Le Bonheur est dans le pré par Danielle01

 

Le Bonheur est dans le pré
par Danielle

Dix jours, dix jours déjà de vacances passées dans ce petit coin paumé du centre de la France que j’avais choisi tout exprès pour m’adonner à ma passion du transformisme en toute tranquillité. Dans ce but, j’avais loué et réglé intégralement le loyer par correspondance une maisonnette isolée au bout d’un chemin de pierres, en remplaçant mon prénom réel par mon pseudo Danielle.

Arrivée tard le soir, j’avais trouvé les clés sous un pot de fleurs, ce qui me permettait d’apparaître des le lendemain matin sous une apparence féminine que je devais conserver publiquement pendant tout mon séjour. Apres avoir rempli le frigo, je n’avais plus, pour le quotidien qu’à attendre le passage de la camionnette du boucher qui faisait également livraison de pain et épicerie fruits et légumes.

Je passais le plus clair de mon temps à bronzer sur la petite pelouse qui jouxtait la maison, allongée, nue à l’exception de minuscules strings féminins, tout le corps y compris le sexe et l’anus complètement et très soigneusement épilés à l’exception d’une petite touffe triangulaire de poils bouclés au-dessus du pubis. Je me maquillais également avec soin apportant une attention particulière à mes yeux parés de faux cils et portais une longue perruque blonde. Au fil des jours, ma peau avait pris une jolie couleur dorée. Chaque matin, au coup du klaxon du boucher, je me rendais à l’entrée du chemin. Une paire de faux seins destinée à compléter l’illusion était dissimulée par un tee-shirt, tandis qu’un mini short moulait étroitement mon postérieur, marquant la raie des fesses, et laissant apparentes mes longues jambes bronzées. Je rejoignais ainsi la camionnette pour quelques emplettes puis m’en retournais d’une démarche ondulante suivie par les regards concupiscents du boucher et de son commis. Bien qu’il ne soit pas jeune, dans la cinquantaine bien avancée, il respirait force et santé et je ne désespérais pas de le faire craquer avant la fin de mon séjour, lui ou son jeune assistant, et pourquoi pas les deux.

Un après midi, lassée de mes lectures, et puis un peu en manque coté sexuel, je décidais de me donner un peu d’exercice et de faire un tour à pied dans les environs de la maison. Je revêtis une jupe mi-longue de coton blanc entièrement boutonnée sur le devant, mais que je laissais volontairement ouverte jusqu’en haut des cuisses, en haut, j’enfilais un chemisier de soie turquoise dont je nouais simplement les pans sur le devant. Un micro string de dentelle blanche pénétrait la raie de mes fesses voilant à peine mon intimité. Chaussée de sandalettes lacées sur le bas de la jambe, j’affrontais, sous le chaud soleil de l’après midi, un petit sentier qui prenait naissance derrière la maison.

Apres une bonne demi-heure de marche, j’atteignis un petit bois dont la fraîcheur me fut agréable. Je le traversais tranquillement, espérant au fond de moi-même une rencontre fortuite dans ce sous bois qui aurait pu se terminer dans quelques buissons. Mais hélas rien de tel. A la sortie du bois, je me trouvais en limite d’un vaste champ dont les blés ondulaient sous une légère brise ; au-dessus d’eux, la chaleur faisait vibrer l’atmosphère. Un tapis d’herbe et de mousse se déroulait à l’ombre d’un chêne. Fatiguée de mon trajet je me laissais tenter, je m’allongeais et ne tardais pas à m’assoupir.

Combien de temps dura ce sommeil, je ne saurais le dire, mais la sensation d’une présence me fit entrouvrir les yeux. Tout d’abord je fus ébloui par l’intensité lumineuse du ciel et ne distinguais qu’une silhouette en contre jour. Mes yeux s’habituant peu à peu, je distinguais nettement un homme debout devant moi et qui me contemplait sans mot dire.

Instinctivement mes yeux se portèrent sur le bas de son ventre où un renflement conséquent indiquait nettement l’effet que lui faisait le spectacle que je lui offrais. C’est alors que je pris conscience de ma tenue. Dans mon sommeil, ma jupe s’était complètement dégrafée, découvrant largement mes cuisses bronzées et laissant apercevoir le triangle renflé de mon string. Quant au chemisier, les pans s’étaient dénoués, permettant ainsi d’apercevoir par l’échancrure les mamelons érigés de mes seins.

L’homme me regardait, sans dire un mot, rien dans son visage n’exprimait la moindre émotion. Il est grand, costaud, son short, tendu sur le devant par une bosse prometteuse dévoile des jambes musclées et poilues, une chemise à carreaux s’ouvre sur une poitrine carrée et velue. Il est très bronzé et sa stature dénote une personne habituée aux travaux des champs ; d’ailleurs, une moissonneuse arrêtée non loin de là me confirme dans ce jugement. Le silence qui se prolonge, son impassibilité, laissent monter en moi une légère angoisse. Allongée sur le sol, dans ce champ désertique, je me sens entièrement à sa merci. Je me sens observée, disséquée comme un insecte sous la loupe d’un entomologiste. Timidement, je ramène ma jupe sur mes jambes et je rapproche les pans de mon chemisier Enfin il finit d’une voix rauque et sèche par rompre le silence.

– Que fais-tu là ?
– Je prenais un peu de repos avant de poursuivre mon chemin

Nouveau silence, encore plus angoissant que le premier

– Tu n’es pas une fille toi !!

Je n’osais pas répondre

– Nous, on n’a pas l’habitude de ça par chez nous !
– Il n’est jamais trop tard pour tenter l’expérience !

Les quelques mots échangés en rompant le silence ont dissipé l’angoisse qui montait en moi. Je sentais que je reprenais le dessus.

– Approches, je ne mords pas !

En disant cela je me redressais bombant le torse et je relevais une jambe ce qui eu pour effet de dénuder à nouveau largement le haut de mes cuisses offrant le bas de mon ventre à sa vue.

– Tu as peur de moi ? Tu es beau garçon et je suis sûre que l’on peut passer un bon moment ensemble !

Comment allait t il réagir à ma proposition ? L’atmosphère se détendait peu à peu.

– Après tout pourquoi pas ?

L’animal sauvage se laissait apprivoiser. Je lui souris et écartais un peu plus les cuisses. Il répondit à mon sourire, puis lentement il s’approcha et se laissa tomber sur moi. Une sensation bien connue chauffait le bas de mon ventre ; les quelques jours d’abstinence commençaient à me peser. Son bras gauche se glissa sous moi, il me serra brutalement contre lui, approcha son visage et sa bouche s’empara sauvagement de la mienne. Sa langue força mes lèvres, s’activa vigoureusement autours de la mienne. Sous la violence de l’assaut je suffoquais presque. Il mordit mes lèvres. D’une main il écarta le chemisier dont quelques boutons sautèrent, mit ma poitrine à nu, puis dégrafa complètement ma jupe. Abandonnant ma bouche, il s’attaqua à mes seins, il aspirait leurs pointes durcies et mordit cruellement l’un d’eux tout en pinçant fortement l’autre dont il fit tourner le mamelon entre ses gros doigts tout en tirant dessus m’arrachant ainsi un cri de douleur mais aussi de plaisir. Sa peau était imprégnée d’une odeur forte et épicée de mâle et de puissance. Je râlais de plaisir sous ses assauts je me frottais à lui, excitée, affolée par l’intensité de mon désir. Il se redressa et rapidement se débarrassa de son short, en dessous il ne portait rien. Un sexe énorme, congestionné, raide et noueux m’est alors apparu. Il surmontait une paire de couilles velues et gonflées. Il me prit par le menton et brutalement enfonça sa bite entre mes lèvres, jusqu’au plus profond de ma gorge manquant de m’étouffer.

– Suces !

Je lui obéis et je me mis à le sucer avec application et avidité. Je léchais la longue hampe palpitante, j’avalais ses couilles pleines et fermes dont les poils drus me chatouillaient le palais tandis que des mains rugueuses malmenaient ma peau douce et satinée, trituraient et martyrisaient mes seins. Au fil des minutes sa queue durcissait de plus en plus dans ma bouche. Au bout d’un moment, s’arrachant de moi, il m’a retourné sur le ventre et s’est emparé de mon string, déchirant d’un mouvement sec la dentelle fragile, dernier et frêle rempart de mon intimité. M’écartant les fesses d’une main, de l’autre il plongea un doigt humecté de salive dans mon anus. D’un mouvement tournant accompagnant un va et vient, il dilata peu à peu mes muscles intimes. Des ondes de plaisir m’envahirent et firent monter en moi une jouissance que je ne pouvais plus dissimuler. Au bout d’un moment, pensant sans doute que j’étais assez dilatée, il retira son doigt et j’ai senti son gros gland pointer entre mes fesses. Il s’enfonça sans ménagement dans ma cavité et je poussais un cri au moment ou celui ci traversa brutalement mon anneau. Il s’enfonça profondément et se mit à engager un énergique mouvement de va et vient.

Une onde chaude et délicieuse m’envahit se substituant à la douleur précédente, mes muscles intimes se contractèrent autours de son pénis, il ahanait à chaque coup de boutoir, ses mains rugueuses cramponnées à mes reins. Sous la montée du désir, j’allais au devant de lui et sevrée par ces derniers jours de solitude, je laissais le plaisir monter en moi. Je jouis en hurlant, laissant échapper une semence chaude qui coula et s’étala tout au long de mes cuisses. Il se mit à redoubler d’efforts, je me contractais tant que je pouvais sur son sexe épais, il me burinait de plus en plus fort sans égard pour mon anus endolori par une douleur exquise. Son ventre venait frapper contre mon cul avec des claquements secs, je sentais ses grosses couilles s’écraser contre mes fesses. Je sentis l’approche finale et dans un suprême halètement il se retira de mon ventre. Je me tournais vivement et juste à temps pour recevoir un sperme abondant, chaud, épais que j’étalais avec plaisir sur mon visage et mes seins.

Je suçais mes doigts imprégnés de cette semence visqueuse, odorante et abondante, puis, je me redressais et à genoux, je me penchais sur lui et je léchais et nettoyais consciencieusement le gland et la hampe ramollie et brûlante ne perdant aucune goutte de sa liqueur d’amour. Je sentis alors sous ma langue comme une palpitation qui me poussa à poursuivre ma caresse buccale. Ma langue parcourut la colonne de chair qui peu à peu se redressa et repris forme. Il se laissa aller sur le dos tandis que je m’attardais avec des petits coups de langue sous le revers du gland avant de l’enfourner tout entier et de l’aspirer. Son sexe était redevenu bien raide. Cette fois ci j’étais bien décidée à prendre l’initiative des opérations, je l’enfourchais à cheval sur son ventre et me saisissais de son braquemart que je guidais entre mes fesses tout contre mon anus. Je me laissais glisser doucement sur cette colonne de chair qui s’enfonçait en moi. Bien appuyée sur mes bras tendus, j’imprimais à mon bassin un lent mouvement de va-et-vient accompagné d’une légère ondulation. Il a les yeux fermés, le visage tendu, entièrement concentré sur la monté de son plaisir. Mon  » clito  » durci et arrogant gigote devant lui, à chaque descente j’écrase mes couilles contre son ventre, elles frottent les poils raides et épais de son pubis. Je sens les ondes du plaisir monter en moi, mon  » clito  » se durcit brutalement encore plus et dans un spasme j’inonde sa poitrine d’une semence épaisse. Je râle de plaisir. Son sexe devient à son tour de plus en plus ferme, de plus en plus gonflé, son visage se crispe, il se raidit et enfin il explose en moi déversant son sperme en ondes chaudes dans mes entrailles. Je m’effondre sur lui comblée et repue, je frotte mon visage dans les poils de sa poitrine encore imprégnés de sperme et je le lèche avidement.

Il a alors une réaction inattendue, se dégageant vivement il se relève se réajuste et disparaît sans un mot. Interdite, je rassemble mes affaires et tandis que le soleil baisse sur l’horizon je rejoins la maisonnette dans laquelle d’autres aventures allaient se passer.

Mais cela est une autre histoire attendez la suite.

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2 réponses à Le Bonheur est dans le pré par Danielle01

  1. Tatiana dit :

    Joli récit qui m’a bien excité, moi aussi j’adore me travestir et aller à la chasse au bites, je suce et me fait enculer et j’adore ça !

  2. Transmonique dit :

    Pas mal du tout même si la rencontre est un peu abrupte, quant à la fin j’ai aussi connu ça : des mecs bourrins qui après avoir pris leur plaisir se casse sans un mot

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