Le bonheur au goût de bite par Kimiryo

Les Prémisses
Tout avait commencé lors d’un voyage en Europe de l’Est. J’étais parti là bas avec un ami d’enfance pour visiter les beautés de ces pays fabuleux.

L’abondance de jolies filles nous avait tout émoustillés. Nous avions passé une semaine dans la même chambre, le sexe durci par tant de journées à contempler de ci de là des filles aux corps superbes. Etant d’un naturel timide, j’avais feint de ne pas avoir envie de me toucher le soir en rentrant. Mon ami aussi. Nous nous disions mutuellement que nous bandions à longueur de journée mais le soir venu, point de branlette pour nous soulager.

Ainsi, dans le train du retour, alors que nous traversions la Slovaquie, dans le compartiment où nous étions tous les deux pour des heures, nous nous mîmes à nous raconter nos expériences sexuelles. Jusqu’à que nous arrivions à la fellation. Qui savait le mieux sucer ? Un homme ? Une femme ?

Mon ami, Julien, me révéla alors qu’il savait que les hommes suçaient mieux…parce qu’il avait déjà été sucé par un copain. Curieux, je le questionnais tout en sentant mon sexe se dresser furieusement dans mon pantalon et commencer à mouiller abondamment.

Il finit par m’avouer que ça s’était passé lorsqu’il était étudiant à Lyon et que ça lui été arrivé deux ou trois fois de se faire pomper par un copain de passage en mal de sexe qui voulait tenter de goûter le goût de la bite. Et vu que lui il prenait le plaisir où il était et qu’il n’avait pas de copine à ce moment là, il s’était dit pourquoi pas…et vu qu’il avait toujours été un « esthète » du sexe d’homme, se faire sucer par un copain ne lui posait pas de problèmes…

Notre discussion s’envola quand il me demanda ce que j’en pensais. Je lui répondis que, si je me sentais attiré par les filles, j’aimerais bien branler, sucer voire me faire enculer par une belle queue. Pour voir. Et parce qu’en fait au fond de moi, ça me faisait fantasmer depuis longtemps.

Notre discussion fut malheureusement interrompue par l’entrée de voyageurs dans notre compartiment. J’en restais rêveur. Et complètement excité à l’idée de sucer une queue. Peut-être celle de mon pote, s’il le voulait bien… Malheureusement, pour des raisons de correspondances nous fumes contraints de nous séparer à Munich. Et je rentrais chez moi le sexe dur et la tète pleine de rêve inassouvis.

La Tentation
Quelques semaines après, par un heureux hasard, j’allais passer le week-end chez mon copain à Cologne pour aller assister à un concert avec lui. J’avais rencontré une fille dans le train avec qui j’avais bien sympathisé. Et qui m’avais donné son numéro de téléphone pour qu’on se revoie à Bruxelles, vu qu’elle vivait là bas et que j’y faisais mes études à ce moment là.

Arrivé à Cologne, je retrouvais mon ami qui m’attendait à la gare. J’étais doublement content de le voir : parce que c’était mon ami et parce que s’il ne le savait pas encore, il aller sûrement m’aider à réaliser mon fantasme.

Le soir, on bu un verre puis nous retournâmes chez lui. On était au lit, lui dans son lit et moi dans un lit d’appoint dans son studio, quand je réabordais le sujet qui m’avait tant allumé dans le train du retour de l’Est. Je lui rappelais que je serais partant pour branler une queue, parce que je ne l’avais jamais fait. Il me proposa de branler sa bite.

J’étais tout tremblant. Ma morale judéo-chrétienne en prenait un coup. Qu’avais-je donc fait pour avoir envie de tripoter le sexe d’un homme ? Mais mu par le désir, je me translatais sur son lit et m’approchait dans un délicieux sentiment de culpabilité et d’envie irrépressible de son caleçon.

Le Fruit défendu
Il faisait noir. J’étais à côté de lui et tout en tremblotant, je lui extirpais délicatement sa verge du caleçon et commençais à la branler doucement.

Il avait une bite nettement plus grosse que la mienne. Elle commençait à se raidir sous le coup de mes caresses répétées et de ma branlette langoureuse. Mon souffle devenait plus court. Et de manière imperceptible, ma bouche se rapprochait de son gland. L’odeur suave de ce dernier m’envoûtait. Et sans que je ne m’en rende compte, je pris son sexe dans ma bouche et commença à le sucer.

Je le suçais langoureusement, délicatement. Accélérant parfois quand je sentais qu’il haletait. Je branlais cette belle bite. J’avalais goulûment le jus de sa mouille.
Mais après une demi heure à l’avoir pompé à fond, enfournant des fois son sexe jusqu’à ma glotte, il me déclara qu’il n’arriverait pas à jouir. Il se sentait un peu stressé. Mais que si je voulais, il pouvait me branler la queue. Je lui remis mon engin entre les mains. Il le complimenta puis me masturba avec application, sans me sucer, parce qu’il m’expliqua qu’il ne voulait pas sucer ni enculer. Ni se faire enculer non plus. Ses caresses m’amenèrent à décharger ma semence entre ses doigts. Et nous en restâmes là, chacun allant dormir de son côté.

Le lendemain, je me sentais un peu perturbé d’avoir osé franchir le pas. Mais je me remémorais les délices de que cela m’avait apportés et me décomplexai.

Le soir même nous allâmes au concert puis revinrent à son appart tard. Je lui demandais alors de but en blanc s’il serait d’accord que je le ressuce mais il faudrait alors qu’il m’éjacule dans la bouche parce que j’avais envie de goûter son foutre. Ce soir là, je le suçais goulûment, je luis malaxais les couilles, lui titillait l’anus avec la langue, et le branlais vigoureusement. Il arriva enfin à jouir par saccades dans ma bouche. Le flot se sperme envahit mon palais et j’avalais aussitôt. Je lui nettoyais ensuite le pourtour de son gland avec ma langue devenue experte. Il me remercia, me branla et je jouis instantanément.

Nous discutâmes encore un moment, puis on fila au lit. Notre histoire en resta là.
Le jour d’après je rentrais chez moi, heureux. Et des idées plein la tête.

Le Fantasme
Des années s’étaient écoulées. Je vivais en couple depuis un moment avec une jolie petite blonde. Ma copine, Christina, et moi, avions une activité sexuelle intense. Elle était libérée sexuellement et tentait volontiers de nouveaux trucs avec moi. En couple seulement. Et elle avait découvert que je jouissais énormément par l’anus en m’introduisant un doigt un jour.

Entre temps, les jeux de doigts avaient dévié vers l’utilisation d’un gode acheté ensemble qu’elle m’enfonçait dans le cul régulièrement alors que je la pénétrais. Ma jouissance était totale. Des fois, elle me branlait juste le petit trou jusqu’à que je vienne. Ou d’autres fois, équipée de gants en latex, elle allait carrément jusqu’au fist.

Je lui avais aussi révélé qu’une fois j’avais sucé un copain et que j’avais aimé ça. Ca ne la choquait pas. Lors de nos ébats, elle adorait que je lui parle de mes fantasmes et je lui exposais souvent mes fantasmes de sexe à trois avec elle et un autre homme.

Lorsqu’elle rencontra mon ami un jour, elle sut instinctivement que c’était lui que j’avais sucé. Mais le sujet ne fut jamais abordé avec mon copain qui entre temps vivait aussi en couple.

Nos nuits d’amour avec Christina devenaient des nuits d’intenses évocations de fantasmes et le sexe que nous avions en était d’autant meilleur. Elle me dit pourtant un jour les réticences qu’elle aurait à faire l’amour à un autre homme en ma présence : comment je me comporterais si elle se mettait à jouir à fond, donnant l’impression qu’elle ne prenait pas assez son pied avec moi ? Comment j’accepterais qu’un autre homme la touche ? Comment elle accepterait de me voir me faire toucher par quelqu’un d’autre ou que je touche quelqu’un d’autre ?

J’y pensais pendant un moment puis tout devint une évidence pour moi. Tout se ferait dans le respect et rien n’étant obligatoire, nous ne passerions à l’acte du fantasme que si l’occasion se présentait un jour ou pas. Son envie de réaliser le fantasme devint avec le temps aussi grande que la mienne voire plus virulente.

Puis un jour, notre copain Julien vint nous rendre visite pour le week-end. Il avait rompu avec sa copine depuis quelques mois et était en « manque ».

Nous allâmes tout trois, comme toujours après le sport, au sauna. Tous les trois, avec une serviette autour du corps. Puis comme nous étions habitués après des années à habiter dans les pays du Nord de l’Europe, nous nous retrouvâmes nus. J’observais le sexe rasé de ma copine et la bite de mon copain et je devais réprimer une envie intense de bander en allant me jeter dans la piscine glacée dehors. Le soir, après le sport et le sauna, vu la journée intense que nous avions eu dans le froid, nous fîmes un petit repas chez nous. En sirotant un verre de vin, ma copine me dit qu’il fallait que nous nous mettions de la crème sur le corps pour hydrater la peau après le sauna.

Je la suivis dans la chambre et mon copain alla sur le lit dans le salon. Je proposais à Julien de se faire masser le dos par Christina. Elle y alla en petit débardeur et petite culotte sexy. Elle enduisit le dos de mon copain de crème et revint me trouver pour faire la même chose sur moi. J’étais nu sur le lit et elle m’enduisit de crème partout jusqu’à mon petit ourlet n’omettant pas de m’y introduire un doigt et de me branler un peu la queue. La soirée était spéciale. Rien n’était planifié mais quelque chose allait se passer.

Je remis mon caleçon et dit à ma copine de s’allonger torse nu sur le ventre. Vu qu’elle adorait les caresses, je lui dis que ce soir serait un soir spécial puisque j’allais demander à mon copain, si elle le voulait bien, de m’aider à lui passer la crème dans le dos. J’appelais mon copain qui commençait à dormir. Et lui demandais s’il voulait m’aider à enduire de crème le dos de ma copine car vu qu’elle lui avait fait auparavant, il se devait de lui faire maintenant aussi. Mon copain arriva dans la chambre et se positionna sur la gauche de ma copine sur le bord du lit, moi sur la droite. Et nous commençâmes à lui passer la crème hydratante dans le dos.

L’Accomplissement
Nous lui massâmes le dos, puis les bras, puis les jambes. Puis elle se retourna sur le dos. Et nous luis massâmes la poitrine et le ventre. J’avais la verge en feu. Mon copain avait aussi le caleçon tendu. Et ma copine fermait les yeux. Profitant de l’instant.

Elle se remit sur le ventre et nous lui repassâmes de la crème sur le dos. Puis prétextant qu’on n’avait pas enduit ses fesses, je luis enlevais sa culotte. Tant et si bien qu’elle se retrouva nue, couchée sur le dos, entourée de deux males avec la bite dure et prête à dégainer.

La bosse sur le caleçon de mon pote s’était accentuait et je mouillais comme un fou à travers mon caleçon. Nos mains, posées sur son corps, descendirent lentement sur ses fesses rebondies et fermes. Je lui écartais doucement les jambes et massais ses lèvres avec la lotion. Puis je retirais mes mains et enjoins mon copain de le faire. Ce qu’il fit sans se faire prier. Ma copine commençait à jouir doucement. Elle poussait des petits cris de bonheur.

J’enlevais alors mon caleçon et retournais ma copine, qui feignait encore d’avoir les yeux clos. Je décidais alors de lui bander les yeux pendant qu’elle commençait à me branler doucement la queue. Mon pote Julien, à coté de nous, n’en perdait pas une miette et caressait sensuellement ma copine. La main de Christina se dirigea alors avec le caleçon de Julien et en extirpa sa belle bite. Elle la prit en main et s’extasia devant la taille du membre. Elle commença à le branler, tout en me branlant doucement de sa main gauche.

J’approchais mon sexe de sa bouche et elle me suça avec passion tout en branlant mon copain. Puis je me retirais de sa bouche et commença à aller lui bouffer la chatte. Elle avait la chatte humide, dégoulinante de bonheur. Je léchais et j’avalais tout le jus que je pouvais.

Christina avait entre temps pris le sexe de mon copain dans la bouche et le suçait avec avidité. Le gland avait du mal à lui rentrer dans la bouche tellement son sexe était épais. Mais elle le léchait avec malice pendant que ma langue s’enfonçait dans son cul.

Puis elle me dit que le sexe de mon copain Julien était trop gros pour sa bouche et qu’il faudrait que je l’aide. Mon copain prenait ça cool. Et me présenta sa bite. Que j’avalais à fond.

Ma copine en profita pour s’empaler sur mon chibre et commença un va-et-vient terrible en lapant par à-coups la bite de mon copain qui sortait des fois de ma bouche. Il continuait, lui de son coté, à la caresser avec douceur. Puis elle se leva et alla chercher une capote qu’elle me tendit en me disant de l’enfiler sur la bite de mon pote avec la bouche.

Ce qu’exécutais relativement bien. Puis je pris la bite de mon pote et la guida jusqu’à la chatte lubrifiée de ma copine. Il commença à la prendre doucement puis enfonça tout son membre dans son trou des merveilles. Après quelques allers et retours, ma copine jouit de tout son saoul et laissa tomber quelques gouttes de pisse sur le lit tant elle jouissait et n’arrivait pas à retenir son envie de pipi.

Je lui fourrais alors ma bite dans la bouche et rapidement je me dégageais pour éjaculer sur ses seins pendant que mon copain lui, éjaculait en elle. Il se retira, enleva la capote et ma copine me demanda alors de lui nettoyer le gland. Ce que je m’empressai de faire au plus grand plaisir de mon copain.

Après avoir repris nos esprits, nous restâmes sur le lit tous trois. Mon copain et moi caressions ma copine qui voyant que ma bite recommençait à durcir, demanda à mon copain s’il m’avait déjà vu prendre mon « vrai pied ». Puis elle se leva, alla chercher le gel lubrifiant et un gant en latex et se mit à me masser l’anus sous l’œil curieux de mon copain qui recommençait à bandait tout en caressant le cul de ma copine.

Puis elle me mit un doigt, puis deux, puis trois, puis quatre et engagea enfin le bout du pouce. J’étais dilaté à fond ! Mon pote n’en perdait pas une miette. Et lorsque ma copine fit des allers et venues profondes dans mon cul, il se mit à lui sucer la chatte et le cul. Christina haletait. Moi je m’envolais vers des sommets de jouissance. Ma bite était super raide et je prenais un malin plaisir à ne surtout pas me branler pour retarder le moment de l’éjaculation.

Puis ma copine demanda à Julien si ça l’intéresserait de me mettre des doigts aussi pendant qu’il pourrait la pénétrer de nouveau. Mon copain accepta rapidement et alla se mettre un gant en latex. Ma copine retira sa quasiment main qu’elle avait engagée dans mon cul, attrapa une capote et l’enfila sur le membre turgescent de Julien.

Lui me mit directement trois doigts tant mon anneau était dilaté. Christina s’empala sur la bite et se mit aller et venir. Julien ralenti alors les mouvements de la main qu’il engageait dans mon cul. Je bandais à mort. Ma mouille dégoulinait. Ma copine jouissait. Et me branler le cul plaisait à mon pote.

Ma copine jouit, embrassa les tétons de mon pote, et lui laissa la capote sur la bite, lui disant que s’il l’avait faite jouir à elle et si lui avait éprouvé du plaisir, il n’en était rien pour moi vu qu’il avait arrêté de me ramoner le cul. Il devait donc me faire plus plaisir en fourrant sa queue dans mon cul.

J’étais complètement subjugué par le tour que prenaient les choses. Ma copine ordonnait à mon copain et il exécutait, lui qui ne voulait pourtant pas sodomiser ! Bientôt je sentis son gland sous le latex forcer mon ourlet et me pénétrer à fond en un coup m’arrachant un râle de bonheur.

Julien me lima sous les yeux de ma copine et éjacula dans la capote dans mon cul. Il se retira, regarda Christina, et lui dit, que cette fois, ça serait elle qui lui nettoierait la bite. Elle enleva la capote du sexe de Julien, et lui lécha le gland encore plein de sperme. Après avoir tout mis en bouche, elle vint me rouler une pelle et me demanda de nettoyer le cul de mon copain avec la langue. La aussi, il se laissa faire de bon gré et je lui nettoyais la pastille, déposant au passage un peu de son foutre sur son anus.

Après cette baise de folie nous nous douchâmes et décidâmes de dormir tous les trois ensembles.

Le lendemain matin, je fus réveillé par une main qui me branlait, celle de Christina, ma copine, pendant que Julien, mon copain, lui massait le clito.

La journée se passa au lit. Nous baisâmes jusqu’au soir. La journée fut torride. Et elle nous laissa plein de souvenirs communs et nous avons souvent, depuis, répété ensemble ces moments magiques d’échanges des fluides, des partages des corps… Cette aventure a encore plus soudé notre couple et nous a encore plus donné envie de découvrir des nouvelles variations lors de nos relations sexuelles.

La prochaine étape sera d’emmener la nouvelle copine de Julien dans notre trio amoureux. Et pourquoi pas un de ses amis homo. Christina m’a dit qu’elle aimerait bien me voir avaler le sperme de plusieurs queues en même temps…nos prochaines soirées promettent d’être torrides !

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2 réponses à Le bonheur au goût de bite par Kimiryo

  1. Serge_sodo dit :

    Dommage que le style soit un peu en mode « compte-rendu ». Sinon c’est le génère de situation que j’adore. Ma femme est experte pour allumera les mecs et leur expliquer que son fantasmé c’est de voir deux mec ensemble, ça ne marche pas toujours mais ça marche plus souvent que l’on pourrait le penser

  2. Aramis dit :

    Avec un titre pareil ca ne pouvait être que bien !

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