La foire expo
par Faustin
Jeune homme bien comme il faut, Louis avait une vie sexuelle régulière et correcte dans le sens bourgeois du terme, comparable à celle de ses contemporains. Jusqu’au jour où Muriel lui fit découvrir des aspects de relations sexuelles dont il avait entendu parler mais qu’il ne croyait pas possible.
Aux dires des proches de Louis, Muriel était une traînée. C’était probablement vrai mais Louis en était amoureux fou. Il lui passait tous ses caprices. Lui reprochait-il de le cocufier ! Elle le calmait en l’autorisant à lui lécher le cul, elle avait d’ailleurs pour cela instauré des séances de « face sitting ». En se faisant désirer, elle n’autorisait Louis à la baiser qu’une fois de temps en temps, et encore s’il était gentil. Ce dernier se mettait en quatre pour satisfaire sa dulcinée, il lui apportait régulièrement des fleurs, l’emmenait au restaurant, lui payait des week-end dans des relais & châteaux.
C’est d’ailleurs au cours d’un de ce week-end qu’elle découvrit jusqu’à quel point Louis était à sa dévotion.
Ce jour là, jour de grand départ en vacances, Louis et Muriel s’arrêtèrent dans une station service sur l’autoroute. Comme tout le monde, la première chose que l’on fait dans ces cas là, c’est de se rendre aux toilettes. Il y avait une queue monstrueuse à la porte des toilettes des dames alors que ça circulait bien chez les hommes. Après s’être soulagé Louis en quittant les toilettes des hommes, constata que Muriel n’avait pas avancé d’un pas. Il lui glissa à l’oreille.
– Je suis désolé pour toi, j’aurais bien voulu faire pipi pour nous deux mais ce n’est pas possible.
Déjà qu’elle n’était pas contente de faire la queue, mais le ton légèrement ironique eut le don de mettre Muriel de très mauvaise humeur, elle le retint par le bras et lui murmura.
– Mais si c’est possible, viens !
Elle l’entraîna vers la voiture, une Renault espace, lui ordonnant d’enlever un siège et de s’allonger sur le plancher. Dés qu’il fut en position, s’assurant que personne n’avait remarqué leur petit manège et après avoir baissé son short et sa culotte, elle se mit à califourchon sur son visage. Louis avait deviné et c’est avec un peu d’inquiétude qu’il attendait la suite. Sans plus attendre, elle libéra un flot d’urine dans la bouche de son partenaire qui reçu l’offrande en état d’extase, s’efforçant de ne pas en perdre une goutte.
Muriel s’aperçut ce jour-là, du pouvoir aphrodisiaque de sa production intime. Depuis, la vie ensemble ne pouvait plus jamais être comme avant. Louis était accroc et à chaque fois, qu’excédé par les incartades, il lui faisait des reproches, elle le calmait par la promesse d’une cuvée exceptionnelle.
Malheureusement, Muriel a laissé tomber Louis pour partir avec un bellâtre ayant un avenir plus souriant que le sien. Pour son équilibre, il lui fallait retrouver au plus vite ces sensations si grisantes. La chose n’était pourtant pas aussi aisée qu’il n’y paraît. D’abord, trouver des femmes excitantes prêtent à satisfaire ses fantasmes n’est pas chose facile. Il y a beaucoup de très jolies jeunes femmes mais il y en a déjà beaucoup moins si parmi elles on ne retient que celles qui sont disponibles. Leur nombre tend vers l’infiniment petit lorsqu’on aborde le sujet des rapports sexuels qui sortent de l’ordinaire.
Sa recherche tout azimut a bien entendu commencée par le plus facile, c’est à dire les professionnelles. Il y en a de superbes, bien balancées, avec ce qu’il faut là où il faut, mais plus elles sont belles, plus c’est cher, et, lorsque l’on a des demandes spéciales, cela devient inabordable. En plus on est souvent déçu, les personnes en question essaient de bien faire, mais il est très difficile de jouer crédible un fantasme qu’on a pas.
Un jour pourtant, en visite comme souvent dans un sex-shop, le vendeur qui connaissait bien ses tendances l’accueillit les bras en l’air et avec des cris de joie. C’est vrai qu’il étais un bon client mais ces démonstrations lui semblaient plutôt excessives. Le commerçant prit Louis en aparté et lui expliqua la raison de cet accueil enthousiaste.
Quelques jours auparavant, il avait reçu une proposition alléchante d’un petit artisan. Ce dernier avait fabriqué sur mesure un wc destiné aux maîtresses sado-masochistes. Il avait vendu fort cher son premier exemplaire, en avait fabriqué trois autres qu’il avait réussit à vendre, là encore, un bon prix. Mais dans cette branche, la publicité n’est pas très facile et le marché local était arrivé à saturation, il fallait donc trouver une solution pour trouver de nouvelles clientes.
Cette solution lui tomba dessus presque par hasard. Une de ces clientes lui signala la tenue prochaine d’une foire expo d’un genre très spécial. Cette foire se tenait dans un salon discret d’un grand hôtel parisien et l’exposition avait pour thème le Sado-masochisme à travers les âges. Il n’y avait aucune publicité pour cette foire. Les visiteurs étaient composés de professionnels et de gens fortunés connus ou inconnus.
Après s’être beaucoup dépensé physiquement en courant après ses relations et en back-chiche pour avoir leur appui, notre artisan avait réussit à trouver un petit emplacement d’exposant. Le problème pour lui, maintenant, était de trouver une vendeuse aguichante et prête à faire des démonstrations. Le jour d’ouverture approchait et il n’avait pas encore trouvé la perle rare. Comme avec son physique de père tranquille obèse il n’était pas question de faire les présentations lui-même, il avait fait le tour des sex-shops en promettant une somme rondelette au premier qui trouverait quelqu’un. C’est ainsi que le vendeur, pensant à Louis, réussit à convaincre l’artisan qu’un esclave serait encore plus naturel lors des démonstrations, les clientes pouvant essayer le wc dans des conditions presque réelles.
Quelques jours plus tard, Louis se retrouva dans le salon exposition. Un esclave ne pouvant pas décemment discuter avec des maîtresses potentielles, il était accompagné et dirigé par Mireille, une ancienne professionnelle avec de beaux restes. Le stand était petit, à peine visible au milieu des autres. Si ce n’est la bannière accrocheuse « human toilets », on ne l’aurait même pas remarqué. Pourquoi en anglais ? Certainement pour paraître moins cru.
L’exposition n’ouvrait que l’après-midi. Il n’y avait presque pas eu de publicité, et donc très peu de visiteurs, quelques messieurs, de ceux que l’on voit entrer furtivement dans les sex-shops, ils en avaient certainement eu connaissance par le bouche à oreille. Quelques professionnelles espérant peu être trouver de l’inspiration. Il faut dire que l’on avait vite fait le tour. Quelques vitrines exposaient des reliques, ceintures de chasteté, gode en bois précieux, cravaches, etc.… Quelques écrits datant de bien avant le divin marquis, tous ce qui était ancien était sous verre. A côté, quelques stands, des éditeurs, des sex-shops, une association de sado-masochistes représentée par deux esclaves, un homme et une femme curieusement habillée comme n’importe qui. En fait, l’animation commençait le soir quand l’expo officielle fermait. L’accès se faisait par invitation et était réservé à une certaine élite. Il valait mieux être connu, artiste, sportif, politique ou alors, être membre du cercle restreint des initiés, dernière possibilité, être très riche.
Le stand « human toilets » était très simple, une estrade, sur le devant de l’estrade, un petit bureau et au fond trônait…. Le trône, celui-ci entouré d’un rideau qui permettait aux clientes de s’isoler lors des essais.
Ce trône était quand même particulier. C’était un grand cube en matière translucide avec outre l’emplacement traditionnel pour s’asseoir, deux trous, un à l’avant et un à l’arrière, permettant à l’esclave de passer sa tête et se mettre dans la position que lui ordonnait la maîtresse. Sur le dessus, les abattants étaient peints couleur or donnant un air très chic à un meuble qu’en général on ne regarde pas si ce n’est pour ne pas le rater. Au milieu du cube, un avant-bras stylisé en bois se terminant par une main ouverte paume en haut. C’est sur cette main que l’esclave posait sa tête.
Avec son expérience, Louis avait suggéré à l’artisan de rendre ce bras articulé. Grâce à un levier, la main pouvait se lever ou se baisser permettant ainsi à l’utilisatrice de coller la tête de l’esclave contre sa vulve ou au contraire, de l’éloigner. Un autre levier permettait d’avancer ou de reculer la tête de l’esclave selon que la maîtresse désirait se faire lécher le sexe ou le cul. En option, ultime sophistication, quatre micros caméras pouvaient être disposées aux endroits stratégiques. Il était donc possible pour la maîtresse et ses amis d’avoir des points de vue unique et en direct sur un grand écran placé devant elle. Pour des raisons financières, les caméras et les écrans n’étaient pas installés sur le stand.
Chaque exposant qui le souhaitait avait droit de faire une démonstration de son matériel. Ces démonstrations avaient lieu chacun son tour et étaient bien entendues très courus. Le tour de « human toilets » arriva le samedi tard dans la soirée. Devant le parterre composé d’une vingtaine de personnes triées sur le volet. Parmi ces personnes Louis remarqua deux jeunes filles, Leur jeunesse et leur tenue détonnaient au milieu des autres invités. Elles étaient habillées comme certaines filles de nos banlieues, jeans trop grand, pull dont les manches étaient trop longues et enveloppaient leurs mains, basket aux pieds. Elles devaient avoir de puissants appuis pour être là.
Mireille fit un discours de présentation fort bien tourné. Les spectateurs riaient de bon cœur aux allusions salaces ou aux détails pratiques qu’elle leur distillait. De son côté, après une série mise en situation et d’essais avec Mireille, Louis était au point et prêt malgré une certaine nervosité.
Cette présentation était le clou du stand, il fallait faire du réel. Pour ce faire, Mireille s’était mise d’accord avec un maître qui tenait un stand voisin. Celui-ci voulu bien prêter son esclave ! Elle s’appelait Christelle et était plutôt mignonne. Deux heures avant la présentation, Christelle avait commencé à boire de l’eau et du thé, beaucoup de thé. Elle avait bien entendu l’interdiction de se libérer avant la phase finale.
L’heure était enfin venue de son entrée en scène. Elle avait un loup qui lui cachait le haut du visage et des lèvres outrageusement maquillées. Chaussée de longues bottes avec des talons interminables, elle était habillée d’une guêpière qui lui comprimait la taille tout en faisant ressortir la poitrine. Cette dernière était posée comme sur un plateau. Son cul et son minou rasé étaient à l’air. Tenant la main de Mireille, elle fut présentée en faisant le tour de l’estrade. Louis se tenait à quatre pattes au milieu de l’estrade, habillé de cuir, maillot de lutteur, collier et masque, la tête entre ses bras. Mireille fit asseoir Christelle sur son dos pendant que de discrets applaudissements se faisaient entendre.
Laissant le silence se faire, Mireille décrivit la suite de présentation.
– Utilisation la plus courante, vous n’avez plus de PQ chez vous, ce sont des choses qui arrivent, à tel point que certaines, après avoir acheté ce meuble, jugent inutile d’avoir du PQ chez eux. Pour la démonstration, nous allons barbouiller la chatte de Christelle de crème Chantilly et enduire son cul de chocolat fondu.
Mireille fit se lever Christelle, Dos au public, Christelle se baissa en écartant les jambes de façon à mettre son cul en évidence, Mireille le lui barbouilla de chocolat fondu puisé dans une casserole prévue à cette attention. Christelle se mit ensuite face au public, les jambes écartées pour que Mireille puisse l’enduire de crème.
Lorsque Christelle fut prête, Mireille ordonna à Louis de se glisser dans le wc non sans avoir mis aux votes du public la position qu’il devait y tenir. La majorité souhaitant qu’il se glisse par l’arrière, il s’exécuta. Christelle s’assit sur le trône mettant son con à quelques centimètres de sa bouche, Louis s’apprêtait à la brouter lorsqu’en bonne animatrice, Mireille demanda au public par où celui-ci voulait qu’il commence. Bien sur, les opinions étaient divergentes, devant, derrière, c’était à ceux qui crieraient le plus fort, avec ce brouhaha très conviviale, le public marchait à fond. Finalement, Christelle positionnait la tête de Louis alternativement devant et derrière au rythme des indications. Un quart d’heure de ce petit jeu et Mireille pouvait exhiber Christelle vierge de toute tache sous les applaudissements du public.
– Deuxième utilisation. Il faut de temps en temps donner à manger à votre soumis, c’est une tâche fastidieuse alors que vous pourriez faire des choses plus intéressantes, des mots croisés par exemple, Je vais vous présenter une façon de concilier les deux, vient ici Christelle !
Christelle, s’approcha, Mireille pris une banane dans un panier posé sur le bureau, La pela tout en la présentant à bout de bras face au public, la tenant par le bout encore enveloppé, prenant ensuite un god creux, elle y enficha la banane et la trempa dans le chocolat. Une fois ces manipulations terminées, Mireille enfonça le god dans le cul de christelle.
– Bien sur, la banane n’est pas la seule possibilité et les mots croisés ne sont pas obligatoires mais d’après ce que je crois savoir, c’est une pratique courante lorsque l’on a besoin de s’isoler. Ici, c’est uniquement pour la démonstration. Tient Christelle, prend ces mots croisés et ce crayon. Va donner à manger à l’esclave.
Christelle, s’assit de nouveau sur la cuvette, ajusta la tête de Louis et fit semblant de se plonger dans les mots croisés. Louis dégustait tranquillement ce banana split tellement particulier sous les yeux entendus des spectateurs. Au fur et à mesure de la dégustation Christelle s’agitait, contractant ses muscles pour retenir son envie de pisser. Pour terminer, Louis nettoya avec application de la vulve complètement inondée. Le numéro terminé, Ils saluèrent le public comme des vedettes du show-biz.
– Troisième utilisation, La plus agréable, je puis vous l’assurer mesdames. Vous rentrez chez vous après des courses interminables, vous avez envie de pisser à en mourir, ou bien, vous êtes chez vous en train de téléphoner à une amie, vous avez encore envie de pisser ou…. encore vous avez tout bêtement envie de pisser, après tout, il n’y a pas de besoin d’excuses pour avoir envie… Quoi de plus agréable que de se soulager dans une bouche ouverte attendant l’offrande que vous daignerez bien lui faire… En plus, non seulement il vous lèche pour que vous soyez irréprochable mais ça le fait bander. Un petit claquement de doigt et votre esclave prend la place qui vous lui réservez.
Mireille appuya ses dires par un Claquement de doigt et Louis se précipita dans le wc transparent. Christelle, qui sentait le moment de la délivrance proche, avait les larmes aux yeux à force de se retenir. Le public, sans cœur, protesta que la cuvette était trop loin et qu’on y voyait rien, insista pour que l’on transporte l’objet au bord de l’estrade et qu’on l’installe de profile pour ne pas manquer une miette du spectacle. Enfin, Mireille :
– A toi Christelle.
Celle-ci qui n’en pouvait plus, s’approcha les jambes serrées, la main entre ses cuisses, elle s’assit et resta quelque temps sans bouger. Le silence s’était fait dans les rangs, tout le monde avait les yeux fixés sur sa chatte, le troisième rang s’était levé. Rien, Un ange passe, la petite était bloquée.
Au bout de quelques minutes, une petite voix se fit entendre dans l’assistance, « psssst, pssst », relayé par d’autres « glouglou, glouglou ». Les larmes aux yeux, c’est le moment que choisit Christelle pour se libérer d’un coup, un jet d’urine frappa le visage de l’esclave, heureusement qu’il avait les yeux fermés, il cherchait désespérément à mettre sa bouche sur le chemin du jet et, enfin, goûter au délice suprême. C’est à ce moment que Christelle repris le contrôle de son envie, elle se libérait par à coups pour que tout le monde puisse profiter des apparitions du liquide aphrodisiaque. Louis avait l’impression de tourner la pub pour Hollywood chewing-gum et de se trouver au milieu de la cascade rafraîchissante. Le public applaudissait discrètement. Christelle, maintenant, contrôlait magnifiquement l’opération. Tenant la tête éloignée juste avant d’activer la source magique, et, grâce au levier, lui rapprochant la tête de sa chatte lorsque la source se tarissait. Louis pouvait à ce moment lui sucer ses délicieuses petites lèvres. Christelle, enfin libérée, prenait beaucoup de plaisir à se faire sucer, oubliant le public, elle lui pressa la tête très longtemps et si fort qu’il n’arrivais presque plus à respirer.
La démonstration s’achevait, elle avait eut beaucoup de succès. Le maître de Christelle vint reprendre son bien. Quelques clientes potentielles montèrent sur l’estrade avec l’objectif de se mettre en situation pour évaluer le confort. Louis resta donc à sa place et il en a vu de toutes les couleurs et de toutes les odeurs. Les clientes gardaient leur culotte et autres strings mais il pouvait voir des petites auréoles prouvant qu’elles avaient été sensibles au spectacle, Il y en a même une qui sans complexe, écarta son string pour qu’il lui assèche la cramouille. Certaines lui tâtaient la bite comme pour bien vérifier l’effet du puissant aphrodisiaque dont il avait été abreuvé.
Le lendemain, dernier jour du salon, Louis se tenait assis derrière l’estrade et derrière le rideau. Les contacts de la veille avaient été bons, une vente et plusieurs demandes sérieuses. Tout le monde attendait tranquillement la fin de l’exposition lorsque Mireille vint le chercher.
– Il y a là deux clientes qui voudraient te voir.
– Oui, bien sur, pourquoi ? demanda-t-il bêtement.
– Je ne suis pas sûr, mais je crois que tu as une touche. Ce n’est pas le genre de notre clientèle habituelle et je n’aurais jamais pensé qu’elles pouvaient s’intéresser au type de matériel que nous vendons. J’ai voulu les décourager en indiquant un prix quatre fois supérieur mais apparemment, ça ne les décourage pas. Tu viens ?
Curieux, Louis la suivi sur l’estrade en roulant un peu des mécaniques, plutôt flatté. Il reconnut immédiatement les deux gamines qu’il avait remarquées la veille. Louis avait une trentaine d’année et fréquentait d’habitude des femmes plus accomplies. Celles-ci devaient avoir à peine vingt ans et à cet âge les filles ne fréquentaient pas encore les milieux SM. Néanmoins, si elles avaient pu venir ici cela prouvait qu’elles avaient des appuis importants et étaient certainement très riches. Il se devait donc de leur être agréable. Tout sourire, prenant une pose avantageuse, il s’apprêtait à s’enquérir de leurs interrogations lorsque l’une d’elles, contournant le bureau, lui fit un signe impérieux de l’index.
– Approche !
La voix était acidulée mais le ton n’admettait pas réplique. Il s’approcha au bord de l’estrade, sourire figé.
– Sort ta queue !
Il hésita, il n’y avait presque personne mais le salon était encore ouvert. Mais il avait simplement oublié qu’il était un esclave pour ces dames. Après quelques instants de flottement, il se dit qu’après tout, les gens ici n’étaient pas des enfants de cœur. Un peu moins fier, il baissa son zip et sortis une bite au repos.
– Eh bien, Raïssa, que crois-tu que l’on puisse faire avec ça ?
Cela dit avec un profond mépris. Ladite Raïssa s’approcha à son tour, Sans complexe, elle se saisit de la bite sans prendre de précautions, sans en demander l’autorisation, la souleva, l’étira et la regarda sous toutes les coutures. Ses doigts étaient fins et longs, ils se terminaient par de très longs ongles vernis de bleu. Manifestement, ces mains n’avaient jamais travaillé. Louis remarqua deux superbes bagues avec les plus gros saphirs qu’il n’avait jamais vu et au poignet, une montre très fine, toute en or et diamants.
Rien à voir avec les bijoux, mais la douceur de sa main eut tôt fait de rendre la verge plus présentable. Mireille s’approcha. A mi-voix pour ne pas se mettre à dos de si riches clientes :
– Mesdemoiselles, je vous prie, nous sommes en public !
Les jeunes filles jetèrent un œil autour d’elles et décidèrent.
– D’accord, on va s’isoler derrière le rideau. Amènes-toi.
Encore une fois, elles ne demandaient rien, elles ordonnaient. Louis ne pu retenir un délicieux frisson lui parcourir le dos. Il étais vexé mais, à sa grande surprise, se faire traiter de cette façon par des gamines l’excitait terriblement. Des gamines qui sortaient à peine de l’enfance. Le temps n’était pas très loin ou elles jouaient encore à la poupée.
Tout en les suivant, il eut le temps de les détailler. Elles se ressemblaient étrangement, 1 m 70 environ, des cheveux longs noirs de jais encadrant des visages de types méditerranéens, ce ne pouvait être des arabes à cause de leur religion mais peut-être des grecques ou des libanaises, une allure très frêle dans leurs vêtements trop grands. On ne les imaginait pas donnant des ordres à un gaillard comme Louis.
Ils isolèrent tous les trois. A peine le rideau refermé, celle dont il ne connaissait pas encore le nom lui ordonna :
– Je suis maîtresse Mouna et voici maîtresse Raïssa, je sais que ta copine se fout de nous en proposant ses chiottes à ce prix, mais nous on s’en fout aussi, mon père est tellement riche qu’il peut acheter ce qu’il veut, d’ailleurs, l’hôtel où nous sommes lui appartient. Mais comme nous en voulons pour notre argent, on va se payer avec toi. Ta copine nous a dit que l’on pouvait t’utiliser à notre gré et je peux t’assurer qu’on ne va pas s’en priver. Alors maintenant, à poil, je veux vérifier que je n’ai pas affaire à un ringard.
Mireille n’avait pas tout dit à Louis, mais était-ce nécessaire, elle savait qu’il étais en manque et que la situation présente ne pouvait que lui plaire. Il se déshabilla, de plus en plus excité et se retrouva bientôt nu comme un vers. Les deux filles commencèrent à tourner autour de Lui en le tâtant partout pour vérifier qu’il n’avait pas trop de graisse. Elles le firent se pencher en avant les jambes écartées pour inspecter son trou du cul, lui flattant la croupe, Raïssa mis un doigt dans son petit trou, Il sentit son ongle qui lui griffait l’intérieur. Apparemment satisfaites, elles lui ordonnèrent de me mettre à genoux pour inspecter sa dentition, il avait vraiment l’impression qu’elles choisissaient un animal à la foire et il était de moins en moins fier. Devant tant de détachement et de mépris, sa queue se mis en berne. Bien sur, c’est Raïssa qui l’inspecta en me mettant dans la bouche les doigts qui avaient déjà servi à inspecter son cul, elle lui ordonna de les sucer. Sa copine intervint :
– Tu ne crois pas qu’il a un trop grand nez ?
– Non je ne trouve pas.
– Je me demande si ça ne me gênera pas lorsque je vais m’asseoir dessus ?
– Essaie pour voir !
– Allez, esclave, allonges-toi sur le dos au bord de l’estrade que je t’essaie.
Cet ordre lui fit venir un afflue de sang dans sa bite. Il oubliait avoir affaire à des gamines, il les regardait maintenant avec une pointe d’inquiétude comme des maîtresses à qui il devait obéissance. Il ressentit le délicieux frisson de l’avilissement en s’exécutant avec un zèle tout neuf.
Mouna s’assit sur son visage, malheureusement elle avait gardé son jeans, les tissus rêches lui faisaient mal. Apparemment elle n’apprécia pas non plus.
– J’ai du mal à me rendre compte avec ce pantalon.
Ce disant elle se releva pour baisser son pantalon et sa petite culotte. Louis pu enfin apercevoir son cul, délicat, des globes ronds et fermes à souhait, magnifique. Il n’eut pas le temps d ‘en voir plus parce qu’elle s’assit de nouveau sur son visage. Cette fois, Il était aux anges. Se reculant légèrement, elle écarta ses cuisses pour le regarder.
– Tu te rends compte, si j’ai envie, je lui dis d’ouvrir la bouche et je peux lui pisser dedans. Wouah !
Louis commença à sentir de la mouille tomber sur ses lèvres. Il n’était pas le seul à être excité. Un petit mouvement imperceptible et il se mis à la lécher. Elle se releva d’un bond.
– Qui t’a permis, espèce de sous merde ! Aller, file dans ta niche. Avant de les acheter, je veux les essayer mes chiottes, je veux me rendre compte si ta face de larve est adaptée à ma grotte, je veux savoir si tu mérites de me lécher le cul !
Décidément, elles alternaient le chaud et le froid, Louis croyait pourtant bien faire et ne savait plus comment me faire pardonner. Un esclave à toujours tort envers ses maîtresses. Il se dépêcha de glisser la tête dans le wc, il ne s’appartenait plus, retrouvant la boule d’angoisse que connaissent tous les esclaves lorsqu’ils veulent plaire à leurs maîtresses mais ne savent plus comment faire.
Sans se presser, Mouna vint s’installer sur le siège. Dix bons centimètres séparaient le visage de Louis des fesses de la belle. Vision magnifique, point de vue unique pour détailler ces endroits secrets et intimes du corps féminin. Les formes des sexes féminins sont aussi diverses que celles des sexes masculins. Le minou de Mouna était aussi raffiné que sa propriétaire. Le mont de Vénus complètement glabre, Louis pouvait voir deux longs bourrelets coincés entre les cuisses, ils étaient coupés en deux par une longue fente qui se prolongeait derrière par la raie culière de la maîtresse. Au milieu de la fente, deux petites lèvres délicatement fripées et insolentes essayaient de se frayer un chemin.
De temps en temps, comme d’un robinet mal fermé, une goutte de cyprine réussissait à passer au bord de ces lèvres, Louis avait la gorge sèche mais il n’osait pas bouger pour ne pas provoquer le courroux de maîtresse Mouna. Il avait beau tendre la langue, il ne pouvait pas attraper cette goutte du précieux jus qui invariablement tombait sur le bas de son menton. Brusquement, il sentit une poussée sur la tête et sa bouche fut propulsée vers la source divine. Il avait compris qu’il pouvait enfin sucer ce sexe. Tout en dégustant une mouille abondante et bandant comme un cheval, il se rendait bien compte du privilège inouï dont il bénéficiait.
Dans le même temps, Il senti que Raïssa s’intéressait à sa queue. Elle la lui caressait doucement de bas en haut. Mouna lui avait bien proposé de se mettre à califourchon sur L’esclave, mais il cru comprendre que Raïssa ne voulait pas perdre sa virginité. Ses gestes saccadés et maladroits le torturaient de bonheur. C’est le moment que choisit Mouna pour éloigner sa tête et il pu voir le plus beau des spectacles. Un petit frémissement de ses petites lèvres, l’apparition du liquide doré au bord de celles-ci précédant un premier jet hésitant. Il ouvrit la bouche en grand, buvant sa maîtresse. Sa bite se tendit prête à exploser. Raïssa poussait des petits cris et Mouna, d’une voix rauque, confirma au bord de l’extase « le salaud, il aime ça, tiens, bois, régale toi » tout en poussant et en envoyant de longs et copieux jets d’urine. Louis faisait des efforts terribles pour ne pas se laisser aller avant que Mouna ne termine.
Les bonnes choses ont une fin, la source se tarit, Mouna le repositionna pour qu’il puisse aspirer les dernières gouttes. La tête dans un autre monde, il éjacula tout en la léchant, envoyant des jets de foutre qui lui retombaient ensuite sur le ventre.
Mouna se leva en remontant sa culotte et son pantalon. Elle lui ordonna de se nettoyer de tout ce foutre. Louis redescendait doucement sur terre en sortant de la cage translucide. Son sexe encore à moitié en érection pendouillait en ses cuisses. Récupérant des mouchoirs en papier, il s’essuya au mieux. Ses maîtresses s’étaient éloignées et tenaient un conciliabule dans une langue qu’il ne comprenait pas.
Quelques minutes plus tard, Mouna s’approcha et avec une mauvaise foi évidente.
– Tu es vraiment un nul, Raïssa n’a même pas joui, on n’en a pas eu pour notre argent.
Raïssa confirma.
– On te laisse une dernière chance, c’est moi qui vais m’asseoir sur les chiottes Tu as intérêt à ce je sois contente sinon…
Avant qu’il eu le temps de se remettre à sa place, Mouna lui ordonna de se mettre une capote. Il comprit que cette fois, elle allait le chevaucher et cette perspective lui donnait du cœur à l’ouvrage, il était déjà au garde à vous. Il vit Raïssa l’enjamber et descendre pantalon et culotte. Son cul n’avait rien à envier celui de Mouna. Elle s’assit et sans préambule lui colla sa chatte sur la bouche, elle n’avait peut-être joui à l’extrême mais elle était toute mouillée. Louis se fit un plaisir de lécher ce plaisir féminin légèrement épais et salé.
Mouna n’avait pas attendu non plus pour se mettre à califourchon. Après avoir positionné la bite, elle se laissa tomber, s’enfonçant au plus profond. Doucement, elle montait et descendait sur son sexe qui se sentait bien. Pendant ce temps, Raïssa lui avait donné son cul à nettoyer. La mouille avait envahi sa raie, Louis mit tout son cœur dans cette noble tâche. Régulièrement, il essayait de tendre sa langue comme s’il s’agissait d’un pénis pour la lui enfoncer dans son petit trou. Apparemment, c’était efficace, elle sursautait en resserrant son sphincter et de nouveau, elle s’ajustait sur Louis, de son con, jaillissait de la cyprine comme l’eau des fontaines Versaillaises.
Sentant peut-être qu’elle ne pourrait plus se retenir longtemps, elle lui remit son minou sur la bouche et laissa échapper un puissant jet d’urine sur le palais. Mouna, prise par l’ambiance électrique, accélérait le mouvement. Dans sa bouche, en fonction de la puissance du jet, Louis sentait les contractions saccadées des muscles qui contrôlent la miction, et sur son bas-ventre, les mouvements de plus en plus désordonnées de Mouna. Il était au bord de l’apoplexie. Des éclairs lui transperçaient le crâne. Les râles des deux maîtresses confirmaient que leur état était identique aux sien. Abandonnant tout contrôle, il se laissa aller à éjaculer pour la deuxième fois en peu de temps.
Il lui fallut du temps pour reprendre son souffle. Les jeunes femmes mirent encore plus de temps à reprendre leurs esprits. Lorsque enfin, elles remontèrent à la surface, elles s’employèrent à remettre de l’ordre dans leur tenue se regardant d’un œil complice et, sans un mot ni un regard pour l’homme qu’elles venaient d’utiliser pour leur plaisir, quittèrent le lieu de la débauche.
De son côté, Louis ne sachant qu’elle attitude prendre, attendit que plus rien ne bouge. Il se décida alors à sortir de son wc de verre et de s’habiller avant d’aller retrouver Mireille. Celle-ci l’aborda avec un sourire éclatant.
– Je ne sais pas ce que tu leur as fait, mais elles ont acheté le meuble sans discuter le prix.
Elle continua
– Seulement, il y a une petite condition… Elles exigent que ce soit toi qui leur livre et installe le meuble. Je leur ai dit qu’il n’y aucun problème, j’espère que je ne me suis pas trop avancée?
– Non non! J’espère simplement que je saurais être à la hauteur.
– D’après ce que j’ai cru comprendre, Tu t’es très bien débrouillé, à tel point d’ailleurs qu’elles ont aussi exigée un service après-vente sur place 24 h sur 24 pendant au moins deux semaines. Je n’ai pas voulu m’engager ne sachant pas si tu es libre à partir de demain, mais ce serait vraiment dommage de perdre une telle vente. Qu’en penses-tu?
De telles occasions sont tellement rares que Louis n’hésita pas une seconde.
– Je pense effectivement que ce serait dommage, et si mon patron n’est pas d’accord, je lui file ma démission.
– A la bonne heure! Pour fêter ça, je te propose d’aller faire un tour derrière le rideau afin que tu me fasses une démonstration des arguments qui ont si bien convaincu ces demoiselles.
Louis, se rappelant les conseils de son grand-père, tel que : « Ne pas hésiter à remettre chaque jour l’ouvrage sur le métier », se disait que finalement, son grand-père était de bon conseils.
Ce récit à eu l’honneur d’être prix « Spécial uro » pour 2008
c’est pas mal mais il est dommage que l’auteur n’ai pas évoqué une autre utilisation de la chaise percée pourtant évidente. j’attendais le passage l’évoquant, il ne vint pas, alors je l’imagine : Mon ou ma camarde de jeu est sous la chaise, je m’y assois et je pousse, libérant un joli caca qui va lui tomber sur le visage et le polluer. Ma camarade de jeu devra évidemment me nettoyer le trou du cul avec sa langue. c’est t’y pas pervers, tout ça ?
l’auteur s’est un peu lâché dans ce récit, tu vas aimer
L’annonce fait à Louis 2 – la soirée de dominatrices par Faustin
je viens de le lire, effectivement c’est pas mal du tout, j’adore offrir ma merde à mes complices de jeu érotique..
j’ai moi-même commis un petit texte sur ces pratiques
Chaise percé par Claire_N