétons déjà meurtris. Les larmes coulaient sur mes joues, mais je tenais bon. Lorsqu’elle reprit de la pâte blanche sur ses doigts et qu’elle les enfonça dans mon con, je me mis à pleurer tout en la suppliant de continuer. La douleur, la brûlure, n’étaient rien en comparaison du plaisir qui montait. Virginie décida d’attendre pour me laisser jouir et me fit me lever pour m’emmener au milieu de la cour. Là, elle m’ordonna d’enlever mes vêtements, sauf mes hauts talons que je remis. Puis, elle lia mes mains dans mon dos fermement et me mit un collier très large maintenant ma tête vers le haut. Elle y attacha une laisse et me promena dans la cour, puis dans le jardin. Ce faisant, Claire arriva et nous rejoignit. Sans même que Virginie dise quelque chose, elle se débarrassa de ses vêtements pour apparaître, harnachée de cuir et de métal, belle, désirable et prête à tout. Elle prit ma laisse et me fit lécher ses escarpins à bride, me complimentant sur mon dressage…

– Elle est pleine ?
– Oui Claire, je pense qu’on va pouvoir lui mettre le n° 4
– C’est tout ? Je suis sûre que tu aurais pu y mettre plus…
– On essayera tout à l’heure, elle est à nous, nous avons tout le temps.
– Tu sais, j’adore ces petites bourgeoises, l’air de rien ce sont les plus belle salopes que je connaisse…
– Oui, tu devrais voir comme elle en redemande en plus.
– On devrait la mettre au glory-hole, tu ne penses pas ?
– Si, le pire c’est qu’elle adorerait…
– Bon occupons-nous d’elle maintenant !

Claire me mit en laisse et me promena comme une chienne, et pour corser le tout, fixa la laisse à mon téton gauche à l’aide d’une pince à vis. Elle tirait rudement sur la laisse m’arrachant des petits cris de douleur. Mais je n’aurai arrêté pour rien au monde. Lorsqu’elle me fit m’agenouiller et m’ordonna de retirer mon plug, je le fis sans honte et je me vidais à même l’herbe du jardin. Elle me mit ensuite à quatre pattes sur une table et enfila un gant de latex qu’elle me fit lécher… Virginie prit ensuite le plug et le mit sur la table, devant ma bouche…

– Nettoie-le Clotilde, et applique-toi. S’il est impeccable, tu auras une récompense.
– Bien Virginie….

Et aussitôt, je le léchais activement, sans aucune gêne, et même avec plaisir tandis qu’une main gantée de latex s’insinuait dans mon sexe en feu, je repris de plus belle mes coups de langue, nettoyant chaque aspérité du plug. Lorsque la main se referma entre mes lèvres, je dus reprendre mon souffle, ensuite c’est avec le poing que Claire me besogna, rudement et sans aucun égard. C’est cela que j’aimais et je le lui fis savoir en gémissant de plaisir et en l’encourageant à me défoncer. Lorsque Virginie glissa ses doigts entre mes fesses, je crus défaillir de plaisir. Mon petit trou bien préparé accueillit rapidement sa petite main. Claire et Virginie me pistonnaient et je crus que j’allais mettre moins d’une minute à jouir alors qu’elles me fistaient copieusement. Mais dès que mon orgasme montait, elles ralentissaient la cadence ou stoppaient leurs mouvements. Je les suppliais de me laisser jouir, mais Claire ne l’entendais pas comme ça. Sa deuxième main se joignit à la première et s’enfonça doucement en moi.

– Tu es prête ?
– Oh, ouiiiiii tes deux mains, oui, mets-les moi, fais moi jouir, Claire, je t’en supplie…

Et elle s’enfonça en moi, lentement mais sans s’arrêter, je hoquetais, ma respiration se bloquait, je m’ouvrais, je souffrais, je me cambrais, je criais, je pleurais de bonheur, comme une bonne chienne que j’étais… Elle entra complètement en moi et commença à bouger ses mains en moi, je sentais mon sexe couler alors que Virginie reprenait ses va et vient dans mon cul. Je gobais le plug pour ne pas hurler de plaisir alors que Claire et Virginie m’écartelaient et me fistaient. Je jouis de longues minutes durant, incapable de m’arrêter, secouée de spasmes, ivre de plaisir. Claire et Virginie se retirèrent et sans cérémonie, me relevèrent et m’ordonnèrent d’aller me préparer pour la soirée.

– Ote tous tes atours, nous te voulons nue, en talons-haut. Tu passeras juste une robe, la plus transparente possible, et elle devra s’ouvrir totalement sur le devant.
– Bien Virginie…
– Retrouve-nous en bas dans 10 minutes.
– Ok…

Je me dépêchais et après une douche rapide, je m’habillais comme Virginie me l’avait demandé. Robe rouge très légère, boutonnée sur l’avant, talons hauts de la même couleur. Je descendis, Virginie m’emmena avec elle et me fit monter dans sa voiture. Claire était derrière, elle farfouillait dans un grand sac… Je ne demandais pas où nous allions, Virginie me dit que nous allions chez elle sans plus de détails. Après 5 minutes de route elle s’arrêta devant un portail automatique et nous sortîmes. Une très belle maison contemporaine où visiblement pas mal de monde nous attendait. Le champagne avait déjà coulé et quelle ne fut pas ma surprise de trouver Angélique et Gaëlle enlacées dans un coin… On me proposa aussitôt une coupe de champagne que j’acceptais. Ayant peu mangé, il me monta à la tête et rapidement, je sentais que je vacillais un peu. Claire me prit par le bras et m’emmena à l’intérieur où d’autres personnes s’étaient installées. Des femmes s’embrassaient langoureusement sur un canapé devant les yeux amusés des convives, elles glissaient leurs mains entre leurs cuisses et je compris que la soirée allait me plaire… Claire m’emmena vers une chambre carrelée à l’étage, elle était peu meublée et un lit était placé au milieu. Le lit était muni d’attaches en métal, tout comme les murs et le plafond. Sur le côté, une armoire métallique était entrebâillée. Claire me prit par la main et me mit face à des caméras. Après avoir fait la mise au point, elle lança les enregistrements et ensuite, elle se tourna vers moi.

– Tu resteras dans cette pièce et tu obéiras à tous ceux qui entreront ici, quels qu’ils soient…
– D’accord Claire,
– Tu devras tout accepter de la part des invités de Virginie.
– B….bien…
– Tu seras filmée en permanence pour que tous nos convives profitent de toi.
– Oui… Que dois-je faire ?
– Attendre pour l’instant… et n’oublie pas tu es à Virginie et le moindre écart ou refus entraînera ta sortie immédiate.

Claire m’embrassa sur la bouche et sortit. Je fis le tour de la pièce et j’ouvris l’armoire pour y découvrir un véritable arsenal : baillons, menottes, godes, pinces, chaînes, fouets, cravaches, carcans, cadenas, cordes, spéculums, entraves, gants… Songeuse, je commençais à imaginer toutes sortes de tourments plus vicieux et pervers les uns que les autres. Quelqu’un entra et je me retournais. Un homme, la quarantaine s’approcha et sans un mot poussa sur mes épaules pour me mettre à genoux devant la bosse qui déformait son pantalon.

– Suce !

Je ne me le fis pas dire deux fois et quelques secondes plus tard, son sexe coulissait dans ma bouche, il baisa ma bouche, appuyant sur ma tête pour s’enfoncer dans ma gorge. J’étais habituée et je le pompais jusqu’à ce qu’il se retire et explose sur mon visage et mes cheveux. Sans un mot, il remit son sexe dans ma bouche pour que je le nettoie et il ressortit après m’avoir demandé de lécher le sperme qui couvrait mon visage. Il fut suivi par les deux femmes qui s’embrassaient sur le canapé tout à l’heure.

Elles retirèrent leurs robes, et vêtues de bas noirs et de haut talons, s’allongèrent côte à côte jambes écartées. L’une d’elle se tourna vers moi.

– Viens nous lécher.

Encore une fois je n’hésitais pas et plongeais entre leurs cuisses découvrant des sexes touffus et moites. Pendant de longues minutes, je les broutais alternativement jusqu’au moment où la blonde se retourna.

– Lèche mon cul maintenant

Ma langue attaqua sa rosette, elle n’était pas très soignée mais cela ne me gênait plus… Sa copine se leva et passa derrière moi. Elle releva ma robe et sans plus de cérémonie, enfonça son majeur dans mon petit trou. J’appréciais ses caresses et redoublais d’ardeur gratifiant la blonde d’un anulingus dont elle se souviendrait !

– Stop, on tourne, Caro, prends ma place, tu dois essayer ça, elle lèche comme une déesse !

Et aussitôt dit, aussitôt fait, j’attaquais le petit anneau plissé de la brune qui m’encourageait de vive voix. Sa copine s’était baissée derrière moi et léchait ma raie avec force, s’arrêtant sur mon anus palpitant. Ses doigts et sa langue s’enfonçaient en moi et je continuais à lécher la brune qui mouillait de plus en plus. La blonde reprit place à côté de la brune et j’avais maintenant devant moi, deux beaux culs, deux superbes trous à embrasser, à lécher, à doigter.

– Fais-nous jouir !

Mes doigts et ma langue entrèrent sans relâche dans leurs orifices offerts et je pris presque autant de plaisir qu’elles à les faire jouir. La brune me fit signe de me coucher par terre et s’assit sur ma bouche. Ma langue s’activa dans son petit trou suintant alors que la blonde glissa son pied entre mes cuisses. Je léchais de plus belle alors que son talon glissait entre mes lèvres gonflées. Peu de temps après, la brune jouit longuement inondant mon visage de mouille que je bus avidement. Sans me laisser le temps de respirer, la blonde prit sa place et écartant ses fesses s’assit elle aussi sur ma bouche. La brune à son tour glissa la pointe de son escarpin entre mes cuisses et força sans ménagement le passage. Alors que l’avant de sa chaussure glissait régulièrement dans mon con, je jouis en même temps que la blonde qui se crispa tellement que j’avais du mal à respirer. Brusquement, elle se retira et sortit avec son amie, me laissant pantelante. Je commençais à me masturber, toujours allongée sur le sol quand deux hommes entrèrent et se jetèrent sur moi. Quelques secondes plus tard, j’étais prise en sandwich, un sexe dans ma bouche et l’autre dans mon sexe. Etrangement un seul sexe ne me suffisait pas après avoir été copieusement « élargie » par la belle brune qui avait introduit sa chaussure dans mon sexe encore béant. Comme s’ils avaient deviné mes pensées, ils se mirent à deux dans mon con, me donnant bien plus de plaisir ainsi. Après de délicieux va-et-vient ils se retirèrent et explosèrent dans ma bouche l’un après l’autre m’obligeant à tout avaler, ce que je fis avec joie et délectation… Ils sortirent dès que j’eus fini de les nettoyer. Une femme somptueuse entra immédiatement, sculpturale, une poitrine parfait saillant de son décolleté profond, des jambes de rêve, une crinière blonde, une bouche pulpeuse… De quoi me faire craquer ! Elle m’embrassa, plongeant sa langue dans ma bouche, de ses mains, elle ôta d’un geste ma robe légère. Ses mains pétrissaient mes fesses, elle se mit derrière moi pour malaxer mes seins, face à la caméra. Soudain je sentis quelque chose de dur entre mes fesses. Elle me susurra à l’oreille

– J’ai une belle surprise pour toi…

Elle se remit devant moi et me fit lécher ses seins qui avaient jailli de sa robe. Alors que je mordillais ses tétons, je compris ce qui m’attendait en voyant sa robe déformée à l’entrejambe… Elle appuya sur mes épaules, je me baissais, et sans qu’elle me le demande, je défis sa robe, libérant un sexe tendu et énorme que sans hésiter, je gobais. Il/elle était exceptionnellement membré et j’avais un mal de chien à la prendre dans ma bouche. Je n’éprouvais aucune gêne à l’idée de sucer un transsexuel, c’était comme naturel dans l’ordre des choses. Et je prenais un plaisir incroyable à lécher ses longues jambes avant de m’attaquer à nouveau à ses couilles ou son sexe énorme. Nous nous plaçâmes ensuite en 69 sur le lit et elle me gratifia d’une superbe minette alors que ses doigts s’attaquaient à mon petit trou bien humidifié par sa salive. Lorsqu’elle me sodomisa enfin, je criais mon plaisir sans retenue, elle me défonçait sans retenue, en n’hésitant pas à me malmener. Elle explosa dans mon cul et aussitôt se retira et força à nouveau ma bouche avide. Ensuite, à son tour elle enfonça sa langue dans mon petit trou gluant de sperme et aspira tout dans sa bouche avant de m’embrasser longuement. Elle m’embrassa à nouveau et me remercia avant de sortir. Je n’eus pas le temps de me remettre, une dizaine d’homme entra et ils me placèrent autour du lit. Rapidement je les pris dans ma bouche, l’un après l’autre alors qu’ils me caressaient et me doigtaient. La suite n’est pas très originale, ils se relayèrent dans tous mes orifices pendant de longs moments, parfois à deux dans mon sexe, ils me limaient sans relâche, ils n’étaient toutefois pas sans égards et me firent jouir plusieurs fois alors qu’ils n’avaient pas encore joui de leur côté. Le moment venu, ils me placèrent au milieu d’eux et l’un d’eux menotta mes mains dans mon dos et plaça dans ma bouche un écarteur. Ainsi ils pouvaient s’enfoncer dans ma bouche et me régaler de leur semence brûlante. J’eus l’impression d’en boire des litres avant qu’ils ressortent de la pièce.

Lorsque Gaëlle entra, je sus que la suite allait être bien plus torride…

à suivre…

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Une réponse à Clotilde 20 – Je deviens un sextoy par Fafalecureuil

  1. Sorenza dit :

    Très bon chapitre, très excitant

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