La séance de cinéma 2 – chapitre III et IV par alexandrun

La séance de cinéma
2 – chapitre III et IV
par alexandrun


CHAPITRE III – Montage.

Ce jeune spectateur privilégié, devint en quelques sortes l’acteur principal d’un film classé « x », comblé fut-il, par de très sensuelles caresses et une fellation aussi exquise qu’experte. Il gardait cependant toute sa vigueur bien qu’il venait de jouir abondamment, il bandait encore et gardait, tout comme Manon, son excitation intacte, voire exacerbée. Elle lui demanda alors de se rendre aux toilettes, lieu où elle le rejoindrait rapidement. Ce cinéphile curieux ne se fit pas prier, il désirait prendre un maximum de plaisir et approfondir cette rencontre inespérée et riche en émotion. Ma douce Manon vint d’abord me glisser discrètement quelques mots à l’oreille, m’embrassa et partit le rejoindre. Sa bouche avait encore le goût du sperme de son amant, ce qui m’excita terriblement.

Quand elle disparut derrière les portes battantes, j’exécutai alors son souhait de les suivre discrètement afin d’essayer de profiter du spectacle qui serait à n’en pas douter bien différent de celui qui se jouait sur la grande toile blanche. Dans la cabine voisine, la chance fut avec moi puisque la paroi présentait un trou qui me permit de mâter en silence ma femme se faire baiser par un inconnu. L’idée déjà, m’excitait, mais pour la première fois, j’allais la vivre de très près.

L’amant vigoureux dont nous ne connaissions pas le prénom bandait et se masturbait pour maintenir sa queue bien dure le temps que Manon le rejoigne. Elle avait verrouillé la porte de la cabine et avait également pris soin de fermer la porte principale des toilettes afin de l’entendre s’ouvrir si quelqu’un venait à être pris d’une envie pressante.

Manon s’approcha de son amant la queue fièrement dressée et se débarrassa frénétiquement de son chemisier et de son soutien-gorge. Elle se baissa et emprisonna la belle verge dure entre ses seins puis entreprit de le branler de cette façon. La queue raide et longue remontait devant sa bouche, permettant à sa courtisane d’en sucer le gland à chaque passage. Le coquin prit un plaisir non dissimulé, à quelques centimètres de là, sous mes yeux voyeurs. Par le trou de la paroi, je n’en ratais pas une miette et m’en trouvais très excité. Manon suça goulûment le membre violacé de plaisir, le branlant d’une main et pressant ses couilles de l’autre. Tout en gardant cette belle bite dans sa bouche, elle remonta une main sur le ventre de son amant, sur son torse et sur ses tétons. L’autre main s’était glissée sous les fesses du coquin, puis entre elles. Il n’en pouvait plus et voulut la prendre tout de suite, par-devant, maladroitement, dans ce repère exigu. Mais la levrette s’imposa comme la position la plus appropriée. Plaquant sa queue entre les fesses de Manon et la faisant glisser, il l’enfonça doucement dans sa chatte humide et entreprit d’interminables va-et-vient, sous mon regard envieux. Manon, les deux mains posées sur la cuvette, jouit intensément deux fois de suite, presque violemment, tremblant de tous ses membres éprouvant quelques difficultés à rester debout. Elle s’assit sur la cuvette et mit quelques instants à redescendre parmi nous.

C’est au bout de quelques minutes, qu’elle eut une idée assez surprenante bien que très excitante. D’autres y auraient également pensé, toujours est-il que cette idée ne put lui échapper. Elle voulait étonner son jeune amant autant que moi-même et ce qu’il se passera l’excitera beaucoup. Elle empoigna donc la queue du jeune homme et la fit pénétrer dans le trou de la paroi des toilettes. Celui-ci était effectivement assez large pour y glisser entièrement le membre bandé et y faire même passer ses couilles. Je me retrouvai donc de façon tout à fait insolite dans une cabine de toilette, une bite qui sortait du mur, à ne savoir que faire mais très excité par la situation. Je savais que Manon attendait quelque chose de moi alors que son amant, interloqué, inquiet, demeurait curieux.

Je me lançai ! Du bout des doigts, j’effleurai ce sexe sans corps, puis le branlai doucement. Notre compagnon eut un petit mouvement de recul mais se remit très vite bien en place, plaqué contre la paroi, le sexe dépassant de toute sa longueur. Dans ce placard sombre, j’approchai ma bouche de son gland et l’embrassai timidement, avant de me risquer à le lécher. Très excité par cette situation, par la vue de cette queue bien dure, par son odeur, je la fis glisser entièrement dans ma bouche, m’en délectant plus qu’il n’était possible de l’imaginer. Ce sexe glissait maintenant d’un bon rythme sur ma langue. Plus jeune, je me souviens, j’avais échangé quelques fellations sans lendemain entre copains de sport et en gardais un très bon souvenir de sensations et de plaisir. Je redoublais d’ardeur à la tâche et sans relâche me régalais de ce pieux énorme. Ma douce, de l’autre côté du panneau de bois qui nous séparait, avait entrepris de doux baisers sur les fesses de notre amant avant de se glisser entre elles et de lui lécher son anus. L’amant aux anges pensa sans doute qu’il s’agissait, derrière la cloison, d’une autre femme qui aurait pu surprendre le couple malgré elle. Ce mystère eut raison de son plaisir. Il prit son pied et éjacula à grands jets sur mon visage. Ses couilles se vidèrent sur moi, ce qui me fit jouir presque simultanément, dans mon boxer, en me touchant à peine. Ce fut bref mais très intense. Nous avions pris un énorme plaisir tous les deux et sans nul doute, Manon, l’instigatrice de ce scénario rocambolesque.

CHAPITRE IV – Travelling

Elle ne voulait pas rester sur cette fin. Elle en voulait encore. Mais le réduit des toilettes se faisait de plus en plus inconfortable. Son partenaire s’était montré généreux, elle l’invita donc à la maison en lui glissant à l’oreille : « si tu veux me baiser, en compagnie de mon mari, rejoins-nous à cette adresse ». Il ne réfléchit même pas et consentit immédiatement à cette proposition indécente.

C’est donc naturellement, un peu plus tard dans la soirée, que nous nous retrouvâmes chez nous. Nous prîmes place, l’invité et moi-même, sur le canapé du salon, une coupe de champagne à la main, pendant que Manon nous préparait quelques savoureux encas. Elle revint de la cuisine, toute guillerette, le visage rosi de désir, nous proposant une nouvelle coupe. Quelques bulles plus loin, Manon dégrafa son chemisier et fit glisser sa jupe le long de ses jambes sur le son d’une musique d’ambiance assez entrainante. Elle se déhancha de manière lascive et nous assistâmes à ce spectacle improvisé, ce délicat strip-tease qui nous rendit fous de désir. Je fus très étonné par l’aplomb de ma belle. Elle semblait avoir fait tomber là, les dernières barrières de sa pudeur. Ce ne fut que plaisir, pour elle et pour nous.

Manon poursuivit son effeuillage jusqu’à se retrouver quasiment nue, devant nous, ses mains parcourant ses hanches et ses seins qu’elle faisait bouger généreusement dans tous les sens. Elle avait conservé ses escarpins à talons très hauts, ses bas noirs et ses porte-jarretelles. Il n’y avait pas plus féminin ni plus excitant que cette image d’une femme mure, d’une femme « femme » qui savait user de tous ses charmes pour galvaniser le désir de ses hôtes. Cette représentation magistrale chauffa rapidement nos âmes câlines et nos envies coquines.

Notre danseuse d’un soir s’approcha de nous et posa ses mains sur nos cuisses. Elle remonta et les dirigea, doucement, vers ce qui était manifestement devenu l’épicentre de notre être, l’incandescence de nos désirs, l’obsolescence de nos pudeurs. Puis, elle s’arrêta net. Nous pensions qu’elle allait poursuivre ses initiatives mais elle en décida autrement. Elle nous invita sur un ton plus ferme à nous déshabiller et à quitter tous nos vêtements. Nus, le sexe dressé, nous n’avions qu’une envie; nous jeter sur cette déesse de l’amour. Elle nous retint cependant et exigea que nous nous caressions chacun pendant qu’elle oscillerait ses charmes, ses hanches, ses jambes et son cul dans une danse plus que sensuelle.

J’ai rencontré Manon, pour la première fois, il y a bientôt 20 ans. A ma connaissance, elle ne s’était jamais retrouvée en telle situation, face à deux hommes. Certes, nous avions le désir depuis quelques temps d’expérimenter une telle expérience et l’occasion se présenta à nous ce soir d’octobre, à quelques jours de son anniversaire, après une séance de cinéma rapidement écourtée. En effet, ce soir-là, Manon n’en finit pas de me surprendre, son allant et sa joie me ravirent, son bonheur m’exalta.

Elle continua à diriger ce début de soirée prenant naturellement le dessus comme si nous avions décidé de réaliser tous ses fantasmes. Elle posa un pied sur l’assise du canapé et me demanda de la lécher sous les yeux de notre ami ce que je fis pendant qu’il se masturbait. C’est ce moment qu’elle choisit pour lui apprendre que c’était moi qui l’avait sucé à travers la cloison des toilettes. Notre amant viril ne fut guère surpris et sembla même un peu plus excité encore car il redoubla d’ardeur dans son plaisir encore solitaire. A la demande de celle qui devenait manifestement notre « Maîtresse », nous nous mîmes debout, face à elle, afin qu’elle agrippe nos sexes tendus qu’elle masturba énergiquement, presque brutalement. J’avais compris à ce moment-là, ses talons de chaussures lui donnant de la hauteur donc une certaine prestance, une aisance, une force, qu’elle souhaitait nous dominer. Et nous nous laissâmes guider par chacun de ses mots, chacun de ses ordres, chacun de ses gestes. Elle exprima le désir que nous la léchions ensemble, partout, sans oublier un centimètre de sa peau. Nous l’embrassâmes et la suçâmes de longs moments, arrachant à maintes reprises gémissement et râles de plaisirs. La langue de notre ami titillait son clitoris pendant que je glissais la mienne entre ses fesses, cherchant ses endroits les plus intimes. C’était une véritable ode à l’amour que nous écrivions de notre langue sur son corps pénétré de violents sentiments.

Cet état second dans lequel se trouvait Manon lui donna une nouvelle fois une idée originale. Elle décida qu’elle nous ferait jouir, tous les deux, en même temps, au fond de sa chatte. Elle nous demanda pour cela de nous mettre sur le dos, face à face, et de nous rapprocher en enchevêtrant nos jambes de manière à ce nos sexes en érection se rejoignent, hampe contre hampe. Elle vint ensuite à califourchon s’empaler sur nos glands et nos deux queues ainsi soudées pour l’occasion. Elle parvint, non sans difficultés, à nous recevoir entièrement et à entreprendre de longs va-et-vient, nos couilles pressées les unes contre les autres. Manon fut presque en transe, hystérique, jouissant intensément. Bien que nous la pénétrions, c’est elle qui nous baisait. Elle parvint à atteindre un orgasme indescriptible au moment où nous-mêmes, jouîmes simultanément en elle. Nos spermes mélangés coulèrent le long de nos bites serrées en elle et se répandaient sur nos couilles. C’était très fort. Il ne m’était jamais arrivé de jouir en telles circonstances et l’intensité ne pouvait s’expliquer par la seule pénétration. Le contact de cette queue bien dure y était probablement pour quelque chose. Toujours est-il que nous étions restés, tous trois, au sol, étendus, affaiblis, presque anéantis par une si forte explosion de jouissance.

Nous prîmes un certain temps avant de retrouver un semblant de vie !

Après quelque absence, Manon se leva la première et rejoignit la salle de bain pour une douche réparatrice. Nous la suivîmes de près sous le jet d’eau tiède où la place vint à manquer ce qui nous obligea à nous rapprocher. L’effet s’en fit ressentir immédiatement et réveilla une nouvelle fois nos instincts sexuels. L’image, dans le miroir, de nos corps entrelacés, nous troublait au point de ne plus savoir à qui appartenait telle ou telle main. Les caresses se succédaient dans tous les recoins de nos corps. Je sentis une main emprisonner ma queue et la branler volontairement. Ces caresses me parurent assez viriles pour être attribuées à ma douce. Comme je le pressentis, ce fut bien notre invité qui me masturbait vaillamment tout en embrassant Manon à pleine langue. Ils se mirent dans l’instant d’après, à genoux, et me sucèrent, à tour de rôle. Leurs lèvres ensuite glissèrent de chaque côté de ma verge gonflée, des couilles jusqu’au gland pour se rejoindre régulièrement en se titillant du bout de la langue. Ces gâteries buccales nous donnèrent, chacun comme il le ressentait, énormément de plaisir. Subitement, une main hardie vint glisser entre mes fesses savonnées et je sentis un doigt qui effleura mon anus et y força doucement le passage. Je me laissai faire sans savoir qui était ce conquérant. Cela n’avait du reste aucune espèce d’importance, car, bien qu’hétérosexuel, je n’étais pas réfractaire à quelques égarements, notamment dans des situations aussi excitantes que celles que nous vivions depuis cet après-midi, avec un homme, somme toute, bien sous tous rapports. Ma déesse n’avait été guère étonnée lorsque, dans les toilettes, son amant d’un jour, avait jouis, d’un côté et de l’autre d’une cloison. Fallait-il encore que quelqu’un s’en occupa. Et ce fût moi. L’excitation fut à son comble, dans cette relation à trois, et parvint à me faire oublier mon attirance quasi exclusive pour la gent féminine. Nos corps s’unissaient et se mélangeaient de telle sorte que nous en apprécions tous les bienfaits, d’où qu’ils viennent. Et l’excitation ne s’arrêta pas là !

Après m’être fait sucer, branler, lécher et doigter, nous décidâmes de nous rendre dans notre chambre et c’est en ce lieu que nous vécûmes les meilleurs moments de cette folle nuit qui ne faisait que commencer.

…. La suite bientôt…

luccass84@hotmail.fr

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