Clotilde
2 – Soirée inoubliable
par Fafalecureuil
Impassible, je me masturbais en gémissant devant lui et il restait de marbre, il ne faisait pas le moindre geste vers moi. Je retournais au salon pour reprendre mes caresses, allongée sur le canapé. Ronan, assis en face de moi, était aux premières loges. Je le suppliais de me prendre.
– J’ai trop envie, je n’en peux plus
– Le jeu n’en est que plus excitant Clotilde, continuons
– Mais je vais jouir…
– J’y compte bien, c’est un superbe spectacle !
Je continuai à me caresser et pensais à un moyen de le faire craquer… Je me levais et cherchais le téléphone, je m’enfermais dans la salle de bains et sans réfléchir, j’appelais Nadia sans idée précise… Alors que le téléphone sonnait, je pensais au ridicule de la situation, elle était certainement en plein dîner avec son petit ami… Elle décrocha après trois sonneries, elle avait l’air fâché
– Excuse-moi, je te dérange, j’avais oublié ta soirée…
– Clo ? C’est toi ?
– Non, elle est tombée à l’eau, cet abruti a préféré partir voir un match de foot…
– Oh désolée…
– Quel con, il ne sait pas ce qu’il rate, et toi, si tu m’appelles aussi tôt, c’est que ton prince charmant n’est plus là non plus ?
– Si, enfin, euh, il est là…
– Et …
– Pour être honnête, je lui ai tout avoué, je suis presque nue et il y a 5 minutes, je me caressai devant lui.
– Ben toi, t’as pas perdu de temps !
– Le problème, c’est qu’il ne me saute pas dessus….
– Comment ?
Et je racontais tout à Nadia, en détails…
– En fait j’ai une idée pour le faire craquer, Clo,
– Je t’écoute,
– Cet après-midi, dans la salle de bains,
– Oui…
– Si tu veux dans 15 minutes, je suis chez toi, et on reprend les choses là où on en était…
– Je …
– Je te garantis qu’il va craquer, aucun homme normal ne peut résister à 2 femmes qui s’embrassent !
– Mais…
– Tu as le choix, dis-moi oui ou non.
– Je ne …
– Oui ou non ?
– Tu crois que ?
– Oui ou non ?
– O…oui ?
Son ton était presque devenu autoritaire, je m’imaginais dans ses bras, entrain de l’embrasser devant Ronan, je ne pouvais pas résister.
– Bien Clotilde, pour commencer, tu vas le chauffer à mort en m’attendant, emmène le dans ta chambre, et rhabille toi. Mets un truc sexy, avec des dessous, je t’ai laissé un porte-jarretelles rouge avec des dessous, mets ça.
– D’accord,
– A tout de suite… Oh, attends, je veux que tu rajoutes une petite touche, un accessoire que tu trouveras dans le sac, n’importe lequel…
– Je …
– Tu trouveras Clotilde, j’arrive, et fais bien tout ce que j’ai dit.
Après avoir raccroché, je sortis de la salle de bains, Ronan était sur le canapé, il attendait ma sortie de la salle de bains… Je laissais la porte ouverte et doucement je me rhabillais. String rouge transparent, porte jarretelles, bas couleur chair, soutien gorges laissant voir mes tétons tendus, puis j’allais vers la chambre. Ronan me suivit, je mis une petite jupe, un chemisier blanc et une veste de tailleur. Puis les escarpins noirs de Nadia. Je retournais dans le salon, en espérant que Ronan allait craquer. Je repris un peu de champagne et réalisait que c’était ma première expérience lesbienne, et que j’allais peut-être aller plus loin qu’un simple baiser avec Nadia…
La sonnerie me tira de mes pensées. Je me levais et descendis, Ronan me suivit du regard. J’ouvris la porte à Nadia, elle m’embrassa d’emblée, moins surprise que la première fois, je lui rendis son baiser.
– Quel accessoire as-tu choisi ?
– Oh, j’ai oublié…
– Tu as 2 minutes pour en choisir un, Clotilde !
– Mais …
– 2 minutes… je t’attends ici…
– Ok …
Je remontais rapidement, fis signe à Ronan que tout était OK et à la salle de bains je pris sur la tablette du miroir le petit collier de cuir. Je retrouvais Nadia en bas, la lumière était maintenant allumée, elle portait une longue robe noire fendue sur le côté laissant voir ses jambes nues, son décolleté laissait voir le sillon de ses seins, elle était superbe et je me disais que même si Ronan partait je pourrais bien me consoler avec Nadia. J’étais dingue, j’envisageai ma première expérience lesbienne avec la plus grande impatience.
– Alors qu’est ce que tu as choisi ?
– Ça…
– Le collier ? Quelle surprise !
– Je l’ai pris machinalement, pourquoi ?
– On verra ça plus tard, en attendant, montons, il est en haut ?
– Oui…
Elle m’emmena en haut, et comme s’il n’était pas là, elle m’attira à elle et m’embrassa, léchant mon cou, plongeant sa langue dans ma bouche, ses mains parcouraient mon corps, puis, l’air de rien, elle s’installa dans le canapé en croisant les jambes.
– Sers-moi un verre, tu veux bien ?
– Oui, bien sûr,
– Tu as aimé quand je t’ai embrassée cet après-midi ?
– Euh… oui
– Et quand je t’ai touchée ?
– C’était délicieux,
– Décris ce que tu as ressenti
– Quand ta main s’est posée sur mon sexe, j’ai eu comme un frisson dans le dos, c’est pour ça que j’ai posé ma main sur la tienne.
– Et ensuite ?
– Quand j’ai senti ton doigt s’enfoncer, je ne pensais plus qu’a mon plaisir, quand tu m’as embrassée en même temps, je n’avais qu’une envie…
– Laquelle ?
– Que tu continues
– Et ?
– Et tu es partie en me laissant comme ça…
– Et tu t’es caressée ?
– Non, je devais me préparer…
– Donc tu dois être trempée… Montre moi ça…
Et je m’avançais vers Nadia, Ronan ne perdait pas une miette de la scène.
– Soulève ta jupe !
– Oui,
– Mais tu mouilles ! Quelle petite coquine !
– Oui, je n’en peux plus, je t’en supplie, continue…
La belle métisse glissait un doigt entre mon string et mon sexe, c’était simplement délicieux ! J’écartais les jambes pour elle et posais une jambe sur le rebord du canapé.
– Si tu veux que je continue, il faudra être gentille avec moi aussi…
– Oui Nadia… c’est bon…
– Très gentille …
– Oui, je ferai tout ce que tu voudras, mais continue…
– C’est que je voulais entendre… Pour commencer, enlève ton string
J’ôtais mon string et le mis dans la main de Nadia
– Tu sens bon, j’aime ton odeur
– …
– Maintenant tourne toi et baisse toi
J’obéis, et sa main caressait mes fesses, ses doigts glissaient sur ma fente et entre mes fesses, soudain un petit objet froid s’appuya contre ma fente et entra d’un seul coup, je sursautais. Nadia enleva ma jupe.
– J’adore ton petit cul Clotilde ! Reste comme ça
– Oui…
– Tu sens le plug ?
– Oui, c’est bon,
– Il est entré facilement, tu es trempée…
– …
– Relève-toi et va à la cuisine me chercher des glaçons
– Bien
J’allais à la cuisine, ce que je n’avais pas prévu, c’est qu’à chaque pas, le plug envoyait des vagues de plaisir dans mes reins. J’allais à la cuisine et tirait rapidement le volet.
– Non laisse ouvert Clotilde
– Mais on peut nous voir…
– Mais non, sois tranquille, on ne voit rien à travers les rideaux
– D’accord…
Il faut dire que ça m’excitait pas mal de m’imaginer qu’on me voyait, le cul à l’air. Je retournais au salon, Nadia était debout devant le canapé.
– Allonge toi sur le sol Clotilde
Je m’allongeais, jambes écartées, offerte. Nadia m’enfourcha rapidement, ses cuisses musclées enserrant mes reins. Puis elle défit les boutons de ma veste et de mon chemisier, libéra mes seins en tirant sur le soutien gorge. Elle prit un glaçon et commença à me caresser avec, sur ma bouche entrouverte, le long de mon cou, puis entre mes seins, sur mes tétons, je frissonnais de plaisir. Elle pinça doucement mes pointes pour les faire saillir encore plus et goba un glaçon avant d’emboucher mon téton gauche. Le mélange de chaud et de froid me rendait folle, sa bouche chaude et l’eau glacée, je sentais que j’étais sur le point de jouir. Puis elle se redressa et m’embrassa, passant le glaçon dans ma bouche. Je l’enlaçais de toutes mes forces pour qu’elle n’arrête pas ce baiser. Mon bas ventre en feu se frottant à ses fesses. Nadia se redressa et écarta les pans de sa robe, son sexe, nu apparut au-dessus de ma tête, je n’hésitais pas et approchais ma bouche, après quelques coups de langues hésitants, Nadia prit mes cheveux dans sa main et plaqua ma tête entre ses cuisses. J’embrassais son sexe à pleine bouche, son odeur musquée me faisait chavirer, Nadia m’encourageait,
– Tu lèches bien ma chérie, je ne m’attendais pas à ça, continue, enfonce bien ta langue… oui, comme ça plus loin, je veux que tu me fasses jouir maintenant, avec ta langue, continue.
Et je repris de plus belles, ma bouche aspirait ses lèvres, son clitoris tendu, son sexe ruisselait et lorsqu’elle plaqua ma tête contre elle, je compris qu’elle allait venir
– Je vais venir… Clotilde…
Et dans un râle de plaisir, elle explosa dans ma bouche. Surprise par son orgasme et surtout par la quantité de liquide, je ne pouvais que tout avaler pour ne pas m’étouffer.
– Bois, Clotilde, n’en laisse pas une goutte !
Sa liqueur brûlante avait un goût un peu sucré et après un moment d’hésitation, j’avalais ce nectar. Nadia caressait mes cheveux.
– Bien, tu mérites une récompense, tu vas te masturber devant moi, et suivre mes ordres
– O…oui
– Reste allongée sur le sol, ôte le petit plug de ton sexe et lèche le.
– Mmm
– Tu aimes ?
– Oui, j’aime
– Maintenant je veux que tu pinces ton clitoris entre tes doigts,
– Comme ça ?
– Plus fort, appuie bien dessus, je t’interdis de faire autre chose que de t’occuper de ton clito.
Et je serrai mon bouton entre mes doigts. J’avais envie de serrer plus fort encore et je pinçais mon clito avec force, je gémissais.
– Maintenant, continue sur ton clito, avec l’autre main, caresse ton sexe, mais pas de pénétration !
Ma main appuyait fort sur mes lèvres en feu, je me tortillais de plaisir. Mon souffle devenait rauque.
– Bien, je veux voir ton majeur dans ton petit trou
– Oh…
Mon doigt luisant de mouille entra facilement dans mon cul, disparaissant complètement.
– Tu aimes ?
– O…oui…
– Tu aimes te doigter ?
– Oui, Nadia, c’est booooon
– Sors ton doigt et lèche le
– Oui, c’est bon…
Loin de me dégoûter, je léchais mon doigt sous le regard de Nadia et de Ronan, sans attendre Nadia je le replongeais à plusieurs reprises dans mon cul pour le lécher à nouveau.
– Tu es une vraie cochonne Clotilde
– J’aime ça…
– Tu vas jouir maintenant, continue de te doigter
Et Nadia glissa sa main entre mes cuisses écartelées, ses doigts pénétraient dans ma chatte de plus en plus fort, je gémissais, me doigtant de plus belle, je me cambrais et je jouis brusquement alors que Nadia enfonçait trois doigts dans mon sexe. Après avoir repris mes esprits, elle me demanda de me relever et de lui ôter sa robe.
Quel corps de rêve, ses seins étaient fermes et pointus, ses fesses charnues et musclées, ses jambes… Elle avait pour seul vêtement ses mules à talon.
Elle se dirigea vers la salle de bains et revint avec son sac.
– Va chercher le collier sur la table
– Oui…
– Bien, maintenant, dis-moi si tu as joui
– Oui, Nadia, c’était superbe
– Je suis prête à te faire jouir jusqu’au matin, mais pour ça, tu dois te plier à mes volontés;
– …
– C’est à prendre ou à laisser
– Bien,
– Pour commencer, puisque tu as choisi un collier de chienne, je vais te le mettre, tu vas te déshabiller totalement.
– Bien
J’étais hypnotisée par Nadia, et je quittais tous mes vêtements. Nadia sortit du sac une robe noire et moulante, en vinyle. Elle m’obligea à lui enfiler, la robe laissait deviner tous ses trésors et je résistais à l’envie de la caresser.
– Maintenant, tiens toi debout devant moi, je veux voir ton corps nu, je veux qu’il m’appartienne. Ecarte les jambes.
Ronan ne me quittait plus des yeux, Nadia ne semblait pas l’intéresser, ce qui m’excitait encore plus, en m’offrant à Nadia, je m’offrais à Ronan. Et après m’avoir embrassée, Nadia ferma autour de mon cou le collier de cuir.
– Nous sortons, Clotilde, mets ces escarpins et suis moi
– Mais je ne peux…
– Viens de suite !
Je la suivis, hésitante, la porte d’entrée s’ouvrit, Nadia me fit signe de passer,
– Attends un instant, j’ai oublié un détail, ne bouge pas.
Nadia remonta les escaliers et après un instant elle revint avec une chaînette métallique qu’elle attacha à mon collier.
– Voilà, allons nous promener, nous resterons dans ton jardin, Ronan pourra ainsi suivre notre promenade depuis le balcon.
Je me sentais humiliée, ma collègue de travail me transformait en chienne obéissante. Le pire, c’était que tout ça m’excitait de plus belle, la nuit tombait, le froid sur mon corps nu, la chaîne glacée contre ma poitrine. Je baissais la tête, Nadia m’avait convaincue, je lui appartenais. Elle me fit marcher dans le jardin, j’avais envie que Ronan me voie, je l’imaginais en train de se masturber devant le spectacle que je lui offrais. Nadia tira sur la laisse et nous remontâmes. Elle m’obligea à m’asseoir à ses pieds un moment, puis elle écarta les jambes et me laissa lécher son sexe moite. Puis elle se releva et me présenta ses fesses, elle n’avait même pas besoin de parler, ma bouche se posa sur son petit oeillet et ma langue ne tarda pas à lécher, à pénétrer l’anus de Nadia. Elle grognait de satisfaction et m’encourageait à continuer. Je repris de plus belle pour contenter… ma maîtresse…