Les aventures d’Andry – 1 – Une étrange rencontre par Andry

Une étrange rencontre
Chapitre 1
par Andry

C’était un samedi après-midi, ma femme préférant son ménage à toute autre forme de loisirs était occupée au nettoyage de la maison et frottais allégrement tandis que moi comme d’habitude je mourais d’ennuis. Propriétaire de sa maison, elle savait bien me le faire sentir et par réaction l’envie de l’aider n’y était pas.
Aussi décidais je de sortir, le soleil brillait de tout son éclat par cette belle journée de printemps.

Une promenade dans le parc de la ville me ferait le plus grand bien.

Je remarquais rapidement que d’autres avaient eut la même idée que moi et que les filles avaient troqués leurs vêtements d’hiver pour des tenues bien plus légères et beaucoup se pavanaient en mini jupe. Je me sentais le coeur léger et tout guilleret j’entamais ma promenade.

C’est ainsi que je suivais depuis un bon moment une jeune dame très courte vêtue à l’allure provocante, une mini jupe de satin noir minuscule lui enveloppait tout juste son beau petit cul.
Je me sentais tout émoustillé et intérieurement la remerciais du bien que sans le savoir elle m’offrait. Elle portait une petite veste également de satin, mais rouge cette fois, tandis que sa chevelure noire, lisse et brillante tombant sur ses reins était du plus bel effet et couronnait harmonieusement l’ensemble.

Je m’amusais à la regarder marcher, sa petite jupe moirée sous les rayons du soleil étincelait et sautillait en suivant les mouvements de ses petites fesses qui tressautaient dans sa démarche.
Elle portait des cuissardes rouges à très hauts talons qui laissaient entrevoir les bas résilles noirs gainant une belle paire de cuisses.

Je m’amusais à imaginer ce qu’elle portait sous cette jupette, une culotte ? Sûrement pas, vu que l’on voyait trop bien le dessin de ses belles petites fesses. Probablement un petit string qui avait l’avantage de lui laisser les fesses à l’air.Ou bien rien du tout, mais dans ce cas un petit vent coquin pourrait lui caresser le minou.

Les femmes avaient bien de la chance de pouvoir s’habiller ainsi et de se sentir caressées sous leurs jupes par une douce brise.Je sentis monter une érection en moi et me dis que c’était bien agréable d’imaginer ça. Mais tant qu’à faire pourquoi ne pas prendre mon plaisir à la suivre encore quelque temps mine de rien.

Elle se dirigea vers le parc tout fleuri. Les couleurs flamboyantes des cerisiers du japon explosaient en milliers de fleurs tandis que les oiseaux virevoltant dans tous les sens lançaient leurs cris qui étaient autant d’appels à l’amour et ne me laissèrent pas de glace. Il y avait si longtemps maintenant que je n’avais plus ressentis ça.

Brusquement elle s’arrêta et se retourna me regardant droit dans les yeux.
Il y avait quelque chose d’oriental dans ce beau visage, mais surtout, sa classe forçait mon admiration.

– Tu ne serais pas à me suivre comme un petit chien ? Tempéra t elle.
– Rougissant, oh no…ben… non …mais finalement j’avoue, ben… heuh… si.

Un sourire narquois traversa son visage.

– Alors si tu m’avoues que tu me suis comme un petit chien il faudrait que je te promène en laisse.
– Ne vous moquez pas de moi, je vous suis tout simplement parce que je vous trouve très jolie.
– C’est à dire que plus exactement tu prends un malin plaisir à me suivre et tu prends ton pieds en profitant gratuitement de moi mais faute avouée est à moitié pardonnée et ce que tu viens de me dire me flatte, n’empêche que je te donnerais quand même bien une bonne correction tu sais.
– Je voudrais vous accompagner un moment. (J’ose dire)
– Tu ne sais pas à quoi cela t’engages, mais oui je veux bien, accompagnes moi, j’espère que tu ne le regretteras pas. Parce que tu ne sais pas ce que je suis.

Bien qu’ayant l’air d’un gosse pris en défaut, j’étais très heureux. Mais qu’a t elle voulu dire par « tu ne sais pas ce que je suis » ?

Nous marchions côte à côte en parlant de tout et de rien. Elle me tutoyait, mais moi vu sa classe et sa supériorité je n’osais pas. Nous sortîmes du parc et entamions une promenade dans les rues animées de la ville.

Je n’étais pas tout à fait un inconnu ici et à tout moment je pouvais rencontrer une connaissance qui me verrait accompagné de cette femme aguichante nettement plus jeune que moi , mais pas assez pour passer pour ma fille, et immanquablement médirait sur mon compte.

Je remarquais que les passants nous dévisageaient et même se retournaient sur notre passage. Je ne me sentais pas à l’aise et songeant me soustraire aux regards, je pensais à l’inviter prendre un verre dans un bistrot, mais encore une fois n’osais pas par peur d’y rencontrer des amis.

Passant devant un café c’est elle qui me le proposa.

-Tu n’as pas l’air tranquille, si on entrait ?

C’était mal venu de refuser, et j’acceptais.

Tandis que je jetais rapidement un coup d’oeil vers l’assistance, j’entendis le patron du bar la saluer,

– Bonjour Maîtresse Catty, quel plaisir, de plus en plus ravissante.

Nous prîmes place à une table du coin que déjà un garçon accourait servir un verre de vin blanc.

– Voici pour vous Maîtresse Catty ! Et pour monsieur ce sera ?
– La même chose.

Il n’y avait personne que je connaisse et je me détendis un peu, mais qu’avait ils à l’appeler « Maîtresse »et pourquoi étaient ils ainsi à ses pieds ?

– C’est ici que je viens racoler, dit elle en riant.

C’est ça, je suis tombé sur une racoleuse et elle va me proposer une passe.

Face à mon désarroi, elle continua en s’esclaffant

– Ce n’est pas ce que tu crois, je viens ici pour rencontrer des clients.

Voyant que je n’étais vraiment pas rassuré, elle continua,

– Je suis représentante en lingerie sexy et viens parfois ici pour présenter le catalogue avec quelques articles à mes clients et devant un verre de vin c’est bien plus convivial.

Ouf, elle a une profession « honorable », quoique présenter de la lingerie sexy dans un café est assez insolite. Mais enfin, je me détendis quelque peu et lui racontait que j’étais cadre dans une entreprise moderne et avait plusieurs personnes à mon service dont plusieurs femmes.

– Tiens, tiens ….intéressant, fit elle pour tout commentaire.

J’appréhendais tout le temps de voir rentrer quelqu’un que je connaisse et avais continuellement un oeil sur la porte d’entrée. Elle dut s’en rendre compte car,

– Tu n’es vraiment pas à l’aise, dommage, j’aime qu’un homme soit fier de ma présence et me le montre, il y a par contre quelque chose qui me plais chez toi, je te laisse une chance, si on continuais notre conversation chez moi, tu y sera plus tranquille, du moins je l’espère.
– Bien volontiers !

Fou de désir je m’imaginais déjà profiter d’un massage exotique ou de quelques mignardises dont elle devait connaître un bout.

Moi j’étais nul par contre, j’avais la chance de bavarder avec une femme exceptionnelle et je me comportais comme si j’en avais honte. Je payais l’addition et remarquais que son verre lui avait été offert.
Décidé à être avenant, en rue je me risquais à la prendre par la main et remarquais que ça ne lui déplut pas le moins du monde à la manière enchantée dont elle glissa sa main dans la mienne.

Je ne prêtais plus attention aux passants mais remarquais néanmoins une jeune dame de mon service qui fit mine de ne pas me reconnaître lorsqu’elle nous croisa. Si elle raconte ça à ses copines, s’en sera fini de ma belle autorité. Et je ne vois pas pourquoi elle s’en abstiendrais vu l’ambiance tendue au bureau et mon refus de lui octroyer l’augmentation qu’elle me réclame depuis des mois.

– Ne t’étonnes pas de ce que tu verras en entrant chez moi, fit elle, ma décoration intérieure en a fait sursauter plus d’un, mais moi j’aime ça. C’est un mélange de culture occidentale et orientale, ce que je suis.

Pensant qu’il s’agissait de goût ornemental, je n’y pris pas attention, mais une fois à l’intérieur il me fallut tout mon sang froid pour ne pas broncher. Au mur étaient suspendus des objets d’un autre âge, aux meubles des anneaux étaient fixés et son salon était parsemé de choses dont j’ignorais l’utilité.

– Alors ça te plait ? fit elle
– Ben. heuh… assez inattendu mais cela dégage un je ne sais quoi de mystère.
– Tu verras tu apprécieras, fut sa réponse.

Je me dis qu’elle était sûrement fan de culture médiévale et orientale. Mais pourquoi diable m’a t elle dit « tu appréciera ». Je n’ai pas l’intention de m’installer ici que je sache.

– Installes toi dans ce fauteuil pendant que je nous prépare un drink

Peu de temps après elle réapparut avec un plateau muni de deux cocktails bien glacés.

– A ton initiation ! dit elle.
– A notre rencontre ! Fut ma réponse.

Ah ! Le rêve, elle a bien dit à mon initiation, elle avait donc bien l’intention de m’accorder une spécialité. Elle se fit très agréable et gentille, passa derrière moi, me caressant la tête puis les épaules, dégrafa ma chemise pour me caresser les mamelons. C’était très agréable, personne ne m’avait jamais fait ça et je me dis que j’avais bien de la chance de l’avoir rencontrée.

Calmement elle prit mes avants bras et les fit glisser dans mon dos.
Confiant, je laissais faire jusqu’à ce que j’entende un double clic et sentis mes mains emprisonnées.
La garce ! Elle m’avait fait prisonnier. J’étais entre ses mains avec l’impossibilité de m’enfuir.

-Tu vois fit elle, je suis une Maîtresse et j’aime corriger ceux qui me manquent de respect et osent me suivre, je t’avais prévenu non ?
– Tu vas me libérer de suite sinon je hurle et le voisinage sera au courant.

Un éclat de rire résonna dans la pièce, puis elle répondit.

– Pour ce qui est du voisinage, ne te tracasses pas , l’appart est parfaitement insonorisé , mais ce qui est bien plus grave c’est que tu t’es abaissé à me tutoyer et ça tu vas le regretter pauvre petite larve que tu es !

Incrédule je me mis à crier, mais loin de l’apeurer, calmement elle prit un bâillon et me le fourra en bouche puis referma les deux lanières derrière ma tête.

– Ce n’est pas que j’aie peur que tu ameutes le quartier, mais ça me fait mal aux oreilles. Quand tu seras dans de meilleures dispositions tu te mettras à genoux et me demanderas pardon. Pour t’y aider je vais te fixer des pinces sur les tétons et crois moi tu vas changer d’avis.

Elle s’empara de mes tétons entre ses doigts et se mit à me les tordre violemment,
Me fixa les deux pinces promises. La douleur me transperçait. J’aurais voulu faire un signe pour l’arrêter, mais déjà elle avait tourné les talons et allait calmement dans la pièce à côté.

C’est bien moi ça ! Partir a l’aveuglette avec une inconnue. J’ais affaire à une sadique. Elle se baladait en rue dans une tenue provocante pour racoler des mecs et les maltraiter.

Je restais ainsi à réfléchir un long moment tandis que les pinces m’obsédaient les idées. Et pourtant au fil du temps songeant à sa beauté, à ce corps divin il me vint à l’esprit qu’il m’était agréable de souffrir pour elle. Je comprenais mieux maintenant pourquoi elle m’avait dit que les pinces m’aideraient à changer d’avis. Ça devenait agréable ! Je sentais mon sexe gonfler comme ce n’était pas possible.

Ah si seulement j’avais les mains libres pour jouer un peu avec les pinces et tirer dessus. Je vais me plier à ses exigences puisque je n’ais d’autre choix et soumis je me mis à genoux à l’attendre. Elle sera ma maîtresse et je serai son esclave.

Brusquement, elle rentra au salon. Elle avait ôté ses cuissardes et chaussés une paire de souliers à talons vertigineux qui mettait le galbe de ses jambes en valeur et portant une fine et flexible cravache à sa taille.

– Alors, on est dans de meilleures dispositions maintenant ? S’enquit elle.

J’opinais de la tête et elle m’enleva le bâillon.

– Oui dis je, je mérite une correction pour mon attitude.
– Demandes pardon pour commencer !
– Pardon !
– Comment, pardon ! C’est bien court ça ! Ne t’ais je pas dis qui j’étais.

Me rappelant comment le patron du bar l’avait saluée je rechignais à la nommer Maîtresse mais risquais :

– Pardon madame Catty !
– De mieux en mieux en mieux, tu m’appelles madame maintenant !
– Pardon Maîtresse Catty.
– Ah ! Voilà qui est mieux, tu peux m’appeler Maîtresse tout court.
– …
– A genoux devant moi tu vas me faire une minette dont je veux me souvenir pour te faire pardonner, sinon tu goûteras de ma cravache.

Faire minette n’était pas une punition pour moi car j’adorais ça et bien décidé à faire de mon mieux je m’approchais d’elle sur les genoux, les mains menottées derrière le dos et avec mes dents je tirais sur la tirette de sa minuscule jupette qui sans difficulté tomba à ses pieds découvrant un string rouge qui flashe tout humide de sa mouille.

Je l’embrassais partout sur le cul, tantôt léchant ses cuisses, tantôt suçant la mouille sur son string jusqu’à ce que n’en pouvant plus, de mes dents je lui ôtais le petit bout de tissus découvrant l’âtre de ma convoitise.
Une fine ligne de poils soyeux traversait verticalement son pubis et se séparais en deux traits fins le long de ses grandes lèvres.

J’approchais mes lèvres de sa fente quand j’aperçu deux rangées de petits piercings sur ses petites lèvres. Mon hésitation fut récompensée par un violent coup de cravache sur mes fesses. Je ne pus m’empêcher de lancer un cri.

– Comment, non seulement tu n’as pas à t’intéresser à mes bijoux mais aussi tu dois me remercier quand je te gratifie de ma cravache. Alors qu’est ce qu’on dit?
– Merci.
– Comment ça merci ? Merci qui?
– Merci Maîtresse.
– Ah voila qui est mieux, continue maintenant.

Vite, je m’empressais à fourrer ma langue dans son petit nid mais encore fois je fus distrais par la subtile mais forte odeur se dégageant de son intimité et hésitais.

– C’en est trop maintenant !

Elle dégrafa ma ceinture, descendit mon pantalon et mon slip sur les genoux et me donna l’ordre de mettre mes fesses en l’air. N’ayant d’autre alternative, j’obéissais et mis ma tête au sol. Mon sexe devint dur comme de la pierre et prenait des dimensions inconnues.

Naïvement je rétractais mon postérieur pour me substituer à sa cravache, mais rien n’y fit et je dus déguster jusqu’au bout la série qu’elle m’administra .Les premiers étaient supportable, mais je fut bien content quand elle cessa de me fouetter car les derniers étaient à la limite de ce que je pouvais endurer.

Je mis toute mon énergie à la lécher, à jouer avec les piercings, à sucer et à mordiller sa gourmandise qui grossissait au fur et à mesure et finalement à la boire goulûment.

– Plus fort cria t elle, plus vite ensuite et puis soudain dans un grand mouvement saccadé elle hurla de plaisir. Ce qui me fit exploser à mon tour. Aussitôt elle m’ôta les pinces. Mais tout mon foutre giclait sur le pavé.
-Tu es une brave petite larve, tu me plais bien, aussi pour ta récompense tu peux nettoyer par terre et avec la langue s’il te plaît. Et que tout soit nickel.

Ça me plut nettement moins mais comment y échapper ? Je m’enquis donc de mon devoir et méticuleusement je nettoyais le pavé avec ma langue en avalant mon sperme.

La suite se passa comme par enchantement. Elle me détacha les mains, me donna un bisou et me dit.

-Tu es un brave petit, est ce que ça t’a plut ?
-Je ne m’y attendais pas, c’était très bon pourtant.
-Tu t’attendais à quoi ?
-A quelque chose de plus oriental, vu vos ascendants.
-Je crois savoir ce que tu veux dire, une autre fois peut être si tu es bien obéissant.
– Et si je n’avais pas aimé ? Repris je.

Souriante, elle me rétorqua,

-Il y a des signes qui ne trompent pas. Quand on suit une femme de mon style c’est souvent le cas, on prends plaisir à se soumettre et à ramper à ses pieds, n’ais je pas raison ?

Je songeais un instant à l’autorité pesante que j’exerçais sur les femmes de mon bureau mais me rendis compte que face à une Maîtresse plus forte que moi je prenais plaisir à me soumettre et ramper à ses pieds.

Par la suite nous avons continué à bavarder comme s’il ne c’était rien passé. Elle m’offrit encore à boire et était très attentionnée à mon égard.

Au moment de prendre congé elle me dit tendrement

– Tu reviendras ? »

Hésitant suite à ce que je venais d’endurer je ne répondis pas de suite, tandis que sévèrement elle ajouta,

-Reviens ! C’est un ordre.
– « Au revoir Maîtresse » M’entendais je dire.

Je venais de rencontrer celle qui savait me soumettre , me dicter sa loi , me corriger et me conduire vers des horizons inconnus.Et tout au fond de moi même j’aimais ça.

Andry

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