Je suis une femelle salope 26 – L’amour au garage par francoislave

Je suis une femelle salope
26 – L’amour au garage
par francoislave


Hier, j’ai fait une nouvelle expérience.

Ayant trouvé un mec sur Internet qui proposait de venir le sucer, lui bouffer le cul et plus encore à son bureau, je me suis rendu chez lui.

Arrivé dans les environs, je le rappelle comme convenu pour qu’il me donne l’endroit précis, dans une ZI compliquée pour un GPS, il m’indique qu’il s’agit d’un garage.

J’arrive devant l’endroit, en effet un garage assez grand. Je tourne un peu en recherche d’une place et revient devant l’accueil.

Un mec vient vers la voiture et tape au carreau, j’ouvre, c’est lui.

« Gare toi un peu plus loin et viens au bureau ».

Je retourne dans la rue, trouve enfin une place et reviens au bureau. En fait le mec est le patron et il me dit qu’il a envoyé ses employés déjeuner, il est près de midi….

Il me fait rentrer dans une petite pièce, encombrée de cartons mais où trône un petit canapé. Je remarque des tubes de lubrifiant sur une table ainsi qu’une boîte de capotes. Il sort en me demandant de ne pas faire de bruit.

Je me mets à poil et m’assieds sur le canapé, prêt à l’emploi !

Il revient au bout de quelques minutes, me répète :

« ne fais pas de bruit, il y a du monde à côté » et défait sa ceinture.

Il baisse son pantalon, son slip et je peux contempler une belle bite, déjà bien droite, le gland apparent, il est circoncis, je préfère pour sucer.

Sans attendre plus longtemps, je le prends en bouche et commence à le sucer doucement, pour goûter.

Elle est douce, ferme, elle sent bon…. j’accélère mon mouvement, passe ma langue sur ses couilles puis le long de sa hampe.

« Tu aimes ? »

Oui, il aime même beaucoup, il me le dit et sa queue confirme.

A présent je le pompe consciencieusement, alternant va et vient rapides et taquineries du gland, de temps en temps je frotte sa queue contre l’intérieur de ma joue, de temps en temps ma langue titille le méat, il apprécie et moi je me régale.

Je sens à présent le jus annonciateur de jouissance, je retire donc sa queue de mes lèvres et lui demande de me baiser…

Il retire complètement son pantalon, enfile une capote et me lubrifie le trou du cul, je grogne de plaisir.

Je me suis mis à quatre pattes sur le divan, les fesses bien cambrées et écartées, prêts pour l’assaut. Je suis très excité, l’endroit, le sentiment de se faire mettre en cachette, les bruits provenant de la pièce à côté….

Il s’approche de mes fesses, me prend les hanches à pleines mains et m’enfile d’un coup.

Je suis aux anges, bien rempli de sa queue, je l’encourage à se faire du bien.

Il m’encule avec vigueur, son ventre claque contre mes fesses, il sait y faire, j’ai du mal à rester silencieux.

Il me besogne quelques minutes puis se retire l’air satisfait.

« Tu as joui ? » je lui demande
« Oui ».

Il retire sa capote, sa queue est encore bien dressée, j’y regoûterais volontiers mais le téléphone n’arrête pas de sonner…

Je m’essuie le cul avec un sopalin, je me rhabille, il me signe que la voie est libre et sur une poignée de main, je le quitte avec promesse de se revoir.

De retour chez moi, je me branle en me défonçant le cul sur un godet out en en suçant un autre ventousé au mur.

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