Les souvenirs de Didi 5 – Sororité par Didi_du_Québec

Les souvenirs de Didi
5 – Sororité
par Didi


Ce récit débute vers la fin des années 1970 et début 1980. J’allais avoir une initiation de la sororité qui m’a fait découvrir un aspect inconnu de ma sexualité.

Sous les regards de mes collègues de travail (femmes et hommes), l’on commença à me réchauffer en me mangeant la plotte (moule) et léchant ma cerise (clito) à tour de rôle, je me faisais manger par eux et parfois une femme à une extrémité et un homme sur mes gros seins et parfois même à quatre pour débuter les préliminaires !!!

J’entendis une voix féminine dire :

– C’est le départ pour le Festival des Pissettes (pénis).

Certaines de mes collègues féminines faisaient durcir les bites en les suçant et, quand elles étaient bien dures, hop, je me faisais pénétrer d’un coup et, comme j’étais bien excitée et que je mouillais abondamment, ça rentrait facilement…

Le fait de me faire pénétrer par des inconnus m’excitait énormément. Mes gros seins ballottaient de tous les côtés et je recevais toute la décharge (sperme) en moi et cela pour mon plus grand plaisir car, à cette époque, je n’avais plus la crainte de tomber enceinte, car j’avais obtenu une prescription pour la pilule et le seul effet secondaire avait été que mon tour de poitrine était passé de 36-C à 38-D, (de 90 à 95) et aussi que mes mamelons étaient devenus plus sensibles à la moindre caresse !!!

Une fois que le gars s’étais bien vidé la poche (scrotum), et bien, un autre prenait la relève pour continuer à me donner plus de jouissance.

Il y avait toute sorte de pénis (circoncis, non-circoncis, dilatés…), de tous les diamètres et de toutes les longueurs, pour mon plus grand bonheur. Certains hommes étaient silencieux et d’autres sacraient à faire rougir un bûcheron !!!

Certains avaient des mouvements plutôt lents et d’autres rapides comme l’éclair.

J’aimais bien ceux qui prenaient bien leur temps et qui savaient bien se retenir pour ne pas décharger trop rapidement. J’adorais sentir la poche (scrotum) sur mes cuisses et, avec l’effet combiné du claquement que ça faisait, je partais pour le septième ciel avec un premier orgasme.

Je sentais certains pénis mieux que d’autres et quand mon col de l’utérus était cogné par une longue bite effilée… ça me donnait des petits chocs électriques. Pour la première fois, je venais de découvrir un autre aspect de la pénétration que je ne soupçonnais même pas dans mes rêves et fantasmes les plus fous !!!

Mon vagin ruisselait et j’avais les jambes bien en l’air pour pouvoir garder toutes les semences de ces mâles en rut…

Je ne pouvais plus compter le nombre d’hommes qui me passaient entre les jambes et j’avais des orgasmes à répétition de plus en plus rapprochés. Un gars s’est écrié :

– Elle a le feu au cul, la cochonne !!!

Comme j’étais un peu « grassette », on m’aida à prendre des positions que je n’avais jamais faites jusqu’à ce jour. Un gentil petit pénis m’encula et un plus volumineux me pénétra vaginalement et je pus même les sentir se frotter à l’intérieur de moi…

J’allais de découverte en découverte avec, en prime, des orgasmes à répétition. Je sentais que certains éjaculaient plus fortement que d’autres. J’étais habituée à ce qu’une fois qu’ils avaient déchargé, les hommes se retiraient, alors que là, certains continuaient à faire un mouvement de va-et-vient entre mes cuisses, pour venir une seconde fois sur le même bandage (érection), encore une révélation sur la capacité de récupération des hommes.

Vers la fin, c’étaient les hommes plus performants et plus membrés qui allaient me fourrer (baiser) le plus fortement. Entre temps, j’avais toujours des caresses sur les seins, par toutes sortes de moyens : bouches, doigts et frottement de pénis… Je jouissais par tous les côtés de mon corps. J’en étais rendue à un état second de jouissance et, vers la fin, c’en était trop, et je tombai sans connaissance.

Quand on me réveilla, on était rendu vers la fin de l’après-midi et mon initiation avait duré au moins trois bonnes heures à la file… Je devais retourner rapidement à la maison, comme je le faisais chaque jour.

Je marchai rapidement et je sentis la semence de tous les hommes qui m’avaient bien sautée me couler entre les jambes. Avec mes doigts, je fis rentrer ma petite culotte pour retenir le plus de décharge en moi.

A cette époque, je vivais en union libre (accotée) avec mon chum (conjoint) Rénald. En arrivant, il s’inquiéta de mon retard car, habituellement, je suis toujours à l’heure. En s’approchant pour m’embrasser, Rénald me trouva plus chaude que d’habitude et il eut le goût de me faire l’amour avant le souper… Je ne l’ai jamais refusé et nous voilà flambant nus sur le lit.

Rénald fut étonné, car je mouillais plus qu’habituellement mais, en réalité, c’était le sperme de tous les hommes qui s’écoulait lentement et qui faisait une grosse tache sur les draps. J’avais peur qu’il me gronde pour mes infidélités avec tous ces hommes. Rénald faisait entrer sa langue dans mon vagin et avalait la semence qui était emprisonnée en moi !

Il me dit tout doucement, sur un ton complaisant :

– Quel goût merveilleux ! Ca doit être de la décharge (sperme), si je ne me trompe pas et il y en a pas mal aussi ! Il devait y avoir plusieurs hommes, pour avoir cette quantité.

J’étais excitée par la franchise de Rénald et je lui racontai dans les moindres détails mon aventure de l’après-midi. Ceci eut pour effet de le faire bander immédiatement et avec plus de fermeté qu’ordinairement.

Quand il me pénétrait, j’entendais le clapotis que ça faisait, car il restait encore du sperme de mes multiples partenaires. Rénald était plus performant et continuait à faire du va-et-vient entre mes cuisses, même s’il avait éjaculé. Je le trouvais plus excité qu’à l’ordinaire et il allait venir pour la seconde fois. Lui qui était si réservé allait devenir une bête de sexe.

– Et voilà que je vais manger mon dessert, me dit-il.

Et il alla fouiller dans tous les petits recoins de mon vagin et même mon anus, toutes les traces de cette merveilleuse liqueur d’amour : le sperme.

Et c’est ainsi que mon chum Rénald allait devenir le complice de toutes mes expériences sexuelles et qu’il a même sucé un homme devant moi, pour me donner son sperme dans la bouche, et même dans mon vagin.

Parfois, en rentrant à la maison, je lui disais que je lui avais rapporté du bon dessert et il bandait sur-le-champ et était excité comme un petit chiot.

Par la suite, Rénald choisit les hommes qui allaient faire l’amour avec moi et il eut sa dose de sperme qui était en moi. Rénald a même organisé une rencontre avec trois hommes, soit un pour chacun de mes orifices et à la fin il recueillit tout le sperme dans chacun de mes orifices et se laissa sodomiser par des hommes fortement membrés sous mes yeux. Il était devenu mon esclave et il m’avoua ouvertement sa bisexualité.

Malheureusement, j’essayai d’avoir des aventures avec des femmes et ça ne lui plaisait pas du tout, seulement moi, avec d’autres hommes, sous son regard.

Voici mon dernier récit pour mes souvenirs des années 1970-1980. Prochainement, ça sera des aventures plus récentes et n’oubliez pas que même si j’ai 59 ans, ma sexualité se porte très bien et je continue à en faire la pratique…

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2 réponses à Les souvenirs de Didi 5 – Sororité par Didi_du_Québec

  1. Baruchel dit :

    Ben dites-moi, on ne s’ennuie pas au Québec !

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