Je suis une femelle salope 13 – La Picardie par francoislave

Je suis une femelle salope
13 – La Picardie
par francoislave


Nouvelle recherche sur Internet et réponse (infructueuse) à une annonce pour une partouze dans le nord de la région parisienne. Quelques jours plus tard, je réponds une autre annonce et remarque que l’émetteur est le même. Je décide donc de le contacter et lui demande s’il serait intéressé de me partouzer avec des amis ; devant sa réponse négative faute de partenaires disponibles, je lui propose de le rencontrer afin qu’il me possède seul.

S’ensuit un long échange de courriels au cours duquel nous mettons au point le programme : d’une simple séance de baise, cela dérive, et ce n’est pas pour me déplaire, vers une séance de domination et les détails s’accumulent ; pénétration, fist, uro et plus si possible, cire de bougie, gifles, fessées, mon excitation monte au fur et à mesure qu’il me fait part de ses désirs.

Le jour J, je prends la route avec capotes, gants latex, lubrifiant, godes, bougies, banane, et arrive bientôt à l’hôtel où nous avons prévu de nous rencontrer. Je suis en avance et c’était prévu, j’ai l’intention de me préparer.

Par chance et commodité, la chambre est au rez-de-chaussée. Je déballe mes affaires, me déshabille et commence à me préparer. Je vide ma vessie, je lubrifie bien mon petit trou et je dispose mes godes ; le Rascal Black Balled (une belle bête de 7,6 cm de diamètre) est ventousé sur la paroi de la baignoire et mon dernier joujou, un Anal Large Rocket de 8,5 cm est lui disposé sur une chaise.

Je commence par me mettre en levrette devant la baignoire et je m’empale sur le gode. Il rentre facilement, je suis très dilaté ; je fais quelques mouvements de va-et-vient pour me préparer puis je me dirige vers l’autre gode. Je le lubrifie bien et je me place au-dessus. L’introduction est certes plus difficile vu son diamètre et le fait que je ne l’ai acheté que récemment mais au bout de quelques minutes, il rentre dans mon petit ( !) trou et je fais là aussi des va-et-vient pour élargir ma chatte, en attendant de recevoir la main de mon amant d’un jour. Je remarque au passage que plus les jours passent et plus mon trou s’habitue à ce diamètre.

Une fois bien dilaté et lubrifié, je m’introduis sans difficulté un plug de bonne taille (7,5 cm) et me rhabille pour aller attendre mon amant dehors devant le hall d’entrée de l’hôtel.

Quelques minutes passent et je vois arriver une voiture qui se gare devant moi ; la description du personnage et le regard appuyé qu’il me jette achèvent de me convaincre que c’est bien lui. D’ailleurs, il m’interpelle :

« François ?»

Après une poigne de main, nous rentrons dans la chambre.

Je me déshabille, lui enlève tout sauf son slip, et sur son ordre, je me place devant lui ; il commence par m’administrer une série de gifles pour me mettre en train ; puis il me pince les tétons à crier de douleur. J’esquisse un mouvement vers sa queue, prometteuse sous son slip mais il me répond :

« Plus tard ».

Je lui propose de m’empaler sur mon gode ainsi qu’il m’avait vu sur les vidéos que j’ai posté sur le Net, il acquiesce et nous rentrons dans la salle de bains. J’expurge le plug et m’encule devant lui sur le gode ventousé, il a l’air d’apprécier ; mais il a une autre idée et c’est avec plaisir que je l’entends me dire :

« Veux-tu de ma pisse ? »

Avec un air gourmand, je m’installe dans la baignoire, accroupi, le plug de nouveau entre les fesses.

Il retire son slip, il a une belle queue, encore recouverte de son prépuce mais prête à se montrer, et de belles couilles bien rondes. Il enfile une capote et me présente ses attributs. Je ne me fais pas prier et embouche son membre entre mes lèvres. Il sent bon, sa queue grossit dans ma bouche, je suis aux anges. Je commence à lui bouffer les couilles, j’adore ça, lui aussi apparemment. Mais comme il préfère me baiser par la bouche, je le prends à nouveau entre mes lèvres et lui administre une bonne pipe.
Au bout d’un moment, trop court à mon goût, il se retire, se recule un peu et d’un coup, je reçois une douche d’urine conséquente sur le visage et tout le corps. C’est divin, le liquide chaud m’excite et me ravit, je l’étale sur ma poitrine, je ronronne et en réclame encore plus. Dans l’excitation, le plug sort de mes fesses et je le remplace par le gode que je ventouse au fond de la baignoire.

Une fois sa vessie vide, il se rapproche à nouveau de moi et je le prends en bouche à nouveau ; pas longtemps cette fois-ci car il se retire brutalement et après quelques mouvements de sa main sur sa pine, il éjacule sur moi. C’est la première fois que je reçois un autre sperme que le mien sur le corps et je deviens comme folle, je hurle de plaisir, j’étale son foutre sur moi, je m’encule de plus belle sur le gode, bref le panard !

Une fois les couilles vidées, il se caresse à nouveau et, oh surprise, alors que j’attendais à nouveau une douche de sperme, il se remet à m’uriner dessus.

Nous sortons de la salle de bains et je lui propose de lui montrer mes aptitudes de salope su le gros gode. Je me place à califourchon au-dessus de la chaise et descend peu à peu sur l’énorme gland. Je suis tellement excité qu’il rentre presque sans effort. Je me trémousse dessus, le fait d’être vu par lui m’excite par-dessus tout. Je monte, je descends, je me fais prendre par mon trou comme une salope que je suis de plus en plus. Je suis complètement distendu mais c’est follement bon.

Au bout de quelques minutes de cet engodage, il se saisit de la banane et je comprends que je vais goûter à un autre plaisir.

Je m’étends sur le lit, sur le dos, le Rascal entre les fesses, il rentre en moi comme un vulgaire doigt. Je le retire et m’introduit la banane dans le ventre après l’avoir épluchée. Il me regarde d’un air très intéressé.

Je garde le fruit quelques instants en moi puis je coupe le bout qui dépasse et le mange goulûment. Ensuite, je pousse et le reste sort de mon ventre. Il est bien souillé mais je le prends avec plaisir dans la bouche et le déguste avec appétit ; il est admiratif.

Il se saisit à présent d’une bougie et de la boîte d’allumettes ; je m’introduits à nouveau le gode dans le cul et j’attends le bon plaisir de mon Maître. Il faut dire que j’adore recevoir de la cire sur le corps, je m’en mets de temps en temps moi-même, et ajouté à une bonne branlette, cela me fait jouir à tous les coups.

Il m’inonde lentement le ventre, les nénés, les cuisses, les couilles, cela brûle un peu mais c’est tellement bon que je me gode en même temps et gémis de plaisir. Je voudrais que cela dure, dure, dure…..

Une fois la bougie presque consumée entièrement, il me regarde et me demande :

« Alors salope, qu’est-ce que tu veux que je te fasse à présent ? »
« Mets ta main en moi, s’il te plaît, fiste moi, j’ai envie de jouir »

Il ne se fait pas prier et enfile un gant qu’il enduit copieusement de lubrifiant. En ce qui me concerne, mon trou du cul est tellement graissé et dilaté que c’est inutile.

Je retire le gode et écarte les jambes, toujours sur dos.

« Rentre lentement s’il te plaît, j’aime être élargi lentement »

Il commence à me pénétrer ; d’abord deux doigts puis deux autres ; il fait un mouvement tournant entre mes fesses, pour mieux m’élargir. Je suis aux anges, je ne connais pas de plus grande sensation que celle de se sentir ouvert et rempli au maximum.

Il rentre sa main mais pas complètement, il bute car elle est très large. Je prends son poignet et le guide avec ma main, j’essaye de m’empaler moi-même, en général cela fonctionne quand la main qui me possède est très grosse. En même temps, je me branle furieusement de l’autre main.

Rien n’y fait, il ne rentre pas entièrement mais cela suffit à mon bonheur. Je le supplie :

« Continue, ne t’arrête pas, tourne en moi, c’est bon ! »

Le plaisir commence à monter au fur et à mesure qu’il tourne dans mon anus. Je plaque mes fesses sur sa main afin qu’il ne sorte pas et accélère le mouvement sur ma queue, à présent bien dressée.

Je suis comme folle sous sa caresse, je me branle de plus en plus vite et finalement, j’éclate sur mon ventre en hurlant, je me vide pendant qu’il fiste mon gros cul ouvert.

Nous restons immobiles, moi sur le dos, lui la main dans mon trou, je caresse son torse, il me plaît vraiment, dommage qu’il ne puisse pas m’enculer avec sa queue (il m’a dit être passif).

Il retire sa main et va se laver. Je reste quelques instants sur le lit puis vais moi-aussi me nettoyer un peu.

Puis ce sont les adieux, il s’en va mis je suis sûr qu’on se reverra et cette fois, sa main rentrera.

Je fais une toilette approfondie, la bougie a tendance à s’incruster dans les poils, puis je réunis mes affaires et retourne à ma voiture ; en route vers mon chez moi, l’esprit encore plein d’images excitantes.

francoisalbertbi@yahoo.fr

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