Nanou femelle vicieuse – 2 – Accros à la masturbation par FétichOdeurs

Nanou femelle vicieuse
Chapitre 2 Accros à la masturbation
par Fétich Odeurs

 

Je me réveillai la première, et sentit le corps chaud de Martine contre moi, je sentais des papillons dans mon ventre et entrepris la première branlette matinale de ma vie. Ma grosse touffe était déjà trempée, et cette fois j’accompagnais la caresse de mon bouton d’amour de l’introduction, lente de mon majeur cette double caresse me fit monter très vite un orgasme qui réveilla Martine.

–  » Salope, t’es vraiment en manque  » et elle pris ma main respira l’odeur de mon plaisir  » mmm j’adore ça pue la crevette Nanou  » et elle suça mes doigts avec des yeux brillants elle dirigea ensuite ma main dans sa fente qui était toute poisseuse puis me dit  » à toi respire et lèche  »

Je pris mes doigts, fermai les yeux et respirai mes doigts tout imprégnés de la moule de Martine. Ça sentait vraiment très fort au début, ma main sentait la pisse, et un peu la mouille. Mais après la première seconde de dégoût, je respirais profondément cette odeur sauvage, qui est celle de l’excitation et du plaisir, c’était comme une drogue, ces odeurs me faisaient planer et je n’eus pas à me forcer pour sucer et lécher mes doigts poisseux.

La sonnerie nous fit arrêter nos jeux de touche pipi, et en catastrophe nous nous sommes habillées, sans avoir eu le temps de nous doucher.

Arrivée en cours, je sentais régulièrement des bouffées d’odeurs intime. J’avais peur que les autres s’en aperçoivent. Et je serrais les cuisses et essayais de penser à autre chose. N’empêche que je repensais toujours à ma chatte et voyait les images de la touffe rousse de Martine passer devant mes yeux.

A l’interclasse, j’en parlais à Martine qui m’avoua  » mouiller comme une salope  » et me proposa à la récré de 10 h qu’on aille se soulager dans les WC. La deuxième heure de cours me parut longue et le cours d’histoire sans intérêt. Complices nous échangions des regards avec Martine. A la pause nous sommes allés dans les WC de l’internat pour être plus tranquille. Martine me poussa à l’intérieur

–  » Vite j’en peu plus  » me dit-elle.

Martine baissa son jean et sa culotte et s’assit sur la cuvette. Moi je m’appuyais contre le mur les jambes à demi écartées et mes mains s’activèrent avec frénésie pour calmer l’incendie qui me dévorait l’intimité. C’était terriblement bon, en plus les odeurs douteuses des toilettes affolaient encore plus mes sens. Martine fut la première à venir, mais je la suivis peu après. J’avais les jambes qui flageolaient. Et je du m’asseoir sur les cuisses de Martine pour récupérer. Je lui dis

–  » Putain c’était fort j’en tremble encore.
– moi aussi, c’était super  »

Je me relevais, et Martine en profita pour pisser devant moi. C’était la première fois que je voyais une fille pisser, soyons plus précis, un jet d’urine sortir d’une touffe de poil. Martine ne semblait pas gênée par ma présence, et j’eus la surprise de la voir se reculotter sans même s’essuyer. Voyant mes yeux, elle dit

–  » Comme ça ce soir ça sentira encore plus fort la crevette ! A toi maintenant le siège est tout chaud.  »

Je pris sa place, il n’était pas question pour moi de ne pas répondre à son défi. J’eus quand même du mal à lâcher les premières gouttes, mais tout à coup les vannes se libérèrent avec un bruit de pression important. Je souris à Martine, me mis debout et remontais ma culotte sur ma touffe imbibée de gouttelettes d’urine. Et pour la provoquer, et sans me rendre trop compte de ce que je disais, je lui dis

–  » ce soir, ma vieille, tu devras me faire ce que la prof a appelé  » cunnilingus « ,

Martine était surprise mais ne dit rien. En cours elle me fit passer un mot  » ok pour ce soir mais si tu le fais aussi « . J’étais piégée, mais on a sa fierté et il fallait prouver qu’on était capable de plus que l’autre, et je lui en promis sans trop savoir, et lui écrivit,  » bien sur (je faisais la fière), tu vas voir ce que tu vas voir.  »

A midi, le repas fut une provocation, saucisse de Toulouse purée et banane en dessert. A notre table Magalie la grande gueule de la classe, menait la danse. C’était une grande blonde (1 m 85, gouailleuse, et toujours vêtue provoc)

–  » Regardez les filles une bite qui nage dans le sperme.
– Ah ! T’es dégueulasse Magalie – dit une copine

Elle piqua la saucisse avec sa fourchette, et imita la prof,

–  » on ne dit pas une pipe mais une fellation mesdames  » et elle porta la bite factice a ses lèvres et lécha la purée qui était dessus en faisant des bruits obscènes de succion et poussant des petits gémissements de plaisir des  » mmm, mmmouiii… « , provoquant l’hilarité générale et le départ de Marie-Sophie et Thérèse
– T’es écœurante, j’ai plus faim, – moi aussi
– Pucelles leur répondit t’elle  »

Je trouvais le jeu amusant, et il y eut six jeunes filles qui dans des fous-rires et gloussements, sucèrent et léchèrent leurs saucisses, mimant des va-et-vient entre leurs lèvres. Je pense que nous étions toutes plus ou moins excitées par ce petit jeu. En tout cas, lorsque je suis sortie de table et suis allée aux toilettes, je vis entrer Magalie dans un WC et m’installant à côté je l’entendis se caresser et prendre du plaisir. J’avais le choix, me taire ou me caresser, je choisis de ne pas être discrète, au point que je l’entendit s’arrêter trente secondes puis repartir de plus belle. Et c’est pratiquement dans la même seconde que nous explosâmes.

Ça avait été simple, sortir était plus compliqué, fallait-il disparaître ou se dévoiler ? Je me dis après tout je n’ai pas à avoir honte et sortis la première, et attendis à côté des lavabos. Magalie attendit deux minutes puis sortit avec un air dégagé, alla se laver les mains, tout en regardant autour d’elle. Je l’interpellais

–  » C’est les saucisses qui t’on mise dans cet état ?
– Pas possible c’était toi, j’aurai jamais cru
– Je cache bien mon jeu
– Et bien tu m’as bluffé, j’aurais jamais pensé que sous tes airs de première de la classe se cachait une véritable salope
– Il faut se méfier des impressions Magalie
– Et bien Anne je suis quand même scotchée
– Remet toi ma vieille
– Oui mais alors maintenant respect  »

Du coup Magalie est devenue plus proche de nous. Elle qui nous snobait, nous trouva à nouveau fréquentable.

Je racontai ensuite l’épisode de notre masturbation parallèle à Martine, qui regretta de ne pas avoir été là.

Après le cours de sport, nous avions un peu traîné et rangé les ballons. Dans le vestiaire nous vîmes Magalie en petite tenue et enlevèrent nos joggings et tee-shirt. Ca sentait la sueur, mais personne n’avait envie de prendre une douche glacée. Depuis deux ans l’eau chaude était en panne et l’académie ne débloquait pas les fonds pour faire venir un plombier. Martine vint derrière Magalie et lui dit :

–  » mm ça sent la moule ici, tu te caresses dans les chiottes Magalie.
– mais
– Anne m’a raconté vos exploits,
– Salope, me dit-elle
– Pas plus que toi repris Martine, ni que moi d’ailleurs

Tout en parlant, Martine avait glissé une main dans sa culotte, et lui dit

–  » On va voir si tu es si forte, je parie que tu n’es pas capable de refaire devant moi et en même temps que moi, ce que tu as fait à midi.  » et elle s’assit baissa sa culotte et entreprit sa chatte rousse flamboyante.

Magalie piquée au vif et qui tenait à son rang de fille qui sait tout en matière de sexe, se mis en face d’elle sur le banc, enleva sa culotte, dévoilant des boucles blondes dorées sur une peau blanche et des lèvres roses pâles. Je les accompagnais à mon tour observant leur joute sexuelle et verbale.  » Salope « ,  » putain « ,  » grosse cochonne « ,  » espèce de truie « ,  » sale gouine « ,  » garage à bite « ,  » t’es qu’une moule « … Enfin, je fus la dernière à jouir, prenant bien soin de sucer mes doigts après, ce que les deux autres n’avaient pas osé faire. Magalie nous dit :

–  » Et bien ça a l’air sympa l’internat
– Et ça ne fait que commencer  » dit Martine  » Quand tu pense que jusqu’à hier soir Nanou N’avait jamais joué à touche pipi  »
– Et bien cochonne, tu apprends vite me dit Magalie
– C’est ça les premières de la classe lui répondis-je
– Prend pas la grosse tête, moi je l’ai perdu mon pucelage !  »

Là je n’avais rien à répondre, juste,

–  » Tu nous raconteras comment c’était ?
– Ok les filles demains, il faut que je me tire mon chauffeur doit m’attendre  »

Il était 17 h et cela faisait déjà quatre masturbations jusqu’à l’orgasme. En étude, j’étais un peu crevée, mais réussit à me concentrer sur mes devoirs de math et de physique. Par contre pendant tout le dîner du soir, je mouillais en pensant au cunnilingus prévu le soir. J’ai du me calmer pour la cinquième fois, juste après le dessert, car attendre 10 h 30 et le dernier passage des surveillants me paraissait trop long.

Nous sommes alors allées voir le journal de 20 h, puis le film du mardi soir sur la deux. Nous étions au fonds, Au bout d’une demi heure, je sentis la cuisse de Martine se presser contre moi et sa main se poser sur ma cuisse et commencer à me caresser. Je lui rendis la pareille. Nos mains se firent plus coquines remontant vers le haut e t l’intérieur des nos cuisses. Bientôt, la paume de nos mains se plaquèrent sur nos jean’s à l’endroit de nos fentes. Mais les jean’s c’est pratique mais pas terrible côté caresse. Doucement, nous fîmes glisser nos zips. C’est la main coincée entre nos pantalons et nos slips que nous frottions la chatte de l’autre. Cette caresse dans le noir en présence des autres sans être vues était follement excitante, bien que peu précise. Au bout d’une demi heure j’obtint un petit (heureusement) orgasme que je parvint à dissimuler.

Je me suis consacrée ensuite à l’entrecuisse de Martine, enfonçant sa culotte trempée dans sa fente poisseuse. Je la vis se mordre les lèvres puis m’arracher la main. Après avoir récupéré, elle me dit

–  » J’ai cru ne pas pouvoir cacher mon plaisir « .

Pendant toute la fin du film, je respirais mes doigts et profitais des parfums intimes et  » marins  » de Martine prélude, à mon premier  » broute minou « , mais ça c’est le prochain chapitre.

marc.marc15@voila.fr

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