Les troubles d’une chienne 2 – Prise en main par Madame par « lachiennedeMadame »

Les troubles d’une chienne
2 – Prise en main par Madame
par « lachiennedeMadame »

Presque avec douceur, Monsieur me douche et me savonne. Me sèche hors de la baignoire et me harnache à nouveau.

Lorsque je pénètre dans la chambre, j’ai la surprise de découvrir la femme qui doit devenir ma maîtresse ! Il n’était pas prévu qu’elle vienne lors de cette première séance, celle-ci devant servir de test avant qu’elle ne me prenne elle-même en main : il fallait que j’en vaille le coup, en quelque sorte.

Visiblement oui, Monsieur a dû l’appeler…

Je ne vois d’abord que les bottes de cuir noir dont la pointe écarte mes genoux.

Je meurs d’envie de la regarder vraiment, moi qui ne la connais qu’en photos.

D’une main ferme sous mon menton, elle relève ma tête.

Son sourire rouge, un rien narquois, pour la première fois s’adresse à moi. Vraiment à moi.

Son regard qui brille me brûle de part en part. Mon cœur va éclater.

Elle m’examine, tournant mon visage de droite à gauche. Ses doigts pressent mes joues, soulèvent mes lèvres, inspectent mes dents, allant même jusqu’à tirer ma langue hors de ma bouche. Je me sens comme un vulgaire animal au marché aux bestiaux !

Jusqu’ici les épreuves avaient été conformes à ce que j’avais imaginé, même plus riches encore en sensations. À présent, mes rêves vont vraiment prendre vie.

Enfin, elle me tire par un sein et m’entraîne jusqu’au lit où elle me fait monter à quatre pattes.

Je réprime avec difficulté un gémissement.

« Allons petite pute, tu vas finir par me faire attendre si tu restes plantée là comme une gourde ! »

À son tour, elle me palpe, me pince là où ma chair est un peu trop abondante, étire et tord mes seins, écarte mon cul et mon sexe qu’elle ne fait que regarder en riant. « On te travaillera comme un tas de viande », avait dit Monsieur. Je prends toute la mesure de cette phrase. Je ne me sens rien de plus. Et j’aime ça.

Elle commence à claquer mes fesses. Sous la poussée, je manque de perdre l’équilibre. Monsieur m’attrape par le collier pour me maintenir en position.

« Elle est trop bien installée et elle mouille, cette chienne ! Il faut la contraindre un peu mieux que cela »

Monsieur passe une corde à mon collier, la fait passer entre mes cuisses et en attache l’autre extrémité à l’anneau placé à l’arrière. Ma tête se retrouve relevée de force, la corde cisaille mon sexe au moindre mouvement et le collier me serre le cou.

Les claques continuent, produisant à présent un écho sur ma vulve agressée par le chanvre. Par instants, les mains pincent et malaxent mes fesses brûlantes. Un répit presque.

« Monsieur m’a dit que tu avais une bonne langue… Je veux vérifier avant de te prendre pour de bon comme chienne »

Ils me libèrent et je dégringole comme une chiffe molle du lit. Je rampe jusqu’au canapé où Madame s’est assise, ses jambes largement ouvertes.

Mes membres tremblants d’excitation et de honte ont du mal à me porter.

« Allez, fais-moi voir ce que tu sais faire. »

Je la renifle comme le ferait une chienne (n’est-ce pas ce que je veux devenir, entre autres ?). Son odeur m’envahit et je plonge dans son intimité, chaude et douce sous ma langue.

Ses gémissements, même retenus, me galvanisent et je m’applique encore davantage. J’aspire goulûment son jus, tétant sans vergogne son clitoris. Elle m’attrape par les cheveux et me plaque contre elle, frotte vigoureusement mon visage sur toute sa vulve jusqu’à ce qu’elle jouisse puissamment.

« Au moins tu es bonne à ça… Une vraie langue de salope ! »

D’une brusque poussée de son pied, elle me repousse.

« Allons dégage maintenant ! Qu’est-ce que tu crois ? Que je vais te câliner ? »

Déséquilibrée, le visage trempé, je me retrouve à moitié sur les fesses.

Madame m’écarte à nouveau les cuisses de la pointe froide de sa botte. La pointe s’enfonce entre mes lèvres, titille mon clitoris. Je retiens mon souffle. Me cambre allant à la rencontre du cuir qui se réchauffe.

« Tu aimes ça être ouverte… Tu vas voir… ça va être encore mieux… Grimpe sur le lit »

Tous deux me réharnachent : sangles de toile et de cuir aux chevilles, aux cuisses, aux poignets, barre d’écartement, me voici cul et chatte offerts.

Vous me fixez le bâillon-boule dans la bouche.

« Je ne veux pas t’entendre. »

Deux de vos doigts entrent dans ma chatte, vous commencez à me branler.

« Voilà ce que l’on fait à une chienne dans ton genre. Ça ne mérite pas mieux que d’être fistée à tour de bras »

Puis trois doigts, quatre. Vous poussez, tournez, forcez de plus en plus vite et fort. Je ferme les yeux. Le lubrifiant est presque inutile tant je mouille.

J’ai à peine la force de bouger ma tête de droite à gauche, comme en signe de dénégation du plaisir pourtant évident que je prends à être transpercée et dilatée dans cette posture obscène. Suprême honte, je bave sans fin, me sentant ainsi encore un peu plus bestialisée.

Enfin Madame présente le pouce à l’entrée de mon trou déjà bien distendu. Jamais je n’ai été plus loin que quatre doigts. Sa main va franchir le seuil. J’ai peur, mais j’en ai tellement envie !

« Détends-toi », me dit-elle d’une voix douce, pour la première fois. Son autre main me caresse le ventre. Fraîche. Le pouce est rentré presque sans que je m’en rende compte.

« On fait une petite pause pour te laisser respirer. »

Puis elle recommence à me branler en me disant que je ne suis bonne qu’à me faire enfiler… « Et encore même pas par des vrais mecs. Que des godes, des vibros, des légumes, des bouteilles, des ustensiles de cuisine, des baguettes… On trouvera sûrement d’autres choses encore. Tu verras, tu ne reconnaîtras plus ton trou ! »

Elle éclate de rire.

Et moi je pleure et je jouis en même temps.

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Une réponse à Les troubles d’une chienne 2 – Prise en main par Madame par « lachiennedeMadame »

  1. Sorenza dit :

    Plat et peu interessant

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