Le printemps 5 – Un Chaud Week-End (suite) par Lovelace

Le printemps
5 – Un Chaud Week-End (suite)
par Lovelace


LE PRINTEMPS
Un Chaud Week-End 2

Samedi matin, je suis réveillé par la bouche goulue d’Anne qui, comme à l’accoutumée s’est levée la première et a préparé le petit déjeuner. C’est une perle cette jeune femme !

Au cours de ce premier repas de la journée, que nous prenons pour la première fois de l’année sur la terrasse, tant la température est agréable, nous envisageons le déroulement de la journée et délirons sur nos voisins dont nous apercevons une fenêtre de leur maison depuis que leur jardinier a taillé la haie bordant le mur de notre propriété.

– Quand tu penses que la pauvre Marie a dû subir le bref assaut de son mari alors qu’elle a des mecs de qualité sous la main !
– Je suis sûre qu’elle fantasme sur toi ou son chien pendant son ennuyeux coït !
– En tout cas, son con de jardinier, je le retiens ! Il a taillé la haie à hauteur du mur ce qui fait que maintenant, ils ont une de leurs fenêtre du premier qui permet d’avoir une vue plongeante sur notre terrasse ! Un mètre de plus aurait suffit !
– Ça me fait penser à un truc foireux. Dit Alice.
– Ha, et quoi ?
– J’ai envie de savoir si ce mec est vraiment sincère dans ses convictions où s’il prend sa femme pour une conne !
– Je te vois venir, toi ! Tu veux tenter de le provoquer, non ?
– Exact et je sais comment ! J’ai pensé que Marie pourrait lui demander de l’aider à faire les carreaux et lui attribuerait la fenêtre qui donne chez nous. Au même moment, je me prendrai un bain de soleil à poil.
– Et alors ?
– Alors ? Et bien, s’il met une heure à nettoyer les carreaux c’est qu’il est voyeur et ça, c’est déjà un sacré signe. Après, il me suffira de le croiser et d’engager la conversation avec lui et le provoquer réellement !
– Pas con, ça peut marcher. D’un autre côté, il pourrait n’être que voyeur ! Reprend Anne.
– Possible. Mais si on n’essaye pas, on ne saura pas.
– Et si tu appelais Marie, maintenant, et que tu lui suggérais de le faire ce matin ? Demandé-je. Comme ça, tu peux faire mieux : deux jolies nanas qui prennent un bain de soleil et qui se caressent, voire, se gouinent !
– Hou, là ! Énorme ! Tu as raison, je vais l’appeler !
– Je sens qu’on va s’amuser ! Lance Anne.
– En plus, dis-je, je vais essayer de filmer tout ça. Ça pourrait être drôle. Depuis la lucarne du grenier, je devrais avoir une bonne vision de l’ensemble.

Le scénario étant calé, Alice passe un coup de fil à Marie. Une heure après avoir échafaudé le plan, tout est calé. Le nettoyage des vitres devrait commencer en début d’après-midi, Marie a convenu de passer un bref appel pour prévenir.

Nous nous amusons d’avance de cette cabale au cours du déjeuner.

Les filles préparent les fauteuils bain de soleil, les draps de bains et, pour ma part, je monte au grenier pour vérifier que mon angle de prise de vue sera bon. Finalement, c’est depuis le balcon de notre chambre que la vision est la meilleure. Je positionne donc la caméra sur son pied motorisé, la relie à un moniteur devant lequel je prévois de m’installer.

Comme convenu, le téléphone sonne deux fois vers 3 heures et les nanas s’installent lascivement sur les transats, seulement vêtues de lunettes de soleil. Je m’installe devant mon moniteur et les filme. Quelques instants après, je remarque que la fenêtre du voisin est ouverte. Je braque la caméra dessus, fais un zoom, c’est bien monsieur, un chiffon à la main. À priori, il ne semble pas remarquer tout de suite les deux femelles allongées sur notre terrasse, mais je remarque que sa tête tourne tout de même souvent en direction de chez nous. J’augmente le zooming et, effectivement, il mate, le vicieux ! Je bascule vers les filles, elles sont en train de se passer mutuellement de la crème solaire, se pelotant allègrement. Là bas, de l’autre côté du mur, le chiffon ne passe semble-t-il, moins vite ! Le bras semble en grève !

Les filles en rajoutent une couche et se roulent une pelle, Anne caresse la chatte d’Alice qui ouvre largement les jambes. Puis, elles inversent les rôles. Elles semblent joyeuses.

J’abandonne mon poste de surveillance, me déshabille et rejoins les filles sur la terrasse. Elles se sont à nouveau allongées, sur le ventre, les fesses offertes à la vue du pervers.

– Voulez-vous prendre un bain les filles ? Leur demandé-je.
– Si l’eau n’est pas trop froide, pourquoi pas !

Je regarde le thermomètre, 23°C ! Excellent ! Je les appelle, elles se lèvent et viennent plonger dans l’eau claire, rafraîchissante.

Que du bonheur !

Je leur raconte ce qu’il me semble avoir vu et on se marre bien !

– On va se regarder le film en grand écran, on va pouvoir juger de l’attitude !
– Ok, on va bien voir si on se trompe ou pas ?

Nous rentrons dans le salon pour visionner la vidéo. À la lecture de la bande, rien n’est flagrant et ne semble pouvoir démontrer qu’il n’est pas intègre ! Nous sommes déçus de n’avoir pas réussi un flagrant délit !

– On va essayer autre chose de plus concret, lance Anne. Je vais en parler à Mick. Si je me faisais inviter à un moment où il est là, je pourrai tenter de le séduire !
– Pourquoi pas ? Mais après ça, si ça ne marche pas, il faudra bien se rendre à l’évidence, c’est qu’il est intègre !
– Et, alors ? Après tout, on s’en fout ! Ce qui compte c’est que Marie, qui vient de découvrir que prendre son pied est agréable, continue son apprentissage du plaisir ! Que son mec se satisfasse de tirer un coup vite fait pour se vider les burnes, c’est pas notre problème !
– Tu as tout à fait raison ! À ce propos, Anne, ça te gênerait que Mick entre dans la danse ?
– Non, pourquoi ? Je n’ai pas à être jalouse. On lui demande pas de tomber amoureux de sa patronne ! Je suis bien avec vous, non ? On s’envoie en l’air et on prend notre pied, les sentiments c’est autre chose. C’est bien vous qui me l’avez appris !
– Exact, mais votre relation est récente, on ne voudrait pas passer pour des fouteurs de merde !
– Pas de problème ! Et puis, rien ne dit que je ne vais pas y mettre mon grain de sel, si j’y trouve mon compte !

Tout en parlant, je joue avec la télécommande du caméscope, je revisionne la cassette, m’attarde sur le duo Alice et Anne.

– En tout cas, vous n’avez pas fait semblant, d’après ce que je vois !
– On ne fait jamais semblant ! Et c’était excitant de le faire dans l’idée qu’on allait être vues ! Ce doit être notre côté exhibitionnistes qui est ressorti ! Dit Alice.
– Oui, c’était chaud ! On n’a pas joui, mais le cœur y était ! J’étais toute chaude à l’idée que j’étais probablement regardée !
– Vous êtes vraiment une bonne paire de salopes !
– Et ça te déplais ? Demande Alice qui, derrière moi, passe ses deux mains sur mon torse.
– Non pas du tout, d’ailleurs, j’aimerai bien vous voir faire l’amour.
– Humm ! Monsieur est voyeur ! Ironise Anne.
– Bien sûr ! C’est pas nouveau !

Alice me contourne et se rapproche d’Anne.

– Si tel est ton désir, dit-elle, nous n’allons pas te contrarier ! D’autant qu’on est un peu restées sur notre faim, tout à l’heure.

Elle s’agenouille près d’Anne et elles entreprennent de se caresser mutuellement. D’abord le buste, tout en s’embrassant, puis, elles s’allongent et étendent leurs caresses aux cuisses, au ventre et, bien sûr leurs mains se dirigent, inexorablement vers leurs sexes en passant par les fesses. Alice biberonne les seins d’Anne, une main sur une fesse, l’autre dans l’entre-jambes, caressant le clitoris avec le majeur qu’elle lubrifie en l’insérant dans la chatte humide.

– Humm ! C’est bon ce que tu me fais ! Donnes-moi ta chatte, j’ai envie de te lécher !
– Tiens, prends-là, dit Alice en se mettant en position de 69. Manges-moi !
– Ha, oui ! Elle est bonne ! Tu es aussi juteuse qu’une pêche bien mûre !

Je les regarde se gougnotter en me branlant gentiment. Ma verge durcit sous mes doigts. Mon méat suinte généreusement et j’enduis le gland du bout du doigt.

Les filles montent d’un cran dans la recherche du plaisir. Anne a planté son pouce dans l’anus d’Alice et alterne léchage et doigtage côté vulve. De son côté, Alice a pris les fesses d’Anne à pleines mains et lui lèche et suce le clitoris.

Un premier orgasme les submerge rapidement. Alice s’est munie d’un double dong et les voilà qui se baisent mutuellement, l’une se caressant les seins, l’autre le ventre et les fesses.

Elles commencent à m’exciter terriblement ! Surtout lorsqu’elles se lâchent et jouissent une deuxième fois sous l’assaut du membre en latex. Je me branle maintenant franchement.

Me voyant m’astiquer vivement le manche, elles rampent jusqu’à moi et Anne remplace ma main alors qu’Alice me prend en bouche. Devant un tel traitement, je ne tarde pas à sentir ma sève monter et j’éjacule dans la bouche qui m’accueille. Alice se penche vers Anne et l’embrasse pour lui transmettre une partie du sperme qu’elle n’a pas avalé.

A peine le temps de nous remettre, que le téléphone sonne.

Marie, qui a envoyé son mari faire des courses, profite de ses quelques moments de solitude pour appeler.

– Oui, Marie ?
– (…)
– Tu voulais des nouvelles, et bien en fait on est un peu déçus ! Il semble que ton mari n’ait pas accroché plus que ça. Et pourtant on y a mis la dose !
– (…)
– Oui, c’est rassurant d’un côté, tu as raison. Par contre, ça aurait tendance à confirmer qu’il n’y a rien à en tirer sexuellement !
– (…)
– Je te montrerai lundi. Au fait, si tu veux essayer Mick, Anne n’y voit aucune objection ! Elle préfèrerait, bien sûr, être présente et participer, mais bon.
– (…)
– D’accord, je lui dirais. En tout cas, je peux te dire que tu loupes quelque chose ! Nous sommes en grande forme, depuis hier soir !
– (…)
– Non, je ne t’embête plus, moi aussi, je t’embrasse !

Alice raccroche.

– Marie voulait savoir si son mari était un pervers qui s’ignore ! Nous dit-elle en revenant au salon, s’arrêtant net, les poings sur les hanches.

En effet, Anne profitant de ce que ma queue a gardé une semi-rigidité suffisante, s’est empalée dessus et va et vient au petit trot !

– Hé, bien, je vois que dès que je tourne le dos, tu en profites !
– Les godes c’est bien, mais ça vaut pas une bonne vraie bite ! Et celle là c’en est une ! Tu as bien fait Alice de lui demander de l’allonger !
– Il est vrai que maintenant, elle ne se recroqueville plus après. Elle reste utilisable quasiment tout le temps !
– Sauf, peut-être, pour une sodo ! Répond Anne, tout en continuant de besogner.
– Peut-être. Remarque, bien lubrifiés des trous bien ouverts comme les nôtres, ça doit passer.
– Hé, les filles ! Ça vous gêne pas de discuter pendant qu’on baise ? On pourrait prendre le thé aussi, pendant que vous y êtes !
– Bonne idée, je vais en préparer !

Alice se dirige vers la cuisine. Pendant ce temps, Anne a envie d’essayer si ma queue peut, en l’état, s’insérer dans son petit trou. Elle se badigeonne de gel et, toujours sur moi, tente d’enfiler le membre à demi mou. Le serrant fortement, elle rigidifie le gland qui passe sans difficultés l’entrée étroite. Mais ma verge se plie et tout ressort ! Têtue, elle retente, de la même façon, mais cette fois étrangle de ses doigts, la base du vit et l’enfile entièrement. Elle bouge lentement avec des mouvements de faible amplitude pour éviter l’éjection.

– Alice ! Crie-telle, ça marche !
– Ho ! Et bien tant mieux ! Répond Alice en revenant au salon avec le thé.
– Bon, faut pas que je bouge trop, mais je le sens bien !
– Fais-moi voir ça ! Dit Alice en s’approchant de nous.

Anne écarte un peu plus les cuisses pour montrer ma bite enfoncée jusqu’aux couilles. Alice devant le spectacle ne peut se retenir et lèche la vulve offerte, puis se munissant d’un gode, l’enfile dans le con baveux.

Je sens la pénétration à travers la fine paroi et, le frottement provoqué par les aller-retours du gode, me refont bander.

– Hààà ! Tu me fais du bien ! Lance Anne et je sens un truc durcir dans mon cul !
– Normal, ma grande ! Ça lui fait de l’effet, à lui aussi.
– Que c’est bon d’être bien remplie de partout ! Il y avait longtemps que ça ne m’étais pas arrivé !
– Moi aussi, j’en ai envie, mais je préfèrerai deux vraies !
– Passes-moi mon portable, je vais appeler Mick.

J’aurai tout vu ! Ça discute, ça téléphone tout en baisant ! C’est du grand n’importe quoi !

– Allo, salut mon chéri ! Serais-tu libre ?
– (…)
– En fait je suis chez Alice et Bernard, on se disait qu’une deuxième queue serait la bienvenue !
– (…)
– Normal que je respire fort ! Je suis prise des deux côtés, je crois que je vais pas tarder à jouir !
– (…)
– À tout de suite, mon chéri ! Elle raccroche et ajoute : il arrive en courant ! Hoooooo ! Et moi aussi, hàààà ! Yesssss ! Ho, que c’est boooon !

Anne s’allonge sur moi, Alice saisit ma verge et la libère du fourreau bien dilaté.

– Toi, tu te calmes ! J’en veux aussi !

Anne se relève, et tombe dans les bras d’Alice. Les deux femmes s’embrassent goulument.

– Ton mari a vraiment une bite d’enfer ! Il m’a explosé le cul !
– J’espère qu’il lui reste assez d’influx pour moi !

Ça sonne à la porte, notre ami Mick, sûrement !

Anne, va ouvrir à son chéri, ils se tombent dans les bras, s’embrassent et, tout en nous rejoignant, Anne entreprend de le déshabiller.

Les filles n’y vont pas par quatre chemins et se jettent sur la bite, le lèchent, le mordillent, font tout pour faire monter l’excitation. Il en peut rapidement plus, le garçon. Son regard tombe sur moi.

– Salut, Bernard ! Hé ! Mais qu’est-ce que tu as fait pour avoir un tel chibre ?
– Je me suis fait opérer, à la demande d’Alice.
– Hé bien ! Rocco Siffredi peut aller se rhabiller !
– Discutez pas, les mecs ! C’est à mon tour de passer à la casserole ! Intervient Alice en me tournant le dos et s’asseyant sur ma queue.

Elle se la plante dans l’anus et, relevant les jambes, appelle Mick.

– Oumff ! Allez, viens Mick, prends-moi aussi !
– J’arrive !

Mick s’extrait des mains d’Anne et se place entre les jambes d’Alice. Sa verge raide, courbée vers le haut embroche Alice. Il entre à fond, ses couilles caressent les miennes ! Anne ne résiste pas et saisit à pleine main les deux paires et les malaxe tout en léchant l’anus de Mick.

– Ouhaou ! Ho putain, c’est bon ! Lance Alice. Allez, éclatez-moi, les mecs ! Hoo ! Vous me faites du bien !
– De voir ça me fait envie ! Dit Anne.
– Hé, tu viens de t’en prendre ! Chacune son tour !
– Oui, mais j’ai pas eu deux vraies, moi !
– Viens te faire sucer, en attendant de me remplacer !

Anne monte sur les accoudoirs du fauteuil et présente sa chatte à Alice qui, aussitôt se met à la lécher avec enthousiasme. Mick, ayant son visage au niveau des fesses d’Anne, utilise lui aussi sa langue ; voilà Anne léchée des deux côtés en même temps !

A ce rythme, elle ne tient pas longtemps et jouit rapidement. Elle redescend pour récupérer puis nous sert le thé.

– Le thé est servi, les enfants, allez, allez, venez pendant que c’est chaud !

La garce ! Elle a eu ce qu’elle voulait, maintenant elle déconcentre tout le monde en nous faisant rire. Déjà qu’elle était dissipée avant l’arrivée de Mick !

– Tu es une garce, Anne, j’ai pas réussi à jouir, avec tes conneries ! Je suis trempée et toute électrisée !
– C’est vrai ! Tu es chiante, Anne ! On s’est pas vus depuis des mois et tu nous fais louper nos retrouvailles ! Lance Mick.

La scène se défait, le combat cessant faute de combattants et nous nous installons pour boire notre thé.

– Dis donc, Bernard, tu dois pouvoir te tailler des pipes tout seul avec un tel engin ! Ironise Mick.

– Tiens ! C’est vrai, ça, j’ai même pas pensé à essayer !
– Ho, oui ! Allez, montres-nous si tu peux, je prends les paris !

Décidément, Anne est vraiment d’humeur joyeuse !

– Ça ne sert pas à grand chose, je suis là pour m’en occuper, moi !
– Oh ! Te fâches pas, c’est juste pour rigoler !
– Ok ! Et bien je parie ma DP interrompue contre une punition qu’il va y arriver sans problème, vu sa souplesse !
– Pari tenu !

Il ne me reste plus qu’à m’exécuter ! Je me branle, avance mes fesses au bord du fauteuil et, tenant ma verge à deux mains, je me penche vers le gland turgescent. J’arrive sans peine à le lécher, mais il me faut faire quand même un effort pour le mettre en bouche. Pas désagréable de s’auto-pomper !

Je me relève, la position n’est quand même pas des plus confortables !

– Perdu, Anne ! Je savais qu’il réussirait ! Il est extra, mon mec !
– Ok ! Je suis bonne joueuse ! Quelle est ma punition ?
– Tu ne touches plus une bite jusqu’au dîner !
– Ho, non ! C’est sévère !
– Ça t’apprendra à m’interrompre au mauvais moment ! Et nous, on remet ça puisque Bernard est prêt !

Alice se réinstalle sur moi, comme tout à l’heure. Une fois bien emmanchée, elle appelle Mick.

– Viens ici, mon coco que je te remette en forme.

Elle saisit la queue de Mick, le fait bander avec un pompier.

Mick s’agenouille, la lèche pour l’exciter et, quand la mouille devient abondante, se place et la pénètre. Cette fois-ci, Anne se tient tranquille ; enfin presque ! Puisqu’elle ne peut pas participer, elle s’assoit dans un fauteuil et, tout en admirant la scène, se masturbe avec trois doigts tout en faisant coulisser un gode dans son cul.

A peine cinq minutes vont suffire à Alice pour se répandre sur nos couilles !

– Haaaaaa ! Ouiiiiiiiiii ! Ça y est, cette fois, je viiiiiiiiiens !

Un orgasme violent qui s’exprime par un torrent de foutre ! Nous sommes trempés ! Alice vibre de tout son corps, nous cessons tout mouvement, toute caresse, car elles en deviennent douloureuses.

Alice repousse Mick qui se relève. Elle le prend en bouche tout en le branlant. Alice avale jusqu’à la dernière goutte le nectar que le garçon éjacule !

– Humm ! C’est bon ! Lance Alice avec un regard provocant en direction d’Anne qui vient de finir de se faire plaisir.
– Toi aussi, tu es une sacré garce ! Me laisser comme ça ! C’est dur !
– Remarques, interviens-je, à défaut de pouvoir toucher, tu peux toujours en avoir le bénéfice.
– Ha, oui ? Et comment ?
– Comme ça !

Je m’approche d’elle, me branle sur son visage et éjacule, l’arrosant de tout mon jus !

– Allez, dit Alice, une bonne fessée et on n’en parle plus !
– Voilà une punition que j’accepte avec plaisir !

Anne s’approche d’Alice et tend ses fesses. Elle se prend une bonne douzaine de claques qui lui rougissent les fesses. Elle en est ravie !

Nous arrêtons là nos jeux, il est l’heure de l’apéro !

Au cours du repas qui suivra, nous serons sages et nos conversations, pour une fois, ne porteront pas sur le sexe !

Nous nous quitterons le dimanche après avoir convenu d’une part que Mick tenterait de séduire sa patronne et que nous tenterons de mettre le loup dans la bergerie en la personne d’Anne, qui aura pour rôle de tenter de briser la carapace de Jean-Paul, si tant est qu’il se soit caparaçonné.

Décidément, nous sommes vraiment pervers ! Après tout, nos voisins ne demandent rien, semblent se contenter de la vie qu’ils ont, qu’avons-nous besoin d’aller foutre le bordel dans leur organisation ! ! Mais voilà, nous sommes joueurs ! Sauf qu’il s’agit de leur vie, pas de la notre ! Nous le savons, mais ne pouvons nous empêcher d’agir ainsi et, même si l’un de nous émet, justement une réserve, les autres le convainquent de continuer. D’autant que, jusqu’à présent, l’histoire nous donne raison et, tous ceux que nous avons «détournés» en sont, aujourd’hui, reconnaissants ! !

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Une réponse à Le printemps 5 – Un Chaud Week-End (suite) par Lovelace

  1. Sinet dit :

    Un bel hymne à la liberté sexuelle

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