Je suis une femelle salope 25 – Une journée bien chargée par francoislave

 

Je suis une femelle salope
25 – Une journée bien chargée
par francoislave


Ce vendredi, j’ai battu tous mes records de salope : Je me suis fait prendre deux fois dans la journée, par deux mecs différents.

Le matin, visite à mon mâle habituel, à Meaux. Pour montrer mon vice, j’y suis allé en moto, uniquement vêtu d’un pantalon, d’un blouson, d’un casque et de bottes, ni sous-vêtements, ni haut (à part le blouson).

Arrivé chez lui, l’effeuillage a été très rapide, en vingt secondes j’étais à poil devant lui. Après un petit pipi, je le rejoins dans la chambre où il m’attend, nu, allongé sur le lit. Je me mets à quatre pattes et commence à lui caresser la queue et les couilles. Puis je prends ses grosses boules en bouche, il adore ça, et je les fais rouler entre mes lèvres, tout en caressant sa queue avec la main.

Puis je le prends en bouche et entreprend de faire dresser sa bite déjà bien dure. Je la déguste comme une glace, la lapant avec gourmandise, la prenant entre mes lèvres, alternant des mouvements de pompage rapides avec de plus lents. Il gémit, il apprécie.

« Caresse ma chatte s’il te plaît »

Il rentre un doigt inquisiteur dans ma rosette.

« Mouille-le, ma chatte est sèche »

Il s’exécute et me rentre à nouveau un doigt dans le cul, cette fois ci sans douleur. Il commence à me besogner le cul, je ronronne de plaisir tout en le pompant. Sa queue est à présent bien dure, j’ai peur qu’il finisse par me juter dans la bouche, même si je sais qu’il est sain.

« Prends-moi, encule-moi »

Il se redresse et saisissant une capote, il l’enfile sur sa queue. Il me fait mettre à quatre pattes au bord du lit, me tartine la chatte avec du lubrifiant et d’une poussée, me pénètre jusqu’à taper ses couilles contre mes fesses.

Ma sucette l’a bien excité, il est déchaîné et me possède comme jamais, me serrant la taille avec ses mains pour mieux me pénétrer. Je l’encourage de la voix, il me fait du bien et je tiens à lui faire savoir :

« Oh oui, c’est bon, fais-toi du bien mon chéri, défonce moi, crache ton jus dans mon ventre, laisse-toi aller »

Tant et si bien qu’il finit par accélérer brusquement ses va-et-vient en moi et se plaque contre mes fesses en criant : Il vient de jouir.

Quelques secondes et il se retire, je vais me laver le petit trou, lui sa queue et, après un rapide baiser sur la bouche, je m’en retourne chez moi, ivre de bonheur après cette enculade de première.

A peine de retour chez moi, une fois le déjeuner pris, je repars, à Melun cette fois-ci, pour rendre visite à un mec rencontré sur Viv***eet où il a répondu à mon annonce « gros cul à défoncer ».

Arrivé devant son immeuble, je lui téléphone et il m’indique l’étage. Je monte l’escalier et trouve une porte ouverte sur le palier du second étage. C’est un gars d’une trentaine d’années, d’aspect quelconque, en marcel ; il me fait rentrer et me guide dans la chambre. J’ai vraiment l’impression d’être une pute qui vient voir un client, et cette pensée me ravit, j’aime être humilié.

Je me déshabille devant lui, sors le tube de lubrifiant de ma sacoche et l’invite à me rejoindre sur le lit.

Il m’avoue que c’est sa première fois avec un homme, qu’il a déjà enculé une femme mais jamais un mec, et qu’il veut découvrir ce plaisir nouveau pour lui. Là je suis une pute qui déniaise un puceau. Super. Pourvu que sa queue soit potable, que j’arrive à le faire bander suffisamment pour qu’il puisse me pénétrer.

Il se couche sur le dos et je saisis sa (petite) queue avec une main, et entreprend de la branler doucement pour la faire grandir. Sa nouille répond un peu, je continue puis je me lance et l’engloutit entre mes lèvres.

Il gémit, je suis sur la bonne voie, en plus je sens sa queue qui grossit peu à peu dans ma bouche. Je le pompe puis je lui suce les couilles. Il sent un peu la pisse mais rien de grave, au contraire même, j’apprécie son odeur corporelle. En fait, je me régale de sa queue.

A présent, elle est bien dure.

« Caresse ma chatte, mets moi un doigt »

Il me caresse le petit trou et sur ma demande, il mouille son doigt avec du lubrifiant et me le rentre dans le cul.

Il est peut-être puceau comme sodomite mais cela ne l’empêche pas de me doigter comme un chef, m’arrachant des gémissements de plaisir sans problème.

Nous faisons un beau tableau, moi le suçant avec ardeur et lui me pistonnant le cul avec ses doigts.

Vite, je n’en peux plus et je le supplie :

« Prends-moi la chatte, j’ai envie de toi ».

Il enfile une capote, je le suce à nouveau pour qu’il ne perde pas de sa vigueur mais de ce côté-là, rien à craindre, sa queue n’est peut-être pas très grosse mais question dureté, rien à dire.

Je me mets en levrette, guidé par lui, et il me pénètre sans problème, sa queue bien rigide et ma chatte bien ouverte. Il me besogne pendant quelques trop courtes minutes puis je le sens se répandre au fond de mon ventre, ou plutôt au fond de la capote.

Il se retire, il a l’air d’avoir apprécié, il me le confirme d’ailleurs, pour une première fois, c’est une première fois réussie qui lui donne, dit-il, envie de recommencer. Chic !

Adieux habituels, je le quitte et retourne chez moi.

Décidément une très bonne journée, la salope que je suis s’est fait bourrer le cul deux fois, j’en aurais bien pris plus encore.

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